La UGR publica “El gusano en la manzana”, un libro sobre el carácter ambiental del cáncer de mama

La obra del profesor Alberto Salamanca Ballesteros, publicada por la Editorial Universidad de Granada, apuesta por la prevención ante esta enfermedad, con una alta responsabilidad política

La editorial Universidad de Granada ha publicado un nuevo libro del Premio de Investigación a la Divulgación Científica 2007, Alberto Salamanca Ballesteros, profesor titular de Obstetricia de la Universidad de Granada. Se trata de la obra “El gusano en la manzana”, donde, en cinco actos, al modo de las tragedias clásicas, y mediante una sucesión de escenas, hace una descripción a lo largo de los siglos de la evolución e importancia de los senos de la mujer, sus implicaciones culturales y antropológicas así como su papel en la creación de nueva vida, sin olvidar sus debilidades y vulnerabilidades.

Es precisamente a partir de esas vulnerabilidades donde el autor hace hincapié en la necesidad de utilizar medidas preventivas para evitar el final trágico del cada vez más frecuente cáncer de mama.

El primer acto está dedicado a esclarecer el origen de las peculiaridades específicas de los senos humanos, bien diferenciados y destacados en el cuerpo de la mujer, incluso en periodos alejados de la gestación. Como indica el autor, aunque fruto de un proceso evolutivo concreto, es complicado su estudio debido a que los cuerpos de hace miles de años se reducen a su esqueleto. El autor relaciona este período con el otoño.

Tras la época otoñal llega el invierno, segundo acto, donde Salamanca centra su atención en la evolución de la forma curva y grasa de los senos de la mujer y los relaciona con la evolución sexual de la especie humana.

En la primavera, tercer acto, los pechos y su morfología son la base del estudio que lo relaciona con los cánones de belleza y, aun más, con la categorización de sexualidad y vitalidad, elementos culturales, psicológicos, fisiológicos o artísticos.

El proceso de estudio desemboca en un cuarto acto de la obra, el verano, que trata sobre la enfermedad del cáncer de mama. Si bien el propio autor resalta la relación directa de esta patología con la proliferación hormonal y ésta con la extraordinaria multiplicación por tres de los ciclos menstruales de las mujeres en la sociedades avanzadas modernas, Albero Salamanca señala que el depósito de sustancias ajenas a la grasa que acumulada forma el pecho, como cosméticos, pesticidas o insecticidas, productos muy comunes en nuestra vida diaria, y su consecuente papel como hormonas externas, unido a la contaminación química, puede ser determinante en la aparición del cáncer de mama.

El epílogo del libro está destinado al último año de investigación de su autor. Las conclusiones pasan por la necesidad de una información más transparente y cercana a las realidades de los posibles riesgos derivados de la mala gestión medioambiental y de la fabricación y procesamiento de productos malignos para la salud humana. Por todo ello el autor apuesta por una corresponsabilidad y un principio de prevención en el que “la industria, los manufacturadotes, los medios de comunicación y las organizaciones no gubernamentales deben implicarse en este proceso”. Según el autor: “la Administración, por su parte, más que un árbitro del proceso, debería ser valedora y la parte más comprometida con el medio ambiente, la salud pública y la sostenibilidad”. “La ciencia –destaca Salamanca- es un continuo desafío. Pero, ¡atención!, las decisiones son políticas”.

Contacto: Profesor Alberto Salamanca Ballesteros. Departamento de Obstetricia y Ginecología. Tf.: 958242867. Correo electrónico: asalaman@ugr.es


D’après une étude, les policiers, les voleurs et les citoyens normaux possèdent une logique différente au moment de prendre des décisions

Une recherche menée à bien dans les universités de Grenade et de Cambridge révèle que les policiers et les délinquants sont plus consistants dans leurs valorisations que les citoyens normaux, si bien le raisonnement des policiers est plus proche de celui de ces derniers que de celui des voleurs. Cette information pourrait avoir d’importantes implications pour la justice criminelle. Pour mener à bien ce travail, ses auteurs ont réalisé une étude dans laquelle elles ont sélectionné un échantillon de 120 personnes : 40 délinquants experts, 40 policiers experts et 40 étudiants non familiarisés avec le domaine de la délinquance

Une recherche menée à bien à l’UGR avec la collaboration de l’Université de Cambridge révèle que les policiers et les citoyens normaux possèdent une logique différente à celle des délinquants au moment de prendre des décisions, c’est-à-dire qu’ils emploient des raisonnements différents au moment d’agir, une information qui pourrait avoir d’importantes implications pour la justice criminelle.

Ledit travail a été mené à bien par Mme Rocío García-Retamero, du Département de Psychologie Expérimentale et de Physiologie du Comportement de l’Université de Grenade, et par Mme Mandeep K. Dhabi, de l’Institute of Criminology (Université de Cambridge, Royaume-Uni).

Pour ce faire, Mmes García-Retamero et Dhabi ont réalisé une étude sur un échantillon de 120 participants volontaires : 40 délinquants experts, 40 policiers experts et 40 étudiants non familiarisés avec le domaine de la délinquance. Les policiers avaient travaillé pour les forces de sécurité pendant une moyenne de 19,4 ans, et s’étaient centrés fondamentalement sur la recherche dans les affaires de vol.

Les délinquants informèrent du nombre de vols commis (57,2 de moyenne). C’étaient des délinquants convicts ayant été emprisonnés pour vol une seule fois. Les étudiants spécifièrent le nombre de fois qu’ils avaient souffert un vol (0,6 de moyenne).

Quelques clés
Les participants à la recherche –policiers, délinquants experts et étudiants non familiarisés avec le domaine de la délinquance- devaient estimer la valeur des clés comme prédiction de la probabilité de vol dans un immeuble. Certaines parmi ces clés étaient : boîte aux lettres vide ou pleine, lumières allumées ou éteintes, appartement ou villa, soin des plantes. Ils devaient également les classifier hiérarchiquement, en fonction du degré de probabilité de succès du vol dans un immeuble concret. Par exemple, pour la clé « sécurité dans l’immeuble » il était dit : « Imagine deux immeubles : un d’entre eux possède un système d’alarme antivol, l’autre pas. Jusqu’à quel point est-il plus probable que l’on vole dans l’immeuble sans système d’alarme antivol que dans celui qui en possède un ? » Pour émettre cette réponse, les participants devaient encercler une valeur entre zéro et cent, à une échelle à intervalles de dix points. Après quoi les participants se classifiaient en fonction de la stratégie utilisée.

Différences substantielles
Les résultats ont mis en évidence que les deux groupes d’experts (voleurs et policiers) manifestent des différences substantielles dans les estimations sur les poids des clés et dans la classification hiérarchique qu’ils réalisent sur les mêmes, et que l’un d’entre eux –celui des policiers- présente plus de similitudes avec le groupe de non-experts que l’autre. Ainsi, les policiers et les non-experts coïncident dans le fait que le mode d’accès à l’immeuble est la clé d’un pouvoir majeur de prévision au moment de prévoir le succès du vol. Ces estimations diffèrent de celles des délinquants, qui considèrent que la clé d’un pouvoir majeur de prévision au moment de prévoir le succès du vol est la présence ou absence de système d’alarme antivol.

Malgré les différences entre les groupes d’experts, ceux-ci démontrent une consistance majeure dans leurs réponses que les non-experts, dans la mesure où ils sont moins variables dans leurs propres jugements lorsqu’on utilise différentes méthodes pour les émettre, et sont aussi plus consistants avec d’autres experts de leur même groupe.

Les résultats de ce travail supposent, d’après les auteurs, « un apport nouveau à l’étude des différences entre experts et non-experts, qui pourrait avoir d’importantes implications pour la justice criminelle et pour les modèles de prise de décisions. »

Références bibliographiques :

García-Retamero, R. & Dhami, M.K. (2009). Diferencias entre expertos y noveles en las estimaciones sobre el poder predictivo de las claves en el ámbito de la delincuencia. Psicothema, 21, 376-381.

García-Retamero, R. & Dhami, M.K. (2009). Policías, ladrones y gente corriente: diferencias entre expertos y noveles en el uso de estrategias para la toma de decisiones. Ciencia Cognitiva, 3:2, 42-45.

García-Retamero, R. & Dhami, M.K. (2009). Take-the-best in expert-novice decision strategies for residential burglary, Psychonomic Bulletin and Review, 16, 163-169.

García-Retamero, R., Hoffrage, U. & Dieckmann, A (2007). One cue is not enough: combining fast and frugal heuristics with compound cue processing. Quarterly Journal of Experimental Psychology, 60, 1197-1215.

Contact:
Rocío García-Retamero, Département de Psychologie expérimentale et de Physiologie du Comportement de l’Université de Grenade. Tél. : +34 958 246 240 ; courriel : rretamero@ugr.es


Study says policemen, thieves and ordinary people apply different logic when making decisions

A study conducted at the University of Granada and the University of Cambridge reveals that police officers and criminals are more consistent in their judgements than ordinary people. However, police officers’ reasoning is more similar to that of ordinary people than to that of thieves. This conclusion might have significant implications on criminal jurisdiction. For the purpose of this study, a 120-people sample was taken. The sample consisted of 40 expert criminals, 40 expert policemen and 40 students unrelated to criminal activities

A study conducted by the University of Granada, in collaboration with the University of Cambridge, revealed that policemen and ordinary people reason differently than criminals when making decisions. That is, they reason in different ways. This conclusion might have significant implications on criminal jurisdiction.

This research was conducted by Rocío García-Retamero from the Department of Experimental Psychology and Behavioural Physiology of the University of Granada, and Mandeep K. Dhabi from the Institute of Criminology (University of Cambridge, United Kingdom).

For the purpose of this study, García Retamero and Dhami took a sample of 120 people that participated voluntarily. The sample consisted of 40 expert criminals, 40 expert policemen and 40 students unrelated to criminal activities. The policemen had been working for the security forces for an average of 19.4 years and their work had been mainly centred on investigating robberies.

The criminals claimed to have committed an average of 57.2 robberies. They were convicted criminals that had been imprisoned for burglary just once. The students specified the number of times that they had been victims of a theft (only an average of 0.6 times).

Factors
The participants –policemen, expert criminals and students unrelated to any criminal activity– were asked to estimate the importance of certain factors when predicting the chances of a home being broken into. Some of the factors were:  full/empty mail box, lights on/off, the fact of the home being a flat or a house, or the presence of neglected plants. They were asked to classify them on the basis of the extent in which their presence could help to predict a successful housebreaking. For example: for the factor “home security systems” they were posed with the following situation: “Imagine two houses: one with a burglar alarm and other without it. In what degree is it more likely that the house without alarm is broken into?. To answer this question, the participants had to draw a circle around a value ranging from 0 to 100 on a ten-point interval scale. Then, participants were classified on the basis of their strategy.

Significant differences
The results revealed that the two groups of experts (burglars and policemen) had different perceptions of the importance and classification of each factor. The perception of the policemen was more similar to that of ordinary people than to that of burglars. Thus, policemen and ordinary people agreed that the method employed to break into the house was the most relevant factor, when it comes to foreseeing a successful housebreaking. Conversely, the burglars considered that the most relevant factor was the presence of a burglar alarm.

Although the answers of both groups of experts differed, they were more consistent than those of ordinary people. That is, the experts employed more consistent criteria when it came to use different ways to express them, and they agreed with experts of their own group in a higher degree.

The conclusions drawn from this research –according to the researchers: “make a new contribution to study the differences between experts and inexperienced people. It also might have important implications regarding criminal jurisdiction and decision-making patterns”.

Bibliography:

García-Retamero, R., & Dhami, M. K. (2009). Diferencias entre expertos y noveles en las estimaciones sobre el poder predictivo de las claves en el ámbito de la delincuencia. Psicothema, 21, 376-381.

Garcia-Retamero, R., & Dhami, M. K. (2009). Policías, ladrones y gente corriente: Diferencias entre expertos y noveles en el uso de estrategias para la toma de decisiones. Ciencia Cognitiva, 3:2, 42-45.

García-Retamero, R., & Dhami, M. K. (2009). Take-the-best in expert-novice decision strategies for residential burglary. Psychonomic Bulletin and Review, 16,163-169.

García-Retamero, R., Hoffrage, U., & Dieckmann, A. (2007). One cue is not enough: Combining fast and frugal heuristics with compound cue processing. Quarterly Journal of Experimental Psychology, 60, 1197-1215.

Contact:
Rocío García-Retamero Department of Experimental Psychology and Behavioural Physiology of the University of Granada. Phone number: +34 958 246 240.
e-mail: rretamer@ugr.es


Concierto en la UGR de los coros de la Universidad Pablo de Olavide, Coral Ciudad de Granada y el grupo “Garnati Minstrels”

Tendrá lugar en el Salón de Actos de la Escuela Universitaria de Arquitectura Técnica, el viernes, 30 de abril, a las 20 horas

Un concierto a cargo del Coro de la Universidad Pablo de Olavide de Sevilla, Coral Ciudad de Granada y el grupo instrumental “Garnati Minstrels” tendrá lugar en el Salón de Actos de la Escuela Universitaria de Arquitectura Técnica, el viernes, 30 de abril, a las 20 horas, dentro del programa de actividades de la X Semana de la Construcción y la Innovación.

Con estrada libre, hasta completar el aforo, los grupos participantes interpretarán el siguiente programa:

  • “Sonata instrumental”, de Heinrich Biber.

  • “El Fuego”, ensalada de Mateo Flecha “el viejo”.

  • “Sonata instrumental” de Johann Christoph Pezel.

  • “Funerales de la Reina Mary”, de Henry Purcell.

  • “Sonata en Do”, de Johann Prentzel.

  • “Notturni”, de Wolfgang Amadeus Mozart


La Facultad de Ciencias del Trabajo celebra la festividad de su patrón

Conferencia a cargo de Miguel A. Sánchez Cogolludo, director técnico y de efectos especiales en Kandor Graphics, sobre “El trabajo en la animación 3D”

Mañana, viernes, 30 de abril, se celebrará en la Facultad de Ciencias del Trabajo un acto académico con motivo de la celebración del patrón del centro, San José Obrero, conmemorando el Día del Trabajo, con el siguiente programa:

Viernes 30 de abril. 12.00 h. ACTO ACADÉMICO:

  • Apertura por el vicerrector de Extensión Universitaria y Cooperación al Desarrollo, Miguel Gómez Oliver.

  • Conferencia a cargo de Miguel A. Sánchez Cogolludo, director técnico y de efectos especiales en Kandor Graphics, sobre “El trabajo en la animación 3D”.

  • Entrega de Diploma e Insignia de Graduado Social a los alumnos que finalizaron sus estudios con la promoción 2006/09.

  • Intervención de José Esteban Sánchez Montoya, presidente del Colegio Oficial de Graduados Sociales de Granada.

  • Imposición de la Insignia de Oro de Graduado Social al mejor expediente académico de la promoción 2006/09.

  • Entrega de Premios del IV Certamen de Relatos Breves.

  • Intervención del decano de la Facultad, Antonio Delgado Padial.

  • Clausura.


La Facultad de Comunicación y Documentación cierra la Semana Cultural con un acto académico presidido por el rector

Con motivo de la festividad del día del patrón “San Benito”, durante los días 28, 29 y 30 de abril se celebran diversas actividades culturales en la Facultad de Documentación y Comunicación, que culminan el viernes, 30 de abril, con un acto académico presidido por el rector Francisco González Lodeiro.

Entre las actividades, destacan jornadas de salidas profesionales y de software libre, conferencias, y el Acto Académico, presidido por el rector, Francisco González Lodeiro, que incluye entregas de premios y distinciones en reconocimiento al trabajo realizado por alumnos y profesores.

PROGRAMA DE ACTOS

Viernes 30 de abril 12.00 h Acto Académico en el Salón de Actos de la Facultad.

  • I. Entrega de premios convocados por la Facultad de Comunicación y Documentación.
    • A los ganadores del concurso de fotografía.
  • II. Entrega de distinciones de la Facultad de Comunicación y Documentación.
    • Diploma acreditativo y ordenador portátil a los tres mejores expedientes académicos.
    • Diploma acreditativo por sus servicios a la Facultad, a investigadora becaria.
  • III. Entrega de Diploma y Medalla de la Facultad de Comunicación y Documentación.
    • A profesores por sus veinticinco años de servicio en la Facultad.
    • In memoriam, al profesor Ignacio Fernández de Viana y Vieites.
  • IV. Intervención del decano de la Facultad de Comunicación y Documentación, Antonio Ruiz Rodríguez.
  • V. Clausura del Acto Académico:

Los sacerdotes de Horus, en las Salas de Exposiciones de CajaGRANADA

Más de un centenar de dibujos de gran formato, recientemente exhibidos en el Museo Egipcio del Cairo, conforman la exposición “Los dibujos del tiempo. Impresiones del Templo de Edfú”

El Centro Cultural CajaGRANADA Memoria de Andalucía, el Centro de Exposiciones de CajaGRANADA en Puerta Real y el Museo Arqueológico y Etnográfico de Granada acogen desde hoy jueves, 29 de abril, y hasta el 6 de junio, cerca de un centenar de dibujos monumentales, realizados entre 2005 y 2010, por Asunción Jódar y Ricardo Marín, a partir de bocetos del natural y las fotografías de 31 figuras de los sacerdotes portainsignias de la escalera oeste del templo de Horus, en Edfú (Egipto). Una selección de estos dibujos conforma la magna exposición de los artistas Asunción Jódar y Ricardo Marín, “Los dibujos del tiempo. Impresiones del templo de Edfú”, organizada por CajaGRANADA en colaboración con la Universidad de Granada.

Procedente del Museo de El Cairo, donde ha sido visitada por unas 8.000 personas al día desde febrero hasta abril, la exposición será inaugurada esta tarde de jueves, a las 19.30 horas, en el Centro Cultural CajaGRANADA Memoria de Andalucía, y a las 20.30 horas, en la Sala de Exposiciones de CajaGRANADA en Puerta Real, en presencia del presidente de CajaGRANADA, Antonio Jara; el Rector de la Universidad de Granada, Francisco González Lodeiro; la directora general del Museo Egipcio del Cairo, Doctora Wafaa El Saddik; y los autores Asunción Jódar y Ricardo Marín.

El templo de Edfú es una contrucción ptolemaica, que se comenzó a construir en el 237 a.C. por Ptolomeo III Euergetes. La finalización de la construcción y de la decoración tuvo lugar en el 57 a.C., durante el reinado de Ptolomeo XII Neo Dionisio.

Las imágenes de los sacerdotes portainsignias forman parte de una obra más amplia de relieves rehundidos que se extiende a lo largo de la cámara de las ofrendas y las escaleras oeste y este, representando la procesión anual de los dioses, el cortejo real y los sacerdotes, quince en la pared oeste y dieciséis en la pared este.

Rasgos especiales de los sacerdortes

Incluso considerando el gran interés de todas las imágenes del templo de Edfú, las figuras de los sacerdotes portainsingias presentan cualidades especiales: rasgos personalizados que sugieren la posibilidad de algún tipo de retrato, la extrema belleza del conjunto, etc. Y a partir de estos vestigios históricos y la curiosa equiparación de los bustos de los faraones con los retratos de los sacerdotes, Jódar y Marín han creado arte contemporáneo, afirma el periodista Gamal Nkruman, en el reportaje “Ellos y nosotros, sin embargo”. Quién además comenta que “las exquisitas obras de los artistas andaluces ofrecen una oportuna lección de amistad mediterránea”.

Tras visitar el templo de Edfú, los artistas granadinos, se marcaron varios objetivos, han comentado en el transcurso de la rueda de prensa donde el vicepresidente primero de CajaGRANADA, Luis González; los artistas Asunción Jódar y Ricardo Marín; el vicerrector de Extensión Universitaria y Cooperación al Desarrollo, Miguel Gómez, la directora del Museo del Cairo, Wafaa El Saddik y la secretaria ejecutiva de la Fundación Euroárabe, Pilar Aranda, esta misma mañana han dado a conocer la muestra.

El primero de estos objetivos fue dibujar del natural las imágenes de los sacerdotes con tres principales propósitos: uno, analizar el proceso creativo que subyace a las figuras de los sacerdotes a través de la observación de los aspectos formales de cada uno y su discurso compositivo; dos, descubrir la expresividad y el especial naturalismo de las imágenes, a pesar de la rigidez de las normas que regulaban estas figuras; y tres, realizar un análisis gráfico comparativo entre las figuras de los sacerdotes portainsignias del tempo de Horus en Edfú y otras imágenes muy próximas, como por ejemplo en las escaleras del templo de Hator en Dendera, y, en general, la representación de la cabeza de los sacerdotes en el arte del antiguo Egipto.

El segundo de los objetivos era dibujar y pintar a partir de las figuras portainsignias para seguir avanzando en la representación de la figura humana y el concepto de movimiento en el arte contemporáneo, y para conformar a través del dibujo la herencia cultural como un elemento dinámico para las identidades sociales.

La exposición de Asunción Jódar y Ricardo Marín presentada en el Museo Egipcio de El Cairo el pasado mes de febrero y ahora en Granada, esta organizada por la Universidad de Granada, Fundación Caja Granada, Delegación de Cultura de la Junta de Andalucía, Museo Egipcio de El Cairo, Fundación Euroárabe de Altos Estudios, Embajada de España en Egipto, Institutos Cervantes y Consejo de Antigüedades del Gobierno Egipto

Los artistas

Asunción Jódar es licenciada en Bellas Artes por la Universidad Complutense de Madrid y Doctora en Bellas Artes por la Universidad de Granada. Actualmente es directora del Departamento de Dibujo de esa Universidad y es la Investigadora Principal del Grupo de Investigación, Composición y Narrativa en el Dibujo Contemporáneo del Plan Andaluz de Investigación, Desarrollo e Innovación. Varias de sus obras forman parte de colecciones públicas y privadas entre ellas la Calcografía Nacional de España, la Colección de Arte Contemporáneo de la Universidad de Granada, la Colección de Arte Contemporáneo del Instituto Andaluz de la Mujer, la Fundación Rodríguez Acosta y la Fundación CajaGRANADA. Libros publicados: (2004) “La Tejedora de Redes con textos de Ana Rossetti”; (2006) “Por dibujado y por escrito”. Exposiciones individuales: (1991) “La simetría como composición maldita”, sala Triunfo de la Caja General de Ahorros de Granada. (1993) “Retratos de pájaros y flores”, Caja General de Ahorros de Granada, Úbeda. (1994) “Los paraísos perdidos. Pinturas y dibujos”, Palacio de la Diputación de Jaén. (1996) “Retratos sobre un fondo de días compartidos”, Palacio de La Madraza, Universidad de Granada. (1999) “La noche sobre espejos, el día bajo el viento”, Palacio Dar-Al-Horra, Granada. (2005 y 2006) “Genéticas homólogas” Museo de Adra (Almería) y Fundación Euroárabe de Altos Estudios, Granada. (2006) “Asunción Jódar. Envoltorios de moda”, sala de exposiciones Puertas de Castilla, Murcia, y Galería Jesús Puerto (Granada).

Ricardo Marín es Licenciado en Bellas Artes (Pintura) por la Universidad de Barcelona y Doctor en Filosofía y Ciencias de la Educación por la Universidad de Valencia. Profesor ayudante de Estética en la Universidad de Valencia (1980-1981), profesor de Educación Artística en las Universidades de Barcelona (1981-1984) y en la Complutense de Madrid (1984-1988). Actualmente es profesor de Educación Artística en las Facultades de Bellas Artes y de Ciencias de la Educación de la Universidad de Granada. Libros y catálogos de exposiciones: (1981) “El realismo social en la plástica valenciana 1964-1975”. (2000) “Utopias ácidas”. (2003) “Equipo Crónica: pintura, cultura, sociedad”. (2003) “Didáctica de la Educación Artística”. (2005) “Investigación en Educación Artística”. (2005) “Granada. Ojos del Sur. Artes Visuales y Literatura del siglo XXI”. (2006) “Codo con Codo. Las Artes Visuales y la conciliación de la vida personal, familiar y laboral”. (2007) “Colección de Arte Contemporáneo de la Universidad de Granada”. (2010) “Infancia, mercado y educación artística. Líneas de investigación: metodologías de enseñanza y de investigación en Educación Artística y metodologías artísticas de investigación en educación”.

  

Otros datos de interés:

  • Título: Los dibujos del tiempo. Impresiones del templo de Edfú
  • Autores: Asunción Jódar y Ricardo Marín
  • Organizan: CajaGRANADA y Universidad de Granada
  • Inauguración: Jueves, 29 de abril, a las 19.30 horas –Centro Cultural CajaGRANADA Memoria de Andalucía-; 20.30 horas en el Centro de Exposiciones CajaGRANADA-Puerta Real
  • Sedes de la exposición: Sala de exposiciones temporales Centro Cultural CajaGRANADA Memoria de Andalucía (1ª planta edif. basamento). Centro de Exposiciones CajaGRANADA-Puerta Real (Acera del Casino, 6) Museo Arqueológico y Etnográfico de Granada (Acera del Darro 41-43)
  • Horario de exposiciones en las Salas de CajaGRANADA: de martes a sábado de 12.00 a 14.00 horas y de 17.00 a 20.00 horas. Domingos y festivos de 11.00 a 15.00 horas Lunes: cerrado
  • Entrada gratuita

Más de mil reproducciones en YouTube del vídeo promocional del nuevo Grado en Historia y Ciencias de la Música de la UGR

Se puede visionar en http://www.youtube.com/watch?v=gFJSVHlLldE

El vídeo promocional del nuevo Grado en Historia y Ciencias de la Música de la Universidad de Granada supera ya las mil reproducciones en YouTube. Se tratar de un documental breve, de nueve minutos y medio de duración, enfocado principalmente a los alumnos de bachillerato interesados en la Música. Con un estilo sencillo y directo, los estudiantes actuales de Historia y Ciencias de la Música informan a los futuros alumnos de las materias que van a estudiar y de las principales salidas profesionales del Grado.

En el nuevo Grado en Historia y Ciencias de la Música se estudia todo lo referente a la música desde distintos puntos de vista: desde la historia, el pensamiento, la importancia en la sociedad contemporánea, la música de otras culturas y las músicas actuales.

En cuatro años el alumnado recibe la formación teórica y práctica necesaria para desempeñar una profesión en diversos campos relacionados con la música y podrá dedicarse a lo que más le gusta.

 

 

La empleabilidad es uno de los puntos fuertes de la Titulación, pues se sitúa en torno al 85%, muy por encima del resto de titulaciones de Humanidades. Los titulados en Historia y Ciencias de la Música trabajan en:

  • Patrimonio musical: catalogación, conservación, restauración del patrimonio y asesoría en archivos, bibliotecas, centros de documentación, etc.

  • Gestión musical en ayuntamientos, diputaciones, gobiernos autónomos, festivales, fundaciones privadas y otras empresas.

  • Enseñanza de Música en Secundaria, y de ciertas materias históricas y analíticas en Conservatorios y Escuelas de Música.

  • Medios de comunicación e industrias culturales: crítica musical en publicaciones periódicas, música en radio, televisión, cine, industrias discográficas y editoriales.

  • Investigación de todo tipo de temas musicales, tanto históricos como presentes en la cultura contemporánea.

Más Información en: http://grados.ugr.es/musica


Conferencia inaugural del rector en el 19 “Forum International de l´étudiant” de Casablanca (Marruecos)

Es la feria de Educación más importante de Marruecos, con más de 500 expositores y más de 280.000 visitantes.

El pasado fin de semana el rector Francisco González Lodeiro pronunció la conferencia inaugural en el 19 Fórum International de l´Etudiant de Casablanca (Marruecos), invitado por la Fundación Universidad y por las autoridades académicas marroquíes, organizadoras del evento. Bajo el título de “La Universidad Española”, el rector González Lodeiro realizó un análisis de los principales acontecimientos históricos que han marcado la evolución de la universidad española desde sus orígenes hasta el Espacio Europeo de Educación Superior, tanto en los ámbitos de la docencia e investigación, como en la gestión y autonomía universitarias, para finalizar analizando su previsible evolución futura bajo los condicionantes actuales.

En el acto, presidido por Mónica Margarit, directora de la Fundación Universidad, intervinieron también el rector de la Universidad de Santiago de Compostela y la rectora de la Universidad de las Islas Baleares, en representación de la CRUE. Por parte marroquí, asistieron el ministro para la Modernización de los Sectores Públicos y la ministra de Desarrollo Social, Familia y Solidaridad, además del Director General de Universidades y otras autoridades.

El “Fórum International de l´étudiant”, realizado en esta ocasión del 22 al 25 de abril en Casablanca, es la feria de educación más importante de Marruecos, con más de 500 expositores y más de 280.000 visitantes. Marruecos tiene una importancia estratégica ya que es el país que más estudiantes envía a las universidades españolas y especialmente a la Universidad de Granada. Además, en esta edición España ha sido el país invitado de honor en el Fórum. La UGR ha contado con un stand atendido por personal del Vicerrectorado de Relaciones Internacionales, que ha sido muy visitado a lo largo de toda la Feria. En el marco de este viaje, el rector González Lodeiro, acompañado del Delegado para asuntos relacionados con Marruecos, se reunió el día anterior en Rabat con el Sr. Saad El Alami, ministro Delegado ante el primer Ministro de Marruecos para la Modernización de los Sectores Públicos, con quien debatió, entre otros asuntos, de la colaboración de la UGR en diversos programas de desarrollo de Marruecos en relación con el Proyecto de Autonomía para la Región Norte de Marruecos, acordando la organización conjunta de un Foro de debate hispano-marroquí sobre el Estado Español de las Autonomías en relación con el proceso de Regionalización avanzada de Marruecos, a celebrar el próximo mes de octubre en la ciudad de Tánger.


Los policías, los ladrones y los ciudadanos corrientes tienen una lógica distinta a la hora de tomar decisiones, según un estudio

Una investigación realizada en la Universidad de Granada, en colaboración con la Universidad de Cambridge, ha demostrado que los policías y los ciudadanos de a pie tienen una lógica distinta a la hora de tomar decisiones que los delincuentes, es decir, emplean razonamientos distintos al actuar, una información que podría tener importantes implicaciones para la justicia criminal.

Este trabajo ha sido realizado por Rocío García-Retamero del Departamento de Psicología Experimental y Fisiología del Comportamiento de la Universidad de Granada, y Mandeep K. Dhabi, del Institute of Criminology (Universidad de Cambridge, Reino Unido).

Para  llevar a cabo este trabajo, García-Retamero y Dhami realizaron un estudio en el que seleccionaron una muestra de 120 personas, que participaron voluntariamente: 40 delincuentes, 40 policías expertos, y 40 estudiantes no familiarizados con el ámbito de la delincuencia. Los policías habían trabajado para las fuerzas de seguridad durante 19,4 años de promedio y se habían centrado fundamentalmente en la investigación de casos de robo.

Los delincuentes informaron del número de robos que habían cometido (57,2 de media). Eran delincuentes convictos, que habían sido encarcelados por delito de robo sólo en una ocasión. Los estudiantes especificaron el número de veces que habían sufrido robo (sólo 0,6 ocasiones de promedio).

Algunas claves
Los participantes en la investigación –policías y delincuentes expertos, y estudiantes no familiarizados con el ámbito de la delincuencia– debían estimar el peso de las claves como predictores de la probabilidad de robo en un inmueble. Algunas de estas claves eran tener el buzón de correos lleno o vacío; las luces encendidas o apagadas; el hecho de que las viviendas fueran pisos o casas, o que las plantas estuvieran más o menos cuidadas. También debían clasificarlas jerárquicamente, en función del grado en que permitieran predecir la probabilidad de éxito en el robo en dicho inmueble. Por ejemplo, para la clave «seguridad en el inmueble» se decía: «Imagine dos inmuebles: uno de ellos tiene sistema de alarma antirrobo, el otro no. ¿Hasta qué punto es más probable que roben en el inmueble sin sistema de alarma antirrobo que en el que sí lo posee?». Para emitir la respuesta, los participantes debían rodear con un círculo un valor entre cero y cien en una escala con intervalos de diez puntos. Tras ello, los participantes se clasificaban dependiendo de la estrategia utilizada.

Diferencias sustanciales
Los resultados han puesto de manifiesto que los dos grupos de expertos (ladrones y policías) muestran diferencias sustanciales en las estimaciones sobre los pesos de las claves y en la clasificación jerárquica que realizan sobre las mismas, y uno de ellos –los policías– presenta mayores similitudes con el grupo de noveles (no expertos) que el otro. Así, los policías y los participantes noveles coinciden en que el modo de acceso al inmueble es la clave de mayor poder predictivo a la hora de predecir el éxito del robo. Estas estimaciones contrastan con las que hacen los delincuentes, quienes consideran que la clave de mayor poder predictivo es si éste posee alarma antirrobo.

A pesar de las diferencias entre los grupos de expertos, éstos muestran mayor consistencia en sus respuestas que los noveles, es decir, son menos variables en sus propios juicios cuando utilizan distintos métodos para emitirlos, y son más consistentes con otros expertos de su mismo grupo.

Los resultados de este trabajo suponen, en palabras de sus autoras, “una aportación novedosa al estudio de las diferencias entre expertos y noveles, y podrían tener implicaciones importantes para la justicia criminal y los modelos de toma de decisiones”.

Referencias bibliográficas:

García-Retamero, R., & Dhami, M. K. (2009). Diferencias entre expertos y noveles en las estimaciones sobre el poder predictivo de las claves en el ámbito de la delincuencia. Psicothema, 21, 376-381.

Garcia-Retamero, R., & Dhami, M. K. (2009). Policías, ladrones y gente corriente: Diferencias entre expertos y noveles en el uso de estrategias para la toma de decisiones. Ciencia Cognitiva, 3:2, 42-45.

García-Retamero, R., & Dhami, M. K. (2009). Take-the-best in expert-novice decision strategies for residential burglary. Psychonomic Bulletin and Review, 16,163-169.

García-Retamero, R., Hoffrage, U., & Dieckmann, A. (2007). One cue is not enough: Combining fast and frugal heuristics with compound cue processing. Quarterly Journal of Experimental Psychology, 60, 1197-1215.

Contacto:
Rocío García-Retamero del Departamento de Psicología Experimental y Fisiología del Comportamiento de la Universidad de Granada. Teléfono: 958 246 240.
Correo electrónico: rretamer@ugr.es


Presentación del libro «Convivencia escolar y diversidad cultural. Estudio sobre la convivencia escolar en centros educativos de Melilla”

Mañana, jueves, 29 de abril a las 12:00 h. en la Sala de Grados de la Facultad de Educación y Humanidades del Campus de Melilla se realizará una rueda de prensa para la presentación del libro: “Convivencia escolar y diversidad cultural. Estudio sobre la convivencia escolar en centros educativos de Melilla” que ha sido editado por el Ministerio de Educación.

En este acto se contará con la presencia del delegado de Gobierno de la Ciudad Autónoma de Melilla y el director Provincial del Ministerio de Educación. El equipo de trabajo de esta investigación ha sido: Sebastián Sánchez Fernández, Mª Carmen Mesa Franco, Dolores Seijo Martínez, Inmaculada Alemany Arrebola, Gloria Rojas Ruiz, Mª Mar Ortiz Gómez, Lucía Herrera Torres, Miguel Ángel Gallardo Vigil y Ana Mª Fernández Bartolomé.

CONVOCATORIA:

  • DÍA: jueves, 29 de abril.

  • HORA: 12 h.

  • LUGAR: Sala de Grados de la Facultad de Educación y Humanidades del Campus de Melilla.

Contacto: Inmaculada Alemany Arrebola Dpto. Psicología Evolutiva y de la Educación Facultad de Educación y Humanidades Campus de Melilla Universidad de Granada. Teléfono: 952 678688. Correo electrónico: alemany@ugr.es


“Melodías de China”, jornadas interculturales en la UGR

La inscripción es gratuita y necesaria para asistir a las jornadas.

La Dirección General de Coodinación de Políticas Migratorias de la Consejería de Empleo con la colaboración del Instituto Confucio de la Universidad de Granada y el Colegio de Cultura China de Sevilla, ha organizado las jornadas interculturales “Melodías de China. Cultura, economía y sociedad en la China del S. XXI” que se celebrarán los días 6 y 7 de Mayo en la Facultad de Medicina de la Universidad de Granada.

La inscripción es gratuita y necesaria para asistir (hasta completar aforo) siendo una oportunidad única para tomar el pulso de la actualidad en China.

“Melodías de China. Cultura, economía y sociedad en la china del siglo XXI”. (Facultad de Medicina)

PROGRAMA:

Jueves, 6 de mayo:

  • 10:00 Inauguración

    • Rocío Palacios de Haro. Directora General de Coordinación de Políticas Migratorias. Consejería de Empleo.

    • Representante de la Embajada China.

    • Dorothy Kelly. Presidenta del Instituto Confucio de la Universidad de GranadaUniversidad de Granada.

      y Vicerrectora de Relaciones Internacionales de la

    • Wang Zhong Ping. Presidente del Colegio de Cultura China de Sevilla.

    • Shi Chao Hui. Presidente del Colegio de Cultura China de Granada.

  • 10:30 Conferencia inaugural: “China, potencia mundial en el S. XXI”. Marcelo Muñoz Álvarez. Decano de los empresarios españoles en China. Presidente del Grupo Gexter Internacional-Rem 21. Autor de “El enigma chino. Treinta años de Observador”.

    • Presenta: Manuel Borrero Arias. Jefe de Servicio de Coordinación y Relaciones Institucionales. Dirección General de Coordinación de Políticas Migratorias. Consejería de Empleo.

  • 12:20 ILUSTRACIÓN Y RECITADO DE CUENTOS TRADICIONALES CHINOS. Fan Ye. Co-Director del Instituto Confucio de la Universidad de Granada.

  • 12:45 Conferencias sobre relaciones académicas chino-andaluzas.

    • Modera: Manuel Borrero Arias. Jefe de Servicio de Coordinación y Relaciones Institucionales. Dirección General de Coordinación de Políticas Migratorias. Consejería de Empleo.

    • “Medicina Tradicional China: Introducción al mundo de las hierbas medicinales chinas. Una visión occidental”. Begoña Pereira Pagán. Ingeniera Industrial en la Especialidad de Técnicas Energéticas.

    • “Características Lingüísticas de la Lengua China”. Qi Zhou C. Profesora y Jefa de Departamento de Chino, Escuela Oficial de Idiomas de Málaga.

  • 17:00 Conferencia “La nueva migración interna e internacional de China”. Joaquín Beltrán Antolín. Coordinador de Estudios de Asia Oriental de la Universidad

    Autónoma de Barcelona. Grupo de Investigación InterAsia.

  • 18:00 REPRESENTACIÓN MUSICAL: VOCES DE CHINA.

    • Zhang Zheng Quan. Canción folclórica.

    • Ding Xin Ling. Melodías operísticas.

  • 18:20 Mesa redonda: “Cultura China y Género”. Modera: Amelia Saiz López. Profesora de la Universidad Autónoma de Barcelona. Grupo de Investigación InterAsia. Intervienen:

    • Wang Yi. Estudiante.

    • Ye Jing. Empresaria.

    • Zhang Bei. Profesora.

Viernes 7 de mayo de 2010

  • 10.00 Conferencia: “La Iluminación Espontánea en el Budismo Chan (Zen)”. Ramón Prats. Profesor de la Universitat Pompeu Fabra y experto del Rubin Museum of Art de Nueva York.

  • 12:00 REPRESENTACIÓN MUSICAL DE PIEZAS CHINAS.

    • Cuarteto de Cuerda. Músicos chinos de la Real Orquesta Sinfónica de Sevilla:

    • Violines: Vladimir Dmitrienco y Da Zhiyun Wang.

    • Viola: Tiebing Yu.

    • Violonchelo: Da Nonna Natsvlishvili.

  • 12:20 Conferencia: “Navegando hacia el futuro: Expo de Shanghai 2010”. Bai Jing Ru. Profesor de la Universidad Pablo de Olavide. Miembro del Equipo de Diseño del Pabellón del Futuro para la Expo de Shanghai de 2010.

    • Presenta: Ahe Liu. Directora Técnica del Colegio de Cultura China de Sevilla.

  • 13:30 CLAUSURA Entrega de Certificados de Asistencia.

Contacto: Instituto Confucio de la Universidad de Granada. Telef. 958 22 97 29 y 954 461 280. Corrreo elec: iconfucio@ugr.es . Inscripciones: http://institutoconfucio.ugr.es