La UGR publica una edición facsímil del libro “El Zohar en la España musulmana y cristiana”, de Ariel Bension

  • Con estudio preliminar de Miquel Beltrán Munar, el volumen recoge la edición de la editorial Renacimiento publicada en España en 1931

El libro “El Zohar en la España musulmana y cristiana”, de Ariel Bension, acaba de ser publicado en edición facsímil por la Editorial Universidad de Granada, con estudio preliminar de Miquel Beltrán Munar.

Se trata de un texto publicado en 1931 en la editorial Renacimiento, en el que Ariel Bension, nacido en Jerusalén en 1880, trata del Zohar, el libro esencial de la corriente cabalística en el que se aspira a obtener el significado oculto de los tratados y textos bíblicos que contiene.

Atribuido a distintos autores, el Zohar bien podría ser, según se recoge en el estudio preliminar de este libro: “un proceso voluntario y progresivo de constitución de un corpus de escritos esotéricos que integró con posterioridad, también, textos escritos por autores ulteriores, imitando el lenguaje inicial.

Ariel Bension, doctor en filosofía e historiador de ascendencia sefardita, refleja en “El Zohar en la España musulmana y cristiana” las experiencias místicas judía, cristiana y musulmana y su influencia mutua. Ibn Arabi, Ibn Rush, Moisés Cordovero, Ibn Gabirol, Teresa de Jesús o Juan de la Cruz se inspiraron y estimularon en sus concepciones religiosas, en su pensamiento filosófico y en sus manifestaciones artísticas, dando lugar a un florecimiento espiritual e intelectual en la península sin parangón.

Esta edición facsímil se inscribe en la colección Archivum, que dirige el profesor Manuel Barrios Aguilera.

Contacto: Profesor Manuel Barrios Aguilera. Departamento de Historia Moderna y de América Tel: 958 243657. Correo electrónico: barriosa@ugr.es


La divergence entre la lignée Neandertal et celle de l’Homo sapiens a pu se produire 500 000 ans avant qu’on ne croyait

Des scientifiques espagnols ont analysé les dents de presque toutes les espèces d’hominidés ayant existé ces 4 derniers millions d’années, arrivant ainsi à identifier des traits Neandertal chez des populations européennes très anciennes. Les fossiles dentaires signalent que la séparation s’est produite il y a au moins un millions d’années, bien avant ce que signalent les analyses basées sur l’ADN.

La divergence entre la lignée Neandertal et celle de l’homme actuel (Homo sapiens) a pu se produire il y a au moins un million d’années, plus de 500 000 ans avant ce que l’on pensait à partir des analyses basées sur l’ADN. Une thèse de doctorat réalisée au Centre national de Recherche sur l’Évolution humaine (CENIEH), et associée à l’Université de Grenade, a analysé, en utilisant des méthodes quantitatives, les dents de pratiquement toutes les espèces d’hominidés ayant existé sur la terre ces 4 derniers millions d’années, et a réussi a identifier des traits Neandertal chez certaines populations européennes très anciennes.

L’objectif fondamental de cette recherche, dont l’auteur est Aida Gómez Robles, a été de reconstruire l’histoire évolutive de notre espèce à partir de l’information fournie par les dents, qui sont les restes les plus nombreux et les mieux conservés du registre fossile. Pour cela, elle a analysé un très large échantillon de fossiles dentaires provenant de divers gisements d’Afrique, d’Asie et d’Europe, tenant compte des différences morphologiques de chaque classe dentaire et la capacité de chaque dent isolée de déterminer l’espèce de l’individu l’ayant possédée.

La chercheuse a conclu qu’il est possible de déterminer correctement l’espèce à laquelle a appartenu une dent isolée avec une probabilité de succès entre 60 et 80%. Bien que ces valeurs ne soient pas trop élevées, elles augmentent à mesure que s’ajoutent d’autres pièces dentaires, de sorte que si l’on compte plusieurs pièces provenant d’un même individu, la probabilité de déterminer son espèce correctement peut s’élever à 100%.

Aida Gómez Robles signale que, de toutes les espèces d’hominidés actuellement connues, « aucune d’entre elles n’atteint 5% de possibilités de provenir de l’espèce ancestrale commune au Neandertal et à l’Homo sapiens, ce qui veut dire que le dernier ancêtre commun n’a pas encore été retrouvé. »

Simulation par ordinateur

Un des grands apports de ce travail a été d’utiliser des méthodes de simulation par ordinateur pour observer l’effet de différentes variations environnementales dans l’évolution de la forme des dents. Des recherches similaires ont analysé l’évolution et le développement de différents groupes de mammifères, mais ne s’étaient pas encore appliquées au domaine de l’évolution humaine.

De plus, la recherche du CENIEH et de l’UGR est également pionnière, avec de récents travaux basés sur la forme crânienne, dans l’utilisation de méthodes mathématiques pour estimer la forme correspondant à certains ancêtres communs de l’arbre phylogénétique de notre espèce. « Bien que, dans cette thèse, on n’ait analysé que la forme dentaire, signale son auteur, il est possible d’employer la même méthodologie pour proposer comment auraient été ces espèces ancestrales dans toutes les parties de leur squelette, ce qui permettrait de posséder des modèles de référence avec lesquels comparer de futures trouvailles fossiles. »

Pour mener à bien ce travail, Mme Gómez Robles a employé du matériel provenant de fouilles de divers gisements archéo-paléontologiques, comme ceux de la Gran Dolina et de la Sima de los Huesos, situés dans la Sierra de Atapuerca (Burgos), et les gisements de Dmanisi, dans la République de Georgie. De plus, elle a visité diverses institutions internationales afin d’étudier leurs collections fossiles ou actuelles, parmi lesquelles le Musée national de Georgie, L’Institut de Paléontologie humaine et le Musée de l’Homme de Paris, le Centre européen de Recherches de Tautavel (France), l’Institut Senckenberg de Frankfurt, le Musée d’Histoire naturelle de Berlin, l’Institut de Paléontologie de Vertébrés et de Paléontologie de Pékin, et les Musées d’Histoire naturelle de New York et de Cleveland.

Les résultats de cette recherche ont, pour le moment, donné lieu à deux publications dans une des revues les plus prestigieuses dans le domaine de l’évolution humaine, dénommée Journal of Human Evolution (années 2007 et 2008), bien que la majeure partie de ce travail sera publiée dans les premiers mois.

Aida Gómez Robles au travail sur le terrain.

Contact : Aida Gómez Robles. Groupe d’Anthropologie dentaire. Centre national de Recherche sur l’Évolution humaine (Burgos). Laboratoire d’Anthropologie Physique de l’Université de Grenade. Tél. : +34 947 045063 ; courriel : aida.gomez@cenieh.es


The separation between Neardenthal and Homo Sapiens might have occurred 500.000 years earlier than previously believed

Spanish scientists have analysed the teeth of almost all species of hominids that have existed during the past 4 million years. Thus, they achieved to identify Neanderthal features in ancient European populations. Dental fossils suggest that the separation occurred at least a million years ago, while DNA-based analyses suggest that this occurred much later.

The separation of Neardenthal and Homo Sapiens might have occurred at least one million years ago, more than 500.000 years earlier than previously believed after DNA-based analyses. A doctoral thesis conducted at the National Center for Research on Human Evolution (Centro Nacional de Investigación sobre la Evolución Humana) -associated with the University of Granada-, analysed the teeth of almost all species of hominids that have existed during the past 4 million years.  Quantitative methods were employed and they managed to identify Neanderthal features in ancient European populations.

The main purpose of this research –whose author is Aida Gómez Robles- was to reconstruct the history of evolution of Human species using the information provided by the teeth, which are the most numerous and best preserved remains of the fossil record. To this purpose, a large sample of dental fossils from different sites in Africa, Asia and Europe was analysed. The morphological differences of each dental class was assessed and the ability of each tooth to identify the species to which its owner belonged was analysed.

The researcher concluded that it is possible to correctly determine the species to which an isolated tooth belonged with a success rate ranging from 60% to 80%. Although these values are not very high, they increase as different dental classes from the same individual are added. That means that if several teeth from the same individual are analysed, the probability of correctly identifying the species can reach 100%.

Aida Gómez Robles explains that, from all the species of hominids currently known “none of them has a probability higher than 5% to be the common ancestor of Neardenthals and Homo Sapiens. Therefore, the common ancestor of this lineage is likely to have not been discovered yet”. 

Computer Simulation

What is innovative about this study is that computer simulation was employed to observe the effects of environmental changes on morphology of the teeth.  Similar studies had been conducted on the evolution and development of different groups of mammals, but never on human evolution.

Additionally, the research conducted at CENIEH and at the University of Granada is pioneer –together with recent studies based on the shape of the skull- in using mathematical methods to make and estimation of the morphology of the teeth of common ancestors in the evolutionary tree of the human species. “However, in this study, only dental morphology was analysed. The same methodology can be used to rebuild other parts of the skeletum of that species, which would provide other models that would serve as a reference for future comparative studies of new fossil finds.”

To carry out this study, Gómez Robles employed fossils from a number of archaeological-paleontological sites, such as that of the Gran Colina and the Sima de los Huesos, located in Atapuerca range (Burgos, Spain), and the site of Dmanisi in the Republic of Georgia. She also studied different fossil collections by visiting international institutions as the National Museum of Georgia, the Institute of Human Paleontology and the Museum of Mankind in Paris, the European Research Centre Tautavel (France), the Senckenberg Institute Frankfurt, the Museum of Natural History in Berlin, the Institute of Vertebrate Paleontology and Paleoanthropology in Beijing and the Museum of Natural History in New York and Cleveland.

Although the results of this research were disclosed in two articles published in one of the most prestigious journals in the field of human evolution, Journal of Human Evolution (2007 and 2008), they will be thoroughly presented within a few months.

Aída Gómez Robles.

Contact: Aida Gómez Robles. Group of Dental Anthropology. Centro Nacional de Investigación sobre la Evolución Humana (Burgos). Physical Anthopology Laboratory of the University of Granada. Phone: +34 947 04 50 63. E-mail: aida.gomez@cenieh.es

 


Ampliado el plazo de presentación de trabajos para el concurso «Arte contemporáneo y reciclaje»

Hasta el 30 de junio de 2010

Para fomentar el reciclaje y demostrar que los desechos pueden convertirse en arte, el Área de Medio Ambiente del Ayuntamiento de Granada y la Facultad de Bellas Artes de la Universidad de Granada (España) han convocado el II Concurso Internacional de Arte Contemporáneo y Reciclaje, dirigido a artistas sin límite de edad que presenten obras individualmente o en grupo y que se ajusten a las bases.

El plazo de presentación de trabajos para participar en el concurso “Arte contemporáneo y reciclaje” se ha ampliado hasta el 30 de junio de 2010.

BASES DEL I I CONCURSO INTERNACIONAL DE RECICLAR CON ARTE

PARTICIPANTES Y OBRAS

1. La participación en esta convocatoria está abierta a todos los artistas mayores de edad que presenten obras propias, individualmente o en grupo, inéditas y no expuestas ni premiadas en ningún otro certamen, de cualquier modalidad de las denominadas Artes Visuales.

2. Las obras tendrán que ser construidas como mínimo en un 60% con materiales de desecho. Del Ecoparque Norte del Ayuntamiento de Granada se pondrán obtener aquellos materiales que se puedan necesitar para la elaboración de las obras, siempre que no tengan la consideración de peligrosos y que estén disponibles.

3. La temática, los materiales y la técnica a emplear por cada autor serán libres.

4. El tamaño de las obras no excederá de 2 metros en cualquiera de sus dimensiones, presentándose éstas preparadas para su exposición. No se admitirán materiales orgánicos rápidamente degradables.

5. El máximo de obras a presentar será de dos por autor.

6. Las entidades convocantes del premio cuidarán la integridad de las obras, aunque no responderán de pérdidas, roturas, robos, daños o desperfectos de las mismas.

INSCRIPCIÓN Y CONDICIONES DE PRESENTACIÓN 1.

Inscripción: La documentación solicitada se enviará on-line a la siguiente dirección de correo electrónico:

reciclarconarte@gmail.com” desde la publicación de las Bases hasta el 30 de Junio de 2010.

Documentación a aportar:

  • Datos personales del participante (nombre, apellidos, fecha de nacimiento, DNI (escaneado), dirección, código postal, municipio, provincia, país, teléfono, móvil y e-mail). (En caso de participar como grupo, incluir los datos del representante del mismo).
  • Breve currículum artístico que no excederá de una página.

Documentación gráfica de la obra presentada a concurso:

  • Fotografías de la obra: un número no mayor de 10 en baja calidad que será utilizada para el proceso de selección. Enlaces a sitios web, documentos pdf, vídeos u otro material revisable on-line indicando con exactitud la obra que se presenta al concurso.
  • Una sola fotografía con alta calidad: calidad 300 ppp y tamaño 25 cm en su lado mayor, formato .tiff preferentemente. Esta foto será utilizada para el catálogo si la obra es seleccionada.
  • Memoria explicativa de la obra incluyendo ficha técnica de la misma e informe con instrucciones de montaje en caso de que sea necesario.

2.-La organización se pondrá en contacto únicamente con los participantes seleccionados para la exposición notificándoles que pueden proceder al envío de las obras en los plazos y lugar establecidos en el punto 3.

3.-Entrega y retirada de obras seleccionadas: las obras deberán ser entregadas en persona o mediante correo (ordinario o mensajería) del 1 al

5 de Septiembre de 2010 (de lunes a viernes de 9:00 h. a 14:00 h.) en la dirección de la sala de exposiciones: Sala de exposiciones del Rey Chico, Paseo de los Tristes, s/n – Granada (España).

Una vez concluida la exposición, las obras no premiadas deberán ser retiradas por sus autores de la sala de exposiciones del 25 al 30 de Septiembre de 2010, (será preceptivo presentar el resguardo para la retirada de las mismas). En caso de no ser retiradas en el plazo establecido, las obras serán devueltas a portes debidos a través de una empresa de mensajería, no haciéndose responsable la organización, en ningún caso, de posibles deterioros.

PREMIOS Y FALLO DEL JURADO

1. Un jurado constituido por personas de reconocido prestigio de la Facultad de Bellas Artes y del Ayuntamiento de Granada, seleccionará las obras ganadoras y las finalistas que participarán en la exposición en base a su originalidad y calidad artística.

2. El fallo del jurado, que será público e inapelable, se comunicará únicamente a los autores de las obras premiadas mediante correo electrónico, publicándose además en la página web de la Facultad de Bellas Artes y del Ayuntamiento de Granada. El Jurado podrá declarar total o parcialmente desiertos los premios.

3. Con las obras premiadas y seleccionadas se inaugurará una exposición que permanecerá abierta del 10 al 24 de Septiembre en la Sala de exposiciones del Rey Chico, Paseo de los Tristes, s/n – Granada (España). Durante la inauguración el día 10 de septiembre se hará entrega de los premios. Ningún participante percibirá por su participación en la exposición y asistencia al acto inaugural cantidad alguna en concepto de honorarios.

4. Los premios estarán dotados con:

  • Premio Ayuntamiento: 1.200€
  • Premio Universidad: 1.200€

5. Las obras premiadas pasarán a ser propiedad del Ayuntamiento de Granada y la Universidad de Granada, integrando sus colecciones.

6. La participación en este concurso supone la plena aceptación de las presentes bases y la conformidad con las decisiones del jurado además, de la autorización a la organización del concurso de los derechos para la publicación, reproducción y/o distribución total o parcial de las obras presentadas al premio.

Contacto: Vicedecanato de Cultura y Alumnos / Vicedecanato de RRII de la Facultad de Bellas Artes de Granada: Belén Mazuecos / Ana García López Correo y teléfonos de contacto: reciclarconarte@gmail.com Teléfono /: 958243815. Oficina del Decanato: 958243815/19. http://www.bellasartesgranada.com


Aplazado el encuentro poético en recuerdo de Elena Martín Vivaldi

Estaba previsto para el martes, 22 de junio, en la Facultad de Ciencias Políticas y Sociología de la UGR

El acto de conclusión de las actividades de homenaje a la poeta granadina Elena Martín Vivaldi ha sido aplazado hasta fecha que será oportunamente anunciada. Se trata de la última jornada de los actos promovidos por la Facultad de Farmacia y organizados por el Aula de Letras y Artes de la Facultad de Farmacia “Elena Martín Vivaldi” (Vicedecanato de Biblioteca, Actividades Culturales y Relaciones Institucionales), en colaboración con la Biblioteca Universitaria, el departamento de Lingüística General y Teoría de la Literatura, el grupo de Investigación “Traducir colectivamente la voz lírica”, la Asociación Cultural Extramuros, y la Facultad de Ciencias Políticas y Sociología de la UGR.

Contacto: Profesor Rafael Delgado Calvo-Flores. Decanato de la Facultad de Farmacia. Universidad de Granada. Tfns.: 958 243835 y 958 248957.Correo electrónico: rdelgado@ugr.es


La UGR celebra sesión de Consejo de Gobierno

Mañana, martes, día 22 de junio, tendrá lugar la sesión ordinaria del Consejo de Gobierno, a las 16,30 horas en primera convocatoria y a las 17 horas en segunda, en la Sala de Convalecientes del Hospital Real, con el siguiente:

Orden del día
  • 1. Informe del Sr. Rector.
  • 2. Presentación e informe favorable, en su caso, del Proyecto de cuentas anuales del ejercicio 2009 para su posterior elevación al Consejo Social.
  • 3. Aprobación, si procede, del cambio de denominación de los siguientes centros:
    • Escuela Universitaria de Ciencias de la Salud.
    • Escuela Universitaria de Ciencias Sociales de Melilla.
    • Escuela Universitaria de Enfermería de Ceuta.
    • Escuela Universitaria de Enfermería de Melilla.
    • Escuela Universitaria de Trabajo Social.
    • Escuela Universitaria de Arquitectura Técnica.
  • 4. Propuesta y aprobación, si procede, de las siguientes normativas, informadas favorablemente por la Comisión de Reglamentos en sesión de 11 de junio de 2010:
    • Propuesta de modificación del Reglamento del Departamento de Ciencia Política.
    • Propuesta de modificación del art. 12.3 del Reglamento General sobre adaptaciones, convalidaciones y reconocimiento de créditos.
    • Reglamento de Régimen Interno de Consejo Asesor de Doctorado de la Escuela de Posgrado.
    • Reglamento de Adaptación, Reconocimiento y Transferencia de créditos.
  • 5. Propuesta y, en su caso, aprobación de los acuerdos adoptados por la Comisión Académica, en sesión de 14 de junio de 2010:
    • Solicitudes de permisos y licencias.
    • Propuesta de creación de secciones departamentales:
      • Sección departamental de Enfermería en Ceuta (Departamento de Enfermería).
      • Sección departamental de Estudios Árabes e Islámicos y sección departamental de Estudios Hebreos y Arameos (Departamento de Estudios Semíticos).
    • Solicitudes de cambios de áreas de conocimiento de profesorado, del área de Didáctica de la Expresión Musical al área de Música.
    • Propuesta de prórroga de nombramientos de Profesores Eméritos.
    • Propuesta de oferta de asignaturas de libre configuración específica para el curso académico 2010-2011.
    • Propuesta de dotación de plazas a cuerpos docentes universitarios según la normativa de acceso de la Universidad de Granada.
  • 6. Propuesta y aprobación, si procede, de homologación de beca y contrato.
  • 7. Ruegos y preguntas.
  • 8. Lectura y, en su caso, aprobación del Acta relativa a los acuerdos adoptados en la presente sesión.

Detectado un terremoto de magnitud 2.8 en Granada capital

Se informa desde el Instituto Andaluz de Geofísica, Universidad de Granada, que la Red Sísmica de Andalucía ha registrado un terremoto el 19 de Junio de 2010 a las 13h55m (hora nacional), localizado en Granada, con magnitud 2.8.

Datos técnicos del terremoto:

  • Fecha: 19 Junio de 2010
  • Hora origen (T.U.): 11:55:35
  • Latitud Norte: 37.184
  • Longitud Oeste: -3.629
  • Profundidad: 18,7 Km.
  • Magnitud: 2.8
  • Información Intensidad II :Granada capital y San Fé (Granada)
  • Macrosísmica

Referencia: Dr. Jesús M. Ibáñez. Director del Instituto Andaluz de Geofísica. Universidad de Granada. Campus de Cartuja s/n. 18071 Granada. Tlf 958243556. email: jibanez@ugr.es


La divergencia entre el linaje neandertal y el del Homo sapiens pudo producirse 500.000 años antes de lo que se creía

Científicos españoles han analizado los dientes de prácticamente todas las especies de homínidos que han existido en los últimos 4 millones de años, logrando identificar rasgos neandertales en poblaciones europeas muy antiguas Los fósiles dentales apuntan que la separación se produjo hace al menos un millón de años, mucho antes de lo que apuntan los análisis basados en ADN

La divergencia entre el linaje neandertal y el del hombre actual (Homo sapiens) pudo producirse hace al menos un millón de años, más de 500.000 años antes de lo que se pensaba hasta ahora en virtud de los análisis basados en ADN. Una tesis doctoral realizada en el Centro Nacional de Investigación sobre la Evolución Humana (CENIEH) y asociada a la Universidad de Granada ha analizado, utilizando métodos cuantitativos, los dientes de prácticamente todas las especies de homínidos que han existido en los últimos 4 millones de años, logrando identificar rasgos neandertales en poblaciones europeas muy antiguas.

El objetivo fundamental de esta investigación, cuya autora es Aida Gómez Robles, ha sido reconstruir la historia evolutiva de nuestra especie a partir de la información proporcionada por los dientes, que son los restos más numerosos y mejor conservados del registro fósil. Para ello se ha analizado una amplísima muestra de fósiles dentales procedentes de diversos yacimientos de África, Asia y Europa, valorando las diferencias morfológicas de cada clase dental y la capacidad de cada diente aislado para determinar la especie del individuo al que perteneció.

La investigadora ha concluido que es posible determinar correctamente la especie a la que perteneció un diente aislado con una probabilidad de éxito que varía entre el 60% y el 80%. Aunque estos valores no son muy altos, aumentan a medida que se añaden distintas clases dentales. Es decir, si se cuenta con varias piezas dentales del mismo individuo, la probabilidad de determinar su especie correctamente puede rozar el 100%.

Aida Gómez Robles señala que, de todas las especies de homínidos que se conocen actualmente, “ninguna de ellas tiene probabilidades superiores al 5% de ser la especie ancestral a los neandertales y a Homo sapiens, por lo que es probable que el último ancestro común de estos dos linajes no se haya encontrado todavía”.

Simulación por ordenador

Una de las grandes aportaciones de este trabajo ha sido utilizar métodos de simulación por ordenador para observar el efecto de distintas variaciones ambientales en la evolución de la forma de los dientes. Investigaciones similares han analizado la evolución y el desarrollo de distintos grupos de mamíferos, pero no se habían aplicado hasta el momento en el ámbito de la evolución humana.

Además, la investigación del CENIEH y la UGR es también pionera, junto con algunos trabajos recientes basados en la forma craneal, en la utilización de métodos matemáticos para estimar la forma correspondiente a determinados ancestros comunes del árbol filogenético de nuestra especie. “Aunque en esta tesis sólo se ha analizado la forma dental –advierte su autora-, la misma metodología puede emplearse para proponer cómo serían esas especies ancestrales en todas sus partes esqueléticas, lo que permitiría tener modelos de referencia frente a los que comparar futuros hallazgos fósiles”.

Para llevar a cabo este trabajo, Gómez Robles empleó material procedente de excavaciones de diversos yacimientos arqueo-paleontológicos, como los yacimientos de la Gran Dolina y de la Sima de los Huesos, situados en la Sierra de Atapuerca (Burgos), y los yacimientos de Dmanisi, en la República de Georgia. Además, visitó diversas instituciones internacionales para estudiar colecciones fósiles o actuales, entre las que destacan el Museo Nacional de Georgia, el Instituto de Paleontología Humana y el Museo del Hombre de París, el Centro Europeo de Investigaciones de Tautavel (Francia), el Instituto Senckenberg de Frankfurt, el Museo de Historia Natural de Berlín, el Instituto de Paleontología de Vertebrados y de Paleoantropología de Pekín y los Museos de Historia Natural de Nueva York y de Cleveland.

Los resultados de esta investigación han dado lugar hasta el momento a dos publicaciones en una de las revistas más prestigiosas en el campo de la evolución humana, denominada Journal of Human Evolution (años 2007 y 2008), si bien la mayor parte de este trabajo se publicará en los próximos meses.

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Aida Gómez Robles, durante su trabajo de campo.  

Contacto: Aida Gómez Robles. Grupo de Antropología Dental. Centro Nacional de Investigación sobre la Evolución Humana (Burgos). Laboratorio de Antropología Física de la Universidad de Granada. Teléfono: 947 04 50 63. Correo electrónico: aida.gomez@cenieh.es


PESAR POR EL FALLECIMIENTO DEL NOVELISTA D. JOSÉ SARAMAGO

La Universidad de Granada lamenta comunicar al conjunto de la comunidad universitaria la noticia del fallecimiento del novelista D. José Saramago, hecho que nos produce un gran pesar por lo que significa su pérdida, tanto para el mundo de la cultura como por su compromiso con los sectores más desfavorecidos de la sociedad.

El escritor José Saramago, Premio Nobel de Literatura 1998 y Doctor Honoris Causa por la Universidad de Granada en 2001, ha fallecido hoy a la edad de 87 años. El novelista portugués es autor de obras tan destacadas como “Levantado del suelo”, “Memorial del convento”, “El año de la muerte de Ricardo Reis”, “La balsa de piedra” o “Ensayo sobre la ceguera”.

La Universidad de Granada lo invistió como Doctor Honoris Causa en el año 2001, y designó con su nombre al “Seminario de Medio Ambiente y Calidad de Vida-Cátedra José Saramago”, del Vicerrectorado de Extensión Universitaria y Cooperación al Desarrollo.

Como institución de servicio público, nuestra Universidad se siente honrada de contar entre su relación de doctores con este lúcido demócrata, comprometido con las libertades públicas y con lo que constituye el don más preciado del ser humano: la dignidad. Su honradez sin tacha lo llevó a defender las causas más olvidadas o ignoradas, y luchó siempre por la justicia social y los derechos fundamentales de los pueblos.

Su ejemplo cívico e intelectual representa un estímulo para cuantos nos esforzamos por hacer del conocimiento y la cultura una vía para profundizar en las convicciones de libertad, diálogo y solidaridad a los que estamos llamados como integrantes de una sociedad que aspira a la igualdad de todos sus hombres y mujeres. Descanse en paz el inolvidable amigo, el insigne maestro.


El prestigioso director de Orquesta José de Eusebio (Premio Grammy 2001) participará en el Taller de Interpretación Musical de la Orquesta de la UGR

Los inscritos antes del 30 de junio obtendrán una bonificación en el precio de la matrícula (130 euros antes del 30 de junio y 150 euros hasta el 31 de agosto)

El director de Orquesta José de Eusebio, una de las autoridades mundiales en la música orquestal de Albéniz (Premio Grammy en 2001 y “Cannes Clasical Award” en 2002), participará en el IV Taller de Interpretación Musical “Isaac Albéniz”, que, dirigido por Miguel Ángel Rodríguez Láiz, ofrece la Orquesta de la Universidad de Granada en el Conservatorio Profesional de Música “Ángel Barrios”, de Granada (C/ Torre de los Picos, s/n) del 4 al 10 de septiembre de 2010, dentro de la programación de los cursos del Centro Mediterráneo de la Universidad de Granada.

Junto a José de Eusebio, que se ocupará en este taller dedicado a Isaac Albéniz de interpretación orquestal y música de cámara, participarán, también como profesores, Guillermo González y Miguel Ángel R. Láiz, quienes impartirán piano y música de cámara; y Francisco Jiménez y Victoriano P. Mancilla, que se harán cargo de las sesiones teóricas.

Este curso representa una de las facetas más visibles del programa formativo de la Orquesta de la Universidad de Granada. En esta edición, el curso estará dedicado a la figura de Isaac Albéniz, en el 150 aniversario de su nacimiento.

Como actividad principal, durante el curso se desarrollará un taller de interpretación orquestal, en el que se elaborará un programa de concierto, cuya interpretación pública en la clausura del curso constituye el colofón del mismo. A lo largo de las sesiones de trabajo se hace especial hincapié en las técnicas interpretativas, así como en la concepción formal y estilística. Varias sesiones teóricas enriquecerán la visión general de la interpretación de Isaac Albéniz, con una introducción histórica y un pormenorizado análisis de la obra “Poemas de Amor” que será interpretada por la orquesta del curso. El curso ofrece además unas clases magistrales de piano y un taller de música de cámara para instrumentistas de viento, cuerda, piano y canto en el que el tema de la interpretación musical en el S. XIX será el hilo conductor.

Como conclusión natural de un curso de estas características se celebrarán dos conciertos de alumnos del curso: uno dedicado a los grupos de cámara y solistas de piano y otro con la interpretación de las obras trabajadas a cargo de la orquesta del curso.

La información completa puede encontrarse en la página del Centro Mediterráneo de la UGR: http://www.ugr.es/~cm/cursos/gr14.htm

Contacto: Miguel Ángel R. Láiz, Director del Curso. Móvil: 619832123. Correo electrónico: orquesta@ugr.es


Los drogadictos reconocen peor las emociones de contenido negativo, como la ira, el miedo o la tristeza

Investigadores de la Universidad de Granada (UGR) han analizado por primera vez la relación que existe entre el consumo de drogas y el reconocimiento de cada una de las emociones básicas como la felicidad, sorpresa, ira, miedo, tristeza o asco en los drogodependientes. Su trabajo ha demostrado que estas personas reconocen peor en los demás, a través de sus expresiones faciales, las emociones de contenido negativo: ira, asco, miedo y tristeza. Es decir, tienen menos capacidad empática.

El consumo habitual de alcohol, cannabis y cocaína afecta comúnmente a la fluidez y la toma de decisiones del sujeto, y cuanto más cantidad de cannabis y cocaína se consume, empeora la memoria de trabajo y el razonamiento. Asimismo, la duración del consumo de cocaína se asocia a alteraciones en la inhibición, según este grupo de la UGR.

Para la realización de este trabajo, los científicos llevaron a cabo la evaluación neuropsicológica (con pruebas de evaluación neurocognitiva y evaluación del procesamiento emocional) de un total de 123 individuos policonsumidores de diversas drogas y 67 individuos no consumidores igualados a los anteriores en las principales variables sociodemográficas (edad y escolaridad).

Una muestra de policonsumidores

La población objeto de estudio fueron individuos consumidores de drogas incluyendo cocaína, cannabis, heroína, alcohol, MDMA, y metaanfetaminas, procedentes de los centros Proyecto Hombre y Cortijo Buenos Aires de la provincia de Granada.

La autora principal de esta investigación, dirigida por los profesores Miguel Pérez García y Antonio Javier Verdejo García, ha sido María José Fernández Serrano, del Departamento de Personalidad, Evaluación y Tratamiento Psicológico de la Universidad de Granada.

Su trabajo ha demostrado, asimismo, que el 70% de los consumidores de drogas presenta algún tipo de deterioro neuropsicológico, independientemente del tipo de sustancia consumida. La memoria de trabajo era el componente con mayor porcentaje de deterioro, seguida de la fluidez, la flexibilidad, la planificación, la capacidad de multitarea y la interferencia.

Fernández Serrano cree que estos resultados “deben servir como fundamento para la realización de actuaciones políticas y sociales que vayan dirigidas a fomentar programas de rehabilitación que sean adecuados y estén adaptados al perfil neuropsicológico de la población consumidora de drogas hacia la que van dirigidos”.

El trabajo realizado en la UGR es la primera investigación que se hace sobre prevalencia de deterioro neuropsicológico en sujetos consumidores de drogas, usuarios de comunidades terapéuticas. Además, aunque existían estudios sobre el reconocimiento emocional en consumidores de drogas, éstos investigaban el reconocimiento como un proceso unitario. Los científicos granadinos, sin embargo, han analizado por primera vez la relación entre el consumo y el reconocimiento de cada una de las emociones básicas.

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LOS DROGODEPENDIENTES RECONOCEN PEOR LA IRA, EL MIEDO O LA TRISTEZA, SEGÚN UN ESTUDIO DE LA UGR

Este trabajo se realizó con una muestra formada por un total de 123 individuos policonsumidores de diversas drogas y 67 individuos no consumidores.

Universidad de Granada

Investigadores de la Universidad de Granada han analizado por primera vez en el mundo la relación que existe entre el consumo de drogas y el reconocimiento de cada una de las emociones básicas (felicidad, sorpresa, ira, miedo, tristeza y asco) en los drogodependientes. Así, su trabajo ha demostrado que los drogadictos reconocen peor en los demás (a través de sus expresiones faciales) las emociones de contenido negativo: ira, asco, miedo y tristeza.

Además, el consumo habitual de alcohol, cannabis y cocaína afecta comúnmente a la fluidez y la toma de decisiones del sujeto, y cuanto más cantidad de cannabis y cocaína se consume, empeora la memoria de trabajo y el razonamiento. Asimismo, la duración del consumo de cocaína se asocia a alteraciones en la inhibición.

Para la realización de este trabajo, los científicos llevaron a cabo la evaluación neuropsicológica (con pruebas de evaluación neurocognitiva y evaluación del procesamiento emocional) de un total de 123 individuos policonsumidores de diversas drogas y 67 individuos no consumidores igualados a los anteriores en las principales variables sociodemográficas (edad y escolaridad).

Una muestra de policonsumidores

La población objeto de estudio fueron individuos consumidores de drogas incluyendo cocaína, cannabis, heroína, alcohol, MDMA, y metaanfetaminas, procedentes de los centros Proyecto Hombre y Cortijo Buenos Aires de la provincia de Granada.

La autora principal de esta investigación (dirigida por los profesores Miguel Pérez García y Antonio Javier Verdejo García) ha sido María José Fernández Serrano, del Departamento de Personalidad, Evaluación y Tratamiento Psicológico de la Universidad de Granada.

Su trabajo ha demostrado, asimismo, que el 70% de los consumidores de drogas presenta algún tipo de deterioro neuropsicológico, independientemente del tipo de sustancia consumida. La memoria de trabajo era el componente con mayor porcentaje de deterioro, seguida de la fluidez, la flexibilidad, la planificación, la capacidad de multitarea y la interferencia.

Fernández Serrano cree que estos resultados «deben servir como fundamento para la realización de actuaciones políticas y sociales que vayan dirigidas a fomentar programas de rehabilitación que sean adecuados y estén adaptados al perfil neuropsicológico de la población consumidora de drogas hacia la que van dirigidos».

El trabajo realizado en la UGR es la primera investigación que se hace sobre prevalencia de deterioro neuropsicológico en sujetos consumidores de drogas, usuarios de comunidades terapéuticas. Además, aunque existían estudios sobre el reconocimiento emocional en consumidores de drogas, éstos investigaban el reconocimiento como un proceso unitario. Los científicos granadinos, sin embargo, han analizado por primera vez la relación entre el consumo y el reconocimiento de cada una de las emociones básicas (felicidad, sorpresa, ira, miedo, tristeza y asco).

Más información:

Mª José Fernández Serrano. Dpto. de Personalidad, Evaluación y Tratamiento Psicológico de la UGR.

Teléfono: 958 242 948

E-mail: mjfser@ugr.es

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