Presentación del nuevo Laboratorio de Grafeno de la Universidad de Granada

Mañana jueves, 21 de enero, a las 11 horas en el Centro de Investigación en Tecnologías de la Información y de las Comunicaciones de la Universidad de Granada (CITIC-UGR)

Se trata de uno de los centros públicos más completos de Europa dedicados a la fabricación del conocido como “el material del futuro”, al nivel del que existe en la Universidad de Cambridge (Reino Unido) o en la Universidad de Stanford (Estados Unidos)

Mañana jueves, 21 de enero, a las 11 horas en el Centro de Investigación en Tecnologías de la Información y de las Comunicaciones de la Universidad de Granada (CITIC-UGR) tendrá lugar la presentación a los medios de comunicación del nuevo Laboratorio de Grafeno y Semiconductores Bidimensionales de la UGR.

Se trata de uno de los centros públicos más completos de Europa dedicados a la fabricación del conocido como “el material del futuro”, al nivel del que existe en la Universidad de Cambridge (Reino Unido) o en la Universidad de Stanford (Estados Unidos).

El grafeno es una finísima lámina formada por una única capa de átomos de carbono con unas propiedades mecánicas, ópticas y eléctricas espectaculares. Se trata de un material durísimo, transparente, flexible y con una conductividad eléctrica y térmica elevadísima, lo que permite fabricar con él biosensores, nanodispositivos electrónicos o dispositivos wearables.

Al acto asistirán el director del Laboratorio de Grafeno, Francisco Gamiz Pérez, y el vicerrector de investigación y Transferencia de la UGR, Enrique Herrera Viedma. Ambos participarán en una visita guiada a estas nuevas instalaciones, dirigida a los medios de comunicación, en la que se explicará el funcionamiento de las mismas.

CONVOCATORIA:

  • Asunto: Presentación del nuevo Laboratorio de Grafeno de la Universidad de Granada
  • DÍA: Jueves, 21 de enero
  • HORA: 11 horas
  • LUGAR: Salón de Actos del Centro de Investigación en Tecnologías de la Información y de las Comunicaciones de la Universidad de Granada (CITIC-UGR). c/ Periodista Rafael Gómez Montero, 2


Démonstration de l’efficacité d’une technique psychologique basée sur l’exposition du propre corps face au miroir pour les femmes boulimiques

Des chercheuses de l’Université de Grenade découvrent que, de plus, ce système réduit les pensées négatives des femmes et augmentent les positives, et réduit également les niveaux de cortisol en salive.

Dans cette étude, à laquelle ont participé 29 femmes présentant une insatisfaction corporelle élevée, on a comparé deux techniques différentes : l’exposition guidée, dans laquelle les participantes doivent observer leur corps dans le miroir tout en le décrivant de façon neutre et objective ; face à l’exposition pure, dans laquelle les participantes observent aussi leur corps dans le miroir mais en pouvant exprimer les sentiments et pensées qu’il leur provoque.

 

Des chercheuses de l’Université de Grenade ont démontré que deux techniques psychologiques basées sur l’exposition du propre corps dans le miroir aident à réduire l’insatisfaction corporelle et les symptômes associés chez les femmes présentant une boulimie nerveuse.

Leur travail, publié dans la revue Journal of Behavior Therapy and Experimental Psychiatry, a révélé que les deux techniques réduisent également les niveaux de cortisol en salive, une hormone stéroïde qui se libère comme réponse au stress.

Les chercheuses de l’UGR ont comparé deux techniques différentes : l’exposition guidée, dans laquelle les participantes doivent observer leur corps dans le miroir tout en le décrivant de façon neutre et objective (comme si un peintre devait leur faire un portrait, mais sans les voir); face à l’exposition pure, dans laquelle les participantes observent aussi leur corps dans le miroir mais en pouvant exprimer les sentiments et les pensées qu’il leur provoque.

À cette étude ont participé 29 femmes présentant une insatisfaction corporelle élevée avec diagnostic de boulimie nerveuse, divisées aléatoirement en deux groupes de traitement, un par technique. Chacune d’entre elles a reçu six séances d’exposition face au miroir, et on a évalué après chaque séance les changements dans leurs pensées (positives et négatives), ainsi que leur degré de satisfaction corporelle et les changements dans les niveaux de cortisol en salive.

Techniques effectives

Les principaux résultats montrent que les deux techniques d’exposition réduisent les pensées négatives des femmes boulimiques et augmentent les positives au cours du traitement, et réduisent aussi les niveaux de cortisol. Cependant, l’exposition pure augmente encore plus la satisfaction corporelle et diminue plus fortement le malaise subjectif expérimenté par la vision du propre corps pendant les séances.

Ces données signalent que l’exposition pure « pourrait s’avérer une stratégie thérapeutique efficace pour réduire l’insatisfaction corporelle chez des personnes atteintes de troubles dans l’alimentation et, de façon préventive, chez des femmes présentant un niveau élevé d’insatisfaction corporelle. Cependant, à l’avenir il faudra approfondir dans les mécanismes de changement à travers lesquels cette technique fonctionne », explique l’auteure principale de cet article, la chercheuse de l’UGR Sandra Díaz Ferrer.

L’insatisfaction corporelle est un des principaux facteurs responsables du développement et de la persistance des troubles de la conduite alimentaire. « Ce qui nous alerte le plus est qu’il est de plus en plus commun de trouver des niveaux élevés d’insatisfaction corporelle chez la population féminine d’âges différents. Pour cela, il est important de développer des techniques effectives afin d’améliorer la satisfaction corporelle et de prévenir l’apparition de ses conséquences les plus préoccupantes, comme les troubles dans la conduite alimentaire. »

Une des techniques les plus étudiées ces dernières décennies afin d’améliorer l’insatisfaction corporelle et ses symptômes associés est l’exposition face au propre corps. « L’objectif général de ce genre de technique est que les personnes s’exposent à leur image dans un miroir aux dimensions suffisantes pour leur permettre d’examiner systématiquement chaque partie du corps pendant un laps de temps, et apprennent à maîtriser les émotions et les pensées négatives qu’il leur provoque de façon plus constructive et sans les éviter », souligne Díaz Ferrer.

Les résultats de ce travail donnent à croire que l’emploi de techniques qui permettent de libérer les émotions et les pensées négatives associées au propre corps pourraient être plus utiles que celles qui guident les patients à travers des descriptions neutres de celui-ci.

« Avec cette étude nous ne prétendons pas que les femmes changent leur corps mais qu’elles soient capables de l’accepter et de l’aimer tel qu’il est. Nous ne devons pas permettre que les miroirs deviennent des ennemis dans lesquels nous ne pouvons voir que ce que la société nous enseigne comme étant beau. Le miroir devrait permettre de refléter la propre lumière que chaque personne possède, quelque chose qui n’a rien à voir avec les modes ou les idéaux de beauté », conclut la chercheuse de l’UGR.

Référence bibliographique :

Testing the efficacy of pure versus guided mirror exposure in women with bulimia nervosa: A combination of neuroendocrine and psychological indices. Sandra Díaz-Ferrer, Sonia Rodríguez-Ruiz, Blanca Ortega-Roldán, Silvia Moreno-Domínguez, M. Carmen Fernández-Santaella. Journal of Behavior Therapy and Experimental Psychiatry. Volume 48, September 2015, Pages 1–8

L’article complet estdisponible sur le site suivant :

http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S000579161500004X

2. L’insatisfaction corporelle est un des principaux facteurs responsables du développement et de la permanence des troubles de la conduite alimentaire.

 

Contact :

Sandra Díaz Ferrer. Département de Personnalité, d’Évaluation et de
Traitement Psychologique de l’Université de Grenade.Tél. : 958 24 42 51; courriel : sdiaz_1@ugr.es


A psychological technique which consists in seeing your own body reflected in a mirror has been proven to be of help to women who have bulimia

Researchers from the University of Granada have discovered that this technique reduces negative thoughts in women, boosts positive ones and reduces salivary cortisol levels

In this research, which counted with the participation of 29 women with high body dissatisfaction, two different techniques were compared: guided exposure (in which the participants must observe their bodies in the mirror while they describe it in a neutral and objective way), opposite to pure exposure (in which the participants must observe their bodies in the mirror too, but they can express the thoughts and feelings this sight produces in them)

 

Researchers from the University of Granada have proven that there are two psychological techniques that help reducing body dissatisfaction and its associated symptoms in women with bulimia nervosa, both of them based in the exposure of their bodies in a mirror.

The researchers’ work, published in Journal of Behavior Therapy and Experimental Psychiatry magazine, has revealed that both techniques also reduce salivary cortisol levels, a steroid hormone released in response to stress.

UGR researchers compared two different techniques: guided exposure (in which the participants must observe their bodies in the mirror while they describe it in a neutral and objective way, as if an artist should draw them without seeing them), opposite to pure exposure (in which the participants must observe their bodies in the mirror too, but they can express the thoughts and feelings this sight produces in them).

The research counted with the participation of 29 women with high body dissatisfaction and diagnosis of bulimia nervosa, which were randomly divided in two treatment groups, one for each technique. Each women received six exposure sessions. Changes in their feelings (both positive and negative) were assessed, as well as their body satisfaction and changes in salivary cortisol levels.

Effective techniques
The main results show that both exposure techniques reduce negative thoughts in bulimic women and boost positive ones over the course of the treatment, and also reduce cortisol levels. However, pure exposure increases body satisfaction more than the other one and reduces to a greater extent the subjective discomfort caused by the sight of one’s body during sessions.

These data suggest that pure exposure «could be an effective therapeutic strategy for reducing body dissatisfaction in people with eating disorders and, in a preventive way, in women with high body dissatisfaction levels. Nevertheless, in the future, we should delve into the change mechanisms through which this technique is working», explains the lead author of this paper, UGR researcher Sandra Díaz Ferrer.

Body dissatisfaction is one of the main factors responsible for developing and keeping eating disorders. «What alerts us the most is that we are facing high body dissatisfaction levels in women of all ages more often. That’s why it’s important to develop effective techniques for increasing body satisfaction and preventing the appearance of its most feared consequence: the eating disorders».

One of the most studied techniques for improving body satisfaction of the last decades is the exposure to one’s body. «The general goal in this kind of technique is to expose people to the image of their own bodies in a mirror big enough to let them systematically examine every inch of their bodies within a time period and to let them learn how to manage negative thoughts and feelings in a more constructive way, without avoiding them», Díaz Ferrer explains.

The results of this work indicate that the use of techniques that allow to express the negative thoughts and feelings associated with one’s body could be more effective that those that guide the patients through neutral descriptions of their bodies.

«With this research, we don’t expect women to change their bodies, but to let them be able to accept them and to love them as they are. We should not let mirrors to be enemies in which we can only see what society tells us is beautiful. The mirror should be the mean to reflect the light that every person has, something that ignores fashion or beauty ideals», the researcher from the UGR concludes.

Bibliographic references:

Testing the efficacy of pure versus guided mirror exposure in women with bulimia nervosa: A combination of neuroendocrine and psychological indices

Sandra Díaz-Ferrer, Sonia Rodríguez-Ruiz, Blanca Ortega-Roldán, Silvia Moreno-Domínguez, M. Carmen Fernández-Santaella

Journal of Behavior Therapy and Experimental Psychiatry
Volume 48, September 2015, Pages 1–8

Complete article:
http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S000579161500004X

Figure 2. Body dissatisfaction is one of the main factors responsible for developing and keeping eating disorders.

 

Contact:
Sandra Díaz Ferrer
Departamento de Personalidad, Evaluación y Tratamiento Psicológico de la Universidad de Granada
Telephone: (+34) 958 244 251

 


La UGR organiza un taller para enseñar a los científicos a divulgar su trabajo en los medios de comunicación

19/01/2016

Se trata de una actividad organizada por la Oficina de Gestión de la Comunicación y la Unidad de Cultura Científica, en colaboración con el CEVUG, cuyo objetivo es dotar a los investigadores de las herramientas necesarias para enfrentarse a una entrevista en prensa, radio y televisión

Las dos próximas sesiones se impartirán los días 1 de febrero y 1 de marzo en la Facultad de Comunicación y Documentación, y el plazo de inscripción ya está abierto

Durante el curso académico 2015/2016, la Universidad de Granada ha puesto en marcha un taller, dirigido a investigadores, cuyo objetivo es enseñarles a divulgar su trabajo a través de los medios de comunicación tradicionales (prensa escrita, radio y televisión).

Esta actividad formativa está organizada por la Oficina de Gestión de la Comunicación y la Unidad de Cultura Científica de la UGR, en colaboración con el Centro de Enseñanzas Virtuales (CEVUG).

Los dos próximos talleres tendrán lugar los días 1 de febrero y 1 de marzo de 8,30 a 14,30 horas en la Facultad de Comunicación y Documentación (Campus de Cartuja). Podrán inscribirse todos aquellos investigadores interesados, independientemente del centro de la UGR al que pertenezcan.

En la actividad “Cómo hacer una entrevista en prensa, radio y TV: taller de divulgación científica para investigadores de la UGR”, los directores de la Oficina de Gestión de la Comunicación y de la Unidad de Cultura Científica de la UGRJosé Ángel IbáñezAna Isabel García, presentarán al Personal Docente e Investigador (PDI) asistente la oferta de servicios de ambos departamentos de la institución, y cómo estos pueden ayudarles a divulgar sus investigaciones.

Además, los periodistas Carlos Centeno (Oficina de Gestión de la Comunicación / Unidad de Cultura Científica) y Susana Escudero (Canal Sur Radio, directora del programa de divulgación científica “El Radioscopio”) serán los encargados de impartir los módulos “Del laboratorio a los medios de comunicación: cómo convertimos la Ciencia en noticia” y “Divulgando en radio y TV: no es para tenerle tanto miedo”, respectivamente.

MÓDULO I

Del laboratorio a los medios de comunicación: cómo convertimos la Ciencia en noticia

1. Introducción general a la divulgación científica.

2. La Oficina de Gestión de la Comunicación y la Unidad de Cultura Científica de la UGR como mediadores entre el investigador y la sociedad.

3. Análisis de noticias científicas en los medios de comunicación.

4. El proceso de elaboración de una nota de prensa a partir de un paper: qué información interesa a los ciudadanos y qué necesitan los periodistas.

5. Práctica: elaboración de una nota de prensa sobre un artículo de investigación.

a) Redacción de un titular, subtítulo y entradilla b) Análisis de las notas de prensa c) Comentarios y dudas

Carlos Centeno Cuadros (Oficina de Gestión de la Comunicación – Unidad de Cultura Científica de laUGR)

Licenciado en Periodismo por la Universidad Carlos III de Madrid, ha trabajado en distintos medios de comunicación, como el diario IDEAL. Desde hace una década es el responsable de las noticias de divulgación científica en la Oficina de Gestión de la Comunicación de la Universidad de Granada y la Unidad de Cultura Científica (UGRdivulga). Su trabajo diario consiste en la difusión, a través de los medios de comunicación, tanto nacionales como internacionales, de noticias relacionadas con los proyectos de investigación, transferencia e innovación. La Universidad de Granada es una de las instituciones académicas españolas con mayor presencia en los medios de todo el mundo, gracias a su firme apuesta por la divulgación científica desde hace años.

MÓDULO II

Divulgando en radio y TV: no es para tenerle tanto miedo

1. Presentación e introducción al día a día de los medios de comunicación (radio y TV)

a) El periodista no es tu enemigo: trabaja en simbiosis con él. b) Comparación de la Agenda Informativa del día y de las escaletas de los informativos de radio y TV. c) Ronda de preguntas sobre los medios de comunicación

2. Normas básicas para hablar en radio y televisión

3. Práctica en los platós de radio y televisión de la Facultad de Comunicación y Documentación de laUniversidad de Granada

a) Grabación de entrevistas de radio a dos asistentes b) Análisis de las entrevistas c) Comentarios y dudas

Susana Escudero Martín (Canal Sur Radio)

Licenciada en Filología Inglesa por la Universidad de Valladolid, ha trabajado en el mundo de la radio desde 1992, cuando todavía estaba estudiando. Desde hace 12 años trabaja en Canal Sur Radio en el Centro de Producción de Granada, donde ha desempeñado distintas tareas tanto en la radio como en la televisión. Desde 2011 es la directora del programa de divulgación científica El Radioscopio, que se emite en Radio Andalucía Información.

que deseen participar en el taller deberán inscribirse previamente enviando un correo electrónico a centeno@ugr.es, indicando el día en el que están interesados (1 de febrero o 1 de marzo). Las plazas se cubrirán por riguroso orden de inscripción.

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Contacto:

Carlos Centeno Cuadros

Oficina de Gestión de la Comunicación / Unidad de Cultura Científica de la Universidad de Granada

Teléfono: 958 244 278

Correo electrónico: centeno@ugr.es

Página web de las noticias de investigación publicadas por UGRdivulga:

http://canal.ugr.es/index.php/noticias-ciencia-ugr

Versión en inglés: http://canal.ugr.es/index.php/science-news-ugr

Versión en francés: http://canal.ugr.es/index.php/nouvelles-de-la-science-ugr


El cáncer de mama afecta más a las mujeres obesas porque la grasa facilita la expansión de las células madre cancerígenas

Un equipo internacional de científicos, en el que participa laUniversidad de Granada, aporta nuevos datos sobre por qué el cáncer de mama afecta más y es más agresivo con las personas obesas

Los resultados han sido publicados en el último número de la prestigiosa revista Cancer Research

Un equipo internacional de científicos, en el que participa la Universidad de Granada, ha aportado nuevos datos sobre por qué el cáncer de mama afecta más y es más agresivo con las personas obesas. La razón es que la grasa peritumoral, es decir, la que rodea el tumor, facilita la expansión e invasión de las células madre cancerígenas (CMCs), responsables del inicio y crecimiento del cáncer.

Las CMC se encuentran en los tumores en muy bajo número, y tienen como característica importante la formación de las metástasis en sitios diferentes al tumor original. La quimioterapia y la radioterapia convencionales no son capaces de destruir estas CMC, por lo que en muchas ocasiones, tras una respuesta inicial al tratamiento, muchos pacientes con cáncer tienen recaídas debido a que estas CMC no han sido destruidas.

Este nuevo trabajo de investigación ha sido liderado por la Universidad de Miami (Estados Unidos), y en él participan científicos del Complejo Hospitalario Universitario de Granada y del grupo de investigación “Terapias avanzadas: diferenciación, regeneración y cáncer” de la Universidad de Granada (UGR), pertenecientes además al Instituto de Investigación Biosanitaria de Granada (ibs.GRANADA).

Unos mecanismos poco claros aún

Las consecuencias de la epidemia de la obesidad sobre la morbilidad del cáncer y la mortalidad son muy graves. De hecho, se calcula que en la actualidad hasta un 20 por ciento de las muertes por cáncer puede ser atribuible a la obesidad.

Las mujeres obesas tienen un mayor riesgo de cáncer de mama después de la menopausia y peor evolución de la enfermedad a cualquier edad, pero los mecanismos por los cuales contribuye al desarrollo del cáncer y la evolución de las pacientes no están todavía claros. La grasa en la obesidad da lugar a inflamación local y a la no maduración de las células que forman dicha grasa, los adipocitos.

En este estudio realizado en ratones, que publica el último número de la prestigiosa revista Cancer Research, los científicos examinaron los efectos del cultivo conjunto de células de la grasa (adipocitos) y células de cáncer de mama, ambas obtenidas de los mismos pacientes, sobre la agresividad tumoral, la capacidad de invasión local y la metástasis de dicho tumor.

Los resultados indican que la interacción que se produce a principios de la invasión del cáncer de mama, entre las células tumorales y los adipocitos inmaduros cercanos al tumor, induce una secreción aumentada de citoquinas o proteínas pro-inflamatorias.

“Dichas citoquinas dan lugar a una mayor expansión de células madre cancerígenas (CMCs) altamente metastásicas”, explica el catedrático de la UGR Juan Antonio Marchal Corrales, uno de los autores de este trabajo.

Evidencias preclínicas

Además, los investigadores han descrito el mecanismo mediante el cual se lleva a cabo este proceso, y que se relaciona con la activación de la proteína Kinasa SRC, que a su vez induce la activación del factor de transcripción Sox2, el cual es esencial para el mantenimiento de las características de células madre, y de una pequeña molécula de ARN denominada microARN-302b (miRNA-302b).

“El cultivo prolongado de células tumorales con los adipocitos inmaduros, o con estas citoquinas, aumentó la proporción de CMCs, que tenían una capacidad de formar nuevos tumores, un incremento de células tumorales circulantes en sangre y un mayor potencial metastásico tras su implantación en ratones -señala Marchal-. Por último, encontramos que fármacos inhibidores de la proteína Kinasa SRC disminuyen la producción de citoquinas y de las CMCs.

Estos hallazgos revelan nuevas perspectivas subyacentes al aumento de la mortalidad por cáncer de mama en mujeres obesas, y proporcionan evidencias preclínicas para probar la eficacia de fármacos inhibidores de la proteína Kinasa SRC en el tratamiento del cáncer de mama.

Referencia bibliográfica:

Interactions between Adipocytes and Breast Cancer Cells Stimulate Cytokine Production and Drive Src/Sox2/miR-302b–Mediated Malignant Progression

Manuel Picon-Ruiz, Chendong Pan, Katherine Drews-Elger, Kibeom Jang, Alexandra H. Besser, Dekuang Zhao, Cynthia Morata-Tarifa, Minsoon Kim, Tan A. Ince, Diana J. Azzam, Seth A. Wander, Bin Wang, Burcu Ergonul, Ram H. Datar, Richard J. Cote, Guy A. Howard, Dorraya El-Ashry, Pablo Torne-Poyatos, Juan A. Marchal, and Joyce M. Slingerland

Cancer Research 2016 Jan 15; 76(2):491-504.

DOI: 10.1158/0008-5472.CAN-15-0927

El artículo completo está disponible en el siguiente enlace:

http://cancerres.aacrjournals.org/content/early/2016/01/07/0008-5472.CAN-15-0927.long

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Las mujeres obesas tienen un mayor riesgo de cáncer de mama después de la menopausia y peor evolución de la enfermedad a cualquier edad. FOTO: Tony Alter (FLICKR)

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Vista al microscopio de adipocitos inmaduros.

 

Contacto:

Juan Antonio Marchal Corrales

Departamento de Anatomía y Embriología Humana de la Universidad de Granada

Teléfonos: 958241000 ext. 20080 – 958249321

Correo electrónico: jmarchal@ugr.es

 


Expertos debatirán sobre los cambios económicos y sus implicaciones sociales durante el Neolítico en la Península Ibérica

El departamento de Prehistoria y Arqueología de la Universidad de Granada organiza el VI Congreso del Neolítico en la Península Ibérica, que se celebrará del 22 al 26 de junio

Más de 300 expertos europeos, principalmente de España y Portugal, debatirán los últimos avances científicos sobre los cambios económicos y sus implicaciones sociales durante el Neolítico en la Península Ibérica, en un congreso nacional que se celebrará en Granada del 22 al 26 de junio.

El VI Congreso del Neolítico en la Península Ibérica, organizado por el departamento de Prehistoria y Arqueología de la Universidad de Granada (UGR), tendrá lugar en el Aula Magna y el Auditorio I de la Facultad de Filosofía y Letras (Campus de Cartuja).

Entre los temas que se abordarán en el Congreso destacan las secuencias cronoestratigráficas (análisis de casos particulares y síntesis de la evolución del Neolítico a partir de estudios estratigráficos); paleoambiente y subsistencia (reconstrucción del ambiente en momentos concretos del Neolítico o su evolución a partir de estudios arqueobotánicos, arqueofaunísticos, isotópicos, arqueomagnéticos, etc.); producción artefactual, materias primas y tecnología para la producción de útiles y estructuras (producción de objetos desde las fases de adquisición de las materias primas hasta su consumo); territorio (patrones de asentamiento desde perspectivas sincrónicas y diacrónicas); simbolismo y ritual (enterramientos de humanos o de animales y otras posibles prácticas de deposición intencional) y demografía y sociedad (desde los análisis de sexo y edad y paleopatológicos hasta estudios químicos e isotópicos que tengan relación con posibles desplazamientos de población).

Cita científica cada cuatro años

En el año 1995 se celebró el I Congreso del Neolítico en la Península Ibérica en Gavà-Bellaterra y, desde entonces, los investigadores no han faltado a su cita cada cuatro años (Valencia, 1999; Santander, 2003; Alicante, 2006; Lisboa, 2011), asistiendo a la exposición de las últimas investigaciones llevadas a cabo sobre este fundamental periodo de transición histórica.

De hecho, tales reuniones científicas se han convertido no sólo en un foro de discusión único, sino en un referente fundamental a la hora de realizar síntesis sobre esta época en la Península Ibérica y nuevas propuestas sobre su desarrollo, tanto en nuestro ámbito particular como en el del Mediterráneo Occidental en general.

Entre los beneficios de estas reuniones destacan una mayor homogeneización tanto en las propuestas de periodización como en las aproximaciones metodológicas; una mayor preocupación por presentar explicaciones coherentes y bien asentadas sobre las causas de la introducción de la agricultura; un creciente interés por el análisis de la relación entre los cambios sociales y los cambios ambientales y una introducción progresiva de nuevas metodologías que permitan extraer nuevos datos sobre aspectos tan trascendentales como la movilidad de la población, las estrategias subsistenciales, la procedencia de las materias primas, las técnicas de producción de artefactos, etc.

El plazo de inscripción para el VI Congreso del Neolítico en la Península Ibérica está ya abierto. El límite de entrega de trabajos científicos será el 31 de marzo; para inscripción temprana, el 31 de marzo, y la fecha tope de presentación de trabajos, el 30 de abril.

Más información y programa completo del congreso en la web:http://www.baobabeventos.com/#!neoliticopeninsular/ch4k

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Contacto:

Gabriel Martínez Fernández

Departamento de Prehistoria y Arqueología de la UGR

Teléfono: 958 243 616

Correo electrónico: gabmar@ugr.es


La UGR publica “Órdenes militares, monarquía y espiritualidad militar en los reinos de Castilla y León (siglos XII-XIII)”

El libro, de Carlos Ayala Martínez, reúne ocho trabajos publicados entre 2006 y 2014, en los que se desarrolla la misma lógica argumental que ha convertido la guerra santa en objetivo de atención prioritario

El catedrático de Historia Medieval en la Universidad Autónoma de Madrid, Carlos Ayala Martínez, ha publicado “Órdenes militares, monarquía y espiritualidad militar en los reinos de Castilla y León (siglos XII-XIII)” en la Editorial Universidad de Granada (eug).

Se trata de un libro en el que el autor reúne ocho trabajos procedentes de artículos o capítulos de libros colectivos publicados entre 2006 y 2014. “Casi todos ellos son fruto de los dos proyectos de investigación del Plan Nacional que he tenido oportunidad de dirigir en este período de tiempo”, afirma Ayala Martínez.

Estos trabajos responden, pues, a una misma lógica argumental que ha convertido la guerra santa, en el marco pleno-medieval del occidente peninsular, en objetivo de atención prioritario.

Hablar de guerra santa en los siglos XII y XIII supone inevitablemente referirse a órdenes militares, los instrumentos más adecuados y más utilizados por los reyes de León y Castilla para diseñar y materializar estrategias de ofensiva contra el islam. “Pero la guerra santa cristiana –asegura el autor del libro– cuenta con otros agentes imprescindibles que son los obispos; ellos fueron los ideólogos que legitimaron con sus pronunciamientos o con sus silencios una actividad militar en la que de una forma u otra acabarían participando”.

Carlos de Ayala Martínez es catedrático de Historia Medieval en la Universidad Autónoma de Madrid. Sus líneas de investigación son fundamentalmente tres: el reinado de Alfonso X de Castilla; las órdenes militares hispánicas; y la guerra santa peninsular y sus implicaciones políticas e ideológicas. Sobre estas cuestiones ha publicado trabajos monográficos y colaboraciones en congresos y revistas especializadas. Asimismo, y en relación concretamente a los temas de las órdenes militares y de la Iglesia y guerra santa, ha dirigido varios proyectos de investigación del Plan Nacional en el seno de los cuales se han venido elaborando obras colectivas, trabajos monográficos, tesis doctorales y varias memorias de licenciatura y grado.

El libro, de 320 páginas, se divide en dos grandes capítulos que tratan de “Reconquista, cruzada y órdenes religiosas” y “Monarquía, episcopado y espiritualidad militar”.

http://sl.ugr.es/08Qnrdenes-militares


Exposición de pintura “Cervantes y coetáneos”, de Jesús Utiel, en Filosofía y Letras

– Con motivo del 400 aniversario de la muerte de Cervantes

La Facultad de Filosofía y Letras acoge la exposición de pintura “Cervantes y coetáneos”, de Jesús Utiel, que se ha organizado con motivo del 400 aniversario de la muerte de Cervantes que se celebra este año.

La exposición se encuentra ubicada en el vestíbulo principal de la Facultad de Filosofía y Letras y permanecerá abierta al público (en el horario del centro) hasta el 29 de febrero, para posteriormente exhibirse en las salas de exposiciones del Ayuntamiento de Madrid.

Ana Gallego Cuiñas, vicedecana de Actividades Culturales e Investigación de la Facultad de Filosofía y Letras, y profesora titular de Literatura Hispanoamericana, coordinadora de la exposición, señala que “del IV Centenario de la muerte de Miguel de Cervantes, poco se puede añadir en los círculos de la cultura, pues todos sabemos que todo elogio se queda corto para el Príncipe de los Ingenios Españoles”, y explica que Jesús Utiel en su obra, destinada a Miguel de Cervantes, parte de la idea de que hay dos quijotes, uno el del texto y el otro es el del contexto; el del contexto abarca desde estatuillas de cerámica de Manisses que representan a D. Quijote hasta obras de los más grandes artistas: Picasso, Dalí, Saura, Matta… puesto que no hay otro escritor ni figura literaria que haya tenido tantas versiones plásticas.

La intención de Utiel con su visión sobre la novela es que el segundo Quijote, el del imaginario artístico, pueda conducir al posible lector al libro propiamente dicho y a otras obras de Cervantes, haciendo una animación directa a la lectura.

Con el título de “Cervantes y coetáneos” se quiere hacer mención al fructífero Siglo de Oro Español, que dio contexto a Cervantes y que queda visto en la exposición con las obras de meninas. Debido a las dimensiones del espacio el artista se ha visto obligado a condensar la muestra y a retirar más de 80 piezas que ha dedicado a Cervantes durante los dos últimos años de trabajo.

Jesús Utiel es graduado en Bellas Artes por la Universidad de Castilla La Mancha. Su pintura se caracteriza por el color, los formatos grandes y la investigación en materiales. Tras varias selecciones en diferentes concursos ha sido ganador en el XXV Premio de Artes Plásticas “Fernando Zóbel” 2013 y en el Certamen de Pintura “El Greco en Cuenca” 2014. Actualmente vive centrado en el trabajo diario para cumplir con sus compromisos artísticos, lo que ha dado como fruto que con 24 años haya realizado exposiciones colectivas en México, Francia, Madrid, Castilla y León, Castilla La Mancha.

En 2015 ha expuesto en el Alcázar de Toledo, en el Ministerio de Agricultura, en la Casa de la Juventud de Alcalá de Henares, en el Patio del Tesoro de San Pedro Mártir de Toledo y en la sala Aqua de Cuenca.

A día de hoy diferentes colecciones de arte tiene obra suya como es el caso de la Real Academia de Historia y Arte de San Quirce, el Instituto Social de las Fuerzas Armadas, el Centro Cultural Plaza Fátima de México, el Museo Diocesano de Cuenca y la Fundación “Fernando Zóbel”.

Jesús Utiel reside a día de hoy en Madrid, donde trabaja centrado en su producción artística para abrirse día a día un hueco mayor en el mundo del arte contemporáneo.

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Exposición de pintura “Cervantes y coetáneos”, de Jesús Utiel.

Facultad de Filosofía y Letras (vestíbulo).

Hasta el 29 de febrero en horario de apertura del centro.


Agenda cultural de la UGR prevista para el 20/01/2016

Exposición de pintura “Cervantes y coetáneos”, de Jesús Utiel, en Filosofía y Letras

La exposición se encuentra ubicada en el vestíbulo principal de la Facultad de Filosofía y Letras y permanecerá abierta al público (en el horario del centro) hasta el 29 de febrero, para posteriormente exhibirse en las salas de exposiciones del Ayuntamiento de Madrid. 

+ Información


Une étude démontre que les légumes frits à l’huile d’olive ont plus de propriétés pour la santé que ceux qui sont cuits.

Des scientifiques de l’Université de Grenade affirment que la friture à l’huile d’olive vierge extra est la technique qui produit des augmentations majeures associées des phénols, des antioxydants dont la consommation prévient des pathologies chroniques dégénératives comme cancer, diabète ou dégénération maculaire.

L’objectif de cette étude, publiée dans la revue Food Chemistry, était de vérifier quelle technique culinaire améliorerait la capacité antioxydante et le contenu en composés phénoliques des légumes inclus dans la diète méditerranéenne (pomme de terre, citrouille, tomate et aubergine).

 

Des chercheurs de l’Université de Grenade ont démontré que la friture à l’huile d’olive vierge extra (AOVE) est la technique culinaire qui augmente le plus la fraction phénolique des légumes frais inclus dans la diète méditerranéenne (pomme de terre, citrouille, tomate et aubergine), ce qui suppose une amélioration de ces aliments dans le processus de cuisson.

Dans un article publié dans la revue Food Chemistry, les scientifiques ont vérifié que les légumes frits à l’AOVE améliorent leur capacité antioxydante et leur contenu en composés phénoliques, qui préviennent des pathologies chroniques dégénératives comme cancer, diabète ou dégénération maculaire.

L’objectif de cette étude était de déterminer l’effet de l’application de diverses techniques culinaires sur la capacité antioxydante et le contenu en composés phénoliques totaux et individuels des légumes inclus dans la diète méditerranéenne.

La diète méditerranéenne chez la population espagnole se caractérise par une grande consommation de légumes et d’AOVE ; les deux sont une source importante de phénols diététiques, dont la consommation a été associée à la prévention de pathologies chroniques dégénératives. Ce type d’antioxydants peut se modifier pendant le processus domestique des aliments, que ce soit par perte ou augmentation dans ses concentrations.

À cette fin, les chercheurs ont dessiné une expérimentation au cours de laquelle ils ont cuisiné des portions de 120 grammes de cubes de pommes de terre (Solanumtuberosum), de citrouille (Cucurbitamoschata), de tomate (Licopersicumesculentum) et d’aubergine (Solanummelongena) sans graines ni peau.

Frites, bouillies ou avec mélange d’eau et d’AOVE

Les légumes furent frits et sautés à l’AOVE, ainsi que bouillis dans de l’eau ou dans un mélange d’eau et d’AOVE. Les expérimentations furent contrôlées afin de garantir toutes les conditions de traitement, et l’on maintint constamment la proportion entre le végétal et le moyen de cuisson selon les recettes traditionnelles espagnoles.

Les légumes traités furent maintenus dans des conditions adéquates pour la détermination de l’humidité, de la graisse, de la matière sèche et les phénols totaux, de même que la mesure de la capacité antioxydante par différentes méthodes. Parallèlement, l’étude a été complétée avec la détermination par Chromatographie en phase liquide à haute performance (HPLC dans ses sigles anglais) du contenu de composés phénoliques individuels caractéristiques des légumes.

Les résultats ont démontré que l’utilisation d’AOVE pour la friture de légumes augmente leur contenu en graisse et réduit leur humidité, un effet qui n’est pas observé dans le reste des techniques.

« Lorsqu’on compare le contenu total de phénols par rapport aux légumes frais, nous trouvons autant d’augmentations que de réductions selon la technique appliquée. L’huile comme moyen de transfert de chaleur augmente le contenu de composés phénoliques dans les légumes, face à d’autres techniques comme l’ébullition, dont le transfert de chaleur se produit à travers l’eau », explique une des auteures de ce travail, la professeure de l’UGR Cristina Samaniego Sánchez.

L’AOVE transfère des phénols aux végétaux

Ceci est dû à ce qu’il se produit un transfert de phénols de l’AOVE vers les végétaux, enrichissant ceux-ci avec des composés phénoliques exclusifs de l’huile qui ne se trouvent pas de façon naturelle dans les légumes frais.

« Par conséquent, nous pouvons affirmer que la friture est la technique qui produit de plus grandes augmentations associées à la fraction phénolique, ce qui suppose une amélioration du processus de cuisson, même si elle augmente la densité calorique des aliments à cause de la quantité d’huile absorbée », remarque Samaniego.

Toutes les techniques culinaires augmentent la capacité antioxydante des quatre végétaux ; il n’y eut réduction ou absence de changements significatifs qu’après l’ébullition en eau dans des cas spécifiques.

La chercheuse de l’UGR souligne que chaque légume cuisiné développe un profil de phénols, de contenu en humidité, en graisse, en matière sèche et en activité antioxydante déterminée par les caractéristiques originales des légumes frais et par la technique de cuisson appliquée.

« Lorsque le contenu en phénols du légume cru est élevé, le contenu en phénols totaux augmente encore plus si on inclut de l’AOVE pendant le processus et que l’application du processus d’ébullition n’affecte pas les concentrations finales. Par conséquent, nous devons souligner que la friture et le sauté conservent et enrichissent la composition phénolique. Le processus culinaire qui inclut de l’eau peut être recommandable quand les aliments sont consommés avec le moyen de cuisson, et l’ajout d’AOVE améliore le profil phénolique et compense les déficiences des aliments crus », signale la chercheuse.

Les résultats de cet article font partie de la thèse de doctorat de Jessica del Pilar Ramírez Anaya, réalisée sous la direction des professeures de l’UGR Cristina Samaniego Sánchez, Marina Villalón Mir et Herminia López-García de la Serrana, du département de Nutrition et de Bromatologie de la faculté de Pharmacie de l’Université de Grenade, avec l’appui du programme PROMEP/SEP, Mexico UDG-598.

Référence bibliographique :
Ramírez Anaya, J. P., Samaniego-Sánchez, C., Castañeda-Saucedo, M. C., Villalón-Mir, M., López-García de la Serrana, H. (2015). Phenols and the antioxidant capacity of Mediterranean vegetables prepared with extra virgin olive oil using different domestic cooking techniques. Food Chemistry, 188, 43-438.

L’article complet est disponible surle site suivant :

http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0308814615006810

 

Contact :
Cristina Samaniego Sánchez. Département de Nutrition et de Bromatologie de la faculté de Pharmacie de l’Université de Grenade. Tél. : 958241000 ext. 20463; courriel : csama@ugr.es

Contact : 
Cristina Samaniego Sánchez. Département de Nutrition et de Bromatologie de la faculté de Pharmacie de l’Université de Grenade. Tél. : 958241000 ext. 20463; courriel : csama@ugr.es

 

 


A research proves that vegetables fried with olive oil have more healthy properties than boiled ones

Researchers from the University of Granada confirm that frying in Extra Virgin Olive Oil is the best way of increasing the effects of phenols, antioxidants whose consumption prevents chronic degenerative pathologies such as cancer, diabetes or macular degeneration

The aim of this research, published in Food Chemistry magazine, was to compare which cooking method improves the antioxidant capacity and the amount of phenolic compounds of vegetables used in the Mediterranean diet (potato, pumpkin, tomato and eggplant) the most

 

Researchers from the University of Granada (UGR) have proven that frying in Extra Virgin Olive Oil (EVOO) is the cooking method that increases the phenolic fraction present in raw vegetables used in Mediterranean diet (potato, pumpkin, tomato and eggplant) the most. This means an improvement to this foods in the cooking process.

In an article published in Food Chemistry magazine, researchers have proven that vegetables fried in EVOO improved their antioxidant capacity and the amount of phenolic compounds, which prevent chronic degenerative pathologies such as cancer, diabetes or macular degeneration.

The aim of this research was to determine the effect of applying various cooking methods on the antioxidant capacity and the amount of phenolic compounds (total and individual concentrations) present in vegetables consumed in the Mediterranean diet.

The Mediterranean diet of the Spanish population is characterized by a high intake of vegetables and EVOO. These are both an important source of dietary phenols, whose consumption has been associated with the prevention of chronic degenerative pathologies. This kind of antioxidants can be modified during the processing of the foods, increasing or decreasing their concentrations.

With this goal in mind, the researchers conceived an experiment in which they cooked 120 grams cubes of potato (Solanumtuberosum), pumpkin (Cucurbitamoschata), tomato (Licopersicumesculentum) and eggplant (Solanummelongena), all of them without seeds or skin.

Fried, boiled, or with a mix of water and EVOO
The vegetables were fried and sautéed in EVOO, boiled in water, and boiled in a mix of water and EVOO. The experiments were controlled so the processing conditions were guaranteed. The ratio between vegetable and cooking element was constant, following traditional Spanish recipes.

Processed vegetables were kept in right conditions for the measurement of moisture, fat, dry matter and total number of phenols, as well as the measurement of the antioxidant capacity, by various methods. Parallel to this, the research was completed with the determination of the content in individual phenolic compounds typical of each vegetable, using high-performance liquid chromatography (HPLC).

The results showed that using EVOO for frying vegetables increases their fat content and reduces their moisture, while this is not observed in other cooking methods.

«Comparing the content of phenols with that of raw vegetables we found increases and reductions alike, depending on the chosen method. Oil as a mean of heat transfer increases the amount of phenolic compounds in vegetables, opposite to other cooking methods such as boiling, where heat transfer is done through the water», explains one of the authors of this paper, professor Cristina Samaniego Sánchez from UGR.

EVOO transfers phenols to the vegetables
This is due to a transfer of phenols from EVOO to the vegetables, enhancing the latter with oil-exclusive phenolic compounds which are not naturally present in raw vegetables.

«Therefore, we can confirm that frying is the method that produces the greatest associated increases in the phenolic fraction, which means an improvement in the cooking process although it increases the energy density by means of the absorbed oil», says Samaniego.

All the cooking methods increased the antioxidant capacity of all four vegetables. It was a reduction of it or an absence of significant changes after boiling them in water, in certain cases.

Samaniego stresses that each cooked vegetable developed a specific profile of phenols, moisture, fat, dry matter and antioxidant activity determined by the original characteristics of the raw vegetables and the cooking method applied.

«When the phenolic content of the raw vegetable is high, the total content of phenols is increased even more if EVOO is used in the process, and boiling doesn’t affect the final concentration. Therefore, we must stress that frying and sautéing conserve and enhance the phenolic composition. Hydrothermal cooking methods can be recommended when the food is consumed together with the cooking water, as the addition of EVOO improves the phenolic profile and compensates for the deficiencies of the raw food», the researcher stresses.

The results of this research are part of Jessica del Pilar Ramírez Anaya’s doctoral thesis, done under the direction of UGR professors Cristina Samaniego Sánchez, Marina Villalón Mir and Herminia López-García de la Serrana, from the Department of Nutrition and Bromatology of the Faculty of Pharmacy (UGR), and also with support from the programme PROMEP/SEP, Mexico UDG-598.

 

Referencia bibliográfica:

Ramírez Anaya, J. P., Samaniego-Sánchez, C., Castañeda-Saucedo, M. C., Villalón-Mir, M., López-García de la Serrana, H. (2015). Phenols and the antioxidant capacity of Mediterranean vegetables prepared with extra virgin olive oil using different domestic cooking techniques. Food Chemistry, 188, 43-438.

Contact:

 

CristinaSamaniego Sánchez

Dpto. de Nutrición y Bromatologíade la Universidad de Granada

Telephone: (+34) 958 241 000 ext.20463

E-mail: csama@ugr.es


Los mayores expertos de España en identificación de restos óseos participan en el XII Curso Avanzado de Antropología Forense

Se celebra del 18 al 22 de enero en la Facultad de Medicina de laUGR

La Facultad de Medicina de la Universidad de Granada acoge del 18 al 22 de enero el XII Curso Avanzado de Antropología Forense, dirigido por Miguel Botella López, director del Laboratorio de Antropología de laUniversidad de Granada, en el que participan los mayores expertos de nuestro país en este ámbito.

En el curso se profundizará en los conceptos y métodos empleados en Antropología Forense, en aquellas personas que ya posean conocimientos básicos en identificación humana a partir de restos óseos.

Uno de los objetivos es ofrecer a médicos forenses, antropólogos físicos, estudiantes de Antropología y especialistas de las Fuerzas y Cuerpos de Seguridad del Estado la información actualizada, necesaria para abordar con garantías suficientes el análisis e identificación a partir de restos esqueléticos.

Presentar los protocolos adecuados para llevar a cabo una correcta actuación y división de tareas, en el curso de intervenciones aisladas o en desastres masivos, y plantear los problemas de identificación humana y sus soluciones, a la luz de los nuevos conocimientos, completa el programa de un curso que contará con los máximos expertos en el área de la Medicina Forense

Entre los profesores del XII Curso Avanzado de Antropología Forense se encuentra Francisco Etxeberría, profesor de Medicina Legal de la Universidad del País Vasco, quien ha participado como perito judicial en procesos relacionados con la Memoria Histórica de la Guerra Civil Española, las muertes de Víctor Jara y Salvador Allende o la identificación de los restos de los hijos de José Bretón.

antropologiaforense

El programa completo del curso está disponible en el siguiente enlace: http://sl.ugr.es/08Qm

Contacto:
Miguel Botella López 
Laboratorio de Antropología de la UGR
Teléfono: 958 240 710 
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