The University of Granada inaugurates its new Graphene Laboratory, in which the material of the future will be manufactured

With an investment of more than 500 000 euros, the new facilities will allow the manufacture of all kinds and forms of graphene as well as the development of electronic nanodevices for IoT (Internet of Things) applications, biosensors, and ‘wereable’ devices attached to the clothes

The University of Granada (UGR) has launched the Graphene and Bi-dimensional Semiconductors Laboratory, one of the most complete public laboratories devoted to the manufacture and electric and structural characterization of this material in Europe. This laboratory is comparable to that of the University of Cambridge (United Kingdom) or the one in the University of Stanford (United States).

The new facilities, managed by the Group of Nanoelectronics lead by professor Francisco Gámiz Pérez, are located in the UGR Research Centre for Information Technology and Communication (CITIC-UGR, from its abbreviation in Spanish). They have been presented to the public this morning in a press conference attended by Enrique Herrera Viedma, vice dean of Research and Transfer.

With an investment of more than half a million euros, the new laboratory is devoted to the manufacture of all kinds and forms of graphene as well as the development of new graphene-based systems for electronic applications which include biosensors, electronic nanodevices for IoT (Internet of Things) applications, and flexible electronics, in addition to ‘wereable’ devices (those which are attached to clothes and always on).

When, in 2004, researchers Andrei Geim and Kostya Novoselov from the University of Manchester obtained a graphene sheet using adhesive tape a piece of graphite similar to that of the pencil leads, they were far from imagining the impact that such a simple action would have in the scientific community and in our lives over the next years.

Graphene is a very thin sheet comprised of a single layer of carbon atoms with spectacular mechanical, optical and electrical properties. It’s a transparent, flexible and very hard material with really high electrical and thermal conductivity. All of those properties make graphene potentially usable in a lot of cases. It has such a great potential that the European Commission has made graphene one of its flagship projects for the next years, with an investment of more than 500 million euros until 2023.

Different kinds of graphene
The CITIC-UGR new Nanoelectronics Laboratory has installed the necessary equipment for obtaining CVD graphene sheets of a size up to 25 cm x 10 cm and transferring them to different substrates (rigid and flexible substrates alike).

This equipment completes the laboratory of electrical and nano-structural characterization already available in the CITIC. The materials developed can be electrically and structurally characterized in the UGR facilities (thanks to the equipment purchased, which includes an atomic-force microscope) and functionalized for its use as biosensors.

Along with CVD (Chemical Vapour Deposition) graphene, they have also developed the methods for obtaining graphene oxide suspensions from graphite dust. Graphene oxide suspension can be deposited on different substrates for reducing it later, thus obtaining reduced graphene (rGO) using a kind of dip-pen lithography system.

«This method allows us to obtain graphene patterns and graphene bi-dimensional structures on different substrates with which to develop flexible antennas and sensors, and RF-tags (tiny devices similar to stickers that can be adhered to a product, animal or person and that have an antenna to receive and respond to radio-frequency requests», Francisco Gámiz, director of the UGR Graphene Laboratory, explains.

Not only graphene
Apart from graphene, the new facilities allow to obtain other bi-dimensional materials that, combined with graphene, improve and widen its field of action.

These bi-dimensional materials, known as transition metals dichalcogenides (TMDs), such as molybdenum disulfide, molybdenum selenide or tungsten selenide, can be ‘stacked’ for forming structures with which to develop nanoelectronic devices and, from them, developing systems in the field of flexible electronics, such as the above mentioned ‘wereables’.

 

 

Contact:

Francisco Gámiz Pérez

Departamentode Electrónica y Tecnología de Computadores de la UGR

Telephone:(+34) 958 246 145

Mobilephone: (+34) 655 978 315

E-mail: fgamiz@ugr.es

 


L’UGR inaugure son nouveau laboratoire de graphène, dans lequel on fabriquera le matériau du futur

Avec un investissement de plus de 500.000 euros, les nouvelles installations permettront de fabriquer du graphène sous ses différentes formes et variétés, ainsi que de développer des nanodispositifs électroniques pour applications IoT (Internet of Things), des biosenseurs et des dispositifs wearables qui s’installent sur les vêtements.

 

L’Université de Grenade (UGR) a mis en marche le Laboratoire de Graphène et de Semi-conducteurs Bidimensionnels, un des laboratoires publics les plus complets d’Europe consacrés à la fabrication et à la caractérisation électrique et structurelle de ce matériau, du même niveau que celui qui existe à l’Université de Cambridge (Royaume-Uni) ou à l’Université de Stanford (États-Unis).

Les nouvelles installations, gérées par le Groupe de Nanoélectronique que dirige le professeur Francisco Gámiz Pérez, se trouvent dans le Centre de Recherche en Technologies de l’Information et des Communications de l’UGR (CITIC-UGR), et ont été présentées ce matin lors d’une conférence de presse à laquelle a assisté le vice-recteur de Recherche et de Transfert, Enrique Herrera Viedma.

Avec un investissement supérieur à 500.000 euros, le nouveau laboratoire est consacré à la fabrication de graphène sous ses différentes formes et variétés, ainsi qu’au développement de systèmes basés sur le graphène pour des applications électroniques, y inclus des biosenseurs, des nanodispositifs électroniques pour applications IoT (Internet of Things ou « Internet des choses ») outre des dispositifs wearables (qui s’installent sur les vêtements et sont toujours allumés).

Lorsqu’en 2004 les chercheurs de l’Université de Manchester Andrei Geim et Kostya Novoselov obtinrent une plaque de graphène en utilisant du ruban adhésif et un morceau de graphite similaire à celui des mines des crayons de dessin, ils ne pouvaient aucunement imaginer l’impact que ce simple geste aurait chez la communauté scientifique, et dans nos vies dans les années à venir.

Le graphène est une plaque très fine formée par une seule couche d’atomes de carbone avec des propriétés mécaniques, optiques et électriques spectaculaires. Il s’agit d’un matériau très dur, transparent, flexible et à conductivité électrique et thermique très élevée. Tout ceci le rend en puissance utilisable pour un nombre élevé d’applications. Son potentiel est tel que la Commission européenne a fait du graphène le centre d’un de ses projets étoile (« flagship ») pendant les prochaines années, avec un investissement de plus de 500 millions d’euros jusqu’en 2023.

Différents types de graphène

Le nouveau laboratoire de Nanoélectronique du CITIC-UGR a installé les équipements nécessaires afin d’obtenir des pellicules de graphène CVD d’un format qui va jusqu’à 25 cm x 10 cm, et de les transférer à différents substrats ou supports, aussi bien rigides que flexibles.

Cet équipement complète le laboratoire de caractérisation électrique et structurelle de nanostructures déjà disponibles au CITIC-UGR. Les matériaux développés peuvent être caractérisés électrique et structurellement dans les installations de l’UGR (grâce à l’équipement acquis, qui inclut un microscope à force atomique) et aussi fonctionnalisés pour leur utilisation comme biosenseurs.

Avec le graphène CVD (Chemical Vapor Deposition), on a également développé les techniques pour obtenir, à partir de poussière de graphite, de la suspension d’oxyde de graphène pouvant être déposé sur différents substrats afin de pouvoir le réduire postérieurement et d’obtenir du graphène réduit (rGO) moyennant un système de lithographie par écriture directe par laser.

« Cette technique nous permet d’obtenir des patrons de graphène et des structures bidimensionnelles de graphène sur différents substrats, avec lesquels on pourra développer des antennes flexibles, des senseurs flexibles et des RF-tags (petits dispositifs, similaires à un autocollant, qui peuvent être adhérés à un produit, à un animal ou une personne, et qui contiennent des antennes leur permettant de recevoir et de répondre à des demandes émises par radiofréquence », explique le directeur du laboratoire de Graphène de l’UGR, Francisco Gámiz.

Non seulement du graphène

En plus de graphène, les nouvelles installations de l’UGR permettent d’obtenir d’autres matériaux également bidimensionnels qui, combinés avec celui-ci, améliorent et amplifient son champ d’activité.

Ces matériaux bidimensionnels, connus comme dichalcogénures de métaux de transition, oTMDs, comme le disulfure de molybdène, séléniure de molybdène, ou séléniure de tungstène, peuvent être « empilés » pour donner lieu à des structures avec lesquelles développer des dispositifs nanoélectroniques et, à partir de celles-ci, des systèmes dans le domaine de l’électronique flexible tels que lesdits wearables.

Contact :

Francisco Gámiz Pérez. Département d’Électronique et de Technologie informatique de l’UGR. Tél. : 958 246145 ; portable : 655 978315 ; courriel : fgamiz@ugr.es


Une simple séance de 15 minutes d’exercices manuels améliore le mouvement et l’adresse des patients atteints de Parkinson

Des scientifiques de l’Université de Grenade démontrent qu’une brève intervention provoque des changements dans la qualité du mouvement du bras, de la main et des doigts, et aide les patients à exécuter des tâches comme écrire ou boutonner les vêtements.

 

Des chercheurs de l’Université de Grenade ont démontré qu’une simple séance de 15 minutes d’exercices manuels améliore significativement le mouvement et l’adresse des patients atteints de Parkinson et les aide à exécuter des tâches comme écrire ou boutonner les vêtements.

Le Parkinson est actuellement la seconde maladie neurodégénérative la plus prédominante dans le monde, après l’Alzheimer, et se caractérise par le fait d’être progressive et d’avoir une évolution très hétérogène.

La clinique de cette maladie se caractérise par l’apparition de symptômes moteurs et non moteurs. Parmi les premiers se trouvent le tremblement, la bradykynésie (lenteur des mouvements) et la rigidité, qui impactent négativement dans l’accomplissement fonctionnel de différentes tâches.

De plus, les patients atteints de Parkinson expérimentent fréquemment une diminution de l’adresse manuelle et une faiblesse musculaire. La progression de ces symptômes cliniques pendant la maladie rend difficile la réalisation d’activités de la vie quotidienne. Bien que les propositions thérapeutiques pour les patients soient nombreuses, de nouvelles approches à partir de la physiothérapie et de la thérapie occupationnelle sont indispensables pour améliorer la qualité de vie de cette population.

60 patients avec Parkinson

Dans cette étude, les scientifiques de l’UGR, membres des départements de Physiothérapie et d’Infirmerie, ont compté avec la collaboration de l’Association de Parkinson de Grenade. Le travail a été réalisé avec 60 patients de Parkinson, dont 30 en tant que groupe de contrôle et 30 soumis à une intervention concrète.

Les chercheurs ont dessiné une intervention brève, d’à peine 15 minutes, pour provoquer des changements dans la qualité du mouvement du bras, de la main et des doigts, dans le but d’améliorer la réalisation des différentes activités.

« Cette intervention se fonde sur des exercices manuels et centre leur répercussion sur l’adresse et la force. L’objectif était d’améliorer le rendement de ces paramètres pour qu’il puisse avoir une application immédiate dans l’exécution de tâches comme écrire ou boutonner des vêtements », explique l’auteure principale de ce travail, la professeure du département de Physiothérapie de l’UGR, Marie Carmen Valenza.

Les patients ayant participé au projet ont été évalués avant et après l’intervention, et les paramètres de mouvement, vitesse, adresse et force évalués se sont améliorés significativement.

La chercheuse de l’UGR souligne que ces résultats « seraient d’une grande utilité clinique, vu que les patients pourraient améliorer l’exécution de tâches qui s’avèrent actuellement difficiles pour eux, avec seulement 15 minutes d’exercices qu’ils peuvent réaliser de façon autonome. »

Référence bibliographique :

 Effects of a single hand-exercise session on manual dexterity and strength in patients with Parkinson’s disease: a randomized controlled trial. Sara Mateos-Toset, Irene Cabrera-Martos, Irene Torres-Sánchez, Araceli Ortiz-Rubio, Emilio González-Jiménez, Marie Carmen Valenza. PM R. 2015 Jun 12. pii: S1934-1482(15)00290-7.

doi:10.1016/j.pmrj.2015.06.004

 

Contact :

Marie Carmen Valenza.Département de Physiothérapie de l’Université de Grenade. Tél. : 958 248 031- 958248 035; portable : 661 346 905 ; courriel : cvalenza@ugr.es


A single 15-minute, hand-exercise session improves manual dexterity and movement in patients with Parkinson’s disease

Researchers from the University of Granada have proven that a brief intervention causes changes in arm, hand and finger movement quality, and helps patients to carry out tasks such as writing or buttoning

 

Researchers from the University of Granada (UGR) have proven that a single 15-minute, hand-exercise session greatly improves manual dexterity and movement in patients with Parkinson’s disease, helping them to carry out tasks such as writing or buttoning.

Parkinson’s disease is, nowadays, the second most prevalent neurodegenerative disease in the world, and is characterized for being progressive and having a greatly heterogeneous development.

The clinic of this disease is characterized by motor and non-motor symptoms. Motor symptoms include bradykinesia (slowness of voluntary movements) and rigidity, both of them have a negative impact on the functional performance of different tasks.

Additionally, patients with Parkinson’s often experience muscle weakness and a partial loss on their manual dexterity. The progression of these clinic symptoms throughout the disease causes difficulty in the performance of daily tasks. Despite the great number of therapeutic proposals for patients with this disease, new approaches from physiotherapy and occupational therapy are essential for the improvement in this population’s quality of life.

60 patients with Parkinson’s
In this research, UGR researchers belonging to the departments of Physiotherapy and Nursing have relied on the collaboration of the Asociación de Parkinson de Granada association. The research was carried out with 60 patients with Parkinson’s: 30 of the participants were allocated to the designed exercise and the other 30 to a control group.

The researchers designed a brief intervention, of barely 15 minutes, which caused changes in arm, hand and finger movement quality, with the goal of improving the performance of different tasks.

«This intervention was based in hand exercises, whose effect in strength and dexterity was assessed. The goal was to improve the performance of this parameters, so that it could have an immediate application on the performance of tasks such as writing or buttoning», explains Marie Carmen Valenza, UGR professor at the Department of Physiotherapy.

Patients who participated in the project were evaluated before and after the intervention. The assessed parameters of movement, speed, dexterity and strength improved significantly.

Professor Valenza stresses that these results » will be of great clinical usefulness, given that, with only 15 minutes of exercise and in an autonomous way, the patients will be able to improve the performance of tasks that currently are too difficult to them».

Bibliographic references:

Effects of a single hand-exercise session on manual dexterity and strength in patients with Parkinson’s disease: a randomized controlled trial. Sara Mateos-Toset, Irene Cabrera-Martos, Irene Torres-Sánchez, Araceli Ortiz-Rubio, Emilio González-Jiménez, Marie Carmen Valenza

PM R. 2015 Jun 12. pii: S1934-1482(15)00290-7.
doi:10.1016/j.pmrj.2015.06.004

 

Contact:

Marie Carmen Valenza

Departamento de Fisioterapia de la Universidad de Granada

Telephones: (+34) 958 248 031 – (+34) 958 248 035

Mobile phone: (+34) 661 346 905

E-mail: cvalenza@ugr.es

 


“Tartessos, o el mito interminable”, conferencia en la Madraza

A cargo José Luis Escacena Carrasco, catedrático de Prehistoria de la Universidad de Sevilla, tendrá lugar en el Salón de Caballeros XXIV del Palacio de la Madraza, el jueves, 21 de enero de 2015 a las 19.30 h

La segunda sesión del ciclo “Mitos de la Historia de España”, organizado por la Cátedra “Antonio Domínguez Ortiz”, que dirige Rafael G. Peinado Santaella, en el Centro de Cultura Contemporánea, Vicerrectorado de Extensión Universitaria de la UGR, contará con José Luis Escacena Carrasco, catedrático de Prehistoria de la Universidad de Sevilla, quien hablará de “Tartessos, o el mito interminable”, el jueves 21 de enero, a las 19:30 h, en el Salón de Caballeros XXIV de la Madraza.

Escacena Carrasco, responsable del grupo de investigación Tellus (HUM-949), centra su interés investigador en la exploración de diversas áreas teóricas de la arqueología actual (tales como el darwinismo, la arqueología evolutiva, aspectos epistemológicos de la metodología y la historia de la investigación en Prehistoria, así como la difusión social de las investigaciones prehistóricas) y en la Prehistoria del Viejo Mundo (Prehistoria reciente de la Península Ibérica y África, Prehistoria de Andalucía, y Protohistoria del Mediterráneo).

Es coautor, entre otros, de los libros: “El Carambolo. 50 Años de un Tesoro”. Editorial Universidad de Sevilla, 2010; “Arqueología en Laelia (Cerro de la Cabeza, Olivares, Sevilla). Universidad de Sevilla, 2005; “Notas arqueológicas sobre el Coronil”. Ayuntamiento del Coronil, 2001; “La Arqueología Protohistórica del sur de la Península Ibérica. Historia de un Río Revuelto”. Síntesis, 2000; “Arqueología en Carmona (Sevilla). Excavaciones en la Casa-Palacio del Marqués de Saltillo”. Consejería de Cultura de la Junta de Andalucía, 1997; “El poblamiento romano de las márgenes del Antiguo Estuario del Guadalquivir”. Gráficas Sol, 1992.

http://sl.ugr.es/08Pj


Entrevista al compositor Luis de Pablo, en el ciclo “El intelectual y su memoria”

– Jueves 21 de noviembre, a las 12.30 horas, en la Facultad de Filosofía y Letras

El jueves 21 de enero, a las 12.30 horas, en el aula “García Lorca”, de la Facultad de Filosofía y Letras, se celebra una nueva edición del ciclo “El intelectual y su memoria”, en el marco de la conmemoración de las 25 promociones de Historia y Ciencias de la Música en la UGR. En esta ocasión, Antonio Martín Moreno, director del Departamento de Historia y Ciencias de la Música, realizará una entrevista al compositor Luis de Pablo.

Luis de Pablo, compositor

Luis de Pablo (Bilbao, 1930) es uno de los más importantes compositores españoles de música culta contemporánea. Desempeñó una labor pionera en la difusión de la música avanzada en nuestro país a través de organizaciones como “Tiempo y Música” (1959) o “Alea” (1965). Fue el creador del primer laboratorio de música electroacústica en España y ha sido profesor en numerosas universidades de todo el mundo. Es Doctor Honoris Causa por la Universidad Complutense de Madrid y Académico de la Real Academia de Bellas Artes de San Fernando. Entre otros galardones ha recibido el Premio Nacional de Bellas Artes, el Premio Nacional de Música de España y el Premio Iberoamericano de la Música “Tomás Luis de Victoria”.

ORGANIZA: Facultad de Filosofía y Letras – Vicedecanato de Actividades Culturales e Investigación. COLABORA: Departamento de Historia y Ciencias de la Música.

CONVOCATORIA:

ASUNTO: Entrevista al compositor Luis de Pablo.

DÍA: jueves, 21 de enero de 2016.

HORA: 12,30 horas.

LUGAR: Aula “García Lorca” de la Facultad de Filosofía y Letras.

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Exposición «Suspiros en color», de Paula Gallardo Sánchez, en el Centro de Lenguas Modernas

– Abierta al público hasta marzo

La Galería de Exposiciones del Centro de Lenguas Modernas (CLM) de la Universidad de Granada, situada en las instalaciones de su pintoresco Palacete de Santa Cruz, ofrece una interesante y amplia propuesta de exposiciones temporales de pintura, grabados, fotografía, etc. a lo largo de todo el año en un marco único.

La exposición actual “Suspiros en color”, de Paula Gallardo Sánchez, estará abierta al público hasta mediados del mes de marzo.

cuadroExposición: “Suspiros en color”.

artistaAutora: Paula Gallardo Sánchez.

Abierta al público hasta el mediados del mes de marzo de 2016. Horario: 8.00 a 22:00 horas (horario de apertura del Centro de Lenguas Modernas).

Link: https://www.clm-granada.com/html/el_clm/esp/galeria_exposiciones.htm

Dirección: Centro de Lenguas Modernas, Palacete de Santa Cruz, Placeta del Hospicio Viejo, s/n, (Realejo)18009 Granada.


Abierto el plazo de matrícula para los cursos de lengua china del Instituto Confucio de la UGR

Para estudiantes mayores de 14 años y adultos

Son la mejor estrategia lingüística para adquirir una buena base de la lengua china y desarrollar todas las habilidades lingüísticas de forma progresiva

Hasta el 16 de febrero está abierto el plazo de matrícula para los cursos de lengua china del 2ª semestre del Instituto Confucio UGR para estudiantes (mayores de 14 años) y adultos.

Los cursos de lengua china del Instituto Confucio de la Universidad de Granada son la mejor estrategia lingüística para adquirir una buena base de la lengua china y desarrollar todas las habilidades lingüísticas de forma progresiva.

Los cursos estándares tienen una duración de 60 horas y durante el curso académico se imparten dos cursos semestrales: el primero es de octubre a febrero y el segundo es de febrero a junio. El curso estándar completo tiene un total de 120 horas lectivas. El horario lectivo semanal es de 4 horas impartidas en dos clases de 2 horas en horario de lunes y miércoles, o bien de martes y jueves (mañana o tarde). Los cursos estándares de lengua y cultura chinas podrán ser reconocidos por un total de hasta 6 créditos por Actividades Culturales en los de la Universidad de Granada.

Para más información sobre los cursos: http://sl.ugr.es/08QC

Nueva convocatoria del examen oficial de lengua china oral (HSKK)

Ya se ha publicado la nueva convocatoria del examen oficial de lengua china oral (HSKK) que se celebrará el próximo 19 de marzo de 2016.

La matrícula para el examen se puede realizar hasta el 8 de febrero.

El examen se realizará en la sede del Instituto Confucio de la Universidad de Granada.

Contacto: Instituto Confucio de la Universidad de Granada. Telef. 958 24 51 62. Correo elec: iconfucio@ugr.es

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Presentado el estudio pionero “La empresa familiar en Andalucía. Año 2014”

Elaborado por la Cátedra Santander de Empresa Familiar de laUniversidad de Granada junto con el resto de Cátedras que forman la Red de Cátedras de Empresa Familiar de las Universidades Andaluzas

Es un amplio estudio pionero en la región sobre las empresas andaluzas, en el que se realiza un análisis sobre el tejido industrial en Andalucía, distinguiendo entre empresas familiares y no familiares

Recientemente se ha presentado en Sevilla el estudio «La empresa familiar en Andalucía. Año 2014», en cuya elaboración ha participado la Cátedra Santander de la Empresa Familiar de la Universidad de Granada junto con el resto de Cátedras que forman la Red de Cátedras de Empresa Familiar de las Universidades Andaluzas.

La Cátedra Santander de la Empresa Familiar de la Universidad de Granada, actualmente dirigida por Lázaro Rodríguez Ariza, tiene como objetivos la investigación y la docencia de la realidad económica y legal de este tipo de empresas, teniendo como prioridad el desarrollo de un programa educativo que contribuya a mejorar la formación de los alumnos en este ámbito. El trabajo presentado es un amplio estudio pionero en la región sobre las empresas andaluzas, en el que se realiza un análisis sobre el tejido industrial en Andalucía, distinguiendo entre empresas familiares y no familiares. La importancia de este trabajo radica en que, a pesar de que la empresa familiar es el tipo más habitual de empresa, tanto a nivel nacional como regional, no existían hasta el momento datos concretos sobre su relevancia en el ámbito regional.

En el acto estuvieron presentes numerosas personalidades, como el consejero de Economía, Antonio Ramírez de Arellano; el rector de la Universidad de Sevilla, Miguel Ángel Castro Arroyo; la decana de la Facultad de Ciencias Económicas y Empresariales de la Universidad de Sevilla, María del Carmen Núñez; el presidente de la Asociación Andaluza de la Empresa Familiar, Jerónimo Jiménez Molina; los directores de las Cátedras de Empresa Familiar de las Universidades Andaluzas; numerosos representantes de las distintas Universidades Andaluzas; y el director de convenios de Santander Universidades España, José Antonio Cristóbal.

Fuentes de información del estudio

Se han utilizado principalmente dos fuentes de información:

– La base de datos SABI (Sistema de Análisis de Balances Ibéricos), que integra datos económico-financieros de más de un millón trescientas mil empresas españolas, y de las que se tomaron las empresas andaluzas de tres o más empleados con actividad entre los años 2004 y 2011, considerado como periodo temporal de estudio.

– Una encuesta remitida a una muestra representativa de 546 empresas andaluzas entre junio y diciembre de 2014, y cuyo cuestionario recogió aspectos específicos sobre propiedad y control de la empresa, la gestión y profesionalización y el gobierno corporativo, así como apartados concretos para las empresas familiares en relación con la implicación de la familia empresaria y los procesos de sucesión, entre otros.

La información obtenida a partir de estas dos fuentes de información ha permitido analizar la empresa familiar en Andalucía desde una doble perspectiva: por una parte, un estudio agregado de las principales magnitudes económico-financieras de las empresas andaluzas; y por otra, un análisis micro con las empresas de la muestra seleccionada. En ambos casos, poniéndolos en relación con las empresas no familiares para poder interpretar los datos obtenidos en su contexto regional.

Principales resultados del estudio

La empresa familiar tiene un papel relevante en la economía andaluza, ya que supone cuatro de cada cinco empresas. Las empresas de carácter familiar están presentes en todas las actividades sectoriales, con una distribución más o menos homogénea en todas las provincias andaluzas. Si se analiza por tamaño de empresas, las empresas familiares son también dominantes en todas las categorías. Además, la empresa familiar andaluza parece ser más longeva que la empresa no familiar, siendo además familiares las empresas más antiguas de la muestra, con seis que superan los 100 años de existencia.

La familia controla la propiedad de la empresa, sin la participación de socios externos en una gran mayoría de los casos. Es muy frecuente también que los miembros de la familia empresaria sean, a la vez, propietarios y directivos de sus empresas. Casi la mitad de las empresas ha realizado el relevo generacional, bien en la propiedad o en la gestión. Tres de cada cuatro empresas familiares no tiene designado sucesor, si bien casi todas esperan que sea un miembro de la familia, que en uno de cada tres casos podría ser una mujer.

Existen órganos de gobierno familiar, como el Consejo de Familia, en algo menos de un tercio de las empresas familiares, siendo menos de una décima parte del total el número de empresas que manifiesta contar con un protocolo familiar. Cuatro de cada cinco empresas familiares que no tienen protocolo familiar indica que no tiene intención de elaborarlo.

Un aspecto que debe mejorar en la empresa familiar es la formación de sus directivos y administradores, que presentan niveles de estudios inferiores a los de sus homólogos de empresas no familiares.

Por término medio, y en comparación con las no familiares, las empresas familiares presentan un menor tamaño, dependen en mayor proporción de financiación ajena, consiguen menores rendimientos económicos de sus inversiones, soportan menores costes de financiación y, en general, son más rentables para sus propietarios. Las empresas familiares andaluzas se muestran más estables tanto en tiempos de crisis como de bonanza y parecen adaptarse más rápidamente a los cambios derivados de estos acontecimientos.

cátedraempresafamiliar

El estudio completo se puede consultar en:

LORENZO GÓMEZ, J.D. y ROJO RAMÍREZ, A.A. (Coord.) (2015): “La empresa familiar en Andalucía. Año 2014”. Cátedras de Empresa Familiar de Andalucía. ISBN: 978-84-608-4436-5.

Para más información puede dirigirse a cualquiera de las Cátedras de Empresa Familiar existentes en cada una de las universidades andaluzas o a la propia Asociación Andaluza de Empresa Familiar.

Más información sobre la Cátedra Santander de la Empresa Familiar de la Universidad de Granadaen: http://cef-ugr.org/


Agenda cultural de la UGR prevista para el 21/01/2016

Conferencia: Tartessos, o el mito interminable
Conferencia impartida por José Luis Escacena Carrasco, dentro del Ciclo de conferencias: “Mitos de la Historia de España”.
Entrada libre hasta completar aforo.
Salón de Caballeros XXIV Palacio de la Madraza a las 19:30. 

«El intelectual y su memoria»: Entrevista con el compositor Luis de Pablo Nueva edición del ciclo “El intelectual y su memoria”, en el que D. Antonio Martín Moreno entrevistará al compositor español Luis de Pablo Costales.  Aula García Lorca de la Facultad de Filosofía y Letras a las 12:30. 


La UGR abre una nueva sala de estudio durante los fines de semana

Durante el periodo de exámenes de la convocatoria de enero-febrero 2016

El Vicerrectorado de Estudiantes y Empleabilidad de la Universidad de Granada comunica que, ante el aumento de demanda de espacio de estudio, durante el periodo de exámenes de la convocatoria de enero-febrero 2016, se habilita como nueva sala de estudio los fines de semana, a partir del viernes 22 de enero, elAulario de la Escuela Internacional de Posgrado (antigua Facultad de Ciencias de la Salud, junto a la entrada de Urgencias del Hospital Clínico).

  • Viernes: de 20,30 horas a 6 horas de la mañana del día siguiente.
  • Sábados, Domingos y Festivos: de 8 horas de la mañana a 6 horas de la mañana del día siguiente.
  • Se cerrará entre las 6 y 8 horas para realizar labores de limpieza en las instalaciones.

ImagenWebSalasdeEstudio


Enrique Hita toma posesión como presidente de la Academia de Ciencias Matemáticas, Físico-Químicas y Naturales de Granada

El jueves, 21 de enero, a las 18,30 horas en el Salón de Grados de la Facultad de Ciencias

La rectora de la UGR, Pilar Aranda Ramírez, pronunciará la lección inaugural del curso académico 2016

El catedrático de Óptica de la Universidad de Granada Enrique Hita Villaverde tomará posesión mañana jueves, 21 de enero, a las 18,30 horas en el Salón de Grados de la Facultad de Ciencias como presidente de la Academia de Ciencias Matemáticas, Físico-Químicas y Naturales de Granada, en un acto que servirá para inaugurar el curso académico 2016 de esta institución.

La rectora de la UGR, Pilar Aranda Ramírez, será la encargada de pronunciar la lección inaugural, que tendrá como título “La labor de las Academias en el contexto universitario y social”.

CONVOCATORIA:

  • Asunto: Enrique Hita toma posesión como presidente de la academia de Ciencias Matemáticas, Físico-Químicas y Naturales de Granada
  • DÍA: Jueves, 21 de enero
  • HORA: 18,30 horas
  • LUGAR: Salón de Grados de la Facultad de Ciencias