Sesión ordinaria del Consejo de Gobierno de la Universidad de Granada

El próximo viernes, día 29 de enero de 2016, a las 8:30 horas en primera convocatoria y a las 9 horas en segunda, tendrá lugar, en la Sala de Convalecientes del Hospital Real, sesión ordinaria del Consejo de Gobierno, con el siguiente Orden del día:

  • 1. Informe de la Sra. Rectora.
  • 2. Elección de miembros en la Comisión delegada de Calidad y Evaluación para cubrir las siguientes vacantes: una en el sector profesorado y dos en el sector del estudiantado.
  • 3. Elección de miembros en la Comisión de Innovación Docente para cubrir las siguientes vacantes: una en el sector de profesorado (rama Artes y Humanidades) y una en el sector de estudiantado.
  • 4. Elección de representantes en el Consejo Asesor del CICODE, para cubrir vacantes.
  • 5. Propuesta y aprobación, si procede, de modificación de la composición de la Comisión de Acreditación Lingüística y elección, en su caso, de nuevos miembros.
  • 6. Propuesta y aprobación, en su caso, de los acuerdos adoptados por la Comisión Académica en su sesión de 19 de enero de 2016, relativos a:
    • a) Solicitudes de permisos y licencias.
    • b) Nombramiento de colaboradores extraordinarios.
  • 7. Aprobación, si procede, de los siguientes títulos de Máster Universitario, informados favorablemente por el Consejo Asesor de Enseñanzas de Posgrado:
    • a) Máster Universitario en Estudios e Intervención Social en Inmigración, Desarrollo y Grupos Vulnerables.
    • b) Máster Universitario en Investigación, Desarrollo Social e Intervención Socioeducativa.
    • c) Máster Universitario en Tecnologías para la Investigación de Mercados y Marketing.
    • d) Master Erasmus+ en Excelencia en Salud Pública (Europubhealth).
    • e) Participación de Profesorado de la Universidad de Granada en el Master Erasmus+ in Forensic Sciences.
  • 8. Aprobación, si procede, del título propio “Diploma de Especialización en Diseño, Cálculo y Gestión de Arquitectura Biosanitaria, 1ª Edición. 14/DE/025“, informado favorablemente por el Consejo Asesor de Enseñanzas de Posgrado.
  • 9. Aprobación, si procede, del informe de la Comisión de Títulos de Grado relativo a reconocimiento de créditos por actividades universitarias del segundo semestre del curso 2015/16 (art. 37 de la Normativa de creación, modificación, suspensión temporal o definitiva y gestión de títulos de Grado en la Universidad de Granada).
  • 10. Aprobación, si procede, de propuestas de adscripción y cese de miembros al Instituto Universitario de Investigación “Carlos I” de Física Teórica y Computacional, al Instituto Universitario de Investigación de Matemáticas y al Centro de Investigación en Tecnologías de la Información y de las Comunicaciones de laUniversidad de Granada.
  • 11. Propuesta y aprobación, en su caso, de los acuerdos adoptados por la Comisión de Investigación, en sesiones de 9 de diciembre de 2015 y 21 de enero 2016, relativos a los siguientes programas del Plan Propio de Investigación 2015:
    • a) Contratos predoctorales.
    • b) Estancias breves en otros centros de investigación, 3ª. Resolución.
    • c) Contratos puente, 4ª resolución.
  • 12. Aprobación, si procede, de propuesta de premios extraordinarios de doctorado del Área de Ciencias Sociales y Jurídicas, período 2011/2012, informada favorablemente por el Comité de Dirección de la Escuela de Humanidades, Ciencias Sociales y Jurídicas de la Universidad de Granada.
  • 13. Aprobación, si procede, de propuesta de premios extraordinarios fin de carrera de las Facultades de Traducción e Interpretación, Medicina, Psicología, Farmacia y Bellas Artes, correspondientes al curso académico 2014/2015.
  • 14. Ruegos y preguntas.
  • 15. Lectura y, en su caso, aprobación del Acta relativa a los acuerdos adoptados en la presente sesi


Des scientifiques expliquent les mécanismes de fonctionnement du cerveau humain en employant les lois de la physique

Leur travail a été publié dans Scientific Reports, édité par la prestigieuse revue Nature.

Les chercheurs ont réalisé un énoncé original dans lequel ils étudient de façon détaillée les neurones cérébraux comme s’il s’agissait d’équations physiques.

 

Est-il possible d’expliquer les mécanismes de fonctionnement du cerveau humain en employant uniquement les lois de la physique ? Des scientifiques de l’Université de Grenade (UGR) l’ont démontré pour la première fois dans un article publié dans Scientific Reports, édité par la prestigieuse revue Nature.

Les chercheurs Joaquín Torres et Joaquín Marro, de l’Institut Carlos I de l’UGR, ont réalisé un énoncé original : ils ont étudié de façon détaillée les neurones cérébraux comme s’il s’agissait d’équations physiques aux dérivées partielles, qui entrent en rapport selon un réseau d’interactions dénommées synaptiques.

Leur travail a permis d’établir un modèle basé sur une série de réseaux de neurones mathématiques qui imitent ces réseaux naturels de connexions cérébrales qui donnent un support à notre esprit.

Les chercheurs de l’UGR ont détecté et caractérisé en détail dans leur modèle jusqu’à sept phases ou comportements de l’esprit humain qualitativement différents, auxquels ils ont assigné une couleur différente (partie supérieure de la figure 1).

Ces changements ont lieu lorsqu’on varie un paramètre D qui décrit le niveau de « bruit », c’est-à-dire, la somme de signaux apparemment aléatoires qui proviennent d’autres parties du système nerveux ou de l’extérieur. Ces phases incluent les états mentaux familiers de repos complet ou discontinu, des synchronisations neuronales totales, partielles ou changeantes avec le temps, récupération de mémoire, etc., et des situations très dynamiques qui rappellent nos états de veille et d’attention.

De plus, lorsqu’on perturbe le système avec un signal faible, il montre clairement six pointes bien définies (courbe dans la partie inférieure de la figure 1) qui signalent les transitions entre les phases qui s’observent.

Changements de phase

Tel que l’expliquent les professeurs Torres et Marro, « les physiciens savent décrire avec une fidélité mathématique des situations singulières qu’ils dénomment génériquement changements de phase. C’est le cas de l’eau quand elle se solidifie, adoptant ainsi une structure si différente de celle de départ que nous ne parlons plus d’eau, et quand elle devient vapeur, qui peut s’étendre sans limite dans tout l’espace bien qu’il y ait à peine de changement de volume lorsqu’on la chauffe jusqu’à en arriver à cette situation ».

La phénoménologie associée à des changements de phase est, dans la pratique, encore plus fascinante de ce que l’indiquent ces règles, car au lieu de l’équilibre idéal que décrit la thermodynamique, les irrégularités spatiales et temporelles règnent dans la nature. « C’est le cas des cerveaux évolués, tel que cela a été rendu évident dans des études récentes en utilisant des résonnances magnétiques, la tomographie par émission de positrons, des encéphalographies et des sondes délicates », expliquent les auteurs de ce travail.

Cette conduite suggère de préparer des expérimentations psychophysiques simples comme celles qu’illustre la figure 2. « Il s’agit de stimuler le cerveau avec un signal faible —tel que, par exemple, de légers soufflements d’air sur les yeux— et de mettre sous monitoring la façon dont il se propage dans notre réseau neuronal tandis qu’il concourt avec un autre bruit —tel qu’un son dont l’intensité peut se modifier », expliquent-ils.

On suppose que le stimulus est traité par les neurones et que ceux-ci réagissent en provoquant des clignements synchronisés pour réponse et pour défense. Cependant, les neurones sont également perturbés par le bruit D, de sorte qu’ils peuvent ne pas être capables de se synchroniser adéquatement avec les soufflements.

Propriétés robustes

Les chercheurs de l’UGR ont également démontré que les propriétés émergentes du modèle sont robustes, c’est-à-dire, peu sensibles aux modifications possibles dans les détails, particulièrement ceux qui se réfèrent à la forme topologique de la maille d’interactions.

Après avoir vérifié la versatilité et l’utilité de leur modèle, les scientifiques de l’UGR prétendent l’adapter maintenant « afin de comprendre comment changent ces phénomènes émergents en rapport avec les fonctions mentales, en considérant différentes mailles d’interactions selon les données nouvellement disponibles pour des espèces animales différentes. Peut-être cette voie nous mènera-t-elle à découvrir ce qui rend les humains différents en ce qui concerne le cerveau », concluent les chercheurs.

Référence bibliographique :

Brain Performance versus PhaseTransitions. Joaquín J.Torres & J. Marro. Scientific Reports | 5:12216 | DOI: 10.1038/srep12216

L’article complet est disponible surle site suivant:

http://www.nature.com/srep/2015/150720/srep12216/pdf/srep12216.pdf

Schéma d’expérimentation psychophysique pour mesurer la corrélation C entre un stimulus et la réponse du système en présence d’un « bruit » D.

Architecture des fibres de matière blanche qui informe sur le rapport entre régions cérébrales, courtoisie du projet Human Connectome.

Contact :

Joaquín Marro Borau.Département d’Électromagnétique et de Physique de la Matière. Tél. : 958243385; courriel : jmarro@ugr.es

Joaquín Torres Agudo.Département d’Électromagnétique et de Physique de la Matière. Tél. : 958 241000, ext. 20188,958244014; courriel : jtorres@ugr.es


Researchers explain the working mechanisms of the human brain using the laws of Physics

Their work has been published in Scientific Reports, published by the renowned Nature magazine

The researchers have made an original approach in which they studied neurons in detail, as if they were physic equations

Is it possible to explain the working mechanisms of the human brain using only the laws of Physics? Researchers from the University of Granada (UGR) have proven so, in an article published in Scientific Reports, published by the renowned Nature magazine.

Researchers Joaquín Torres and Joaquín Marro, from Institute Carlos I for Theoretical and Computational Physics, have made an original approach: they have studied neurons in detail, as if they were physic, differential equations, which are related by a series of interactions called synaptic connections.

Their work has allowed to establish a model based on a series of mathematical neural networks which imitate those natural networks of cerebral connexions that make part of our mind.

The researchers have detected and identified with detail up to seven qualitatively different phases or behaviours of the human mind, to whom they have assigned a different colour (upper section of figure 1).

These changes occur when modifying a parameter called D, which describes the amount of ‘noise’, that is, the total sum of apparently random signals coming from the exterior or from other parts of the central nervous system. These phases include some familiar mental states such as: total or discontinuous rest; total, partial or changing-with-time neural synchronisations; memories recovery; and very dynamic situations which resemble our states of wakefulness and alertness.

Moreover, disrupting the system with a faint signal clearly shows six well defined peaks (curve in the inner section of figure 1) that mark a transition between the observed phases.

Phase changes
As professors Torres and Marro explain, «we physicists know how to describe singular situations (called phase changes) with mathematical accuracy. This is the case of solidifying water, which adopts a structure so different to that of the starting point that we are no longer talking about water; or when it turns into vapour, which is able to spread without limits until it occupies all the space available when it is heated, even though volume doesn’t changes so much».

Phenomenology associated with phase changes is, in practice, even more fascinating than this patterns may suggest, given that, in the real world, spatial and temporal irregularities prevail instead of the ideal balance described by thermodynamics. «This is the case of evolved brains, as shown in recent researches carried out using magnetic resonance, positron emission tomography, encephalographies, and delicate probes», the authors of this paper explain.

This behaviour makes us think in setting simple psychophysical experiments like those illustrated in figure 2. «The experiments consist in stimulating the brain with a faint signal -such as, for example, lightly blowing air on the eyes- and monitoring how that signal spreads over our neural network while competing against another noise -such as a sound whose volume can be modified», they explain.

The stimulus is supposed to be processed by neurons, and the latter would react by causing synchronised blinking as a response and defence. However, neurons are also being disrupted by the noise D, so they might not be able to properly synchronise with the blows.

Strong properties
The researchers from the UGR have also proven that the emergent properties from this model are strong, that is, they are not much sensitive to possible changes in the details, specifically the ones related to the topological form of the interaction network.

After confirming the versatility and utility of their model, the researchers now expect to adapt it «in order to understand how these emergent phenomenons related with mental functions could change, considering different interaction networks according to the data available for different animal species. This path may lead us to find out what makes us humans so different in relation to our brains», the researchers conclude.

Bibliographic references:

Brain Performance versus Phase Transitions
Joaquín J. Torres & J. Marro
Scientific Reports | 5:12216 | DOI: 10.1038/srep12216

http://www.nature.com/srep/2015/150720/srep12216/pdf/srep12216.pdf

Figure 2. Diagram of a psychophysical experiment for measuring the correlation C between a stimulus and the system response in the presence of a 'noise' D.

Figure 3. Architecture of white matter fibres, which gives information about the link between different brain regions. Courtesy of the Human Connectome Project.

Contact:
Joaquín Marro Borau
Departamento de Electromagnetismo y Física de la Materia
Telephone: (+34) 958 243 385
Joaquín Torres Agudo
Departamento de Electromagnetismo y Física de la Materia
Telephones: (+34) 958 241 000 ext. 20188 ; (+34) 958 244 014

 


Expertos en construcciones antisísmicas participan en una jornada sobre proyectos de I+D en la ETS de Arquitectura

Organizada por la Universidad de Granada, el Centro para el Desarrollo Tecnológico Industrial (CDTI) y la Corporación Tecnológica de Andalucía (CTA), será inaugurada por el vicerrector de Investigación y Transferencia de la UGR, Enrique Herrera Viedma

La E.T.S. de Arquitectura de la Universidad de Granada (Campo del Principe) acogerá mañana jueves, 28 de enero, a partir de las 9,15 horas una jornada técnica de proyectos de I+D+i sobre Resiliencia Urbana e Ingeniería de Construcción anti-sísmica, organizada por la Universidad de Granada, el Centro para el Desarrollo Tecnológico Industrial (CDTI) y la Corporación Tecnológica de Andalucía (CTA).

La jornada, en la que participarán expertos del sector, será inaugurada por el vicerrector de Investigación y Transferencia de la UGR, Enrique Herrera Viedma, quien junto al ex presidente de la Asociación Española de Ingeniería sísmica, Ricardo García Arribas, y el responsable técnico de Edificación y Obra Civil de la CTA, Carlos García Delgado, atenderá a los medios de comunicación a las 9,15 horas.

Los desafíos a los desastres naturales, en particular los terremotos, obligan a que en las ciudades se preparen estrategias de gestión del riesgo, mitigación de los daños y recuperación de la actividad después de su impacto, procurando la mayor protección sobre las edificaciones y las infraestructuras críticas: hospitales, carreteras, vías férreas, aeropuertos, puertos, estaciones, instalaciones energéticas y de comunicaciones, etc.

Por ello, para la gestión, planificación y construcción en las grandes ciudades, no solo hay que tener en cuenta los conceptos de urbanización sostenible, ciudades inteligentes o eficiencia energética, sino también las técnicas de diseño, de nuevas tecnologías y productos para la prevención y la construcción resiliente de los edificios y elementos de la obra civil.

Las grandes empresas de ingeniería y construcción españolas con actividad internacional ya se han dado cuenta de la gran importancia que se dan a estos conceptos en las licitaciones internacionales en países como Perú, Turquía, Colombia, México, Chile, Indonesia, etc.

Descargue programa de la jornada.

CONVOCATORIA:

  • Asunto: Inauguración de la Jornada Técnica de proyectos de I+D+i sobre Resiliencia Urbana e Ingeniería de Construcción anti-sísmica
  • DÍA: Jueves, 28 de enero
  • HORA: 9,15 horas
  • LUGAR: Aula Seminario de la ETS de Arquitectura de la UGR (Campo del Príncipe)


Una investigación advierte de la necesidad de proteger los Derechos Humanos de las personas ‘trans’

El activismo internacional por la despatologización ‘trans’ reclama que se retire la clasificación diagnóstica actual de la transexualidad como trastorno mental, y que la sanidad pública cubra los procesos de modificación corporal, según una tesis doctoral realizada en laUniversidad de Granada

Según este trabajo, realizado por el investigador y activista ‘trans’ Amets Suess Schwend, los grupos activistas por la despatologización ‘trans’ piden además un cambio del modelo actual de atención sanitaria, el reconocimiento legal del género sin requisitos médicos y la despatologización de la diversidad de género en la infancia

El activismo internacional por la despatologización ‘trans’ reclama que se retire la clasificación diagnóstica actual de la transexualidad como trastorno mental, y que la sanidad pública cubra los procesos de modificación corporal.

Además, pide un cambio del modelo actual de atención sanitaria, el reconocimiento legal del género sin requisitos médicos, la protección contra dinámicas de discriminación y violencia transfóbica, y la despatologización de la diversidad de género en la infancia.

Son algunas de las conclusiones de una investigación realizada por Amets Suess Schwend, activista ‘trans’ e investigador de la Escuela Andaluza de Salud Pública y del Grupo de Investigación Otras, Perspectivas Feministas en Investigación Social de la Universidad de Granada, dirigida por la profesora Carmen Gregorio Gil.

En este trabajo, el autor realiza un resumen del proceso de emergencia e internacionalización del activismo por la despatologización ‘trans’, así como un análisis del desarrollo histórico de la clasificación actual de losprocesos de tránsito en el género y modificaciones en diferentes ediciones de los manuales diagnósticos y estándares de cuidado.

La investigación realizada en la UGR supone una revisión de diferentes líneas temáticas presentes en losdiscursos activistas y teórico-activistas por la despatologización ‘trans’, desde su interrelación con discursos precedentes, perspectivas profesionales, desarrollos institucionales, así como marcos teóricos y procesos activistas afines.

Además, se aportan reflexiones sobre la contribución de la perspectiva de despatologización a la epistemología, metodología y ética de la investigación.

Despatologización ‘trans’

Amets Suess defiende que la despatologización de las expresiones, trayectorias e identidades de género en el contexto clínico, educativo, familiar, social y legal, así como en el ámbito de la investigación, “puede identificarse como un aspecto fundamental para la protección de los Derechos Humanos de las personas ‘trans’”.

El investigador de la UGR señala que, a lo largo de los últimos años,“la perspectiva de despatologización ‘trans’ ha ido alcanzando una creciente difusión y entrada en la agenda de organismos internacionales y regionales, discursos científicos y protocolos clínicos”.

Además, se pueden observar cambios en la clasificación diagnóstica de los procesos de tránsito en el género. En algunos países, se constatan avances en materia de reconocimiento legal de género. “Paralelamente, se detecta una continuada situación de patologización, discriminación y exclusión social de las personas trans* en diferentes partes del mundo”, concluye Suess.

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Carmen Gregorio Gil y el investigador de la UGR Amets Suess Schwend.

Contacto:

Amets Suess Schwend

Grupo de Investigación Otras. Perspectivas Feministas en Investigación Social, Universidad de Granada Escuela Andaluza de Salud Pública

Teléfono: 958 02 74 00

Correo electrónico: amets.suess.easp@juntadeandalucia.es


Agenda cultural de la UGR prevista para el JUEVES, 28 de ENERO de 2016 Enviar esta página por e-mail

DESTACADOS:

  • Conferencia “La arqueología herida. La destrucción del patrimonio arqueológico en conflictos bélicos” 
    La nueva Cátedra de Patrimonio se estrena con esta conferencia del profesor Ignacio Rodríguez Temiño. 
    Gabinete de Teatro, Palacio de la Madraza, a las 20:00. 
  • Conferencia y lectura poética: “125º aniversario del nacimiento de Osip Mandelshtam” 
    Conferencia y lectura poética (en español y ruso) con motivo del 125º aniversario del nacimiento del poeta ruso Osip Mandelshtam. 
    Centro ruso de la Universidad de Granada a las 20:00. 

AGENDA COMPLETA EN: http://sl.ugr.es/03Fh


El Centro de Lenguas Modernas celebra una Jornada de recepción de estudiantes

Jueves, 28 de enero, a las 17 horas, en la E.T.S. de Arquitectura

Los estudiantes del Centro de Lenguas Modernas de la UGR están convocados el jueves, 28 de enero a las 17 horas, en la E.T.S. de Arquitectura a una Jornada de Recepción en la que recibirán información y orientación de interés para su estancia en Granada así como los servicios que ofrece la Universidad de Granada en las áreas de deportes, actividades culturales y sociales.

La bienvenida a la Jornada será ofrecida por Juan Sánchez Fernández, director del Centro de Lenguas Modernas y Carmen Caballero Navas, directora de Política Lingüística de la UGR.

Más información en: http://www.clm-granada.com/

CONVOCATORIA:

  • ASUNTO: Jornada de recepción de estudiantes en el C.L.M.
  • DÍA: Jueves, 28 de enero.
  • HORA: 17 horas.
  • LUGAR: Aula Magna de la E.T.S. de Arquitectura. Campo del Príncipe.


La Cátedra de Patrimonio se estrena con la conferencia “La arqueología herida. La destrucción de patrimonio arqueológico en conflictos bélicos”

A cargo de Ignacio Rodríguez Temiño, tendrá lugar en el Gabinete de Teatro de la Madraza el jueves, 28 de enero de 2016, a las 20 h

La nueva Cátedra de Patrimonio, que dirige la profesora M.ª Luisa Bellido en el Centro de Cultura Contemporánea de la UGR, se estrena en la Madraza (el jueves, 28 de enero de 2016, en el Gabinete de Teatro, a las 20 h) con la conferencia del profesor Ignacio Rodríguez Temiño “La arqueología herida. La destrucción de patrimonio arqueológico en conflictos bélicos”.

El asunto de que trata esta conferencia, la destrucción del patrimonio cultural durante los conflictos armados, ha sido una preocupación constante de la comunidad internacional, subsidiaria del interés por el respeto de los derechos humanos en esos trágicos episodios. Según los organizadores de este primer acto de la Cátedra de Patrimonio de la UGR: “Existe un ´ius in bello` especialmente dirigido a minimizar este tipo de daños, pero, para que sea efectivo, debe estar acompañado de una concienciación de los gobiernos y los ejércitos sobre el valor del patrimonio cultural como instrumento de recuperación social posbélica. Tarea difícil cuando se refiere a los contendientes, pero más factible cuando van dirigidas a cuerpos expedicionarios que intervienen en esos escenarios bajo mandato de organismos internacionales con misiones relacionadas con los procesos de mantenimiento de la paz”.

Esta conferencia resume la situación actual en esta materia, y hace especial hincapié en lo ocurrido en la esfera internacional a raíz del conflicto en Irak durante 2003 hasta la situación actual dominada por el caso de Siria y su guerra civil.

“En este campo –matizan los organizadores de la conferencia– es difícil extraer conclusiones que superen lo obvio porque ni siquiera los estándares humanitarios más básicos se cumplen. Para acercarlo al caso español, se propone la incorporación de España al grupo de países conscientes del valor añadido que supone la introducción de este tipo de actuaciones en sus misiones militares en el extranjero”.

Experto en expolio arqueológico

Ignacio Rodríguez Temiño es doctor en Historia (Universidad de Granada). Se ha dedicado a la arqueología desde sus comienzos profesionales: arqueólogo municipal de Écija entre 1984-1989, conservador de patrimonio arqueológico en la Dirección General de Bines Culturales (Consejería de Cultura, Junta de Andalucía) (1990-2000), jefe del departamento de Protección del Patrimonio Histórico (Delegación Territorial de Sevilla) entre 2000 y 2005, y actualmente es director del Conjunto Arqueológico de Carmona. Uno de los campos en los que más ha actuado profesional e intelectualmente ha sido el expolio del patrimonio arqueológico, sobre el que ha publicado libros (“Indianas Jones sin futuro. La lucha contra el expolio del patrimonio arqueológico”), así como artículos en revistas nacionales y sobre todo internacionales (International Journal of Cultural Property, Journal of European Archaeology, Open Archaeology).

Ha intervenido en congresos y foros sobre esta disciplina particular. Aunque no forma parte de sus funciones en el Conjunto Arqueológico de Carmona, el expolio y el tráfico ilícito de antigüedades, colabora tanto con las fiscalías especializadas como con la Brigada de Patrimonio Histórico, del Grupo de Delincuencia Organizada y Violenta del Cuerpo Nacional de Policía, como con el Grupo de Patrimonio Histórico de la Unidad Central Operativa de la Guardia Civil.

La vinculación con el expolio y el comercio ilícito ha llevado a Rodríguez Temiño a interesarse por la destrucción de bienes culturales en escenarios bélicos, lo que le supuso el encargo de un documento de reflexión sobre este particular del Instituto Español de Estudios Estratégicos, dependiente del Ministerio de Defensa.

http://sl.ugr.es/08QMctedra-de-patrimonio-la-arqueologa-herida


El Repositorio Institucional de la Universidad de Granada, DIGIBUG, en el puesto 87 de 2205 internacionales, y primero de Andalucía

Los repositorios son herramientas básicas y obligatorias para la difusión de la ciencia con financiación pública

Digibug alberga una colección de 32387 documentos a texto completo, visibles y accesibles desde cualquier parte del mundo

El Repositorio Institucional de la Universidad de Granada DIGIBUG (http://digibug.ugr.es), edición de enero de 2016 del «Ranking Web de Repositorios del Mundo», iniciativa del Laboratorio de Cibermetría, perteneciente al CSIC, aparece en la posición 87 de 2205 repositorios institucionales del mundo y ocupa además la primera posición dentro de Andalucía.

Actualmente, Digibug alberga una colección de 32387 documentos a texto completo, visibles y accesibles desde cualquier parte del mundo. Una parte destacada de este conjunto lo conforman: la colección de tesis doctorales de la Universidad de Granada y el fondo antiguo albergado en la Biblioteca del Hospital Real. Se cuenta con más de 400 usuarios autorizados de toda la comunidad universitaria para alimentar el Repositorio.

El Repositorio Institucional DIGIBUG se basa en la filosofía del «Open Access» y tiene la finalidad de recoger, recopilar y organizar los documentos digitales de carácter científico, docente e institucional producidos por laUniversidad de Granada, para el apoyo a la investigación, docencia y aprendizaje. Con ello aumentamos la accesibilidad y visibilidad de la ciencia que se está realizando en nuestra Universidad.

El acceso abierto a la literatura científica significa, de acuerdo con la definición de la Budapest Open Access Iniciative (BOAI), dic. 2001, que «los usuarios pueden leer, descargar, copiar, distribuir, imprimir, buscar o enlazar los textos completos de los artículos científicos, y usarlos con cualquier otro propósito legítimo, sin otras barreras financieras, legales o técnicos más que las que suponga Internet en sí misma».

DIGIBUG pretende un doble objetivo: por un lado, incrementar la accesibilidad a la ciencia producida por laUGR, y por otro lograr el aumento de la visibilidad y «valor» público de la institución.

Contacto: Mª. José Ariza Rubio. Directora de la Biblioteca Universitaria de Granada. Hospital Real.Tlf.: 958 243053. Correo elec: mjariza@ugr.es


“Poesía y ciencia. De los distintos modos del tiempo y la memoria”, en la Cátedra “Federico García Lorca”

A cargo de Jenaro Talens y Domingo Sánchez-Mesa, tendrá lugar en la Sala del Mural del Palacio de la Madraza, el jueves, 28 de enero de 2016, a las 20 h

Los profesores Jenaro Talens y Domingo Sánchez-Mesa intervienen en el acto “Poesía y ciencia. De los distintos modos del tiempo y la memoria”, que organiza la Cátedra “Federico García Lorca”, que dirige Amelina Correa en el Centro de Cultura Contemporánea, Vicerrectorado de Extensión Universitaria de la UGR.

Esta conferencia diálogo a dos, con entrada libre hasta completar el aforo, tendrá lugar en la Sala del Mural del Palacio de la Madraza, el jueves, 28 de enero de 2016, a las 20 horas.

Jenaro Talens es poeta, ensayista, traductor y catedrático de Literaturas Hispánicas, Literatura Comparada y Estudios Europeos en la Universidad de Ginebra.

Domingo Sánchez-Mesa es catedrático en el Departamento de Lingüística General y Teoría de la Literatura de la UGR.

http://sl.ugr.es/08QLctedra-federico-garca-lorca


Velada poética sobre Osip Mandelshtam en el Centro Ruso de la Universidad de Granada

Jueves 28 de enero, a las 20 horas, en su sede de Avda. de la Constitución

Con motivo de la celebración del 125 aniversario del nacimiento de del poeta Osip Mandelshtam el Centro Ruso de la Universidad de Granada y la Fundación Russkiy Mir con la colaboración de Russia beyond the Headlines han organizado el jueves 28 de enero, a las 20 horas, en su sede de Avda. de la Constitución, una Velada poética.

Se contará con las intervenciones de los profesores de la UGR Joaquín Torquemada Sánchez, José Antonio Hita Jiménez y Natalia Arséntieva. En la Velada poética se comentarán aspectos de la vida y obra de Osip Mandelshtam y se leerán algunos de sus poemas en ruso y español. También se debatirá la relevancia de este autor en el repertorio literario ruso, así como su significación política.

Con esta actividad el Centro ruso prosigue con las actividades dedicadas a la difusión y promoción de la lengua y cultura rusas iniciadas en septiembre de 2015.

Abierto el plazo para la preinscripción para los cursos de Lengua Rusa

Hasta el 5 de febrero está abierto el plazo de inscripción para los cursos de Lengua Rusa que se imparten en el Centro Ruso de la Universidad de Granada con niveles Inicial (A1-A2), Intermedio (A2+-B1), Avanzado (B1-B2) y Superior (B2+-C1).

Inscripción en: http://centroruso.ugr.es/pages/formulario_registro

Más información en: centroruso.ugr.es, @CentroRusoUGR.

CONVOCATORIA:

ASUNTO: Velada poética sobre Osip Mandelshtam.

DÍA: jueves 28 de enero.

HORA: 20 horas.

LUGAR: Centro Ruso de la Universidad de Granada. (Avda. de la Constitución 18, Edif. Elvira, bajo).


Une étude confirme que les coureurs de marathon expérimentent le flow, un état psychologique dans lequel le sportif reste complètement absorbé dans l’activité

Pendant cet état subjectif, la personne se trouve complètement absorbée par une activité pour son propre plaisir et jouissance, et expérimente une énorme satisfaction.

Le flow peut se produire en réalisant n’importe que type d’activité, comme par exemple la peinture, l’écriture, la musique ou en pratiquant un sport.

À cette recherche, réalisée par des scientifiques des universités de Grenade, Séville et Pablo de Olavide (Séville), ont participé 170 marathoniens entre 19 et 71 ans.

 

Une étude réalisée par des scientifiques andalous a confirmé que les coureurs de marathon expérimentent des épisodes de flow, un état psychologique dans lequel la personne se trouve complètement absorbée dans une activité pour son propre plaisir et jouissance, pendant laquelle le temps vole et les actions, pensées et mouvements se succèdent sans pauses.

Le « flow » peut se produire en réalisant n’importe quel type d’activité, comme par exemple la peinture, l’écriture, la musique ou en pratiquant un sport. Pendant le « flow », l’esprit et le corps travaillent ensemble sans effort, et la personne se trouve complètement absorbé par une activité au cours de laquelle el perd la notion du temps et expérimente une énorme satisfaction.

Selon cette recherche, réalisée par des scientifiques des universités de Grenade, Séville et Pablo de Olavide (Séville), les athlètes expérimentent le flow d’une façon plus profonde, intense et fréquente que dans la meilleure compétition dont ils se souviennent d’avoir participé, ainsi que lors du dernier marathon, en comparaison aux entraînements et aux courses en général.

Le flow, un phénomène psychologique complexe
L’objectif de ce travail était de déterminer si des coureurs de marathon de différents niveaux de dévouement et de rendement expérimentent des états de flow dans leur pratique sportive, et la façon dont ceux-ci perçoivent ces épisodes, ainsi que d’établir leur possible influence dans le rendement sportif (performances obtenues lors de la meilleure course et de la dernière course, ainsi que la performance espérée dans celle-ci.)

L’état de flow est un phénomène psychologique complexe qui a été amplement étudié dans différents contextes ou activités, y inclus le sport, activité pendant laquelle cette expérimentation est fréquente.

Scientifiquement, il se définit comme « un état de conscience pendant lequel quelqu’un arrive à être totalement absorbé par ce qu’il est en train de faire, au point d’en arriver à l’exclusion de toute pensée ou émotion. Il s’agit d’une expérience harmonieuse lors de laquelle l’esprit et le corps travaillent ensemble sans effort, offrant à la personne le sensation que quelque chose de spécial s’est produit », signale Débora Godoy Izquierdo, chercheuse au département de Personnalité, d’Évaluation et de Traitement Psychologique de l’Université de Grenade.

Ont participé à cette étude de façon volontaire 170 marathoniens entre 19 et 71 ans ayant couru le Marathon de Séville de 2010, et qui l’ont complétée avec un questionnaire scientifique dénommé Échelle Brève de Flow avant et après avoir participé à ladite course.

L’objectif des scientifiques était de vérifier si des marathoniens de différents niveaux de rendement expérimentent un flow et les caractéristiques de ce phénomène dans cette collectivité de sportifs, ainsi que connaître si les expériences de flow étaient différentes dans trois situations sportives : entraînements et courses en général, la meilleure course dont on se souvient et la dernière course. De plus, les chercheurs ont voulu explorer le rapport possible entre les expériences de flow et les performances espérées et obtenues par les coureurs lors de la meilleure et de la dernière course.

« Connaître les conditions personnelles et contextuelles qui produisent le flow pourrait nous aider à dessiner des interventions psychologiques destinées à l’augmentation des habiletés qui permettent aux athlètes d’atteindre des états intenses de flow, ce qui pourrait améliorer leur exécution et leurs résultats », conclut Débora Godoy.

Référence bibliographique :
Flow y rendimiento en corredores de maratón. Miguel Ángel Fernández Macías, Débora Godoy-Izquierdo, José Carlos Jaenes Sánchez, María Rocío Bohórquez Gómez-Millán et Mercedes Vélez Toral. Revista de Psicología del Deporte 2015. Vol. 24, nº 1, p. 9-19. ISSN: 1132-239X. ISSNe: 1988-5636

Des coureurs lors du Marathon de Séville

Contact :

Débora Godoy Izquierdo. Département de Personnalité, d’Évaluation et de Traitement Psychologique de l’Université de Grenade. Tél. : 958 242 331; courriel : deborag@ugr.es