Des scientifiques de l’Université de Grenade brevètent un feu de signalisation dans lequel les lumières se trouvent à la base, facilitant ainsi leur réparation

Le nouveau dispositif se fonde sur la technologie LED, mini lentilles et fibres optiques, et le fait d’avoir les sources lumineuses à la base permet à un seul ouvrier de les substituer sans utiliser de grue lorsqu’elles sont en panne.

Actuellement, chaque fois qu’il se produit une panne dans un feu de signalisation, il faut employer des agents de police, fermer la voie ou même interrompre le trafic routier. De plus, les ouvriers doivent utiliser des grues pourvues de harnais à des hauteurs de parfois huit mètres.

Des scientifiques de l’Université de Grenade, membres des départements d’Optique et d’Ingénierie Civile, ont dessiné et breveté un nouveau feu de signalisation basé sur la technologie LED, mini lentilles et fibres optiques, beaucoup plus résistant que les actuels et plus simple à réparer lorsqu’il tombe en panne.

Le nouveau dispositif représente une importante amélioration de la sécurité routière vu que grâce à lui les ouvriers n’ont pas à interrompre le trafic lorsqu’il faut remplacer la matrice de LEDs du feu, comme c’est encore le cas. De plus, à différence des feux traditionnels, le feu dessiné à l’Université de Grenade a les sources lumineuses à la base, de sorte qu’un seul ouvrier peut les utiliser sans avoir recours à une grue.

Actuellement, les voies publiques représentent une menace constante pour les piétons et les conducteurs à cause de la densité croissante du trafic. Cela impose la nécessité de son contrôle et de sa régulation par le code de la circulation, une efficace signalisation et des limites de vitesse aux véhicules.

Parmi les causes du grand nombre d’accidents qui se produisent se trouvent les erreurs humaines, les défauts de signalisation et un mauvais entretien de la voie publique. Ainsi, une signalisation correcte contribue à minimiser l’erreur humaine, à obtenir un trafic plus fluide et agile, et donc à réduire la possibilité d’accidents.

Tel que l’explique l’auteur principal de ce travail, le professeur du département d’Optique de l’Université de Grenade, Francisco Pérez Ocón, « chaque fois qu’il se produit une panne dans un feu de signalisation dans un croisement, une intersection ou un lieu de passage important, il faut employer plusieurs agents de police à temps complet, couper la voie affectée et même parfois toute la rue. »

Cela suppose une augmentation des risques d’accident que les autorités compétentes peuvent éviter. De plus, les ouvriers doivent utiliser des grues pourvues de harnais à une hauteur de parfois huit mètres afin de réparer le système de signalisation.

« Cette situation représente un danger pour l’ouvrier, des interruptions du trafic, un risque pour les conducteurs et les piétons, sans compter le coût économique que cela représente pour le trésor communal par le fait de réaliser un travail dangereux », signale Pérez Ocón.

Résistant aux phénomènes naturels

Les résultats de ce travail ont été publiés dans la revue Engineering Structures et ont permis de développer un nouveau dessin de feu de signalisation dans lequel les sources lumineuses se trouvent à la base. « Des mini lentilles concentrent la lumière des LEDs à l’entrée de la fibre optique et celle-ci monte la lumière jusqu’à la tête du feu. Notre système n’exige pas de fabriquer de nouveaux feux vu que les fibres optiques peuvent s’introduire dans les structures des feux actuels et arriver jusqu’aux disques », explique le professeur de l’Université de Grenade.

Ce nouveau dessin représente une amélioration significative de l’entretien des feux de signalisation car la fibre optique est très résistante aux phénomènes naturels et au cours du temps. « De plus, l’introduction des fibres et des mini lentilles dans le système ne diminue pas la qualité de la signalisation des routes ou des rues, dû à ce que notre dispositif est rigoureusement conforme aux normes actuelles de sécurité routière », ajoute-t-il

Le professeur Pérez Ocón souligne que ce nouveau dispositif « peut s’employer dans d’autres domaines vu qu’il permet de déplacer des sources lumineuses sans avoir à modifier les installations électriques, de sorte que son application est clairement extensible à d’autres domaines tels que l’éclairage public, les tours de téléphonie ou de communications en général, etc. »

 

Référence bibliographique :

Safer and innovative traffic lights with minilenses and optical fibers. F. Pérez-Ocón, A.M. Pozo, M. Rubiño, O. Rabaza. Engineering Structures. Volume 96, 1 August 2015, Pages 1-6

doi:10.1016/j.engstruct.2015.03.059

 

 

Image ci-jointe : L’équipe de recherche de l’Université de Grenade qui a participé à ce travail. De gauche à droite et de haut en bas, Ovidio Rabaza (du département d’Ingénierie Civile), Manuel Rubiño López, Francisco Pérez Ocón et Antonio Pozo Molina (du département d’Optique).

Contact :

-Francisco Pérez Ocón. Département d’Optique de l’Université de Grenade.

Tél. : 0034 958 241000 / ext. 20011 

Courriel : fperez@ugr.es


La consommation de mélatonine pendant six semaines contribue à réduire l’accumulation de graisse dans le foie

 Une équipe multidisciplinaire formée par des scientifiques de l’Université de Grenade, de l’Hôpital Universitaire La Paz de Madrid et de l’Université de Texas (États-Unis) a fait un pas important dans la lutte contre la stéatohépatite non alcoolique (NASH), une maladie étroitement liée à l’obésité et au diabète.

Ce travail, réalisé avec des rats, a été publié dans la prestigieuse revue Journal of Pineal Research, et confirme que l’administration pharmacologique de mélatonine combat l’obésité et le diabète.

Des scientifiques de l’Université de Grenade, de l’Hôpital Universitaire La Paz de Madrid et de l’Université de Texas (États-Unis) ont fait un pas important dans la lutte contre la stéatohépatite non alcoolique (NASH), une maladie étroitement liée à l’obésité et au diabète (diabésité).

Dans une étude réalisée avec des rats, publiée dans la prestigieuse revue Journal of Pineal Research, les chercheurs ont démontré que l’administration de mélatonine (une hormone naturelle que secrète le corps humain, mais qui peut également être synthétisée artificiellement) pendant six semaines contribue à réduire l’accumulation de graisse dans le foie non alcoolique. Après le succès de l’étude chez des rats, la démarche suivante sera de réaliser des essais cliniques pour vérifier son effectivité chez les humains.

Les scientifiques ont ainsi vérifié que l’administration de mélatonine (10 mg/kg/jour) réduit l’accumulation de graisse (stéatose) dans le foie de rats obèses. La stéatose hépatique constitue la première étape de la maladie du foie non alcoolique, où le dysfonctionnement mitochondrial joue un rôle critique dans le développement et la pathogenèse de la stéatose, étroitement liée à l’obésité et au diabète. Étant donné que la prévalence de ces deux pathologies ne cesse d’augmenter, le foie gras non alcoolique est devenu un problème de santé qui affecte des millions de personnes dans le monde entier.

Cette nouvelle découverte s’associe également à une amélioration de l’inflammation hépatique qui se manifeste par une diminution des transaminases en sérum (ALT), de l’histopathologie du foie et de la fonction mitochondriale chez des rats obèses traités à la mélatonine. Ces résultats sont en ligne avec ceux préalablement obtenus par ces chercheurs ces quatre dernières années, ce qui démontre que l’administration pharmacologique de mélatonine combat l’obésité et le diabète chez les rats Zucker.

L’étude a été réalisée par une équipe multidisciplinaire de chercheurs dirigés par le Département de Pharmacologie et l’Institut de Neurosciences de l’Université de Grenade, et par le professeur Ahmad Agil. Ont également collaboré le docteur G. Fernández Vázquez, du Service d’Endocrinologie et de Nutrition de l’Hôpital Universitaire La Paz de Madrid, et le professeur R. Reiter, du Département de Biologie Structurelle de l’Université de Texas à San Antonio (États-Unis).

Cette étude a été financée par le projet SAF 2013-45752-R du Ministère de l’Économie et de la Compétitivité espagnol, et par le groupe CTS-109 de la Junte andalouse.

 

Référence bibliographique :

Agil A, El-Hammadi M, Jiménez-Aranda A, Tassi M, Abdo W, Fernández-Vázquez G, Reiter R J. Melatonin Reduces Hepatic Mitochondrial Dysfunction in Diabetic Obese Rats.

J Pineal Res. 2015 Apr 22. doi: 10.1111/jpi.12241

Image ci-jointe : Le professeur de l’Université de Grenade Ahmad Agil Abdalla, qui dirige cette étude, dans son laboratoire avec une partie de son équipe.

 

Contact :

Ahmad Agil Abdalla : Département de Pharmacologie de l’Université de Grenade.

Tél. :0034 958248794 – 0034 958243539

Courriel : aagil@ugr.es

 


A six-week melatonin regime helps reduce fat accumulation in the liver

A multidisciplinary team of scientists from the University of Granada, La Paz University Hospital (Madrid), and the University of Texas (USA) takes an important step forward in the fight against non-alcoholic liver steatosis, an illness closely linked with obesity and diabetes

A study in rats–published in the prestigious Journal of Pineal Research–confirms that melatonin administration combats obesity and diabetes

Scientists from the University of Granada, the La Paz University Hospital (Madrid), and the University of Texas (USA) has taken an important step forward in the fight against non-alcoholic liver steatosis, an illness closely linked with obesity and diabetes.

In a study using Zucker ratspublished recently in the prestigious Journal of Pineal Researchthe researchers have shown that administering melatonin (a natural hormone segregated by the human body but also synthesized artificially) for six weeks helps reduce the accumulation of fat in the non-alcoholic liver. Following this successful study in rats, the next step will be to conduct clinical trials in order to prove its effectiveness in humans.

The scientists have proved that the administration of melatonin (10 mg/Kg/day) reduces the accumulation of fat (steatosis) in the liver of obese rats. Liver steatosis constitutes the first stage of non-alcoholic fatty liver illness, in which mitochondrial dysfunction (the cellular oven) plays a critical role in the development and pathogenesis of steatosis, closely linked with obesity and diabetes. Given that the prevalence of these two pathologies continues to increase, non-alcoholic fatty liver has become a health problem affecting millions of people around the world.

This new finding is also associated with an improvement in hepatic inflammation that appears because of a reduction of the transaminase in serum (ALT) and improvement in the histopathology of the liver and mitochondrial function in obese rats treated with melatonin. These results are in line with those previously obtained by the same researchers over the last four years, showing that administration of melatonin combats obesity and diabetes in Zucker rats.

The study was conducted by a multidisciplinary team of researchers, led by the Department of Pharmacology and the Institute for Neuroscience of the University of Granada, and directed by Profesor Ahmad Agil. Other contributors include Dr G. Fernández Vázquez, of the Endocrinology and Nutrition Service of the La Paz University Hospital (Madrid), and Profesor R. Reiter, of the Department of Structural Biology of the University of Texas at San Antonio (USA).

The study has been financed by project SAF 2013-45752-R of the Spanish Ministry of Economics and Competition and research group CTS-109 of the Andalusian regional government. 

Reference:

Agil A, El-Hammadi M, Jiménez-Aranda A, Tassi M, Abdo W, Fernández-Vázquez G, Reiter R J. Melatonin Reduces Hepatic Mitochondrial Dysfunction in Diabetic Obese Rats.

J Pineal Res. 2015 Apr 22. doi: 10.1111/jpi.12241 

 

In the photo, the University of Granada’s Ahmad Agil, who leads the study, in the laboratory with some of his team.  

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Contact details:  

Ahmad Agil 

Department of Pharmacology University of Granada

Phone: +34 958 248 794 – +34 958 243 539

E-mail address: aagil@ugr.es


Une étude réalisée avec des rats met en rapport la consommation de diètes hyperprotéiques et anabolisantes avec des dommages au niveau cérébral.

Des scientifiques de l’Université de Grenade avertissent que les diètes riches en protéines et les anabolisants provoquent du stress oxydatif au niveau cérébral dû à l’oxydation de lipides et de protéines.

Leur recherche a de même démontré que la pratique d’exercice de haute intensité améliore ces effets nocifs pour la santé.

Une recherche menée à bien par des scientifiques de l’Université de Grenade avec des rats a démontré que la consommation de diètes hyperprotéiques et d’anabolisants androgéniques stéroïdes peut provoquer un dommage oxydatif cérébral dû à l’oxydation de lipides et de protéines.

Les résultats de ce travail suggèrent que ce stress oxydatif peut dériver en des maladies neurodégénératives comme l’Alzheimer ou le Parkinson, tout en reflétant que la pratique de sport de haute intensité réduit les effets nocifs des diètes riches en protéines et des anabolisants au niveau cérébral.

Cette recherche a été réalisée par Daniel Camiletti, Virginia Aparicio, Elena Nebot, Gerardo Medina, Rosario Martínez, Garyfallia Kapravelou, Ana Andrade, Jesús María Porres, María López Jurado et Pilar Aranda. Tous sont membres du groupe de recherche AGR-145 « Physiologie digestive et nutrition » de l’Université de Grenade.

Pour mener à bien cette recherche, les scientifiques ont travaillé avec 80 rats Wistar divisés en deux groupes de 40 animaux. Un a agi comme groupe de contrôle, avec une diète normoprotéique ajustée à 10% de protéine végétale de soja (n=40), tandis qu’on a appliqué à l’autre une diète hyperprotéique ajustée à 45% (n=40). De plus, chacun de ces groupes a été sous-divisé en animaux réalisant un exercice de haute intensité (n=20) et d’autres pas (n=20). De même, ces groupes ont été de nouveau sous-divisés en 10 rats auxquels on a administré du Stanozolol (un anabolisant) ou bien un véhicule/placebo.

Dommages au niveau cérébral

Les résultats ont démontré que les rats ayant consommé une diète hyperprotéique et ceux auxquels on a administré des stéroïdes anabolisants ont présenté un dommage au niveau cérébral qui diminue lorsque l’exercice entre en jeu, réduisant ainsi le dommage oxydatif produit par les interventions antérieurement mentionnées.

Ainsi, les rats ayant réalisé un exercice de haute intensité basé sur un entraînement d’hypertrophie, ont vu réduit l’effet négatif de la consommation d’une diète riche en protéines et d’anabolisants au niveau cérébral, bien que les auteurs avertissent de la nécessité de prudence avec l’utilisation de ce protocole d’entraînement par rapport au système de défense antioxydant.

Daniel Camiletti, principal auteur de ce travail, souligne qu’il s’agit d’une étude expérimentale avec des rats, dont les résultats sont difficilement reproductibles chez des humains. « Ce que notre recherche met en évidence c’est que les diètes hyperprotéiques, ainsi que l’administration de stéroïdes anabolisants à doses élevées que nombre de sportifs consomment afin d’augmenter leur masse musculaire sont dangereux pour la santé », remarque le chercheur de l’Université de Grenade.

Le docteur Camiletti signale de même que la consommation d’anabolisants par de nombreux culturistes, ou simplement par des gens voulant augmenter leur masse musculaire ou améliorer leur aspect physique, « équivaut à dix fois la quantité thérapeutique prescrite pour des troubles comme l’hypogonadisme (affection provoquant que les glandes sexuelles produisent peu ou aucune hormone) ou la sarcopénie (perte de masse musculaire squelettique associée au vieillissement), ce qui a sans doute des effets très négatifs pour leur organisme. »

Références bibliographiques :

High-intensity Exercise modifies the effects of Stanozolol on Brain Oxidative Stress in Rats. D. Camiletti-Moirón, V. A. Aparicio, E. Nebot, G. Medina, R. Martínez, G. Kapravelou, A. Andrade, J. M. Porres, M. López-Jurado, P. Aranda. Int J Sports Med 2015; 36:1-8.

Does exercise reduce brain oxidative stress? A systematic review. Camiletti-Moirón D, Aparicio VA, Aranda P, Radak Z. Scand J Med SciSpor. 2013; 23(4):e202-e212.

High-protein diet induces oxidative stress in rat brain: protective action of high-intensity exercise against lipid peroxidation. Daniel Camiletti-Moirón, Virginia Arianna Aparicio, Elena Nebot, Gerardo Medina, Rosario Martínez, Garyfallia Kapravelou, Ana Andrade, Jesús María Porres, María López-Jurado & Pilar Aranda. Nutr Hosp. 2015;31(2):866-874

ISSN 0212-1611 • CODEN NUHOEQ.S.V.R. 318

Images adjointes : Daniel Camiletti, Chercheur de l’Université de Grenade et principal auteur de ce travail.

 

Contact :

Daniel Camiletti Moirón : Département de Physiologie de l’Université de Grenade /

Institut de Nutrition et de Technologie des Aliments « José Mataix » (INYTA) / Institut Mixte Universitaire Sport et Santé (IMUDS).

Tél. : 958 240 679

Courriel : dcamiletti@ugr.es


A study in rats links high-protein diets and anabolic steroids with brain damage

Scientists from the University of Granada warn that protein-rich diets and androgenic anabolic steroids cause oxidative stress due to lipid and protein oxidation

The study also shows that high-intensity exercise counters these health-damaging effects

Research in rats conducted by scientists at the University of Granada has shown that the consumption of high-protein diets and androgenic anabolic steroids can cause brain oxidative damage due to the oxidation of lipids and proteins.

The results of this study suggest that this oxidative stress can lead to neurodegenerative diseases like Alzheimer’s or Parkinson’s.However, they also reveal that high-intensity exercise reduces the harmful effects of protein-rich diets and anabolic steroids at brain level.

This research has been conducted by Daniel Camiletti-Moirón, Virginia Aparicio, Elena Nebot, Gerardo Medina, Rosario Martínez, Garyfallia Kapravelou, Ana Andrade, Jesús María Porres, María López Jurado and Pilar Aranda. They are all members of the “Digestive physiology and nutrition” research group (AGR-145) of the University of Granada.

The experiment involved the use of 80 Wistar rats, divided into two group of 40 animals each. One acted as a control group, with a normo-protein diet adjusted to 10% of soya bean vegetable protein (n=40), whereas the other group had a high-protein diet adjusted to 45% (n=40). Each group was subdivided into animals that performed high-intensity exercise (n=20) and others that did not (n=20). And these groups were further subdivided into 10 rats that were administered Stanozolol (an anabolic steroid) and the remaining 10 that received a vehicle/placebo.

 

Brain level damage 

The results showed that those rats that consumed a high-protein diet and received anabolic steroids presented brain damage that was reduced when exercise was introduced, cutting the oxidative damage caused by the previously-mentioned interventions.

Hence, in the rats involved in high-intensity exercise based on hypertrophy training, the negative effect of consuming a high-protein diet and of the administration of anabolic steroids was reduced at brain level.However, the authors insist this training protocol needs to be used cautiously with respect to the antioxidant defence system.

Daniel Camiletti-Moirón, lead author of the study, stresses this is only an experimental study in rats and it would be difficult to reproduce these results in humans. “What our research does demonstrate is that high-protein diets and the administration of large doses of anabolic steroids like those many athletes consume to build muscle mass are damaging to their health”, says Camiletti.

Similarly, Dr Camiletti-Moirón indicates that the consumption of anabolic steroids for body-building by many athletes, or simply by people who want to gain muscle mass or improve their appearance, “is equal to 10 times more than the quantity prescribed therapeutically for disorders like hypogonadism (a condition in which the sex glands produce little or no hormone) or sarcopenia (loss of skeletal muscle mass associated with ageing), which undoubtedly has highly damaging effects on the organism”.

 

Reference

High-intensity Exercise modifies the effects of Stanozolol on Brain Oxidative Stress in Rats 

D. Camiletti-Moirón, V. A. Aparicio, E. Nebot, G. Medina, R. Martínez, G. Kapravelou, A. Andrade, J. M. Porres, M. López-Jurado, P. Aranda

Int J Sports Med 2015; 36:1–8.

Does exercise reduce brain oxidative stress? A systematic review.

Camiletti-Moirón D,Aparicio VA, Aranda P, Radak Z.

Scand J Med SciSpor. 2013; 23(4):e202-e212.

High-protein diet induces oxidative stress in rat brain: protective action of high-intensity exercise against lipid peroxidation

Daniel Camiletti-Moirón, Virginia Arianna Aparicio, Elena Nebot, Gerardo Medina, Rosario Martínez, Garyfallia Kapravelou, Ana Andrade, Jesús María Porres, María López-Jurado and Pilar Aranda

Nutr Hosp. 2015;31(2):866-874

ISSN 0212-1611 • CODEN NUHOEQ.S.V.R. 318

 

Image: Daniel Camiletti, researcher at the University of Granada and lead author of this study.

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Contact details:  

Daniel Camiletti-Moirón

Department of Medical Physiology University of Granada Instituto de Nutrición y Tecnología de los Alimentos “José Matáix” (INYTA) Instituto Mixto Universitario Deporte y Salud (iMUDS)

Phone: +34 958 240 679

E-mail address: dcamiletti@ugr.es


Une étude démontre que les adolescents qui jouent habituellement au football maintiennent mieux l’attention.

C’est ce qui s’ensuit d’un travail réalisé par des scientifiques du Centre de Recherche « Esprit, Cerveau et comportement » de l’Université de Grenade et de l’Université Catholique de Valence.

Ont participé à cette recherche, publiée dans la revue PlosOne, 75 adolescents des deux sexes dont la moitié composée de footballeurs provenant de l’équipe Levante UD (Union Sportive du Levant).

La pratique régulière du football pendant l’adolescence est positivement en rapport avec la condition physique aérobie et avec la capacité de maintenir l’attention de façon soutenue, d’après une étude réalisée par des scientifiques de l’Université Catholique de Valence et du Centre de Recherche « Esprit, Cerveau et comportement » (CIMCYC) de l’Université de Grenade.

À cette recherche, publiée dans la revue PlosOne, ont participé 75 adolescents des deux sexes dont la moitié composée de footballeurs provenant de l’équipe Levante UD (Union Sportive du Levant), et l’autre moitié d’étudiants du Collège d’Enseignement Primaire (CEIP) El Moli de Torrent (Valence) qui ne jouaient pas au football.

Tous ont fait l’objet d’un test afin de déterminer leur condition physique aérobie, et ont répondu à différents questionnaires. De plus, ils ont réalisé une tâche attentionnelle spécifiquement conçue pour évaluer la vigilance et l’attention soutenue.

Les résultats ont démontré que les participants footballeurs présentaient une meilleure condition physique aérobie que les non footballeurs. « De plus, les footballeurs ont obtenu de meilleurs temps de réaction dans la tâche de vigilance, ce qui dénote une plus grande habileté à maintenir l’attention focalisée », explique Daniel Sanabria, chercheur au CIMCYC et un des auteurs de ce travail.

Forme physique cardiovasculaire

Une autre donnée importante reflétée par les analyses est que l’on n’a pas observé de rapport significatif entre la forme physique cardiovasculaire et les temps de réaction dans la tâche cognitive. « Cette dernière donnée s’oppose à l’idée généralisée que la pratique sportive a une incidence sur l’attention à travers l’amélioration cardiovasculaire, tel que le suggèrent certains chercheurs », signale Sanabria.

Les auteurs de ce travail signalent d’autres facteurs pouvant expliquer les différences trouvées au niveau de l’attention, comme peuvent l’être les meilleures habiletés perceptivo-motrices des footballeurs par rapport aux écoliers qui ne pratiquaient pas de sport. « Il est de même nécessaire de signaler qu’il faut poursuivre ces recherches dans le rapport entre la pratique sportive et l’attention afin d’établir de façon plus claire les facteurs les plus importants impliqués dans cette association », affirme le chercheur de l’Université de Grenade.

Cette étude, intitulée “The relationship between regular sports participation and vigilance in male and female adolescents”, a été réalisée par les chercheurs Rafael Ballester, Florentino Huertas, Francisco Yuste, Francesc Llorens et Daniel Sanabria.

D’après des recherches préalables, il faut détacher parmi les nombreux bénéfices que produit la pratique régulière d’activité physique une amélioration du tonus vagal (fonctionnement plus efficient du système nerveux autonome, variabilité majeure de la fréquence cardiaque), et même de meilleures adaptations structurelles et fonctionnelles du système nerveux central (par exemple, le sport prévient la neurodégénérescence, promeut la neurogenèse et la croissance de capillaires sanguins dans des zones comme l’hippocampe, le cortex, le cervelet et les ganglions de la base).

Référence bibliographique :

Ballester, R., Huertas, F., Yuste, F. J., Llorens, F., & Sanabria, D. (2015). The Relationship between Regular Sports Participation and Vigilance in Male and Female Adolescents.

(4), e0123898. http://doi.org/10.1371/journal.pone.0123898

Image ci-jointe : Adolescents jouant au football (Photo: Pixabay)

 

Contact : 

-Daniel Sanabria Lucena : Département de Psychologie Expérimentale de l’Université de Grenade.

Tél. : 0034 958 246 240 

Courriel : daniel@ugr.es


Adolescent soccer players maintain attention better

These are the findings of research by scientists at the Brain Mind and Behavior Research Center of the University of Granada and the Catholic University of Valencia

Their research-published in PlosOne-involved 75 male and female adolescents, half of them footballers belonging to the Levante UD club

Regular football (soccer) participation during adolescence is positively related with aerobic physical condition and the capacity to maintain sustained attention, according to a study conducted by scientists from the Catholic University of Valencia and the  Brain Mind and Behavior Research Center of the University of Granada (CIMCYC).

Published recently in PlosOne, the study involved 75 male and female adolescents, half of whom were footballers belonging to the Levante UD club. The other half were students at a local public primary school (El Moli de Torrent, Valencia) and non-footballers.

All participants took a test to determine their aerobic physical condition as well as different questionnaires. They also performed an attention task specially designed to assess vigilance performance or sustained attention.

The results showed that the footballers who participated were in better aerobic physical condition than the non-footballers. “Moreover, the footballers showed better reaction times in the vigilance performance task, which indicates a better ability to focus their attention longer”, explains Daniel Sanabria, CIMCYC researcher and one of the authors of the study.

 

Cardiovascular fitness

Another important result was the lack of a significant correlation between cardiovascular fitness and reaction times in the cognitive task. “This last finding is contrary to the general idea that sport participation acts on attention through cardiovascular improvement, as some researchers suggest”, says Sanabria.

The authors indicate other factors that could explain the differences in level of attention, such as the better motor-perceptive skills in the footballers than in the non-athletes. “However, we must make it clear that further research is needed to probe deeper into the relationship between sport participation and attention, as well as to clearly establish the more important factors involved in this relationship”, adds Sanabria.

The study, entitled, “The relationship between regular sports participation and vigilance in male and female adolescents”, has been conducted by Rafael Ballester, Florentino Huertas, Francisco Yuste, Francesc Llorens and Daniel Sanabria.

According to earlier research, among the numerous benefits derived from regular sport participation, one that stands out is the improvement in vagal tone (more efficient functioning of the autonomous nervous system; greater heart rate variability). This even seems to be related with structural and functional adaptations of the central nervous system (for example, sport prevents neurodegeneration, promotes neurogenesis and the growth of capillary blood vessels in zones such as the hippocampus, cortex, cerebellum and basal ganglia).

 

Reference:

Ballester, R., Huertas, F., Yuste, F. J., Llorens, F., & Sanabria, D. (2015). The Relationship between Regular Sports Participation and Vigilance in Male and Female Adolescents.

(4), e0123898. http://doi.org/10.1371/journal.pone.0123898

 

 

Image: Adolescents playing football (PHOTO: PIXABAY). 

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Daniel Sanabria 

Department of Experimental Psychology University of Granada

Phone: +34 958 246 240

E-mail address: daniel@ugr.es

 

 


D’après une étude, les cyclistes hommes, surtout les plus jeunes, décèdent plus souvent en cas d’accident.

Une recherche réalisée à l’Université de Grenade met en évidence que la mortalité chez les cyclistes varie amplement en fonction de l’âge et du sexe des accidentés.

Pour mener à bien ce travail, les scientifiques ont analysé les registres correspondants à 50 042 cyclistes impliqués dans des accidents de la route en Espagne entre 1993 et 2009, facilités par la Direction Générale du Trafic Routier (DGT).

Une étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Grenade a mis en évidence que la mortalité chez les cyclistes varie amplement en fonction de l’âge et du sexe des accidentés. Ainsi, les cyclistes hommes, surtout ceux qui ont entre 15 et 24 ans, subissent une plus forte mortalité que les adultes (25-34 ans), une donnée qui peut s’expliquer par une exposition majeure et un risque plus élevé d’avoir un accident.

Ces dernières années, nous assistons à une augmentation de l’usage de la bicyclette en Espagne, dans son versant plus sportif et comme façon de se déplacer en ville. Cette situation peut avoir comme contrepartie un nombre plus élevé d’accidents, ou même de morts, chez ce collectif, spécialement dans un pays comme l’Espagne où, jusqu’à il y a quelques années, on n’avait pas encore misé sur la bicyclette. De fait, en 2013 on a enregistré une augmentation des cyclistes défunts en zone urbaine par rapport à l’année antérieure.

C’est la raison pour laquelle les auteurs de ce travail, membres du Département de Médecine Préventive et de Santé Publique de l’Université de Grenade, ont prétendu déterminer la contribution de certaines composantes dans la mortalité des cyclistes (décédés/population). Ces composantes furent trois : exposition (cyclistes/population), accidentalité (cyclistes accidentés/cyclistes) et mortalité (cyclistes décédés/cyclistes accidentés).

Pour mener à bien cette recherche, les scientifiques ont analysé les registres correspondant à 50 042 cyclistes impliqués dans des accidents de la route en Espagne entre 1993 et 2009, des données obtenues à partir du Registre Espagnol des Accidents de la Route ayant produit des victimes et facilitées par la Direction Générale du Trafic Routier (DGT), qui incluaient des informations sur l’âge et le sexe des accidentés.

 

En fonction de l’âge et du sexe

À partir d’une analyse moyennant un software statistique, ils ont pu quantifier l’association de l’âge et du sexe avec la mortalité des cyclistes, ainsi que déterminer la contribution de chaque composante à la mortalité d’un cycliste d’un âge et d’un sexe déterminés.

Les résultats ont démontré que l’excès de mortalité correspondant aux âges plus avancés (35 à 79 ans) est uniquement en rapport avec sa létalité majeure, c’est-à-dire, avec un risque majeur de mourir une fois impliqué dans l’accident. Quant au sexe, on a observé chez tous les groupes d’âge une mortalité majeure d’hommes que de femmes, principalement en rapport avec une exposition plus grande et, de façon secondaire, une létalité plus élevée.

L’auteure principale de cette recherche, Virginia Martínez Ruiz, affirme que la connaissance de cette information « pourrait s’avérer utile pour contribuer à la mise en place de politiques routières orientées à réduire la mortalité entre cyclistes, ainsi que pour implémenter des interventions, éducatives ou d’un autre genre, auprès de ces cyclistes à risque élevé, par exemple les hommes entre 15 et 24 ans. »

 

Référence bibliographique :

Contribution of exposure, risk of crash and fatality to explain age- and sex-related differences in traffic-related cyclist mortality rates. Virginia Martínez-Ruiz, Eladio Jiménez-Mejías, Carmen Amezcua-Prieto, Rocío Olmedo-Requena, Juan de Dios Luna-del-Castillo, Pablo Lardelli-Claret

Accident Analysis and Prevention 76 (2015), 152-158.

 

Contact :

Virginia Martínez Ruiz : Département de Médecine Préventive et de Santé Publique de l’Université de Grenade ;

Courriel : virmruiz@ugr.es


Young male cyclists are the most likely to die after being involved in a traffic accident

Research at the University of Granada shows mortality among cyclists varies widely according to the age and sex of the population

Scientists analysed the government records of 50,042 cyclists involved in traffic accidents in Spain between 1993 and 2009

A study by researchers at the University of Granada has demonstrated that mortality among cyclists varies widely depending on the age and sex of the population. Male cyclists, above all those aged between 15 and 24 years, are more likely to die than adults (25-34 years), which could be explained by their greater exposure and risk of having an accident.

In recent years, there has been an increase in the use of bicycles in Spain both as a sport and as a means of urban transport. Clearly a corollary of this may be the greater number of accidents, or even deaths, among cyclists, especially in a country like Spain, where until a few years ago, cycling was relatively unpopular. In fact, 2013 saw an increase in the number of cyclists killed following accidents in urban areas by comparison with 2012.

Hence, the authors of this study–from the Department of Preventative Medicine and Public Health of the University of Granada–set out to determine the contribution of certain components to mortality among cyclists (deaths/population). The three components were: exposure (cyclists/population), risk of collision (cyclists involved in accidents/cyclists) and fatality (cyclists killed/cyclists injured).

The scientists analysed the records of 50,042 cyclists involved in traffic accidents in Spain between 1993 and 2009 which included information on age and sex, obtained from the Spanish Register of Road Crashes with Victims provided by the Directorate General for Traffic.

 

Age- and sex-related 

Based on their analysis using statistical software, they were able to quantify the association of age and sex with mortality among cyclists, as well as determining the contribution of each component to the mortality of a cyclist of a given age and sex.

The results showed that the excessive mortality corresponding to older cyclists (35-79 years) is only related to greater fatality, that is, the greater risk of dying if involved in an accident. In all age groups, male sex was associate with greater mortality than female sex, principally in relation with greater exposure and, in second place, with greater fatality.

The lead author of this research, Virginia Martínez-Ruiz, says that knowing what we now know «could be useful in helping develop road traffic policies oriented towards cutting mortality among cyclists, as well as implementing measures, educational or otherwise, aimed at high-risk cyclists like, for example, 15-24 year-old males».

 

Reference

Contribution of exposure, risk of crash and fatality to explain age- and sex-related differences in traffic-related cyclist mortality rates.

Virginia Martínez-Ruiz, Eladio Jiménez-Mejías, Carmen Amezcua-Prieto, Rocío Olmedo-Requena, Juan de Dios Luna-del-Castillo, Pablo Lardelli-Claret

Accident Analysis and Prevention 76 (2015), 152-158.

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Contact details:  

Virginia Martínez-Ruiz 

Department of Preventative Medicine and Public Health University of Granada

E-mail address: virmruiz@ugr.es


La Fundación AstraZeneca da a conocer los ganadores de sus premios para jóvenes investigadores

Ha recibido 72 candidaturas en cuatro categorías en la primera edición de estos galardones, la mayoría de ellas en la de diabetes tipo II y Obesidad
Jueves, 10 de septiembre de 2015, a las 17:18 Menea esta noticia en Meneame.net
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Redacción. Madrid
La Fundación AstraZeneca ha dado a conocer el fallo de los I Premios a Jóvenes Investigadores, una iniciativa que cuenta con el apoyo del Instituto de Salud Carlos III y que busca reconocer e impulsar la trayectoria de cuatro investigadores menores de 40 años que atesoren una trayectoria científica destacada, que hayan realizado estancias en centros de investigación de excelencia y que hayan sido investigadores principales de, al menos, un proyecto de investigación o receptores de ayudas en convocatorias competitivas.

 

Carmen González, directora de la Fundación AstraZeneca.
En total, se han recibido 72 candidaturas para las cuatro categorías de que consta la convocatoria. El 45,8 por ciento de ellas corresponden al área de Diabetes tipo II y Obesidad, el 34,7 por ciento al de Oncología, el 12,5 por ciento al de EPOC (Enfermedad Pulmonar Obstructiva Crónica) y el 6,9 por ciento al de Rehabilitación Cardiaca post Síndrome Coronario Agudo.

La valoración de las candidaturas ha sido llevada a cabo por evaluadores independientes de las Comisiones Científico Técnicas del Instituto de Salud Carlos III, con la siguiente resolución por parte del Comité Científico de la Fundación AstraZeneca. En Diabetes Tipo II, el galardón ha recaído en Jonatan Ruiz, por su línea de investigación sobre el ‘Efecto de un programa de ejercicio sobre la actividad y cantidad de tejido adiposo pardo (TAP) en adultos jóvenes con sobrepeso y obesidad, desarrollada en la Facultad de Ciencias del Deporte, de la Universidad de Granada.

En EPOC, el ganador ha sido Oriol Sibila Vidal, por su línea de investigación sobre ‘Infección bronquial en pacientes con EPOC y agudizaciones frecuentes; papel de la inmunidad innata y utilidad de una nariz electrónica para su diagnóstico’, desarrollada en el Hospital de la Santa Creu i Sant Pau de Barcelona.

En Oncología, David Olmos Hidalgo ha sido el galardonado, por su línea de investigación sobre ‘Cáncer de próstata familiar y esporádico asociado a alteraciones genéticas, germinales y/o somáticas, en genes de la reparación del DNA, desarrollada en el Centro Nacional de Investigaciones Oncológicas (CNIO).

Finalmente, en Rehabilitación Cardiaca post Síndrome Coronario Agudo, el premiado ha sido Tomás Datino, por su línea de investigación sobre ‘Incidencia y predictores de arritmias en pacientes portadores de desfibrilador automático implantable por disfunción sistólica severa de ventrículo izquierdo post infarto de miocardio incluidos en un programa de rehabilitación cardíaca, desarrollada en el Hospital General Universitario Gregorio Marañón de Madrid.

El Consejo Científico de la Fundación AstraZeneca ha destacado la calidad de las candidaturas presentadas, tanto por el interés y calidad científico técnica de las líneas de investigación desarrolladas, como por la solidez de la trayectoria científica y proyección de los candidatos.

Por su parte Carmen González, directora de la Fundación AstraZeneca, ha felicitado a los premiados por su carrera y contribución a la generación de avances en su área de conocimiento, y ha reconocido el esfuerzo y la calidad del resto de candidaturas, animándolas a volverse a presentar en futuras ediciones. «Nos ha impresionado el altísimo nivel de todas las candidaturas recibidas en esta convocatoria, lo que confirma que en España contamos con un talento científico de primer nivel que merece ser reconocido con iniciativas como ésta», ha destacado González.

Cada uno de los premiados recibirá una ayuda de 20.000 euros para contribuir al desarrollo de la línea de investigación presentada a la convocatoria, con un periodo de aplicación de la ayuda de un año. También tendrán la posibilidad de visitar uno de los centros de investigación de AstraZeneca especializados en su área de investigación.

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Gorriones marcados por los retos pendientes

Al ritmo del musical Grease, con canciones coreografiadas y entonadas en directo por los prometedores pupilos de una escuela de música, abrió anoche el telón el pregón de las fiestas del Zaidín y la gala de entrega de los Gorriones de Plata, marcada este 2015 por los retos pendientes en el barrio.
Entre los desafíos futuros se encuentra el inicio del nuevo curso en el Parque Tecnológico de la Salud (PTS), donde ya cursan sus estudios estudiantes de Enfermería, Fisioterapia y Terapia Ocupacional. Su implantación en el Zaidín demuestra la «apuesta poderosa y sincera» que la Universidad de Granada ha hecho por el barrio, resalta su nueva rectora, Pilar Aranda, pregonera de las fiestas este 2015.
La máxima representante de la UGR, para la que el Zaidín «es el futuro de la ciudad», ha ensalzado el barrio como lugar de «cultura y de conocimiento» al alojar uno de los museos más visitados de España, el Parque de las Ciencias, prestigiosas escuelas de música como el conservatorio Ángel Barrios o centros científicos de primer nivel como el Instituto Andaluz de Astrofísica y la Estación Experimental del Zaidín.
Para favorecer la extensión de la Cultura a todos los escenarios del barrio, la Universidad «dotará de programación las instalaciones del PTS, especialmente el paraninfo del edificio de servicios centrales, que muy pronto abrirá sus puertas» a los vecinos del distrito y de Granada.
La rectora aprovechó el pregón para elogiar el carácter combativo del Zaidín y, de paso, afear el cierre de las Palomas y la retirada de financiación al Zaidín Rock. «Los hombres y mujeres de este barrio son un ejemplo para la ciudad de participación y de lucha ciudadana, de voluntad, conciencia y compromiso. El Zaidín ha hecho de la vecindad un modo de acción y puede decir con orgullo que inaugura sus fiestas celebrando que es capaz de abrir bibliotecas que nunca debieron cerrarse y de mantener vivos festivales que nunca deberían desaparecer como el de rock, uno de los más veteranos de Europa», ensalzó Aranda, que subrayó además «la capacidad de organización de los vecinos para llevar adelante iniciativas como la del plan de rehabilitación Santa Adela».
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El huelmense Rafael Roa Guzmán, candidato a Decano de la Facultad de Ciencias de la Educación de la Universidad de Granada

El huelmense Rafael Roa Guzmán ha decidido presentar su candidatura a Decano de la Facultad de Ciencias de la Educación de la Universidad de Granada. El profesor ha sido durante seis años vicedecano de Infraestructura y Asuntos Económicos de esta facultad, además de docente en el departamento de Didáctica de la Matemática y miembro de diferentes comisiones, de la Junta de Facultad y del Claustro universitario. Él mismo asegura desde sus redes sociales que en cada uno de los puestos que ha ocupado ha procurado, en la medida de sus posibilidades, que su Facultad fuera cada día un poco mejor, haciendo un balance positivo de su mandato en el vicedecanato de infraestructuras.
El proceso de las elecciones a decano arrancará con la presentación de su candidatura y programa el 15 de septiembre, posteriormente se celebrará una semana de campaña electoral y el día 1 de octubre serán las votaciones.
Le deseamos mucha suerte.
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