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Una nueva técnica permite clasificar el efecto de enfermedades intestinales

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Confirmé qu’un polluant présent dans de nombreux aliments gras augmente le risque de cancer chez les hommes

Une étude internationale à laquelle participe l’Université de Grenade démontre que l’exposition à un polluant chimique dénommé PCB-153 s’associe positivement au risque d’avoir un cancer.

Ce composé, interdit en Espagne depuis les années 80, est présent dans beaucoup d’aliments riches en graisse comme le thon ou l’espadon, dû à sa grande résistance à la dégradation, sans qu’il existe encore un plan effectif d’élimination.

 

Une étude internationale à laquelle participe l’Université de Grenade démontre que l’exposition à un polluant chimique dénommé PCB-153 s’associe positivement au risque d’avoir un cancer chez les hommes. Ce composé, interdit en Espagne depuis les années 80, est présent dans beaucoup d’aliments riches en graisse comme les poissons de grande taille (thon, saumon et espadon, entre autres), dû à sa grande résistance à la dégradation.

Dans ce travail, publié dans la revue Science of the Total Environment, participent diverses institutions appartenant à l’Institut de Recherche Biosanitaire (IBS) de Grenade : l’Université de Grenade, le Complexe Hospitalier Universitaire de Grenade, l’École Andalouse de Santé Publique, CIBER en Épidémiologie et Santé Publique (CIBERESP) et le Registre du Cancer de Grenade. A également participé à ce travail un chercheur membre du Bispebjerg University Hospital (Danemark).

Tel que l’explique l’auteur principal de cette recherche, Juan Pedro Arrebola, de l’Institut de Recherche Biosanitaire (IBS), « il existe actuellement une tendance croissante à l’incidence de divers types de cancer, due en partie à l’influence de divers facteurs environnementaux tels que l’exposition à certains polluants chimiques. »

Un échantillonnage de 368 hommes et femmes

L’objectif de cette étude a été d’analyser si l’exposition à certains polluants chimiques, accumulée au cours du temps, pourrait être en rapport avec le risque d’avoir un cancer. Pour cela, les scientifiques ont analysé les niveaux accumulés de polluants dans la graisse de 368 hommes et femmes adultes résidant dans la province de Grenade, et ont suivi l’incidence du cancer au long de neuf ans postérieurs au recrutement.

« Au bout de ce temps, nous avons vu que, parmi les hommes, l’exposition accumulée à un polluant dénommé PCB-153 s’associe positivement au risque d’avoir un cancer. Le PCB-153 fait partie du groupe de composés chimiques appelés Biphényles Polychlorés (PCB), qui furent amplement utilisés dans diverses applications industrielles, y inclus les transformateurs électriques, condensateurs industriels, systèmes hydrauliques, produits pour étanchéifier, pesticides et même composants de matériel plastique », signale Arrebola.

PCB dans l’environnement et chez les personnes

Malgré que l’usage des PCB fut interdit en Espagne pendant les années 80, ces composés sont toujours présents aussi bien dans l’environnement que chez la majorité des gens grâce à sa forte résistance à la dégradation et à des équipements désuets.

« On estime que les aliments gras sont la voie principale d’exposition à des PCB pour la population en général, de sorte que les niveaux élevés de PCB pourraient être, en partie, des indicateurs d’une alimentation riche en graisse », souligne le chercheur. D’autre part, on soupçonne que les PCB pourraient provoquer un cancer à travers divers mécanismes, qui incluent leur interaction avec des récepteurs hormonaux d’estrogènes et d’androgènes, avec la production de radicaux libres ou avec l’ADN.

« Comme le cancer présente une longue période de latence, notre groupe de recherche continue de faire un suivi à ce groupe de personnes afin de vérifier si ces résultats préliminaires se maintiennent après une période de suivi plus prolongée », conclut le chercheur de l’UGR.

Référence bibliographique :
Adipose tissue concentrations of persistent organic pollutants and total cancer risk in an adult cohort from Southern Spain: preliminary data from year 9 of the follow-up. Arrebola JP, Fernández MF, Martín-Olmedo P, Molina-Molina JM, Sánchez-Pérez MJ, Sánchez-Cantalejo E, Molina-Portillo E, Expósito J, Bonde JP, Olea N. Sci Total Environ. 2014 Dec 1;500-501:243-9.
doi: 10.1016/j.scitotenv.2014.08.043. Epub 2014 Sep 15. PubMed PMID: 25217999

Contact :
Juan Pedro Arrebola. Département de Radiologie et de Médecine Physique de l’Université de Grenade.
Tél.: 0034 958 240758
Portable: 0034 636 380300  
Courriel: jparrebola@ugr.es

 


Recent research confirms that a polluting agent which can be frequently found in fat-rich food increases the risk of cancer in males

An international research project, which counts with the participation of the U. of Granada, proves that exposure to a chemical polluting agent called PCB-153 is positively associated with the risk of suffering from cancer

 

This agent, which has been banned in Spain since the 1980s, can be found in fat-rich food, such as tune and swordfish. It is highly resistant to degradation, and an efficient elimination scheme has not been developed yet.

 

An international research project which counts with the participation of the University of Granada has demonstrated that the exposure to a chemical pollutant called PCB-153 is positively associated to the risk of suffering from cancer in males. This agent, which has been banned in Spain since the 1980s, can still be found in some fat-rich food, such as large fat-rich fish (tuna, salmon, swordfish, among others), since it is highly resistant to degradation.

The results of this research project have been published in the Science of the Total Environment journal. The institutions which participate in the projectbelong to the Biohealth Research Institute in Granada, and they include the University of Granada, the University of Granada Hospital, the Andalusian School of Public Health, CIBER in Epidemiology and Public Health (CIBERESP), and the Granada Cancer Register. This project also includes a Danish researcher from the Bispebjerd University Hospital.

According to the PI in this research project, Juan Pedro Arrebola, from the Biohealth Research Institute (IBS), ‘there is currently an increasing tendency in the impact of a diversity of different types of cancer, which can be attributed in part to the influence of several environmental factors, such as exposure to certain chemical pollutants”

A sample of 368 men and women

The aim of this study was to analyse whether the exposure to certain chemical pollutants, accumulated over a long period of time, could be related to the risk of suffering from cancer. Scientists analysed the accumulated levels of certain pollutants in the body fat of 368 adult men and women living in the province of Granada, and they gathered information about the occurrence of cancer over a period of nine years.

“Towards the end of this period we found that among men the accumulated exposure to a pollutant called PCB-153 was positively associated to the risk of suffering from cancer. PCB-153 belongs in a group of chemical components called Polychlorinated Biphenyls (PCBs), which were profusely used in several types of industrial equipment, such as electric transformers, industrial condensers, hydraulic systems, sealing agents in construction, pesticides, and even as components in plastic materials”, according to Arrebola.

PCBs in the environment and in people

In spite of the fact that the use of PCBs was banned in Spain during the 1980s, these agents are still present in the environment and in most people, give its high resistance to degradation, and also due to the use of obsolete equipment.

“We believe that fat food is the main source of exposure to PCBs among the general population, and consequently high levels of PCBs could be, in part, the result of a fat-rich diet”, according to Arrebola. On the other hand, we suspect that PCBs could provoke cancer through several mechanisms, which include the interaction with oestrogen and androgen hormone receptors, the production of free radicals, or with DNA.

“Since cancer has a long latency period, our research group persists with their survey of this group of people to see whether these preliminary results continue after a longer period”, this University of Granada researcher concludes.

Bibliography:
Adipose tissue concentrations of persistent organic pollutants and total cancer risk in an adult cohort from Southern Spain: preliminary data from year 9 of the follow-up
Arrebola JP, Fernández MF, Martín-Olmedo P, Molina-Molina JM, Sánchez-Pérez MJ, Sánchez-Cantalejo E, Molina-Portillo E, Expósito J, Bonde JP, Olea N.
Sci Total Environ. 2014 Dec 1;500-501:243-9.
doi: 10.1016/j.scitotenv.2014.08.043. Epub 2014 Sep 15. PubMed PMID: 25217999

Contact
Juan Pedro Arrebola Department of Radiology and Physical Medicine, University of Granada
Phone: 0034 958 240 758
Email: jparrebola@ugr.es
Cell phone: 0034 636 380 300

 


Investigadores de la UGR, premiados en un congreso europeo

Un grupo de investigadores de la Universidad de Granada y del Complejo Hospitalario Universitario de Granada -adscritos al Instituto Biosanitario de Granada (ibs.GRANADA)- ha recibido el primer premio a la mejor comunicación del congreso internacional de la European Association of Hospital Pharmacist, celebrado del 24 al 27 de marzo del presente año en Hamburgo. Este congreso es el más importante a nivel europeo en el ámbito de la Farmacia Hospitalaria.

 

El trabajo premiado ha consistido en el estudio de la estabilidad en el tiempo del medicamento de uso hospitalario Remicade™ (cuyo principio activo es el infliximab) una vez abierto el envase, así como de varias preparaciones habituales de administración, de manera que pueda ser optimizado su uso con total seguridad para el paciente.

La dificultad en este tipo de estudios deriva de la naturaleza compleja que presentan los anticuerpos monoclonales que constituyen el principio activo de estos medicamentos. Para llevar a cabo esta investigación se ha desarrollado un conjunto de métodos y estrategias de análisis específicas para el estudio de las propiedades físico-químicas y la actividad biológica del infliximab, lo que ha permitido un estudio profundo y detallado de sus características más allá de las indicadas por el propio fabricante.

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Nueva técnica clasifica efectos de varias enfermedades en la flora intestinal

77111 Una nueva técnica permite cuantificar y clasificar los efectos de enfermedades como el lupus eritematoso, la diarrea infecciosa y la obesidad, que afectan a la flora intestinal, a partir de las especies químicas producidas por las diferentes bacterias, ha informado hoy la Universidad de Granada. La definición de estos cambios puede contribuir a conocer el desarrollo de estas enfermedades, según Manuel Ferrer, investigador del CSIC en el Instituto de Catálisis, que ha liderado los dos estudios sobre la composición y diversidad de especies químicas producidas por las bacterias intestinales. Este experto ha explicado que la flora intestinal o «microbiota» puede considerarse como un órgano adicional y está formada por millones de bacterias que interaccionan entre sí y con el organismo, afectando a su funcionamiento y salud. Antonio Suárez García, coautor de la investigación sobre la obesidad, ha señalado que el estudio sugiere que, en personas sanas que no sufren ninguna enfermedad, el índice de masa corporal y, por tanto de obesidad, es el factor diferenciador independientemente de la edad o de cualquier otro parámetro. Es decir, una persona sana delgada tiene una composición y diversidad de especies químicas bacterianas muy diferente a la de una obesa, según este profesor del Departamento de Bioquímica y Biología Molecular 2 e investigador del Centro de Investigación Biomédica de la Universidad de Granada. Se sabe que enfermedades como la obesidad, el cáncer y enfermedades autoinmunes pueden causar cambios en la composición de las bacterias intestinales, ha explicado por su parte Ferrer. «Sin embargo, hasta hoy no se había esclarecido qué enfermedades producen las mismas o diferentes alteraciones en la microbiota, y si en base a ello es posible clasificar diferentes enfermedades», ha añadido. Además, tampoco se sabía si hay factores o enfermedades que dominen a la hora de inducir cambios gastrointestinales. Los investigadores han analizado por primera vez la composición y diversidad de especies químicas producidas por las bacterias intestinales, lo que se conoce como «metaboloma», en tres grupos de pacientes. El hallazgo abre nuevas oportunidades relacionadas con el estudio de cómo las diferencias que aparecen más abajo de la «jerarquía funcional», por ejemplo a nivel de poblaciones bacterianas, acaban finalmente en el mismo patrón metabólico o químico que es específico para diferentes enfermedades. Se abren además por primera vez posibilidades para poder clasificar el efecto de distintas enfermedades en las bacterias gastrointestinales y cómo estas pueden afectar al desarrollo de las mismas.
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Nueva técnica clasifica efectos de varias enfermedades en la flora intestinal

77111 Una nueva técnica permite cuantificar y clasificar los efectos de enfermedades como el lupus eritematoso, la diarrea infecciosa y la obesidad, que afectan a la flora intestinal, a partir de las especies químicas producidas por las diferentes bacterias, ha informado hoy la Universidad de Granada.

 

La definición de estos cambios puede contribuir a conocer el desarrollo de estas enfermedades, según Manuel Ferrer, investigador del CSIC en el Instituto de Catálisis, que ha liderado los dos estudios sobre la composición y diversidad de especies químicas producidas por las bacterias intestinales.

Este experto ha explicado que la flora intestinal o «microbiota» puede considerarse como un órgano adicional y está formada por millones de bacterias que interaccionan entre sí y con el organismo, afectando a su funcionamiento y salud.

Antonio Suárez García, coautor de la investigación sobre la obesidad, ha señalado que el estudio sugiere que, en personas sanas que no sufren ninguna enfermedad, el índice de masa corporal y, por tanto de obesidad, es el factor diferenciador independientemente de la edad o de cualquier otro parámetro.

Es decir, una persona sana delgada tiene una composición y diversidad de especies químicas bacterianas muy diferente a la de una obesa, según este profesor del Departamento de Bioquímica y Biología Molecular 2 e investigador del Centro de Investigación Biomédica de la Universidad de Granada.

Se sabe que enfermedades como la obesidad, el cáncer y enfermedades autoinmunes pueden causar cambios en la composición de las bacterias intestinales, ha explicado por su parte Ferrer.

«Sin embargo, hasta hoy no se había esclarecido qué enfermedades producen las mismas o diferentes alteraciones en la microbiota, y si en base a ello es posible clasificar diferentes enfermedades», ha añadido.

Además, tampoco se sabía si hay factores o enfermedades que dominen a la hora de inducir cambios gastrointestinales.

Los investigadores han analizado por primera vez la composición y diversidad de especies químicas producidas por las bacterias intestinales, lo que se conoce como «metaboloma», en tres grupos de pacientes.

El hallazgo abre nuevas oportunidades relacionadas con el estudio de cómo las diferencias que aparecen más abajo de la «jerarquía funcional», por ejemplo a nivel de poblaciones bacterianas, acaban finalmente en el mismo patrón metabólico o químico que es específico para diferentes enfermedades.

Se abren además por primera vez posibilidades para poder clasificar el efecto de distintas enfermedades en las bacterias gastrointestinales y cómo estas pueden afectar al desarrollo de las mismas.

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Una nueva técnica clasifica el efecto de enfermedades intestinales

77111 Una nueva técnica permitirá clasificar el efecto de varias enfermedades de la flora intestinal, como el lupus eritematoso, la diarrea infecciosa y la obesidad, a partir de las especies químicas producidas por las bacterias intestinales, según ha informado en nota de prensa la Universidad de Granada (UGR).

 

Los investigadores han analizado por primera vez la composición y diversidad de especies químicas producidas por las bacterias intestinales, lo que se conoce como metaboloma, en tres grupos de pacientes: personas afectadas de lupus (enfermedad reumática sistémica y crónica), con diarrea causada por la bacteria Clostridium difficile e individuos sanos.

El hallazgo abre nuevas oportunidades relacionadas con el estudio de cómo las diferencias que aparecen más abajo de la jerarquía funcional, por ejemplo a nivel de poblaciones bacterianas, acaban finalmente en el mismo patrón metabólico (o químico) que es específico para diferentes enfermedades.

El hallazgo permite clasificar el efecto de distintas enfermedades en las bacterias gastrointestinales y cómo estas pueden afectar al desarrollo de las mismas.

El investigador del CSIC en el Instituto de Catálisis, Manuel Ferrer, que ha liderado dos estudios publicados en las revistas ‘Scientific Report’ e ‘Isme Journal’ (Grupo Nature), ha explicado que «nuestra flora intestinal o microbiotica puede considerarse como un órgano más».

La flora está formada por «millones de bacterias que interaccionan entre sí y con nuestro organismo, afectando a su funcionamiento y salud», ha comentado el científico.

Antonio Suárez García, profesor del departamento de Bioquímica y Biología molecular 2 e investigador del Centro de Investigación Biomédica de la Universidad de Granada, ha señalado que «el estudio sugiere que en personas sanas que no sufren ninguna enfermedad, el índice de masa corporal y, por tanto de obesidad, es el factor diferenciador independientemente de la edad o de cualquier otro parámetro».

Una persona sana y delgada tiene una composición y diversidad de especies químicas bacterianas muy diferente a la de una obesa.

Enfermedades como la obesidad, el cáncer y enfermedades auto inmunes pueden causar cambios en la composición de las bacterias intestinales, ha explicado Ferrer.

«Hasta hoy no se había esclarecido qué enfermedades producen las mismas o diferentes alteraciones en la microbiota y si es posible clasificar diferentes enfermedades», ha agregado.

Según los investigadores «tampoco» se conoce «si hay factores o enfermedades que dominen a la hora de inducir cambios gastrointestinales».

DISTINTAS PATOLOGÍAS El lupus eritematoso es un factor dominante frente a la obesidad a la hora de su influencia en la actividad de las bacterias intestinales, ha comentado Abelardo Margolles, investigador del CSIC en el Instituto de Productos Lácteos.

Una persona con lupus delgada y otra obesa tienen similar composición y diversidad de especies químicas bacterianas, hecho que contrasta con lo que ocurre en personas sanas.

Esto podría ser la razón de que las personas con lupus tengan mayor predisposición al llamado síndrome metabólico, ha detallado Margolles.

La obesidad en personas sin otras complicaciones patológicas sí es el factor que determina el metabolismo intracelular microbiona.

Lo mismo ocurre cuando se comparan pacientes con diarrea infecciosa e individuos sanos, ha detallado Suárez.

En este caso, la técnica empleada permite además diferenciar los efectos producidos cuando la bacteria C.difficile produce dos toxinas, que aumentan los efectos negativos de la diarrea e influyen negativamente en la salud.

En todos los casos estudiados los investigadores han podido identificar marcadores químicos específicos para las patologías estudiadas.

Esta investigación, que ha contado con la colaboración de grupos españoles del Instituto Cavanilles de Biodiversidad y Biología Evolutiva de la Universidad de Valencia (ICBIBE), el Centro Superior de Investigación en Salud Pública (CSISP), la Universidad CEU San Pablo, el Hospital Clínico de Valencia, la Universidad de Valencia, es resultado de diferentes trabajos en el marco de una serie de proyectos financiados por el Ministerio de Economía y Competitividad, el Ministerio de Sanidad, Servicios Sociales e Igualdad, el Instituto Carlos III y la Generalitat Valenciana.

Los investigadores también han contado con el apoyo del programa EraNET PathoGenoMics2 promovido por la Unión Europea.

Parte del equipo forma parte del Centro de Investigación Biomédica en Red de Epidemiología y Salud Pública.

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Una nueva técnica clasifica los efectos de varias enfermedades en la flora intestinal

77111 Una nueva técnica permite cuantificar y clasificar los efectos de enfermedades como el lupus eritematoso, la diarrea infecciosa y la obesidad, que afectan a la flora intestinal, a partir de las especies químicas producidas por las diferentes bacterias, ha informado este jueves la Universidad de Granada.

 

La definición de estos cambios puede contribuir a conocer el desarrollo de estas enfermedades, según Manuel Ferrer, investigador del CSIC en el Instituto de Catálisis, que ha liderado los dos estudios sobre la composición y diversidad de especies químicas producidas por las bacterias intestinales.

Este experto ha explicado que la flora intestinal o «microbiota» puede considerarse como un órgano adicional y está formada por millones de bacterias que interaccionan entre sí y con el organismo, afectando a su funcionamiento y salud.

Antonio Suárez García, coautor de la investigación sobre la obesidad, ha señalado que el estudio sugiere que, en personas sanas que no sufren ninguna enfermedad, el índice de masa corporal y, por tanto de obesidad, es el factor diferenciador independientemente de la edad o de cualquier otro parámetro.

Es decir, una persona sana delgada tiene una composición y diversidad de especies químicas bacterianas muy diferente a la de una obesa, según este profesor del Departamento de Bioquímica y Biología Molecular 2 e investigador del Centro de Investigación Biomédica de la Universidad de Granada.

Se sabe que enfermedades como la obesidad, el cáncer y enfermedades autoinmunes pueden causar cambios en la composición de las bacterias intestinales, ha explicado por su parte Ferrer.

«Sin embargo, hasta hoy no se había esclarecido qué enfermedades producen las mismas o diferentes alteraciones en la microbiota, y si en base a ello es posible clasificar diferentes enfermedades», ha añadido.

Además, tampoco se sabía si hay factores o enfermedades que dominen a la hora de inducir cambios gastrointestinales.

Los investigadores han analizado por primera vez la composición y diversidad de especies químicas producidas por las bacterias intestinales, lo que se conoce como «metaboloma», en tres grupos de pacientes.

El hallazgo abre nuevas oportunidades relacionadas con el estudio de cómo las diferencias que aparecen más abajo de la «jerarquía funcional», por ejemplo a nivel de poblaciones bacterianas, acaban finalmente en el mismo patrón metabólico o químico que es específico para diferentes enfermedades.

Se abren además por primera vez posibilidades para poder clasificar el efecto de distintas enfermedades en las bacterias gastrointestinales y cómo estas pueden afectar al desarrollo de las mismas.

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Una nueva técnica clasifica los efectos de varias enfermedades en la flora intestinal

77111 Una nueva técnica permite cuantificar y clasificar los efectos de enfermedades como el lupus eritematoso, la diarrea infecciosa y la obesidad, que afectan a la flora intestinal, a partir de las especies químicas producidas por las diferentes bacterias, ha informado hoy la Universidad de Granada.

 

La definición de estos cambios puede contribuir a conocer el desarrollo de estas enfermedades, según Manuel Ferrer, investigador del CSIC en el Instituto de Catálisis, que ha liderado los dos estudios sobre la composición y diversidad de especies químicas producidas por las bacterias intestinales.

Este experto ha explicado que la flora intestinal o «microbiota» puede considerarse como un órgano adicional y está formada por millones de bacterias que interaccionan entre sí y con el organismo, afectando a su funcionamiento y salud.

Antonio Suárez García, coautor de la investigación sobre la obesidad, ha señalado que el estudio sugiere que, en personas sanas que no sufren ninguna enfermedad, el índice de masa corporal y, por tanto de obesidad, es el factor diferenciador independientemente de la edad o de cualquier otro parámetro.

Es decir, una persona sana delgada tiene una composición y diversidad de especies químicas bacterianas muy diferente a la de una obesa, según este profesor del Departamento de Bioquímica y Biología Molecular 2 e investigador del Centro de Investigación Biomédica de la Universidad de Granada.

Se sabe que enfermedades como la obesidad, el cáncer y enfermedades autoinmunes pueden causar cambios en la composición de las bacterias intestinales, ha explicado por su parte Ferrer.

«Sin embargo, hasta hoy no se había esclarecido qué enfermedades producen las mismas o diferentes alteraciones en la microbiota, y si en base a ello es posible clasificar diferentes enfermedades», ha añadido.

Además, tampoco se sabía si hay factores o enfermedades que dominen a la hora de inducir cambios gastrointestinales.

Los investigadores han analizado por primera vez la composición y diversidad de especies químicas producidas por las bacterias intestinales, lo que se conoce como «metaboloma», en tres grupos de pacientes.

El hallazgo abre nuevas oportunidades relacionadas con el estudio de cómo las diferencias que aparecen más abajo de la «jerarquía funcional», por ejemplo a nivel de poblaciones bacterianas, acaban finalmente en el mismo patrón metabólico o químico que es específico para diferentes enfermedades.

Se abren además por primera vez posibilidades para poder clasificar el efecto de distintas enfermedades en las bacterias gastrointestinales y cómo estas pueden afectar al desarrollo de las mismas.

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Una nueva técnica permite clasificar el efecto de enfermedades intestinales

77111 Una nueva técnica permitirá clasificar el efecto de varias enfermedades de la flora intestinal, como el lupus eritematoso, la diarrea infecciosa y la obesidad, a partir de las especies químicas producidas por las bacterias intestinales, según ha informado en nota de prensa la Universidad de Granada (UGR).
Los investigadores han analizado por primera vez la composición y diversidad de especies químicas producidas por las bacterias intestinales, lo que se conoce como metaboloma, en tres grupos de pacientes: personas afectadas de lupus (enfermedad reumática sistémica y crónica), con diarrea causada por la bacteria Clostridium difficile e individuos sanos.

 

El hallazgo abre nuevas oportunidades relacionadas con el estudio de cómo las diferencias que aparecen más abajo de la jerarquía funcional, por ejemplo a nivel de poblaciones bacterianas, acaban finalmente en el mismo patrón metabólico (o químico) que es específico para diferentes enfermedades.

El hallazgo permite clasificar el efecto de distintas enfermedades en las bacterias gastrointestinales y cómo estas pueden afectar al desarrollo de las mismas.

El investigador del CSIC en el Instituto de Catálisis, Manuel Ferrer, que ha liderado dos estudios publicados en las revistas ‘Scientific Report’ e ‘Isme Journal’ (Grupo Nature), ha explicado que «nuestra flora intestinal o microbiotica puede considerarse como un órgano más».

La flora está formada por «millones de bacterias que interaccionan entre sí y con nuestro organismo, afectando a su funcionamiento y salud», ha comentado el científico.

Antonio Suárez García, profesor del departamento de Bioquímica y Biología molecular 2 e investigador del Centro de Investigación Biomédica de la Universidad de Granada, ha señalado que «el estudio sugiere que en personas sanas que no sufren ninguna enfermedad, el índice de masa corporal y, por tanto de obesidad, es el factor diferenciador independientemente de la edad o de cualquier otro parámetro».

Una persona sana y delgada tiene una composición y diversidad de especies químicas bacterianas muy diferente a la de una obesa.

Enfermedades como la obesidad, el cáncer y enfermedades auto inmunes pueden causar cambios en la composición de las bacterias intestinales, ha explicado Ferrer.

«Hasta hoy no se había esclarecido qué enfermedades producen las mismas o diferentes alteraciones en la microbiota y si es posible clasificar diferentes enfermedades», ha agregado.

Según los investigadores «tampoco» se conoce «si hay factores o enfermedades que dominen a la hora de inducir cambios gastrointestinales».

DISTINTAS PATOLOGÍAS El lupus eritematoso es un factor dominante frente a la obesidad a la hora de su influencia en la actividad de las bacterias intestinales, ha comentado Abelardo Margolles, investigador del CSIC en el Instituto de Productos Lácteos.

Una persona con lupus delgada y otra obesa tienen similar composición y diversidad de especies químicas bacterianas, hecho que contrasta con lo que ocurre en personas sanas.

Esto podría ser la razón de que las personas con lupus tengan mayor predisposición al llamado síndrome metabólico, ha detallado Margolles.

La obesidad en personas sin otras complicaciones patológicas sí es el factor que determina el metabolismo intracelular microbiona.

Lo mismo ocurre cuando se comparan pacientes con diarrea infecciosa e individuos sanos, ha detallado Suárez.

En este caso, la técnica empleada permite además diferenciar los efectos producidos cuando la bacteria C.difficile produce dos toxinas, que aumentan los efectos negativos de la diarrea e influyen negativamente en la salud.

En todos los casos estudiados los investigadores han podido identificar marcadores químicos específicos para las patologías estudiadas.

Esta investigación, que ha contado con la colaboración de grupos españoles del Instituto Cavanilles de Biodiversidad y Biología Evolutiva de la Universidad de Valencia (ICBIBE), el Centro Superior de Investigación en Salud Pública (CSISP), la Universidad CEU San Pablo, el Hospital Clínico de Valencia, la Universidad de Valencia, es resultado de diferentes trabajos en el marco de una serie de proyectos financiados por el Ministerio de Economía y Competitividad, el Ministerio de Sanidad, Servicios Sociales e Igualdad, el Instituto Carlos III y la Generalitat Valenciana.

Los investigadores también han contado con el apoyo del programa EraNET PathoGenoMics2 promovido por la Unión Europea.

Parte del equipo forma parte del Centro de Investigación Biomédica en Red de Epidemiología y Salud Pública.

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Una nueva técnica permite clasificar el efecto de enfermedades intestinales

77111 Una nueva técnica permitirá clasificar el efecto de varias enfermedades de la flora intestinal, como el lupus eritematoso, la diarrea infecciosa y la obesidad, a partir de las especies químicas producidas por las bacterias intestinales, según ha informado en nota de prensa la Universidad de Granada (UGR).
Los investigadores han analizado por primera vez la composición y diversidad de especies químicas producidas por las bacterias intestinales, lo que se conoce como metaboloma, en tres grupos de pacientes: personas afectadas de lupus (enfermedad reumática sistémica y crónica), con diarrea causada por la bacteria Clostridium difficile e individuos sanos.
El hallazgo abre nuevas oportunidades relacionadas con el estudio de cómo las diferencias que aparecen más abajo de la jerarquía funcional, por ejemplo a nivel de poblaciones bacterianas, acaban finalmente en el mismo patrón metabólico (o químico) que es específico para diferentes enfermedades.

 

El hallazgo permite clasificar el efecto de distintas enfermedades en las bacterias gastrointestinales y cómo estas pueden afectar al desarrollo de las mismas.
El investigador del CSIC en el Instituto de Catálisis, Manuel Ferrer, que ha liderado dos estudios publicados en las revistas ‘Scientific Report’ e ‘Isme Journal’ (Grupo Nature), ha explicado que «nuestra flora intestinal o microbiotica puede considerarse como un órgano más».
La flora está formada por «millones de bacterias que interaccionan entre sí y con nuestro organismo, afectando a su funcionamiento y salud», ha comentado el científico.
Antonio Suárez García, profesor del departamento de Bioquímica y Biología molecular 2 e investigador del Centro de Investigación Biomédica de la Universidad de Granada, ha señalado que «el estudio sugiere que en personas sanas que no sufren ninguna enfermedad, el índice de masa corporal y, por tanto de obesidad, es el factor diferenciador independientemente de la edad o de cualquier otro parámetro».
Una persona sana y delgada tiene una composición y diversidad de especies químicas bacterianas muy diferente a la de una obesa.
Enfermedades como la obesidad, el cáncer y enfermedades auto inmunes pueden causar cambios en la composición de las bacterias intestinales, ha explicado Ferrer.
«Hasta hoy no se había esclarecido qué enfermedades producen las mismas o diferentes alteraciones en la microbiota y si es posible clasificar diferentes enfermedades», ha agregado.
Según los investigadores «tampoco» se conoce «si hay factores o enfermedades que dominen a la hora de inducir cambios gastrointestinales».
DISTINTAS PATOLOGÍAS El lupus eritematoso es un factor dominante frente a la obesidad a la hora de su influencia en la actividad de las bacterias intestinales, ha comentado Abelardo Margolles, investigador del CSIC en el Instituto de Productos Lácteos.
Una persona con lupus delgada y otra obesa tienen similar composición y diversidad de especies químicas bacterianas, hecho que contrasta con lo que ocurre en personas sanas.
Esto podría ser la razón de que las personas con lupus tengan mayor predisposición al llamado síndrome metabólico, ha detallado Margolles.
La obesidad en personas sin otras complicaciones patológicas sí es el factor que determina el metabolismo intracelular microbiona.
Lo mismo ocurre cuando se comparan pacientes con diarrea infecciosa e individuos sanos, ha detallado Suárez.
En este caso, la técnica empleada permite además diferenciar los efectos producidos cuando la bacteria C.difficile produce dos toxinas, que aumentan los efectos negativos de la diarrea e influyen negativamente en la salud.
En todos los casos estudiados los investigadores han podido identificar marcadores químicos específicos para las patologías estudiadas.
Esta investigación, que ha contado con la colaboración de grupos españoles del Instituto Cavanilles de Biodiversidad y Biología Evolutiva de la Universidad de Valencia (ICBIBE), el Centro Superior de Investigación en Salud Pública (CSISP), la Universidad CEU San Pablo, el Hospital Clínico de Valencia, la Universidad de Valencia, es resultado de diferentes trabajos en el marco de una serie de proyectos financiados por el Ministerio de Economía y Competitividad, el Ministerio de Sanidad, Servicios Sociales e Igualdad, el Instituto Carlos III y la Generalitat Valenciana.
Los investigadores también han contado con el apoyo del programa EraNET PathoGenoMics2 promovido por la Unión Europea.
Parte del equipo forma parte del Centro de Investigación Biomédica en Red de Epidemiología y Salud Pública.

Descargar


Una nueva técnica permite clasificar el efecto de enfermedades intestinales

77111 Los investigadores han analizado por primera vez la composición y diversidad de especies químicas producidas por las bacterias intestinales, lo que se conoce como metaboloma, en tres grupos de pacientes: personas afectadas de lupus (enfermedad reumática sistémica y crónica), con diarrea causada por la bacteria Clostridium difficile e individuos sanos.

 

El hallazgo abre nuevas oportunidades relacionadas con el estudio de cómo las diferencias que aparecen más abajo de la jerarquía funcional, por ejemplo a nivel de poblaciones bacterianas, acaban finalmente en el mismo patrón metabólico (o químico) que es específico para diferentes enfermedades.

El hallazgo permite clasificar el efecto de distintas enfermedades en las bacterias gastrointestinales y cómo estas pueden afectar al desarrollo de las mismas. El investigador del CSIC en el Instituto de Catálisis, Manuel Ferrer, que ha liderado dos estudios publicados en las revistas ‘Scientific Report’ e ‘Isme Journal’ (Grupo Nature), ha explicado que «nuestra flora intestinal o microbiotica puede considerarse como un órgano más». La flora está formada por «millones de bacterias que interaccionan entre sí y con nuestro organismo, afectando a su funcionamiento y salud», ha comentado el científico. Antonio Suárez García, profesor del departamento de Bioquímica y Biología molecular 2 e investigador del Centro de Investigación Biomédica de la Universidad de Granada, ha señalado que «el estudio sugiere que en personas sanas que no sufren ninguna enfermedad, el índice de masa corporal y, por tanto de obesidad, es el factor diferenciador independientemente de la edad o de cualquier otro parámetro». Una persona sana y delgada tiene una composición y diversidad de especies químicas bacterianas muy diferente a la de una obesa. Enfermedades como la obesidad, el cáncer y enfermedades auto inmunes pueden causar cambios en la composición de las bacterias intestinales, ha explicado Ferrer. «Hasta hoy no se había esclarecido qué enfermedades producen las mismas o diferentes alteraciones en la microbiota y si es posible clasificar diferentes enfermedades», ha agregado. Según los investigadores «tampoco» se conoce «si hay factores o enfermedades que dominen a la hora de inducir cambios gastrointestinales». DISTINTAS PATOLOGÍAS El lupus eritematoso es un factor dominante frente a la obesidad a la hora de su influencia en la actividad de las bacterias intestinales, ha comentado Abelardo Margolles, investigador del CSIC en el Instituto de Productos Lácteos. Una persona con lupus delgada y otra obesa tienen similar composición y diversidad de especies químicas bacterianas, hecho que contrasta con lo que ocurre en personas sanas. Esto podría ser la razón de que las personas con lupus tengan mayor predisposición al llamado síndrome metabólico, ha detallado Margolles. La obesidad en personas sin otras complicaciones patológicas sí es el factor que determina el metabolismo intracelular microbiona. Lo mismo ocurre cuando se comparan pacientes con diarrea infecciosa e individuos sanos, ha detallado Suárez. En este caso, la técnica empleada permite además diferenciar los efectos producidos cuando la bacteria C.difficile produce dos toxinas, que aumentan los efectos negativos de la diarrea e influyen negativamente en la salud. En todos los casos estudiados los investigadores han podido identificar marcadores químicos específicos para las patologías estudiadas. Esta investigación, que ha contado con la colaboración de grupos españoles del Instituto Cavanilles de Biodiversidad y Biología Evolutiva de la Universidad de Valencia (ICBIBE), el Centro Superior de Investigación en Salud Pública (CSISP), la Universidad CEU San Pablo, el Hospital Clínico de Valencia, la Universidad de Valencia, es resultado de diferentes trabajos en el marco de una serie de proyectos financiados por el Ministerio de Economía y Competitividad, el Ministerio de Sanidad, Servicios Sociales e Igualdad, el Instituto Carlos III y la Generalitat Valenciana. Los investigadores también han contado con el apoyo del programa EraNET PathoGenoMics2 promovido por la Unión Europea. Parte del equipo forma parte del Centro de Investigación Biomédica en Red de Epidemiología y Salud Pública.

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