Une étude met en rapport les niveaux de polluants qu’une personne accumule dans son corps avec son degré d’obésité

Une équipe de scientifiques espagnols, parmi lesquels plusieurs chercheurs de l’Université de Grenade, démontre que les sujets présentant plus de polluants organiques persistants (POPs) dans leur organisme ont également des niveaux de cholestérol et de triglycérides plus élevés.

Leur travail, publié dans la revue Environmental Pollution, analyse les niveaux de ces polluants environnementaux accumulés de près de 300 hommes et femmes ayant été intervenus chirurgicalement dans deux hôpitaux de Grenade. 

Une équipe de scientifiques espagnols, parmi lesquels plusieurs chercheurs de l’Université de Grenade, a confirmé qu’il existe un rapport entre les niveaux de certains polluants environnementaux qu’une personne accumule dans son corps avec son degré d’obésité. Ainsi, les sujets présentant plus de polluants dans leur organisme ont également des niveaux de cholestérol et de triglycérides plus élevés, des facteurs importants de risque de maladie cardiovasculaire.

Il s’agit d’un travail, publié dans la prestigieuse revue Environmental Pollution, auquel ont participé plusieurs chercheurs de l’Université de Grenade, les hôpitaux universitaires San Cecilio et Virgen de las Nieves ainsi que l’École Andalouse de Santé Publique, tous membres de l’Institut de Recherche Biosanitaire de Grenade.

Cette recherche a analysé les niveaux de ces polluants environnementaux accumulés dans les tissus adipeux de près de 300 hommes et femmes ayant été intervenus chirurgicalement dans deux hôpitaux de Grenade. 

Les substances analysées connues comme polluants organiques persistants (POPs) peuvent rester dans l’environnement pendant des années, voire des décennies, sans se dégrader.

« Les êtres humains sont exposés aux POPs principalement à travers la diète. De plus, les POPs s’accumulent progressivement dans la graisse corporelle, de sorte que les niveaux mesurés dans notre travail nous donnent une idée de l’exposition accumulée chez une personne au cours de plusieurs années », explique Juan Pedro Arrebola, principal auteur de l’article.

Grâce à des modèles statistiques complexes, les scientifiques ont vérifié que les niveaux accumulés de plusieurs POPs s’associent à l’obésité et aux niveaux sériques de cholestérol et de triglycérides des personnes, indépendamment de leur sexe, âge, lieu de résidence et degré de tabagie.

« En général, les personnes présentant des niveaux plus élevés de POPs étaient quantitativement plus obèses et, de plus, présentaient des niveaux plus élevés de cholestérol et de triglycérides, des facteurs importants de risque de maladie cardiovasculaire, bien que ces rapports soient complexes et ne présentent pas toujours des patrons linéaires », signale Arrebola.

Les POPs étudiés

Parmi les POPs étudiés se trouve le DDE, principal métabolite du pesticide DDT, largement utilisé dans le monde jusqu’aux années 80, et actuellement employé par quelques pays pour combattre le paludisme/malaria. De même, on a étudié l’insecticide lindane, très utilisé dans le passé dans les cultures et dans quelques médicaments pour le traitement des poux et de la gale. 

L’étude inclut aussi un groupe de biphényles polychlorés ou BPCs, utilisés dans de nombreux équipements industriels, et qui sont toujours présents dans les transformateurs électriques anciens. Tous ces polluants s’associent d’une façon ou d’une autre aux taux d’obésité et/ou de cholestérol et triglycérides.

Bien que leur utilisation soit actuellement très restreinte, les POPs supposent un problème important pour la santé publique ; de fait, 100% des participants à cette étude ont présenté des niveaux détectables d’un ou de plusieurs de ces composants.

« Cette universalité de l’exposition rend très important son impact sur la santé humaine. De même, nos résultats suggèrent qu’il n’existe pas de niveaux d’exposition sûrs pour ces polluants qui, de plus, peuvent interagir entre eux pour produire des effets sur la santé », remarque le chercheur.

Des travaux antérieurs ont démontré que la population générale est exposée aux POPs surtout à travers les aliments à contenu élevé en graisse, y compris les viandes et les poissons gras et de grande taille, raison pour laquelle un nombre croissant de chercheurs recommandent de modérer leur consommation.

Actuellement, le groupe de recherche du docteur Arrebola réalise un suivi de la population d’étude au cours de plusieurs années afin de vérifier si les personnes les plus exposées ont présenté un risque majeur de développer certaines pathologies, comme l’hypertension, l’obésité ou des maladies cardiovasculaires.

Polluants ‘obésogènes’

L’obésité est devenue une épidémie au niveau mondial dont la prévalence en Europe a triplé dans les dernières décennies. Le plus grave est que l’on a démontré que les personnes obèses présentent un risque élevé de souffrir un grand nombre de problèmes de santé, comme des maladies cardiovasculaires, que l’Organisation Mondiale de la Santé considère cause principale de mort au niveau mondial. 

Traditionnellement, on a considéré que l’obésité est le résultat d’une consommation élevée de calories par rapport à la dépense énergétique. « Nous croyons que les résultats ne sont pas seulement une conséquence d’une consommation majeure d’aliments de la part des personnes obèses. Il est désormais évident que l’exposition humaine à certaines substances chimiques dénommées ‘obésogènes’ peut favoriser la croissance et la prolifération d’adipocytes (cellules de la graisse), et donc provoquer une augmentation de la graisse corporelle. Nous soupçonnons également que certains polluants environnementaux pourraient également provoquer des altérations dans les niveaux de cholestérol et des triglycérides ; et, de la sorte, contribuer au développement de maladies cardiovasculaires », conclut Arrebola. 

Référence bibliographique
Associations of accumulated exposure to persistent organic pollutants with serum lipids and obesity in an adult cohort from Southern Spain
Juan P. Arrebola, Ricardo Ocaña-Riola, Antonio L. Arrebola-Moreno, María Fernández-Rodríguez, Piedad Martín-Olmedo, Mariana F. Fernández,Nicolás Olea
Environ Pollut. 2014 Aug 28;195C:9-15.
doi: 10.1016/j.envpol.2014.08.003

 

Équipe de recherche à l’Université de Grenade

Contact : Juan Pedro Arrebola. Département de Radiologie et de Médecine Physique de l’Université de Grenade. Tél. : 958 240758 ; courriel : jparrebola@ugr.es


A study relates the level of pollutants accumulated in the body with obesity levels

A team of Spanish scientists, which includes several researchers from the University of Granada, proves that subjects who present higher levels of persistent organic pollutants (POPs) in their organism also suffer from higher cholesterol and triglycerides levels

This This study, which has been published in the journal Environmental Pollution, analysed the level of these environmental pollutants accumulated in nearly 300 men and women, who were attended in the surgery services of two hospitals in Granada.

A team of Spanish scientists, which includes several researchers from the University of Granada, has confirmed that there is a relation between the levels of certain environmental pollutants that a person accumulates in his or her body and their level of obesity. Subjects with more pollutants in their organisms present besides higher levels of cholesterol and triglycerides, which are important risk factors for cardiovascular disease.

This is a study published in the prestigious journal Environmental Pollution, which has counted with the participation of researchers from the University of Granada, the San Cecilio and Virgen de las Nieves university hospitals, and the Andalusian School of Public Health, all of them members of the Granada Biohealth Research Institute.

This research has analysed the levels of pollutants accumulated in adipose tissue (fat) in nearly 300 men and women, who were attended in the surgery services of two hospitals in the province of Granada (Spain).

The substances analysed, known as persistent organic pollutants (POPs), can remain in the environment for years, even decades, without degrading.

“Humans are exposed to POPs mainly through diet. Besides, POPs accumulate gradually in body fat, and this is the reason why the median levels in our study give us an idea of an individual’s accumulated exposition over a number of years”, says Juan Pedro Arrebola, the main author of the article.

Using complex statistical methods, these scientists confirmed that the accumulated levels of several POPs were related to obesity and to serum levels of cholesterol and triglycerides in individuals, irrespective of the gender, age, place of residence or smoking habits of participants in the survey.

“In general we found that people with higher levels of POPs were quantitatively more obese, and also showed higher levels of cholesterol and triglycerides, all of them regarded as important risk factors for cardiovascular disease, although these relations were complex and they did not always show linear patters”, Arrebola claims. 

POPs subject to analysis

Those POPs subject to analysis include DDE, the main metabolite of pesticide DDT, widely used all over the world in the 1980s, and currently employed by some countries to combat malaria. They also included the insecticide lindane, frequently used in the past in agriculture and also in certain medicaments for lice and scabies

The survey also included a group of polychlorinated biphenyls or PCBs, used in numerous industrial equipment, and which are still present in old electric transformers. All these pollutants were somehow associated with obesity indexes, as well as cholesterol and / or triglycerides levels.

In spite of the fact that their use is currently very restricted, POPs are a very serious public health problem. Actually, 100% of participants in this survey presented detectable levels of one or more of these compounds. 

“This universal exposition turns their impact on human health into a most important issue. Besides, our results suggest that there are no safe exposure levels for these pollutants, which can also interact among them to affect health”, Arrebola added.

Previous studies have demonstrated that the general population is exposed to POPs mainly through food with a high fat content. This includes fish and meat from large animals with a high level of fat. This is the reason why a growing number of researchers recommend to consume them in moderation.

Doctor Arrebola’s research group is currently monitoring the subjects of their study over the course of several years, to confirm whether those subjects exposed have shown a higher risk of developing certain pathologies, such as high blood pressure, obesity, or cardiovascular disease.

Obesity-genic” Pollutants

Obesity has become a universal epidemic whose impact in Europe has tripled during the last few decades. The most important problem is that obese people have a high risk of suffering from numerous health problems such as cardiovascular disease, which the World Health Organisation considers the main cause of death worldwide.

It has been traditionally thought that obesity results from a high caloric intake in comparison with energy expenditure. “We believe that the results are not just the consequence of a higher intake of food by obese people. There is evidence that human exposure to certain chemical substances called “obesogenic” could favour the growth and proliferation of adipocytes (fat cells), and provoke therefore an increase in body fat. We suspect besides that certain environmental pollutants could also provoke alterations in cholesterol and triglycerides levels and therefore contribute to the development of cardiovascular disease”, Arrebola concludes. 

Bibliography:
Associations of accumulated exposure to persistent organic pollutants with serum lipids and obesity in an adult cohort from Southern Spain
Juan P. Arrebola, Ricardo Ocaña-Riola, Antonio L. Arrebola-Moreno, María Fernández-Rodríguez, Piedad Martín-Olmedo, Mariana F. Fernández, Nicolás Olea
Environ Pollut. 2014 Aug 28;195C:9-15.
doi: 10.1016/j.envpol.2014.08.003

Research Team at the University of Granada

Contact:
Juan Pedro Arrebola
Department of Radiology and Physical Medicine, University of Granada
Phone: 958 240 758
Email: jparrebola@ugr.es


“Arquitectura y Mujer en Iberoamérica”, conferencia de Martha Thorne en la ETS de Arquitectura

Es la directora ejecutiva de los Premios Pritzker, que galardonan anualmente a los mejores arquitectos del mundo

El miércoles 11 de febrero, a las 12.30 horas, tendrá lugar en el aula T-12A de la Escuela Técnica Superior de Arquitectura de la Universidad de Granada la conferencia inaugural del ciclo “Aula Americana de Arquitectura en Andalucía 2015”, impartida por Martha Thorne con el título “Arquitectura y Mujer en Iberoamérica”.

Esta conferencia se enmarca dentro del ciclo de conferencias “Aula Americana de Arquitectura en Andalucía 2015”, con financiación de la Consejería de Fomento y Vivienda de la Junta de Andalucía. La conferencia está organizada por el Área de Proyectos Arquitectónicos. Colaboran el Departamento de Expresión Gráfica Arquitectónica y en la Ingeniería, así como la Escuela Técnica Superior de Arquitectura, de la Universidad de Granada, el Colegio Oficial de Arquitectos de Granada y el Patronato de la Alhambra y Generalife.

Tras el éxito de la pasada edición, con la presencia en Granada de jóvenes equipos latinoamericanos, comprometidos a través de una arquitectura de calidad con su propia realidad territorial, urbana, social y cultural, se plantea ahora un nuevo ciclo de conferencias que tiene como objetivo dar a conocer la labor que vienen realizando, cada vez con mayor intensidad, las arquitectas iberoamericanas. Se trata de una selección de profesionales de estos países que han destacado por sus trabajos en el panorama internacional.

Martha Thorne es vicedecana para Relaciones Externas de IE School of Architecture and Design. Actualmente compagina esta responsabilidad con el cargo de directora ejecutiva de los Premios Pritzker, que galardonan a los mejores arquitectos del mundo. Desempeñó el cargo de comisaria del Departamento de Arquitectura en el Art Institute of Chicago entre los años 1996 y 2005. Martha Thorne es, además, editora y autora de varios libros, entre ellos, ‘Skycrapers: the New Millennium’ o ‘The Pritzker Architecture Prize: The First Twenty Years’ y de numerosos artículos para revistas de arquitectura y enciclopedias.

Licenciada en Urbanismo por la Universidad del Estado de Nueva York en Buffalo, Martha Thorne realizó el Máster de City Planning de la Universidad de Pennsylvania y cursó estudios adicionales en la London School of Economics. Ha desempeñado, durante seis años, la labor de miembro del Patronato de la Fundación Graham y, durante tres años, ha formado parte de la Junta de Asesores del Archivo Internacional de la Mujer en la Arquitectura. Actualmente es miembro del jurado del premio “ArcVision-Women and Architecture”, galardón fundado por la empresa Italcementi.

Más información en el siguiente enlace: http://etsag.ugr.es/pages/tablon/*/extrarquitectura/ciclo-de-conferencias-aula-americana-de-arquitectura-en-andalucia-2015-2

. Correo elec: rdlacour@ugr.es

CONVOCATORIA:

ASUNTO: conferencia de Martha Thorne, “Arquitectura y Mujer en Iberoamérica”.

DÍA: miércoles, 11 de febrero.

HORA: 12,30 horas.

LUGAR: T-12A. ETS de Arquitectura de Granada.


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Andalucía dejaría de ingresar más de 1000 millones sólo en concepto de IRPF e IVA por ineficacia de la Agencia Tributaria

Un estudio realizado por investigadores de la Universidad de Granada constata que más del 80% de los empleados de la AEAT considera que en cuanto a recaudación de tributos y a la lucha contra el fraude fiscal los resultados “son mejorables”

El trabajo es el resultado de un proyecto de investigación financiado por el Centro de Estudios Andaluces

¿Qué efectos puede tener sobre la financiación autonómica la gestión de la Agencia Tributaria? El fraude fiscal en España puede alcanzar los 200000 millones de euros en volumen de actividad, existiendo además un montante pendiente de cobro que ascendió a 43671 millones de euros a octubre de 2014, entre los que se encuentran deudas por IRPF e IVA, tributos de cuya recaudación participan las comunidades autónomas en un 50%.

En lo relativo a la recaudación del IRPF, se estima que Andalucía podría dejar de ingresar unos 400 millones de euros -unos 8.000 millones en el conjunto del Estado- y, en concepto de IVA, otros 658 millones -de los 13000 millones pendientes de España-, lo que supondría dejar de ingresar una cifra superior a los 1.000 millones de euros.

Un equipo de profesores de Economía Aplicada de la Universidad de Granada, dirigido por el doctor Pedro Enrique Barrilao González, se ha adentrado en la estructura de la AEAT para indagar en su funcionamiento interno, organización, política de recursos humanos, medios y condiciones de trabajo, para tratar de determinar las causas del incumplimiento inadecuado de sus funciones.

Los resultados de su estudio se encuentran recogidos en el informe ‘La financiación autonómica andaluza: efectos de la gestión de la AEAT en Andalucía’, resultado de un proyecto de investigación financiado por el Centro de Estudios Andaluces y presentado recientemente en el marco de las Jornadas ‘¿Es necesaria una reforma en la Agencia Tributaria?’.

Los investigadores parten de la premisa de que para la consecución de sus objetivos -recaudación de la deuda tributaria, control y el saneamiento de las finanzas públicas, reducción del fraude fiscal- la AEAT tiene en los recursos humanos su principal activo. El estudio parte de una encuesta realizada a mediados de 2012 a los empleados de la AEAT (1401 encuestas a nivel nacional, de las que 471 fueron realizadas en una primera fase a los trabajadores de la delegación especial de la AEAT en Andalucía) sobre cuestiones relacionadas con la satisfacción con el trabajo, las condiciones de los puestos y retributivas, la formación y el desarrollo, las relaciones jerárquicas y el grado de identificación del personal con los objetivos de la Agencia, como elementos clave que influyen en el clima laboral y, por ende, en la eficacia de los resultados de la Agencia Tributaria.

Entre las principales conclusiones de esta investigación, se pone de manifiesto que el 82% de los empleados de la AEAT encuestados considera que los resultados en la lucha contra el fraude fiscal son mejorables. De hecho, más de la mitad, el 57%, señala que la Agencia Tributaria no hace todo lo posible para evitarlo. El 27% culpa a la propia Agencia de los altos porcentajes de fraude. Los resultados recaudatorios en la prevención y lucha contra el fraude fiscal de la Agencia Tributaria alcanzaron en 2013, incluyendo la minoración de devoluciones, un importe total de 9197 millones de euros, según datos aportados en esta investigación.

Si bien el 47,5% de los trabajadores considera que la atención al contribuyente es la oportuna, de esta encuesta se desprende también que el 42% no se encuentra identificado con los objetivos de la Agencia y que otro 34,5% declara no conocer siquiera estos objetivos.

Respecto a la satisfacción con el trabajo, el 61% de los trabajadores de la AEAT no ven cumplidas sus expectativas laborales y el 47,5% reclama una mayor valoración de su trabajo. En cuanto a las condiciones retributivas, los empleados de la Agencia Tributaria consideran que su trabajo no está adecuadamente retribuido (81%) y que merecen más salario por su dedicación (74%). De igual manera, opinan que las diferencias salariales y los incentivos entre los diversos grupos no están justificados (91%); que la productividad aplicada no incentiva el rendimiento laboral (92%); y que el reparto de la productividad no se adecúa a la carga de trabajo (95%). Un 70% reclama también mayor inversión en formación.

Para el profesor Barrilao, los resultados de este estudio ponen de manifiesto “una significativa falta de motivación de los trabajadores en la Agencia Tributaria en su delegación de Andalucía”, resultados que “de ser similares en el resto de delegaciones en todo el territorio nacional – añade – conlleva importantes repercusiones negativas en la consecución de los objetivos de la administración tributaria española”. El doctor en Economía Aplicada advierte que “la percepción negativa de esta Administración por parte del contribuyente puede implicar una reducción del cumplimiento voluntario del pago de los tributos”.

La investigación concluye que “la administración tributaria necesita reformas urgentes para frenar esta tendencia y conseguir así que sus empleados se sientan motivados y satisfechos en el desarrollo de sus funciones, lo que promoverá la mejora de la eficacia y eficiencia de la Agencia Tributaria en el ámbito andaluz y por ende en la financiación autonómica”.

Promover propuestas de mejora para una AEAT más eficaz y eficiente, no sólo exclusivamente desde el análisis de la estructura impositiva y la cuantificación del hecho imponible, sino desde el estudio de su estructura organizativa y funcionamiento interno, ha sido el objetivo de las Jornadas organizadas por el Centro de Estudios Andaluces.

Además de Barrilao, han participado los investigadores coautores del estudio, los profesores del departamento de Economía Aplicada de la Universidad de Granada Juan Delgado Alaminos, Elena Villar RubioSoledad Barrios Martínez, miembros del Grupo de Investigación ‘Sector Público, Equidad, Eficiencia y Gestión’ (EFIGES); los secretarios generales de las organizaciones sindicales con implantación en la AEAT: UCESHA (Unión de Grupos C de Hacienda), Jorge Vergara Paños, y GESTHA (Sindicato de Técnicos del Ministerio de Hacienda), Carlos Cruzado Catalán; y el portavoz adjunto de la Comisión de Economía y Competitividad y de la Comisión de Presupuestos del Congreso de los Diputados, Antonio Hurtado Zurera.

El informe ‘La financiación autonómica andaluza. Efectos de la gestión de la AEAT en Andalucía’ se encuentra disponible para su libre descarga en la web del Centro de Estudios Andaluces. Además de la evaluación de la motivación del personal de la AEAT en Andalucía, este estudio aporta un análisis de los modelos de financiación y de la evolución de los ingresos de la Comunidad Autónoma y una comparativa a nivel internacional del modelo de administración tributaria.

Contacto: Pedro Enrique Barrilao González Departamento de Economía Aplicada de la UGR Teléfono: 958244261 Correo electrónico: pedroe@ugr.es

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“II Jornadas sobre la Sociología de los problemas sociales. Homenaje in memóriam del profesor Juan C. Prior Ruiz”

Los días 11 y 12 de febrero, en las facultades de Ciencias Políticas y Sociología, y Ciencias del trabajo

Los días 11 y 12 de febrero se celebrará un Homenaje in memóriam del profesor Juan C. Prior Ruiz dentro de las II Jornadas sobre la sociología de los problemas sociales. Es una actividad promovida por el Departamento de Sociología, el Grupo de Investigación “Los problemas sociales de Andalucía”, la Facultad de Ciencias Políticas y Sociología, y la Facultad de Ciencias del Trabajo,

11 de febrero de 2015 10 horas. “Acto Homenaje al profesor Prior Ruiz”. Intervienen: -Susana Corzo. Decana de la Facultad de Ciencias Políticas y Sociología. -Pedro A. García. Decano de la Facultad de Ciencias del Trabajo. -Diego Becerril. Director del Departamento de Sociología. -Antonio Trinidad. Director del Grupo de Investigación “Los problemas sociales en Andalucía”. Biografía del profesor Prior a cargo de Rafael Martínez, profesor del Departamento de Sociología. 12:00 horas. Conferencia de apertura: “Para la historia de la Sociología en Andalucía”. Julio Iglesias de Ussel. Catedrático de Sociología. Universidad Complutense de Madrid.

Programa completo en: http://sl.ugr.es/07qa

Entrada libre a todas las sesiones. Lugar de celebración: Salón de Grados de la Facultad de Ciencias Políticas y Sociología (día 11) y Salón de Grados de la Facultad de Ciencias del trabajo (día 12).

 

CONVOCATORIA:

ASUNTO: “Acto Homenaje al profesor Prior Ruiz”.

DÍA: miércoles, 11 de febrero.

HORA: 10 horas.

LUGAR: Salón de Grados de la Facultad de Ciencias Políticas y Sociología.


Convenio de colaboración UGR y Orange para el mecenazgo de actividades

Miércoles, 11 de febrero, a las 12 horas, en el Salón Rojo del Hospital Real

La Universidad de Granada y Orange presentarán el miércoles 11 de febrero, a las 12 horas, un acuerdo de mecenazgo por el que la empresa de telecomunicaciones se compromete a colaborar con la UGR y cuya donación se destina inicialmente a la Universiada de Invierno Granada 2015.

El acto de presentación ante los medios de comunicación contará con la participación de Joaquín Colino, director de Grandes Cuentas de Orange España, y de Andrés Navarro Galera, gerente de la Universidad de Granada.

CONVOCATORIA:

  • ASUNTO: Convenio de colaboración UGR y Orange para el mecenazgo de actividades.
  • DÍA: miércoles, 11 de febrero.
  • HORA: 12 horas.
  • LUGAR: Salón Rojo del Hospital Real.


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El proyecto FLAMENCO busca mujeres de mediana edad para estudiar cómo el ejercicio mejora la salud física y mental

Científicos de la Universidad de Granada buscan la colaboración de mujeres de entre 45 y 60 años para participar en un proyecto de investigación que pretende estudiar si la práctica de ejercicio regular previene el riesgo cardiovascular y la osteoporosis en mujeres de mediana edad

Las participantes recibirán un informe personalizado, valorado en más de 1000 euros, sobre su estado de salud (condición física, calidad de vida, hábitos nutricionales, etc.), así como la evaluación de la composición corporal y la densidad mineral ósea, a través de una densitometría (DEXA)
Científicos de la Universidad de Granada buscan la colaboración de mujeres de entre 45 y 60 años para participar en un proyecto de investigación que pretende estudiar si la práctica de ejercicio regular mejora la salud física y mental y previene el riesgo cardiovascular y la osteoporosis en mujeres de mediana edad.
Este proyecto, denominado FLAMENCO (“Fitness League Against MENopause COst”), se lleva a cabo en colaboración con el centro de salud Zaidín-Sur y Mirasierra, y ha sido financiado por la Consejería de Igualdad, Salud y Políticas Sociales de la Junta de Andalucía.
La iniciativa está dirigida por la investigadora de la UGR Virginia Aparicio García-Molina, y será desarrollada por un equipo multidisciplinar de licenciados en Ciencias del Deporte y Nutrición.
Los requisitos para participar en el proyecto FLAMENCO son ser mujer de entre 45 y 60 años, tener disponibilidad (1 hora al día los lunes, miércoles y viernes) en horario de mañana o de tarde durante 4 meses, y no padecer ninguna enfermedad que impida realizar el programa de ejercicio.
Al finalizar el programa, las participantes recibirán un informe personalizado con una valoración completa de su estado de salud (condición física, calidad de vida, hábitos nutricionales, etc.), así como la evaluación de la composición corporal y la densidad mineral ósea, a través de una densitometría (DEXA). Esta batería de pruebas tiene un coste de mercado que supera los 1000 euros, y que en este proyecto se ofrece gratuitamente a todas las participantes.
Las interesadas en participar en el estudio FLAMENCO, cuyas plazas son limitadas, deberán contactar con los investigadores a través del correo electrónico flamencoproject2015@gmail.com, o en los teléfonos 696 108 621 (Pilar Ruiz-Cabello Turmo) y 647 267 646 (Ana Mª Andrade Fernández).

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Contacto:
Pilar Ruiz-Cabello Turmo / Ana Mª Andrade Fernández
Departamento de Fisiología de la Universidad de Granada
Teléfonos: 696 108 621 / 647 267 646
Correo electrónico: flamencoproject2015@gmail.com

Contacto: Pilar Ruiz-Cabello Turmo / Ana Mª Andrade Fernández Departamento de Fisiología de la Universidad de GranadaTeléfonos: 696 108 621 / 647 267 646Correo electrónico: flamencoproject2015@gmail.com


El Grupo de Teatro de la UGR representa “Pier Paolo” en el Aula Magna de la Facultad de Filosofía y Letras

Dentro de las Jornadas de Recepción para los estudiantes internacionales que se celebran del 9 al 13 de febrero

El Grupo de Teatro de la Universidad de Granada representará la obra teatral “Pier Paolo” el martes, 11 de febrero, a las 19:30 horas, en el Aula Magna de la Facultad de Filosofía y Letras de la UGR.

La entrada es libre hasta completar aforo.

Esta actividad forma parte de las Jornadas de Recepción para los estudiantes internacionales que se celebran del 9 al 13 de febrero, y ha sido organizada por el Vicerrectorado de Relaciones Internacionales y Cooperación al Desarrollo y el Secretariado de Extensión Universitaria de la UGR.


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Convocado el XI Premio de Ciencias de la Salud

Está dotado con 20000 euros en su modalidad de investigación, y con 6000 euros en su modalidad de divulgación

La Fundación Caja Rural de Granada y la Fundación Parque Tecnológico de Ciencias de la Salud de Granada, con la colaboración de la Universidad de Granada, los Colegios Oficiales de Médicos y Farmacéuticos de Granada, y la Consejería de Igualdad, Salud y Políticas Sociales de la Junta de Andalucía, han convocado el XI Premio Ciencias de la Salud – Fundación Caja Rural de Granada.

El premio está dotado con 20000 euros en su modalidad de investigación, y con 6000 euros en su modalidad de divulgación. El plazo de entrega de originales finalizará a las 14 horas del día 10 de abril de 2015.

La temática de los trabajos será coincidente con las líneas prioritarias de investigación en el Parque Tecnológico de Ciencias de la Salud, esto es:

  • Medicina regenerativa y terapia génica
  • Oncología molecular y genómica del cáncer
  • Genómica, proteómica y farmacogenómica
  • Inmunología e inmunopatología
  • Parasitología molecular
  • Neurociencias
  • Nutrición, nutrigenómica y endocrinología molecular
  • Biotecnología y nuevas dianas terapéuticas
  • Patologías cardiovasculares

Las bases del premio pueden consultarse en nuestra web http://vicpts.ugr.es/pages/premio-ciencias-de-la-salud/xi_premio_cc_salud_fundacion_caja_rural, o bien en la de la Fundación Caja Rural de Granadahttp://www.fundacioncrg.com/search/label/premios

Recientes ganadores del premio han sido:

  • 2009: Dr. Guillermo Montoya. Centro Nacional de Investigaciones Oncológicas (CNIO). Madrid.
  • 2010: Dr. Manel Esteller. Instituto de Investigación Biomédica de Bellvitge (IDIBELL). Barcelona.
  • 2011: Dr. Javier Martín. Instituto de Parasitología y Biomedicina “López Neyra” CSIC. Granada.
  • 2012: Dr. Miguel Angel del Pozo. Centro Nacional de Investigaciones Cardiovasculares (CNIC). Madrid.
  • 2013: Drs. Óscar Marín y Beatriz Rico.  Instituto del Neurociencias de Alicante, CSIC-Universidad Miguel Hernández. Alicante.
  • 2014: Drs. Mario Delgado Mora y Elena González Rey. Instituto de Parasitología y Biomedicina “López Neyra” CSIC.


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Suecia derrota a Canadá y España pierde ante Estados Unidos en curling masculino

Suecia ha derrotado a Canadá (10-3) y España ha perdido ante Estados Unidos (3-11) en la primera sesión de curling masculino del martes, 10 de febrero, en el Pabellón de Fuentenueva de la Universidad de Granada. Además, Japón ha perdido ante Rusia (4-10), Gran Bretaña ha perdido ante Noruega (4-6), y República Checa ha sido derrotada por Suiza (7-9). Esta tarde, a las 14:00, se reanudarán los partidos de curling femenino en los que se decidirán los cuatro equipos finalistas (si hubiera empate se celebrarían los partidos en la mañana del miércoles, 11 de febrero). Y a las 19:00 horas volverán las selecciones masculinas, que disputarán la última sesión del torneo, antes de las semifinales.

Universiada: El equipo español de curling ha perdido hoy ante Estados Unidos (3-11). Foto de Andrés Infante Armada.


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Detectan metano en Marte, ¿indicio de vida?

75302 El vehículo robótico Curiosity ha detectado fluctuaciones de metano en la atmósfera de Marte, lo que abre nuevas vías de investigación para esclarecer cuáles son las fuentes que lo producen, entre las que podría estar algún tipo de actividad biológica.

 

Esta es la principal conclusión de un estudio que publica este miércoles la revista estadounidense «Science» y que también abre una nueva línea para estudiar cuáles son los mecanismos a través de los que este gas se elimina con inexplicable rapidez.

El trabajo cuenta con la participación de dos investigadores españoles y, según sus autores, resuelve «la prolongada polémica» sobre la presencia de este compuesto en Marte, iniciada hace más de una década con las primeras detecciones desde telescopios terrestres y avivada posteriormente con las medidas obtenidas desde vehículos orbitales.

Las mediciones actuales del incremento episódico de la concentración de metano en la atmósfera marciana las ha hecho el instrumento del Curiosity «SAM», a través del espectrómetro láser sintonizable.

Los resultados señalan que, si bien los niveles de metano en la atmósfera de Marte (en concreto en el cráter Gale) son generalmente inferiores a lo que los modelos predecían, éste repunta con frecuencia. Ello implica que el gas es producido periódicamente por una fuente cercana pero desconocida, según «Science».

Según informó el Grupo de Ciencias Planetarias y Habitabilidad del Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra (centro mixto de la Universidad de Granada y el Consejo Superior de Investigaciones Científicas), los resultados se han obtenido a partir de un exhaustivo análisis de datos obtenidos durante 605 soles o días marcianos. Un día marciano dura 24 horas, 39 minutos y 35,244 segundos, alrededor de un 3 % más que uno terrestre.

Desde que se anunció por primera vez la detección de metano en la atmósfera marciana con el Telescopio del Observatorio Canadá-Francia-Hawái en Mauna Kea, se han sucedido a lo largo de los últimos años varias mediciones del gas mediante diversos instrumentos, tanto de sondeo remoto desde la Tierra como desde naves en órbita (Mars Express y Mars Global Surveyor).

Al ser el metano un producto muy notorio de la actividad biológica -la práctica totalidad del existente en la atmósfera terrestre tiene este origen-, se abrieron grandes expectativas ante la posibilidad de que también ése fuera el caso de Marte.

Sin embargo, ante la carencia de un modelo capaz de justificar su generación, localización y rápida desaparición, las detecciones se empezaron a poner en duda y se achacaron a defectos derivados de las mediciones, relata en Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra en una nota.

Ahora, el Curiosity ha sido capaz de obtener medidas precisas: el instrumento «SAM» ha detectado valores basales de concentración de metano de en torno a 0,7 partes por mil millones en volumen y ha confirmado un evento de incremento episódico de hasta 10 veces este valor durante un período de 60 soles (días marcianos).

En cuanto a por qué estos chorros de metano son esporádicos, este trabajo apunta a una correlación con determinadas variables ambientales, como humedad relativa del aire o temperatura ambiente. Estas medidas son tomadas por el instrumento REMS (una estación meteorológica hecha en España) y el trabajo sugiere que, por ejemplo, a mayor presión podría haber más picos de metano. No obstante, esto aún hay que comprobarlo en posteriores estudios.

Este trabajo, junto a otro que publicará «Journal of Geophysical Research» sobre la localización de compuestos orgánicos -como clorobenceno- en el suelo del cráter Gale, fueron presentados hoy en el congreso de geofísica (AGU Fall Meeting) en San Francisco (EEUU).

Por parte española, participaron Javier Martín Torres, del Instituto Andaluz de Ciencias de la Tierra, y Paz Zorzano, del Centro de Astrobiología (del INTA y del CSIC).

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«El curling se profesionalizará en España porque es un deporte que engancha»

Granada está de fiesta. Desde este miércoles la llama del pebetero instalado en el Palacio de Congresos de la ciudad andaluza brilla con luz propia. Lo hará hasta el próximo 14 de febrero, día en el que se clausurará la Universiada 2015. Se trata de un evento que reúne a deportistas universitarios que compiten como si se tratasen de unos Juegos Olímpicos sin el profesionalismo que existe en una cita de semejante talla. Un escenario que se antoja perfecto para aquellos jóvenes con proyección y que se postulas como atletas olímpicos. España no ha faltado a la cita. Y entre las distintas disciplinas en las que competirán nuestros deportistas, destaca el curling. Además de ser uno de los deportes más curiosos, es su debut en una Universiada. Así se lo ha contado Eduardo de Paz, miembro del equipo masculino, a El Confidencial.

 

El curling apareció por primera vez en la Universiada de 2003 celebrada en Treviso. Lo hizo como disciplina opcional, pero su popularidad aumentó de inmediato. Doce años después, los equipos españoles de curling debutarán en la cita que estos días acoge Granada. Patricia Arbués, Sofía Fernández, Ane Cuadrado, Alicia Ann y Macarena García defenderán los colores nacionales en la disciplina femenina mientras que Sergio Vez, Ángel García, Mario Fernández, Luis Domingo y Eduardo de Paz lo harán en el cuadro masculino.

Con éste último ha charlado El Confidencial tras la ceremonia de inauguración y a este periódico le ha confesado el objetivo de ambos equipos: «Vamos a intentar hacerlo lo mejor que podamos. Es la primera vez que el curling español está en una Universiada y vamos a enfrentarnos a equipos de primer nivel, que han ganado Europeos y Mundiales». Eduardo nos explica cómo ha llegado a este deporte: «Fue por mis padres; ellos jugaban y a los siete años yo también empecé a practicarlo y a participar en torneos. Ellos fueron de los primeros en España, hace ya doce años… En ese momento sólo había dos equipos y era un deporte que se conocía en el Norte de España».

Lo que no se puede negar es que el curling atrae; se calcula que 1’2 millones de personas lo practican a lo largo y ancho del planeta. Un interés que confirma el propio Eduardo: «Todos lo conocen más o menos y todos te hacen las mismas preguntas: si eres el que lanza la piedra o barres, cuando todos hacemos las dos cosas, cuánto pesa la piedra… Y si alguien no sabe qué es, les digo: ¿sabes ese deporte que sale por la televisión en el que se tira una piedra y se barre el hielo? Pues es ese». Una disciplina que según nos cuenta el jugador español «está en expansión» dentro de nuestras fronteras.

Al mismo tiempo recalca que también «es complicado porque no tenemos pistas de hielo suficientes y ninguna que sea exclusiva para el curling. Las compartimos con el patinaje y el hockey que, con las cuchillas, dejan el hielo… Nada que ver con lo que luego te encuentras a la hora de competir». Y es que a pesar de que es un deporte que en España empieza a ganar peso, el camino no es fácil. Por ejemplo, para poder entrenar, Eduardo, natural de León, se veía obligado a viajar a «Vitoria, Madrid o Jaca porque en mi ciudad no hay pista de hielo. A veces, hacíamos los viajes en el día». Y son los propios jugadores los que se costean «los viajes para ir fuera de España a entrenar porque la Federación sólo se hace cargo de los campeonatos oficiales». A pesar de ello, no duda cuando le preguntamos si cree que el curling se profesionalizará en España: «Sí. Es un deporte que engancha a todos los que lo prueban. Sólo necesitaríamos más pistas de hielo para que se extienda por toda España».

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