Convocatoria. Rueda de prensa. Exposición del Premio Nacional de Fotografía José Manuel Ballester, “Trasfondos”

La presentación a los medios de comunicación se realizará el jueves, 19 de febrero de 2015, a las 11.30 horas, y la inauguración oficial a las 20.00 horas, en el crucero bajo del Hospital Real

La exposición “José Manuel Ballester. Trasfondos” será presentada a los medios de comunicación el jueves, 19 de febrero, a las 11.30 horas en el crucero bajo del Hospital Real en un acto en el que intervendrán M.ª Elena Martín-Vivaldi Caballero (vicerrectora de Extensión Universitaria y Deporte de laUniversidad de Granada), Ricardo Anguita Cantero (director del Centro de Cultura Contemporánea de laUniversidad de Granada), José Manuel Ballester (artista, Premio Nacional de Fotografía 2010), José Ibáñez Álvarez (comisario de la exposición) e Inmaculada López Vílchez (directora del Área de Exposiciones del Centro de Cultura Contemporánea).

La muestra presenta varias series del Premio Nacional de Fotografía 2010 José Manuel Ballester realizadas entre los años 2005 y 2015. Se trata de las series “Contenedores”, “Librerías”, “Espacios Ocultos”, “Nocturnos sobre Broadway” y “Variaciones a partir de Mondrian”.

Ya por la tarde, a las 20 horas, tendrá lugar la inauguración, en el mismo crucero del Hospital Real. En este segundo acto intervendrán M.ª Elena Martín-Vivaldi Caballero (vicerrectora de Extensión Universitaria y Deporte de la Universidad de Granada), Ricardo Anguita Cantero (director del Centro de Cultura Contemporánea de la Universidad de Granada), José Manuel Ballester (artista, Premio Nacional de Fotografía 2010), José Ibáñez Álvarez (comisario de la exposición), Miguel Cereceda (profesor de la Universidad Autónoma de Madrid y crítico de arte), e Inmaculada López Vílchez (directora del Área de Exposiciones del Centro de Cultura Contemporánea).

En los actos de presentación a medios y de inauguración, un grupo de cámara de la Orquesta de laUniversidad de Granada, compuesto por Ana María Castillero y Diego Dueñas (violín), Juan Miguel Camacho (viola), Irene Morales (violonchelo) y Jefferson Burgos (piano), interpretará el Quinteto de Piano y cuerdas nº 6 de Luigi Boccherini, op. 57 (selección).

Convocatoria. Rueda de prensa

  • Presentación de la exposición: “José Manuel Ballester. Trasfondos”.
  • Participan: M.ª Elena Martín-Vivaldi, Ricardo Anguita Cantero, José Manuel Ballester, José Ibáñez Álvarez, e Inmaculada López Vílchez
  • Día: jueves, 19 de febrero de 2015.
  • Lugar: crucero bajo del Hospital Real.
  • Hora: 11.30 horas.


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Développement d’un modèle théorique d’interrupteur atomique qui permettra de dessiner des plaques solaires plus efficaces et des ordinateurs quantiques plus robustes

Développement d’un modèle théorique d’interrupteur atomique qui permettra de dessiner des plaques solaires plus efficaces et des ordinateurs quantiques plus robustes

Les chercheurs, membres de l’Université de Grenade, du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et de l’University of Technology and Design de Singapour, ont ouvert la voie à la construction du premier interrupteur quantique de courant contrôlé par symétrie.

 

La fabrication de ce système, qui permettrait de contrôler et de modifier les courants d’énergie à niveau atomique, reste un grand défi pour la communauté scientifique internationale.

Des chercheurs, membres de l’Université de Grenade et du Massachusetts Institute of Technology (MIT) de Cambridge (États-Unis), avec la collaboration de l’University of Technology and Design de Singapour, ont ouvert la voie à la construction du premier interrupteur quantique de courant contrôlé par symétrie.

La fabrication de ce dispositif, qui permettrait de contrôler et de modifier les courants d’énergie à niveau atomique, reste un grand défi pour la communauté scientifique internationale, et pourrait servir, par exemple, à construire des matériaux isolants contrôlés, ou à dessiner des plaques solaires (cellules photovoltaïques artificielles) plus efficaces, qui optimisent le transport d’énergie et, par conséquent, leur rendement en utilisant la symétrie comme instrument de base.

Cette équipe de chercheurs, dont le travail a été publié dans la prestigieuse revue Physical Review B, de l’American Physical Society, travaille actuellement au design réaliste d’un interrupteur quantique possédant ces caractéristiques (contrôlé par symétrie), basé sur des atomes froids dans des cavités optiques cohérentes, et en utilisant des micro-résonateurs optiques accouplés à de respectifs bains pour connecter le système avec des sources thermiques à différentes températures. La démarche suivante, expliquent-ils, sera de pouvoir réaliser expérimentalement un interrupteur quantique contrôlé par symétrie en utilisant ce design comme base.

Les scientifiques décrivent dans ce travail comment la symétrie, un des concepts les plus profonds et puissants de la physique théorique, permet de contrôler et de manipuler le transport d’énergie dans des systèmes quantiques ouverts.

Ordinateurs quantiques
Un système quantique ouvert n’est autre qu’un ensemble d’atomes ou de molécules en interaction, et sujets à l’action d’un environnement qui les perturbe constamment. À ce jour nous pouvons manipuler avec une précision extrême ces systèmes qui constituent les briques avec lesquelles nous espérons construire les futurs ordinateurs quantiques », explique Pablo Ignacio Hurtado Fernández, professeur du département d’Électromagnétisme et de Physique de la Matière de l’Université de Grenade et principal auteur de ce travail.

La « magie » des systèmes quantiques fait que, en présence d’une symétrie, un système quantique ouvert puisse se trouver simultanément à différents états stationnaires. Ce travail démontre que cette coexistence à différents états quantiques se doit à l’existence d’une transition de phase dynamique de premier ordre, similaire à la transition de la phase de l’eau liquide à vapeur, où les deux phases (liquide et vapeur) coexistent en même temps.

« Qui plus est, vu que la dynamique quantique est réversible temporellement (elle fonctionne aussi bien caméra avant que caméra arrière), nous démontrons que cette transition de phase vient accompagnée d’une jumelle, mais qui apparaît par fluctuations très rares du courant d’énergie », signale Hurtado. La coexistence quantique induite par la symétrie permet de stocker de façon robuste de multiples états quantiques cohérents, ce qui ouvre de nombreuses possibilités en calcul quantique, tel que le souligne Daniel Manzano, chercheur du MIT et coauteur de ce travail

Pour réaliser les simulations de ce travail, les chercheurs ont employé le superordinateur PROTEUS, appartenant à l’Institut Carlos I de Physique Théorique et Computationnelle de l’Université de Grenade. PROTEUS est un des superordinateurs de calcul scientifique les plus puissants d’Espagne, avec une capacité de calcul de plus de 13 téraflops qui atteint, grâce à ses 1100 noyaux de traitement, 2,8 téraoctets de RAM et 48 téraoctets de stockage de données.

 

Référence bibliographique
D. Manzano and P.I. Hurtado
Symmetry and the thermodynamics of currents in open quantum systems
Physical Review B 90, 125138 (2014) DOI:10.1103/PhysRevB.90.125138

 

Sur la photo, les chercheurs Pablo Ignacio Hurtado, de l’Université de Grenade, et Daniel Manzano, du MIT, auteurs de ce travail.

 

 

Contact :
Pablo Ignacio Hurtado Fernández. Département d’Électromagnétisme et de Physique de la Matière de l’Université de Grenade.
Tél.: 958 244 014
Courriel: phurtado@HYPERLINK


Développement d’un modèle théorique d’interrupteur atomique qui permettra de dessiner des plaques solaires plus efficaces et des ordinateurs quantiques plus robustes

Développement d’un modèle théorique d’interrupteur atomique qui permettra de dessiner des plaques solaires plus efficaces et des ordinateurs quantiques plus robustes

Les chercheurs, membres de l’Université de Grenade, du Massachusetts Institute of Technology (MIT) et de l’University of Technology and Design de Singapour, ont ouvert la voie à la construction du premier interrupteur quantique de courant contrôlé par symétrie.

 

La fabrication de ce système, qui permettrait de contrôler et de modifier les courants d’énergie à niveau atomique, reste un grand défi pour la communauté scientifique internationale.

Des chercheurs, membres de l’Université de Grenade et du Massachusetts Institute of Technology (MIT) de Cambridge (États-Unis), avec la collaboration de l’University of Technology and Design de Singapour, ont ouvert la voie à la construction du premier interrupteur quantique de courant contrôlé par symétrie.

La fabrication de ce dispositif, qui permettrait de contrôler et de modifier les courants d’énergie à niveau atomique, reste un grand défi pour la communauté scientifique internationale, et pourrait servir, par exemple, à construire des matériaux isolants contrôlés, ou à dessiner des plaques solaires (cellules photovoltaïques artificielles) plus efficaces, qui optimisent le transport d’énergie et, par conséquent, leur rendement en utilisant la symétrie comme instrument de base.

Cette équipe de chercheurs, dont le travail a été publié dans la prestigieuse revue Physical Review B, de l’American Physical Society, travaille actuellement au design réaliste d’un interrupteur quantique possédant ces caractéristiques (contrôlé par symétrie), basé sur des atomes froids dans des cavités optiques cohérentes, et en utilisant des micro-résonateurs optiques accouplés à de respectifs bains pour connecter le système avec des sources thermiques à différentes températures. La démarche suivante, expliquent-ils, sera de pouvoir réaliser expérimentalement un interrupteur quantique contrôlé par symétrie en utilisant ce design comme base.

Les scientifiques décrivent dans ce travail comment la symétrie, un des concepts les plus profonds et puissants de la physique théorique, permet de contrôler et de manipuler le transport d’énergie dans des systèmes quantiques ouverts.

Ordinateurs quantiques
Un système quantique ouvert n’est autre qu’un ensemble d’atomes ou de molécules en interaction, et sujets à l’action d’un environnement qui les perturbe constamment. À ce jour nous pouvons manipuler avec une précision extrême ces systèmes qui constituent les briques avec lesquelles nous espérons construire les futurs ordinateurs quantiques », explique Pablo Ignacio Hurtado Fernández, professeur du département d’Électromagnétisme et de Physique de la Matière de l’Université de Grenade et principal auteur de ce travail.

La « magie » des systèmes quantiques fait que, en présence d’une symétrie, un système quantique ouvert puisse se trouver simultanément à différents états stationnaires. Ce travail démontre que cette coexistence à différents états quantiques se doit à l’existence d’une transition de phase dynamique de premier ordre, similaire à la transition de la phase de l’eau liquide à vapeur, où les deux phases (liquide et vapeur) coexistent en même temps.

« Qui plus est, vu que la dynamique quantique est réversible temporellement (elle fonctionne aussi bien caméra avant que caméra arrière), nous démontrons que cette transition de phase vient accompagnée d’une jumelle, mais qui apparaît par fluctuations très rares du courant d’énergie », signale Hurtado. La coexistence quantique induite par la symétrie permet de stocker de façon robuste de multiples états quantiques cohérents, ce qui ouvre de nombreuses possibilités en calcul quantique, tel que le souligne Daniel Manzano, chercheur du MIT et coauteur de ce travail

Pour réaliser les simulations de ce travail, les chercheurs ont employé le superordinateur PROTEUS, appartenant à l’Institut Carlos I de Physique Théorique et Computationnelle de l’Université de Grenade. PROTEUS est un des superordinateurs de calcul scientifique les plus puissants d’Espagne, avec une capacité de calcul de plus de 13 téraflops qui atteint, grâce à ses 1100 noyaux de traitement, 2,8 téraoctets de RAM et 48 téraoctets de stockage de données.

 

Référence bibliographique
D. Manzano and P.I. Hurtado
Symmetry and the thermodynamics of currents in open quantum systems
Physical Review B 90, 125138 (2014) DOI:10.1103/PhysRevB.90.125138

 

Sur la photo, les chercheurs Pablo Ignacio Hurtado, de l’Université de Grenade, et Daniel Manzano, du MIT, auteurs de ce travail.

 

 

Contact :
Pablo Ignacio Hurtado Fernández. Département d’Électromagnétisme et de Physique de la Matière de l’Université de Grenade.
Tél.: 958 244 014
Courriel: phurtado@HYPERLINK


Rendez-vous à Almaty

La 27e Universiade d’Hiver de la FISU s’est achevée ce soir avec la finale du hockey masculin. Une affiche exceptionnelle et un match un peu particulier puisqu’il mettait en présence les deux nations qui vont accueillir nos Jeux d’Hiver en 2017 et en 2019 soit respectivement le Kazakhstan (Almaty 2017) et la Russie (Krasnoïarsk 2019). La Russie s’est imposée sur la marque de 3 à 1 dans un palais des sports archi-comble. Après la remise des médailles la patinoire fut le théâtre de la cérémonie de clôture. Dans son discours le Président de la FISU, Claude-Louis Gallien, a tout d’abord tenu à remercier M. José Torres Hurtado, le maire de Grenade et Président du Comité d’Organisation, M. Sebastian Perez Ortiz, le Président du Conseil de la Province de Grenade, M. Fransisco Gonzales Lodeiro, le Recteur de l’Université de Grenade, Mme Sandra Garcia Martin, la déléguée du Gouvernement de la Région d’Andalousie, M. Antonio Granados, Conseiller aux Sports de la Ville de Grenade et enfin M. Ignacio Pipo, le CEO de l’Universiade de Grenade 2015. Le Président de la FISU s’est félicité du succès de cette 27e Universiade d’Hiver qui a rassemblé 2400 participants et qui fut la démonstration qu’un tel événement pouvait être organisé sur deux sites et dans deux pays différents. Au total, 540 universités ont été représentées lors de cette Universiade qui laissera un souvenir indélébile à tous les participants, athlètes, juges, arbitres, volontaires et officiels. Après avoir officiellement clôturé cette Universiade, le maire de Grenade put rendre le drapeau de la FISU au Président Gallien qui le transmit lui-même aux délégués de la ville d’Almaty emmenés par le maire, M. Akhmetzhan Yessimovet par le Ministre de l’Éducation et des Sciences du Kazakhstan, M. Aslan Sarinzhipov. Le programme culturel commença juste après mêlant harmonieusement des éléments du folklore espagnol au folklore du Kazakhstan. Rendez-vous dans deux ans, du 29 janvier au 8 février pour célébrer la 28e Universiade à Almaty au Kazakhstan.
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Rendez-vous à Almaty

La 27e Universiade d’Hiver de la FISU s’est achevée ce soir avec la finale du hockey masculin. Une affiche exceptionnelle et un match un peu particulier puisqu’il mettait en présence les deux nations qui vont accueillir nos Jeux d’Hiver en 2017 et en 2019 soit respectivement le Kazakhstan (Almaty 2017) et la Russie (Krasnoïarsk 2019). La Russie s’est imposée sur la marque de 3 à 1 dans un palais des sports archi-comble. Après la remise des médailles la patinoire fut le théâtre de la cérémonie de clôture. Dans son discours le Président de la FISU, Claude-Louis Gallien, a tout d’abord tenu à remercier M. José Torres Hurtado, le maire de Grenade et Président du Comité d’Organisation, M. Sebastian Perez Ortiz, le Président du Conseil de la Province de Grenade, M. Fransisco Gonzales Lodeiro, le Recteur de l’Université de Grenade, Mme Sandra Garcia Martin, la déléguée du Gouvernement de la Région d’Andalousie, M. Antonio Granados, Conseiller aux Sports de la Ville de Grenade et enfin M. Ignacio Pipo, le CEO de l’Universiade de Grenade 2015. Le Président de la FISU s’est félicité du succès de cette 27e Universiade d’Hiver qui a rassemblé 2400 participants et qui fut la démonstration qu’un tel événement pouvait être organisé sur deux sites et dans deux pays différents. Au total, 540 universités ont été représentées lors de cette Universiade qui laissera un souvenir indélébile à tous les participants, athlètes, juges, arbitres, volontaires et officiels. Après avoir officiellement clôturé cette Universiade, le maire de Grenade put rendre le drapeau de la FISU au Président Gallien qui le transmit lui-même aux délégués de la ville d’Almaty emmenés par le maire, M. Akhmetzhan Yessimovet par le Ministre de l’Éducation et des Sciences du Kazakhstan, M. Aslan Sarinzhipov. Le programme culturel commença juste après mêlant harmonieusement des éléments du folklore espagnol au folklore du Kazakhstan. Rendez-vous dans deux ans, du 29 janvier au 8 février pour célébrer la 28e Universiade à Almaty au Kazakhstan.
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Una ‘app’ determina la fuerza nuclear

76032 Investigadores de la Universidad de Granada, en España, han desarrollado una ‘app’ para teléfonos móviles y tablets con sistema operativo Android que permite determinar la fuerza nuclear y predecir las propiedades de estructura del núcleo de helio-4 y de materia nuclear.

 Esta aplicación educativa, denominada Handroica, está dirigida a estudiantes, profesores, investigadores y público en general interesado por la Física. Funciona correctamente en cualquier teléfono o tablet con sistema operativo Android API 7 en adelante.

La finalidad de Handroica es triple. En primer lugar, pretende divulgar algunos de los métodos de la Física Nuclear implementando un cálculo completo ‘ab initio’. En segundo lugar, demostrar la potencialidad de los smartphones como herramienta de trabajo para uso científico. En tercer lugar, sirve para fomentar el uso del lenguaje de programación Android entre investigadores, profesores y estudiantes.

Además pone de manifiesto la potencia de cálculo de los dispositivos portátiles, ya que la ‘app’ se encarga de realizar cálculos de mecánica cuántica avanzada y minimización de funciones con muchas variables en tiempo real. Los resultados de este cálculo con un teléfono son similares a los que se obtienen por otras técnicas complicadísimas con super-ordenadores.

La ‘app’ se está empleando por primera vez durante el curso 2014/15 por los alumnos de cuarto curso del grado en Física en el ámbito del proyecto de innovación docente titulado «Aplicaciones educativas de física para dispositivos Android» dentro del programa de innovación y buenas prácticas docentes de la Universidad de Granada.

La ‘app’ Handroica ha sido desarrollada por los profesores José Enrique Amaro Soriano, Rodrigo Navarro Pérez y Enrique Ruiz Arriola del departamento de Física Atómica, Molecular y Nuclear y del Instituto Carlos I de Física Teórica y Computacional.

El código fuente (en lenguaje JAVA) de la primera versión (que no calculaba la energía de materia nuclear) se publicó por primera vez en un apéndice del libro «Android: programación de dispositivos móviles a través de ejemplo», de José Enrique Amaro Soriano (Editorial Marcombo, Barcelona). Este libro presenta de forma comprensible las bases necesarias para iniciarse en la programación con Android.

El libro (y su segunda parte «El gran libro de programación avanzada con Android») ha sido editado también en México por la editorial Alfaomega con amplia aceptación en Hispanoamérica, ya que es uno de los pocos en castellano. También cuentan con edición e-book en Amazon Kindle. (Fuente :UGR/DICYT)

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Una ‘app’ determina la fuerza nuclear

76032 Investigadores de la Universidad de Granada, en España, han desarrollado una ‘app’ para teléfonos móviles y tablets con sistema operativo Android que permite determinar la fuerza nuclear y predecir las propiedades de estructura del núcleo de helio-4 y de materia nuclear.

 Esta aplicación educativa, denominada Handroica, está dirigida a estudiantes, profesores, investigadores y público en general interesado por la Física. Funciona correctamente en cualquier teléfono o tablet con sistema operativo Android API 7 en adelante.

La finalidad de Handroica es triple. En primer lugar, pretende divulgar algunos de los métodos de la Física Nuclear implementando un cálculo completo ‘ab initio’. En segundo lugar, demostrar la potencialidad de los smartphones como herramienta de trabajo para uso científico. En tercer lugar, sirve para fomentar el uso del lenguaje de programación Android entre investigadores, profesores y estudiantes.

Además pone de manifiesto la potencia de cálculo de los dispositivos portátiles, ya que la ‘app’ se encarga de realizar cálculos de mecánica cuántica avanzada y minimización de funciones con muchas variables en tiempo real. Los resultados de este cálculo con un teléfono son similares a los que se obtienen por otras técnicas complicadísimas con super-ordenadores.

La ‘app’ se está empleando por primera vez durante el curso 2014/15 por los alumnos de cuarto curso del grado en Física en el ámbito del proyecto de innovación docente titulado «Aplicaciones educativas de física para dispositivos Android» dentro del programa de innovación y buenas prácticas docentes de la Universidad de Granada.

La ‘app’ Handroica ha sido desarrollada por los profesores José Enrique Amaro Soriano, Rodrigo Navarro Pérez y Enrique Ruiz Arriola del departamento de Física Atómica, Molecular y Nuclear y del Instituto Carlos I de Física Teórica y Computacional.

El código fuente (en lenguaje JAVA) de la primera versión (que no calculaba la energía de materia nuclear) se publicó por primera vez en un apéndice del libro «Android: programación de dispositivos móviles a través de ejemplo», de José Enrique Amaro Soriano (Editorial Marcombo, Barcelona). Este libro presenta de forma comprensible las bases necesarias para iniciarse en la programación con Android.

El libro (y su segunda parte «El gran libro de programación avanzada con Android») ha sido editado también en México por la editorial Alfaomega con amplia aceptación en Hispanoamérica, ya que es uno de los pocos en castellano. También cuentan con edición e-book en Amazon Kindle. (Fuente :UGR/DICYT)

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La ‘app’ más científica

76032 Los interesados por la Física tienen ahora la posibilidad de conocer más acerca de ella gracias a una aplicación para móviles y tablets Android desarrollada por científicos de la Universidad de Granada (UGR). Esta ‘app’ permite determinar la fuerza nuclear y predice las propiedades de estructura del núcleo de helio-4 y de materia nuclear.

 El objetivo de esta aplicación denominada Handroica es, por un lado, divulgar algunos de los métodos de la física nuclear implementando un cálculo completo ‘ab initio’, es decir, los que asumen leyes básicas y bien establecidas. En segundo lugar, la ‘app’ demuestra la potencialidad de los ‘smartphones’ como herramienta de trabajo para uso científico. Uno de los desarrolladores, José Enrique Amaro, asegura que la potencialidad de los teléfonos inteligentes hará que «en pocos años el ‘smartphone’, la televisión y el ordenador funcionen fusionados».

«En pocos años el ‘smartphone’, la televisión y los ordenadores funcionarán fusionados»
Así, pone de manifiesto la potencia de cálculo de los dispositivos portátiles, ya que la ‘app’ se encarga de realizar cálculos de mecánica cuántica avanzada y minimización de funciones con muchas variables en tiempo real. Los resultados de este cálculo con un teléfono son similares a los que se obtienen por otras técnicas complicadísimas con ordenadores de gran potencia.

Por último, este proyecto pretende fomentar el uso del lenguaje de programacón Android entre investigadores, profesores y estudiantes de la rama más científica. Los alumnos de 4º curso del grado en Física de la UGR son los primeros en estar usando esta aplicación en su proyecto de innovación docente titulado ‘Aplicaciones educativas en fñisica para dispositivos Android’.

Amaro explica que han obtenido resultados «satisfactorios» ya que ha sido un ejercicio muy útil para ellos y para el profesor ya que esta herramienta permite resolver varios problemas concretos de forma interactiva, obteniendo los resultados numéricos y representaciones gráficas al momento. «Este sistema de simulaciones y problemas interactivos abre muchas posibilidades en la enseñanza», comenta el profesor.

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La ‘app’ más científica

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«En pocos años el ‘smartphone’, la televisión y los ordenadores funcionarán fusionados»
Así, pone de manifiesto la potencia de cálculo de los dispositivos portátiles, ya que la ‘app’ se encarga de realizar cálculos de mecánica cuántica avanzada y minimización de funciones con muchas variables en tiempo real. Los resultados de este cálculo con un teléfono son similares a los que se obtienen por otras técnicas complicadísimas con ordenadores de gran potencia.

Por último, este proyecto pretende fomentar el uso del lenguaje de programacón Android entre investigadores, profesores y estudiantes de la rama más científica. Los alumnos de 4º curso del grado en Física de la UGR son los primeros en estar usando esta aplicación en su proyecto de innovación docente titulado ‘Aplicaciones educativas en fñisica para dispositivos Android’.

Amaro explica que han obtenido resultados «satisfactorios» ya que ha sido un ejercicio muy útil para ellos y para el profesor ya que esta herramienta permite resolver varios problemas concretos de forma interactiva, obteniendo los resultados numéricos y representaciones gráficas al momento. «Este sistema de simulaciones y problemas interactivos abre muchas posibilidades en la enseñanza», comenta el profesor.

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Melilla Hoy

Pág. 21: Manuel Ruiz Morales, próximo hijo adoptivo de Melilla 2015

Descarga por URL: http://sl.ugr.es/07ud

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La ‘app’ más científica

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 El objetivo de esta aplicación denominada Handroica es, por un lado, divulgar algunos de los métodos de la física nuclear implementando un cálculo completo ‘ab initio’, es decir, los que asumen leyes básicas y bien establecidas. En segundo lugar, la ‘app’ demuestra la potencialidad de los ‘smartphones’ como herramienta de trabajo para uso científico. Uno de los desarrolladores, José Enrique Amaro, asegura que la potencialidad de los teléfonos inteligentes hará que «en pocos años el ‘smartphone’, la televisión y el ordenador funcionen fusionados».

«En pocos años el ‘smartphone’, la televisión y los ordenadores funcionarán fusionados»
Así, pone de manifiesto la potencia de cálculo de los dispositivos portátiles, ya que la ‘app’ se encarga de realizar cálculos de mecánica cuántica avanzada y minimización de funciones con muchas variables en tiempo real. Los resultados de este cálculo con un teléfono son similares a los que se obtienen por otras técnicas complicadísimas con ordenadores de gran potencia.

Por último, este proyecto pretende fomentar el uso del lenguaje de programacón Android entre investigadores, profesores y estudiantes de la rama más científica. Los alumnos de 4º curso del grado en Física de la UGR son los primeros en estar usando esta aplicación en su proyecto de innovación docente titulado ‘Aplicaciones educativas en fñisica para dispositivos Android’.

Amaro explica que han obtenido resultados «satisfactorios» ya que ha sido un ejercicio muy útil para ellos y para el profesor ya que esta herramienta permite resolver varios problemas concretos de forma interactiva, obteniendo los resultados numéricos y representaciones gráficas al momento. «Este sistema de simulaciones y problemas interactivos abre muchas posibilidades en la enseñanza», comenta el profesor.

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