Scientists from the University of Granada successfully calculate nuclear structures more accurately than ever before

To do so, they used more than 8000 neutron-proton and proton-proton experimental scattering data, measured between 1950 and 2013 in particle accelerators around the world

Their work has recently been published in Physical Review—edited by the American Physical Society

Scientists at the University of Granada have determined the most accurate means of calculating nuclear structures yet known. To do so, they used more than 8000 neutron-proton and proton-proton experimental scattering data, measured between 1950 and 2013 in particle accelerators all over the world.

This study has recently been published in the Physical Review—edited by the American Physical Society—where it was highlighted as the ‘Editor’s Suggestion’. The research was conducted entirely in the University of Granada by Rodrigo Navarro Pérez, Enrique Ruiz Arriola and José Enrique Amaro, physicists in the Hadrónica research group of the Department of Atomic, Molecular and Nuclear Physics and the Instituto Carlos I de Física Teórica y Computacional.

In their work, the researchers proposed a new form of nuclear energy that they have termed “coarse-grained potential”. Following their statistical analysis of more than 8000 data, they found that their results were, on average, 96% accurate.

Statistical error

“The importance of our research lies in the fact that we have not just obtained the nuclear potential but its theoretical statistical error too», explains Professor José Enrique Amaro, one of the authors of the article. «This means we can establish limits to the accuracy with which the strong interaction can be empirically determined, since the experimental data are subject to error. This error limits the accuracy with which current physical theory can describe atomic nuclei”.

The new “coarse-grained potential», discovered at the University of Granada, will facilitate the study of the properties of the strong interaction, such as the independent loading of the nuclear structure, or the validity of modern chiral theories (approximations of quantum chromodynamics for low energy). Moreover, it can theoretically be used to calculate the properties of atomic nuclei, such as their internal energy, enabling us to learn the intrinsic theoretical error, due to partial ignorance of the strong interaction, which until now was wholly unknown.

Prof. Amaro explains that “the four fundamental interactions of Physics are gravitation, electromagnetism, the weak interaction and the strong interaction. These four forces are essential for our existence. The strong interaction is the most intense of the four and is the one that binds atomic nuclei together».

The strong interaction is responsible for thermonuclear fusion which takes place in the interior of stars and is based on hydrogen. Without it, the Sun would not emit radiation. “In Physics, knowledge of the strong interaction is essential to understand and describe the processes taking place within nuclei”, says Prof. Amaro.

Reference:
Coarse-grained potential analysis of neutron-proton and proton-proton scattering below the pion production threshold
R. Navarro Pérez, J. E. Amaro, and E. Ruiz Arriola
Physical review C, 88, 064002, Dec. 2013.

Further information: http://hadronica.wordpress.com/

In the photo, from left to right, physicists Enrique Ruiz Arriola, Rodrigo Navarro Pérez and José Enrique Amaro in their office at the University of Granada.

Corresponding author:
José Enrique Amaro
Department of Atomic, Molecular and Nuclear Physics University of Granada
Phone: +34 958 240 028
E-mail address: amaro@ugr.es


Des scientifiques de l’Université de Grenade arrivent à mesurer la force nucléaire avec la plus grande précision obtenue jusqu’à cette date

Pour cela, ils ont utilisé plus de 8.000 données expérimentales de dispersion entre neutrons et protons mesurées entre les années 1950 et 2013 par des accélérateurs de particules du monde entier.

Leur travail a été récemment publié dans la revue « Physical Review » qu’édite la Société Américaine de Physique.

Des scientifiques de l’Université de Grenade ont déterminé le plus précisément possible à cette date la force nucléaire en utilisant pour cela plus de 8.000 données expérimentales de dispersion entre neutrons et protons mesurées entre les années 1950 et 2013 par des accélérateurs de particules du monde entier.

Ce travail a été publié récemment dans la revue « Physical Review » qu’édite la Société Américaine de Physique, et son importance a été soulignée par l’éditeur de la revue, qu’il a sélectionné comme le plus recommandé. La recherche a été intégralement réalisée à l’Université de Grenade par Rodrigo Navarro Pérez, Enrique Ruiz Arriola et José Enrique Amaro, physiciens du groupe de recherche « Hadrónica » du département de Physique Atomique, Moléculaire et Nucléaire et de l’Institut Carlos I de Physique Théorique et Computationnelle.

Les chercheurs grenadins proposent dans leur travail une nouvelle forme pour la force nucléaire, qu’ils ont dénommée « potentiel granulé » car, après leur analyse statistique de plus de 8.000 données, ils ont déterminé que leurs résultats offrent une précision moyenne de 96%.
Erreur statistique

« L’importance de notre recherche est que non seulement nous avons obtenu le potentiel nucléaire mais aussi son erreur statistique théorique », explique le professeur José Enrique Amaro Soriano, un des auteurs de l’article. « Ceci permet d’établir des limites dans la précision avec laquelle il est possible de connaître empiriquement l’interaction forte, vu que les données expérimentales sont susceptibles d’erreur. Ces erreurs limitent la précision avec laquelle les théories physiques actuelles peuvent décrire les noyaux atomiques. »

Le nouveau « potentiel granulé » découvert à l’Université de Grenade facilitera l’étude des propriétés de l’interaction forte, comme l’indépendance de charge des forces nucléaires, ou la validité des modernes théories chirales (approches de la chromodynamique quantique pour basse énergie). De plus, on peut l’utiliser pour calculer théoriquement les propriétés des noyaux atomiques, comme leur énergie interne, pouvant de plus connaître l’erreur théorique intrinsèque dû à la méconnaissance partielle de l’interaction forte, ce qui était jusqu’à la date une énigme.
Le professeur de l’Université de Grenade explique que « les quatre forces fondamentales de la Physique sont l’interaction gravitatoire, l’interaction électromagnétique, l’interaction faible et l’interaction forte. Ces quatre forces sont essentielles pour notre existence. L’interaction forte est la plus intense parmi les quatre et la première qui maintient unis les noyaux atomiques. »

L’interaction forte est la responsable de la fusion thermonucléaire qui a lieu à l’intérieur des étoiles à partir de l’hydrogène. Sans cette force, le soleil ne pourrait pas émettre de radiation. « En physique, la connaissance de l’interaction forte est essentielle pour comprendre et décrire les processus qui ont lieu à l’intérieur des noyaux », souligne Amaro.

 

Référence bibliographique :

Coarse-grained potential analysis of neutron-proton and proton-proton scattering below the pion production threshold. R. Navarro Pérez, J. E. Amaro & E. Ruiz Arriola.
Physical review C, nº 88, p. 064002, déc. 2013.

http://journals.aps.org/prc/abstract/10.1103/PhysRevC.88.064002

Pour plus d’information : http://hadronica.wordpress.com/

 

 

Sur la photo, de gauche à droite, les physiciens Enrique Ruiz Arriola, Rodrigo Navarro Pérez et José Enrique Amaro Soriano dans leur bureau de l’Université de Grenade.

Contact : José Enrique Amaro Soriano. Département de Physique Atomique, Moléculaire et Nucléaire de l’Université de Grenade. Tél. : 958 240028; courriel :
amaro@ugr.es

 


“Diez contradicciones de Washington Irving”, conferencia de Celia Wallhead

Tendrá lugar en el Salón de Caballeros XXIV del Palacio de la Madraza, el miércoles, 21 de mayo de 2014, a las 20 horas

La profesora del Departamento de Filologías Inglesa y Alemana de la Universidad de Granada Celia Wallhead hablará de “Diez contradicciones de Washington Irving” el miércoles, 21 de mayo de 2014, a las 20 horas, dentro del ciclo “Washington Irving y la Granada romántica y orientalista”, organizado por la Cátedra “Emilio García Gómez” de la UGR, con la colaboración del Patronato de la Alhambra y Generalife, Biblioteca de la UGR y Facultad de Filosofía y Letras de la UGR.

Paralelamente a este ciclo de conferencias puede verse, hasta el 6 de junio de 2014, la exposición “Cuentos de la Alhambra: el romanticismo orientalista de Washington Irving” que, con diseño gráfico de Antonio Vera Cerdá, fue inaugurada en el Patio del Palacio de la Madraza el pasado 6 de mayo de 2014, constituida por primeras ediciones de “Cuentos de la Alhambra”.

Todas las actividades de este ciclo (exposición, concierto y conferencias) son de entrada libre y gratuita, hasta completar el aforo de los recintos.

Programa

19 de mayo

  • Conferencia: “La Granada romántica de Washington Irving”.
  • A cargo de: Juan Manuel Barrios Rozúa.
  • Lugar: Salón de Caballeros XXIV del Palacio de la Madraza.
  • Hora: 19.30 horas.
  • Audiovisual: Previamente a la conferencia se proyectará el audiovisual “Washington Irving en el trono de la Alhambra”.

20 de mayo

  • Conferencia: “Los Cuentos de la Alhambra en la tradición narrativa oriental”.
  • A cargo de: Antonio Sánchez Trigueros.
  • Lugar: Salón de Caballeros XXIV del Palacio de la Madraza.
  • Hora: 20.00 horas.

21 de mayo

  • Conferencia: “Diez contradicciones de Washington Irving”.
  • A cargo de: Celia Wallhead.
  • Lugar: Salón de Caballeros XXIV del Palacio de la Madraza.
  • Hora: 20.00 horas.

22 de mayo

  • Conferencia: “La imagen plástica de Granada en el viajero romántico”.
  • A cargo de: Pedro Galera Andreu.
  • Lugar: Salón de Caballeros XXIV del Palacio de la Madraza.
  • Hora: 20.00 horas.

23 de mayo

  • Concierto: “Washington Irving: las músicas de un sueño”.
  • A cargo de: Irving Ensemble.
  • Lugar: Carmen de la Fundación “Rodríguez Acosta”.
  • Hora: 19.30 horas.

 

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There May Be No Such Thing As A ‘Universal’ Intelligence Test

71434 There may be no such thing as a «universal» intelligence test, according to a recent study.

New research from scientists at the University of Granada in Spain suggests that a universal test of intelligence quotient does not exist. Results in this type of test are determined to a strong degree by cultural differences.

Like Us on Facebook

For the study, scientists from the University of Grnada’s Brain Mind and behavior Research Center conducted a study of 54 individuals aged between 18 and 54 years: 27 were Spanish and the other 27 were Moroccans residing in Spain. The groups were selected to ensure that clear cultural differences existed between them: they spoke different languages (Spanish versus Arabic), professed different religions (Christians versus Muslims), had different traditions, and came from very different geographical contexts (Europe versus Africa).

During the study, both groups underwent different tests of intellectual capacity: for example, a test of non-verbal intelligence, and various neuropsychological tests that measure functions such as visual memory and executive functions.

Despite the two groups being similar in terms of sex, educational level and socio-economic status, the results showed that in the test of non-verbal intelligence, the Spanish group obtained a higher IQ score than the Moroccan group. Moreover, the neuropsychological skills used in each subtest were clearly dependent on the country of origin of each participant. In other words, the same test can measure different cognitive functions in individuals from different cultures.

In the light of the results of this study, the authors suggest that the non-verbal tests cannot be considered culture-free and confirm the importance of validating the tests in their cultural context.

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There May Be No Such Thing As A ‘Universal’ Intelligence Test

71434 There may be no such thing as a «universal» intelligence test, according to a recent study.

New research from scientists at the University of Granada in Spain suggests that a universal test of intelligence quotient does not exist. Results in this type of test are determined to a strong degree by cultural differences.

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For the study, scientists from the University of Grnada’s Brain Mind and behavior Research Center conducted a study of 54 individuals aged between 18 and 54 years: 27 were Spanish and the other 27 were Moroccans residing in Spain. The groups were selected to ensure that clear cultural differences existed between them: they spoke different languages (Spanish versus Arabic), professed different religions (Christians versus Muslims), had different traditions, and came from very different geographical contexts (Europe versus Africa).

During the study, both groups underwent different tests of intellectual capacity: for example, a test of non-verbal intelligence, and various neuropsychological tests that measure functions such as visual memory and executive functions.

Despite the two groups being similar in terms of sex, educational level and socio-economic status, the results showed that in the test of non-verbal intelligence, the Spanish group obtained a higher IQ score than the Moroccan group. Moreover, the neuropsychological skills used in each subtest were clearly dependent on the country of origin of each participant. In other words, the same test can measure different cognitive functions in individuals from different cultures.

In the light of the results of this study, the authors suggest that the non-verbal tests cannot be considered culture-free and confirm the importance of validating the tests in their cultural context.

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Las pruebas universales de inteligencia no sirven para nada

71434 Un reciente estudio de la Universidad de Granada propone acabar con el uso de la prueba universal de capacidad intelectual porque sus resultados dependen mucho de las diferencias culturales.

 

Vía: abc.es

El portal University Herald informa que para el estudio los científicos del Centro de Investigación de Mente, Cerebro y Comportamiento (CIMCYC) de la Universidad de Granada eligieron a 54 personas de edad comprendida de 18 a 54 años, 27 eran españoles y los demás eran marroquíes que residían en España. Esta selección servía para asegurarse de que entre los grupos existían diferencias culturales: hablaban diferentes idiomas (español y árabe), profesaban diferentes religiones (cristianos y musulmanes), tenían diferentes tradiciones y eran originarios de regiones geográficas distintas (Europa y África).

Los dos grupos fueron sometidos a diferentes pruebas de capacidad intelectual, entre otros, al test de la inteligencia no verbal y pruebas neuropsicológicas para medir las funciones ejecutivas y la memoria visual.

Aunque los dos grupos tenían el mismo sexo, nivel educativo y estatus económico y social, en el test de la inteligencia no verbal el grupo español obtuvo una puntuación de CI mayor que el grupo marroquí. En cuanto a las pruebas neuropsicológicas, el resultado dependía directamente del país de cada individuo. En otras palabras, la misma prueba puede medir diferentes funciones cognitivas de personas con diferentes orígenes culturales.

A la luz de los resultados del estudio, los científicos insisten en que las pruebas no verbales no pueden considerarse independientes de la cultura y confirman que la validación de las mismas debe tener en cuenta el contexto cultural.

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Granada acoge un seminario profesional sobre seguridad y procedimientos en los sectores de alto riesgo

Safetygranada 2014 se celebrará en el Salón de Caballeros XXIV del Palacio de La Madraza durante los días 20,21 y 22 de mayo Los expertos abordarán el caso del accidente del avión de Spanair JK5022, que tuvo lugar el 20 de agosto de 2008, entre otras catástrofes recientes

Los Sistemas de Alto Riesgo (SAR) son sistemas de producción críticos para el desarrollo económico y social de un país desarrollado. En estos sistemas, el papel del ser humano y de la organización es determinante para garantizar la seguridad de las personas, las instalaciones y el medioambiente.

La empresa Ergotec y el Grupo de Ergonomía Cognitiva de la UGR, con el apoyo del Instituto para una Cultura de la Seguridad Industrial (ICSI) quiere promover en estos sistemas las mejores iniciativas científico-técnicas para mejorar la calidad de la práctica profesional en Factores Humanos y Organizativos de la Seguridad (FHOS).

Después de los exitosos encuentros de 2012 y 2013, el seminario Safetygranada 2014 abordará la relación, a veces problemática, entre los procedimientos y la seguridad. En este encuentro científico, que se celebrará en el Salón de Caballeros XXIV de La Madraza durante los días 20, 21 y 22 de mayo, participarán expertos llegados desde diferentes países.

En esta edición se incorporan al programa de Safetygranada dos nuevas actividades: por un lado, una conferencia-prologo, impartida por Elías Apud (Universidad de Concepción, Chile) y una sesión de carácter práctico, en la que los participantes podrán participar en la realización del análisis FHOS de las causas profundas de un gran accidente industrial.

Además, este año se estudiará el caso del accidente del avión de Spanair JK5022, que tuvo lugar el 20 de agosto de 2008, de la mano de expertos como el piloto Juan Carlos Lozano, responsable de análisis de accidentes del Sindicato Español de Pilotos de Líneas Aéreas (SEPLA) y Myriam Promé y Diego Turjanski, del Instituto para una Cultura de la Seguridad Industrial (ICSI) de Francia y Argentina, respectivamente. También asistirán como público representantes de la Asociación de Afectados del vuelo JK5022 y del Sindicato Español de Maquinistas y Ayudantes Ferroviarios (SEMAF).

André-Claude Lacoste impartirá la conferencia inaugural sobre las relaciones entre regulador y regulado en el mundo nuclear. Será presentado por Rosario Velasco, vicepresidenta del Consejo de Seguridad Nuclear.

Descargue el programa completo del evento

Contacto: Juan José Cañas Delgado Departamento de Psicología Experimental de la UGR Teléfono: 958 243 767 Correo electrónico: delagado@ugr.es

 

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UGR abre plazo de inscripción para el curso «Lenguajes de Arteterapia: el cuerpo como construcción de la identidad»

Bajo la dirección de Ricardo Marín Viadel, y la coordinación académica de Araceli Guiote González, este curso tratará sobre la eficacia y adecuación del Arteterapia como herramienta psicoterapéutica para la elaboración de conflictos. El alumnado podrá reflexionar sobre la experiencia vivida, tanto individual como grupal, podrá experimentar sensaciones y emociones a través del cuerpo y del movimiento, en relación con el grupo. El alumnado podrá conocer el dibujo como expresión de emociones, vivencias y rasgos de identidad.

 

Tras la experiencia vivencial de talleres de Arteterapia e ilustraciones del setting aplicados a diferentes colectivos, se abrirá la posibilidad de que los participantes puedan profundizar sobre las terapias expresivas no verbales y los beneficios de la misma.

Se adquirirán conocimientos sobre cómo hablar y poder escribir, pintar, esculpir, filmar… utilizar cualquiera de los soportes disponibles para expresarnos. Además se podrá aprender a rastrear las manifestaciones de las problemáticas personales que ellos mismos atraviesan. En el curso se podrán adquirir nociones de la práctica del arteterapia en diferentes colectivos como: oncología, infancia, esquizofrenia, colectivo diferencial de la mujer, etc… y llevar a cabo procesos de aprendizajes constructivista.

El Curso oferta 5 créditos, se celebrará en la Facultad de Ciencias de la Educación, «Seminario de Plástica», de la Universidad de Granada, y tendrá lugar del 20 al 24 de Octubre de 2014.

El profesorado procede de diferentes ámbitos, de manera que la visión que se puede adquirir es integral y completa.

El curso está dirigido a cualquier persona interesada en este campo que esté actualmente estudiando en la universidad o que haya previamente obtenido un título universitario.

El plazo de matriculación está abierto hasta el 17 de octubre.

Más información: Área de Formación de la Fundación General UGR – Empresa. Plaza San Isidro nº 5. Teléfono: 958 24 61 20. O en esta web de Arteterapia y Creaciones.

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Granada es la universidad que más promueve el software libre en España

Por tercer año consecutivo la Universidad de Granada (UGR) es la número 1 en la promoción del software libre en el país, alcanzando un total de 100 puntos y reafirmando su compromiso con el open source.
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Fuente: Portal Programas
Este año el ranking ha atravesado las fronteras nacionales y ampliado el estudio a Estados Unidos con su ranking Open Source Software Universities Ranking
Un año más se ha publicado el Ranking de universidades en software libre (RuSL), donde si incluyen a los centros de estudio universitarios más comprometidos con el uso y la difusión de estos programas informáticos. En la edición 2014 y por tercer año consecutivo, la Universidad de Granada (UGR) ha sido la vencedora, cómodamente por encima del resto de los competidores, reafirmando su compromiso con el acceso libre al conocimiento y el open source.

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El ranking se realiza a partir del estudio del Observatorio Tecnológico PortalProgramas, en el que participan expertos en software libre y responsables de las universidades españolas. El ranking analiza la labora de 76 universidades en relación a la temática y las clasifica en base a 65 criterios divididos en 11 sectores diferentes:

Ranking de Universidades en Software Libre

¿Cuáles son las universidades más comprometidas con el software libre en España?

La edición 2014 ha colocado nuevamente a la Universidad de Granada a la cabeza del podio con 100 puntos en el Índice de Difusión del Software Libre (IDSL), seguida por la Universidad de la Laguna (ULL), de Tenerife y la Universidad de Las Palmas de Gran Canaria (ULPGC).

A pesar de los primeros puestos, hay muchas universidades que han demostrado una evolución positiva y escalado varios puestos gracias a los datos que han aportado para realizar el ranking y el trabajo que han invertido en el impulso al software libre y su desarrollo. Tal es el caso de la Universidad de Deusto (ha pasado del puesto 16º al 11º) y la Universidad de Murcia (asciende al 17), entre otras.

La clasificación de la edición 2014 posiciona a Islas Canarias como la comunidad autónoma española más comprometida con el software libre. Galicia ha sido nuevamente segunda, gracias al hecho de tener 3 de sus en el top 10: La Universidade da Coruña (UdC), la Universidade de Santiago de Compostela (USC) y la Universidade de Vigo (UVIGO).

Por su parte, Andalucía queda en el tercer puesto con 10 universidades en el ranking y 3 en el top 20: la UGR, la Universidad de Sevilla (US) y la Universidad de Córdoba (UCO).

En cuanto a los sectores donde más se destacan las universidades españolas en la promoción del software libre son el asesoramiento a empresas y administraciones públicas, la implantación tecnológica del SL en el programario de los centros y los planes de apoyo del SL a nivel institucional.

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Granada es la universidad que más promueve el software libre en España

Por tercer año consecutivo la Universidad de Granada (UGR) es la número 1 en la promoción del software libre en el país, alcanzando un total de 100 puntos y reafirmando su compromiso con el open source.

Un año más se ha publicado el Ranking de universidades en software libre (RuSL), donde si incluyen a los centros de estudio universitarios más comprometidos con el uso y la difusión de estos programas informáticos. En la edición 2014 y por tercer año consecutivo, la Universidad de Granada (UGR) ha sido la vencedora, cómodamente por encima del resto de los competidores, reafirmando su compromiso con el acceso libre al conocimiento y el open source.

El ranking se realiza a partir del estudio del Observatorio Tecnológico PortalProgramas, en el que participan expertos en software libre y responsables de las universidades españolas. El ranking analiza la labora de 76 universidades en relación a la temática y las clasifica en base a 65 criterios divididos en 11 sectores diferentes:

Ranking de Universidades en Software Libre

¿Cuáles son las universidades más comprometidas con el software libre en España?

La edición 2014 ha colocado nuevamente a la Universidad de Granada a la cabeza del podio con 100 puntos en el Índice de Difusión del Software Libre (IDSL), seguida por la Universidad de la Laguna (ULL), de Tenerife y la Universidad de Las Palmas de Gran Canaria (ULPGC).

A pesar de los primeros puestos, hay muchas universidades que han demostrado una evolución positiva y escalado varios puestos gracias a los datos que han aportado para realizar el ranking y el trabajo que han invertido en el impulso al software libre y su desarrollo. Tal es el caso de la Universidad de Deusto (ha pasado del puesto 16º al 11º) y la Universidad de Murcia (asciende al 17), entre otras.

La clasificación de la edición 2014 posiciona a Islas Canarias como la comunidad autónoma española más comprometida con el software libre. Galicia ha sido nuevamente segunda, gracias al hecho de tener 3 de sus en el top 10: La Universidade da Coruña (UdC), la Universidade de Santiago de Compostela (USC) y la Universidade de Vigo (UVIGO).

Por su parte, Andalucía queda en el tercer puesto con 10 universidades en el ranking y 3 en el top 20: la UGR, la Universidad de Sevilla (US) y la Universidad de Córdoba (UCO).

En cuanto a los sectores donde más se destacan las universidades españolas en la promoción del software libre son el asesoramiento a empresas y administraciones públicas, la implantación tecnológica del SL en el programario de los centros y los planes de apoyo del SL a nivel institucional.

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La Universidad cambia el mapa

El próximo 23 de septiembre la Universidad de Granada iniciará el curso académico y una carrera de cambios que culminarán con el estreno de las facultades de Ciencias de la Salud, Medicina y la Escuela de Arquitectura, aperturas que, de rebote, supondrán una reestructuración del mapa de sedes de la UGR.

La inauguración de la Facultad de Medicina -que se traslada desde su actual ubicación en la Avenida de Madrid al campus del Parque Tecnológico de la Salud- se producirá en el segundo semestre, ya que no se espera que las obras concluyan hasta enero. Será entonces cuando se ponga en marcha la mudanza que permitirá estrenar el segundo semestre en el PTS. Más adelantados van los trabajos en Ciencias de la Salud, que dejará vacía su sede junto al Hospital Clínico San Cecilio para trasladarse también al PTS. Este traslado está inicialmente previsto para el mes de agosto. Ambas facultades -junto con el Edificio de Servicios Centrales- podrán concluirse gracias al préstamo del Banco Europeo de Inversiones (BEI), 43,2 millones de euros que han desatascado definitivamente los proyectos.

En el PTS también se ultima la construcción del Edificio de Servicios y la urbanización del área, obras que suman casi 40 millones de euros.

La ETS de Arquitectura, por su parte, también tendrá que afrontar el reto de comenzar las clases en su actual ubicación, en la Avenida de Andalucía, para, una vez finalizados los trabajos en su nueva Escuela -algo que se prevé para el mes de octubre, por lo que no da tiempo a empezar el curso allí-, trasladarse al Campo del Príncipe, al antiguo edificio del Hospital Militar, una mudanza que los arquitectos esperan desde hace una década.

Estos tres cambios dejarán a su vez tres centros de la Universidad vacíos. Y ya hay planes para el espacio que quedará libre. En un principio, según señala la vicerrectora de Infraestructuras, Begoña Moreno, el edificio que dejan vacante los arquitectos se destinará probablemente a Telecomunicaciones e Informática, cuya facultad está en el Parque Almunia, muy próxima a la Avenida de Andalucía, lo que facilitaría el trabajo en las dos sedes.

En cuanto a Ciencias de la Salud, posiblemente el edificio junto al Clínico se destine a solventar los problemas de espacio de la Facultad de Ciencias del Trabajo con el traslado de los estudiantes que cursan el grado en Trabajo Social. El de Relaciones Laborales y Recursos Humanos sí se queda en el actual edificio de la calle López Argüeta.

Menos claro está el futuro de Medicina, una facultad que, por su ubicación y características, podría ser una buena solución para la dispersión de sedes que sufre en la actualidad el Vicerrectorado de Estudiantes -que tiene oficinas en el Complejo Administrativo Triunfo, el Centro Cultural Casa de Porras, la Acera de San Ildefonso, los Comedores, el Hospital Real y en Hornillo de Cartuja-, o bien para paliar los problemas de espacio de los estudios de posgrado de la UGR, otra de las peticiones que han llegado al Vicerrectorado de Infraestructuras.

En cualquier caso, la decisión sobre a qué se destinará el centro la tomará el próximo rector y su equipo, ya que el actual, Francisco González Lodeiro, finalizará su mandato en 2015.

Sí está sobre la mesa la apertura de otras sedes de la UGR. Así, se prevé que el próximo mes de junio abra sus puertas el Centro de Transferencia Tecnológica que se ubica en Gran Vía. En estos días se ultiman los trabajos en el nuevo edificio, donde también se ubicará el Vicerrectorado de Política Científica e Investigación, que actualmente tiene su sede en el Hospital Real.

Otra de las facultades que estrenará próximamente aulario es Económicas y Empresariales, la más grande de la UGR por número de alumnos, unos 6.000. El próximo curso inaugurará un nuevo módulo, que contará con una nueva cafetería, con lo que se solucionará uno de los problemas del centro, que a mitad de este curso se quedó sin este servicio. La construcción del aulario ha tenido un coste de 8,6 millones de euros y da solución otro de los problemas históricos de espacio que sufre la UGR.

Derecho -otro de los centros que más dificultades sufre para adecuar las características de su Facultad a la demanda de los alumnos, casi 5.000- también está de obras. Por un lado se acomete durante estos meses la reforma de las cubiertas, una intervención de emergencia que costará 1,2 millones de euros y que servirá para eliminar los problemas estructurales detectados en el edificio del Colegio San Pablo. Esta intervención fue decidida tras constatar el deterioro del edificio en unas catas previas a las obras de remodelación de la sede, que han sido aplazadas ante la necesidad de acometer cuanto antes los trabajos en las cubiertas.

Al mismo tiempo que se sanea la infraestructura de la Facultad se trabaja en la rehabilitación del edificio que fuera sede de la Delegación de Educación, en calle Duquesa. El inmueble, en cuya reforma se invierten 3,9 millones de euros, será la sede de la biblioteca de Derecho. Está previsto que los trabajos concluyan a finales de septiembre. Después se organizará la mudanza del material bibliográfico y la reestructuración del espacio que quede libre en San Pablo. Uno de los problemas de la Facultad era, precisamente, la dispersión de sus fondos entre los departamentos y la actual biblioteca.

En el aire se queda la intervención en la que fuera comisaría del Cuerpo Nacional de Policía, cuya rehabilitación queda pospuesta hasta que haya fondos.

También luce andamios es su fachada la Facultad de Bellas Artes. En este caso la intervención se centra en la restauración de la fachada, trabajos que, además, forman parte de las prácticas de los alumnos y que han sido proyectados por el profesorado de Bellas Artes. Queda pendiente la construcción de un nuevo módulo para Escultura, un proyecto que se acometerá cuando se encuentre financiación.

No sólo de aulas viven los proyectos de la UGR. La última actuación es la que se lleva a cabo en el campus de Cartuja, una remodelación del entorno que prevé mejorar la accesibilidad de peatones, bicis y transporte urbano en detrimento del vehículo privado. También se mejorarán luminarias, acometerán reformas en el suministro de servicios y se dotará a todo el campus de wi-fi.

En el terreno deportivo también hay novedades. Antes de febrero de 2015 tiene que estar finalizado el nuevo pabellón de Fuentenueva, una estructura que acogerá la competición de curling durante la Universiada y que después se destinará a usos múltiples. Su coste se estima 4,5 millones de euros

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Las pruebas ‘universales’ de inteligencia no sirven para nada

71434 Un reciente estudio de la Universidad de Granada propone acabar con el uso de la prueba universal de capacidad intelectual porque sus resultados dependen mucho de las diferencias culturales.
El portal University Herald informa que para el estudio los científicos del Centro de Investigación de Mente, Cerebro y Comportamiento (CIMCYC) de la Universidad de Granada eligieron a 54 personas de edad comprendida de 18 a 54 años, 27 eran españoles y los demás eran marroquíes que residían en España. Esta selección servía para asegurarse de que entre los grupos existían diferencias culturales: hablaban diferentes idiomas (español y árabe), profesaban diferentes religiones (cristianos y musulmanes), tenían diferentes tradiciones y eran originarios de regiones geográficas distintas (Europa y África).
Los dos grupos fueron sometidos a diferentes pruebas de capacidad intelectual, entre otros, al test de la inteligencia no verbal y pruebas neuropsicológicas para medir las funciones ejecutivas y la memoria visual.
Aunque los dos grupos tenían el mismo sexo, nivel educativo y estatus económico y social, en el test de la inteligencia no verbal el grupo español obtuvo una puntuación de CI mayor que el grupo marroquí. En cuanto a las pruebas neuropsicológicas, el resultado dependía directamente del país de cada individuo. En otras palabras, la misma prueba puede medir diferentes funciones cognitivas de personas con diferentes orígenes culturales.
A la luz de los resultados del estudio, los científicos insisten en que las pruebas no verbales no pueden considerarse independientes de la cultura y confirman que la validación de las mismas debe tener en cuenta el contexto cultural.
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