Formulation de béton autocompactant avec de la biomasse d’olive

63908 Un groupe de chercheurs du département Génie Civil de l’Université de Grenade vient de développer un béton autocompactant à partir de cendres provenant de la combustion de granulés fabriqués avec les restes d’élagages d’oliviers. Ce type de béton, autocompactant, tout comme ses équivalents autoplaçant, autonivelant, profite d’une plasticité remarquable et présente une cohésion qui ne nécessite pas de compactage pour une utilisation dans la construction notamment, ce qui lui confère de sérieux atouts par rapport au béton conventionnel de par une économie considérable et un gain de temps.

Traditionnellement, la formulation d’un béton auto-plaçant est composée d’eau, de sable, de ciment (pas obligatoirement), d’un matériau granulaire inerte de granulométrie fine – appelé filler – et d’un additif superplastifiant pour, comme son nom l’indique, améliorer la fluidité du béton à l’état liquide. Les premiers résultats de l’étude, qui sont publiés dans la revue Construction and Building Materials, proposent l’utilisation de cendres volantes provenant de la combustion dans des chaudières domestiques ou de granulés fabriqués à partir de déchets de biomasse d’olive en tant que substituant des fillers dans la formulation du béton auto-compactant.

Cette nouvelle formulation est naturellement connotée «écologique» de par la valorisation de la biomasse. D’après l’équipe de chercheurs, la combustion des granulés entraine, en contre-partie, la production de sous-produits de la combustion de biomasse, les cendres, qui doivent être gérés selon les principes de gestion des déchets établis par la législation européenne et espagnole. A l’heure actuelle, ces cendres sont éliminées dans des décharges ou utilisées dans l’agriculture. Cependant, au vu de l’augmentation de la production de biomasse, il est nécessaire de chercher d’autres alternatives. C’est le cas pour cette application dans le secteur de la construction.

L’utilisation dans le secteur de la construction des cendres volantes, obtenues comme résidu de la combustion du charbon dans les centrales thermoélectriques, est déjà généralisée. C’est ce qui a poussé les chercheurs à utiliser les cendres de la biomasse d’olive, dont les caractéristiques chimiques et physiques montrent des résultats très différents des cendres traditionnelles, principalement en raison de leur inactivité pendant le processus de durcissement du ciment et de leur plus grande finesse.

Le groupe de chercheurs pense au vu des résultats de cette étude que l’utilisation de cendres volantes de biomasse en tant que filler dans le béton autocompactant est possible. Il reste nécessaire tout de même à procéder à des tests à grande échelle pour garantir une fabrication de haute qualité.

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Pour en savoir plus, contacts :

– Référence bibliographique : J. Cuenca, J. Rodriguez, M. Martin-Morales, Z. Sánchez-Roldán, M. Zamorano. «Effects of olive residue biomass fly ash as filler in self-compacting concrete» Construction and Building Materials, volumen 40, mars 2013, Páges 702-709

– Site internet de l’Université de Grenade : http://www.ugr.es/

Le groupe de chercheurs pense au vu des résultats de cette étude que l’utilisation de cendres volantes de biomasse en tant que filler dans le béton autocompactant est possible. Il reste nécessaire tout de même à procéder à des tests à grande échelle pour garantir une fabrication de haute qualité.spacer Pour en savoir plus, contacts : – Référence bibliographique : J. Cuenca, J. Rodriguez, M. Martin-Morales, Z. Sánchez-Roldán, M. Zamorano. «Effects of olive residue biomass fly ash as filler in self-compacting concrete» Construction and Building Materials, volumen 40, mars 2013, Páges 702-709- Site internet de l’Université de Grenade : http://www.ugr.es/

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Formulation de béton autocompactant avec de la biomasse d’olive

63908 Un groupe de chercheurs du département Génie Civil de l’Université de Grenade vient de développer un béton autocompactant à partir de cendres provenant de la combustion de granulés fabriqués avec les restes d’élagages d’oliviers. Ce type de béton, autocompactant, tout comme ses équivalents autoplaçant, autonivelant, profite d’une plasticité remarquable et présente une cohésion qui ne nécessite pas de compactage pour une utilisation dans la construction notamment, ce qui lui confère de sérieux atouts par rapport au béton conventionnel de par une économie considérable et un gain de temps.

Traditionnellement, la formulation d’un béton auto-plaçant est composée d’eau, de sable, de ciment (pas obligatoirement), d’un matériau granulaire inerte de granulométrie fine – appelé filler – et d’un additif superplastifiant pour, comme son nom l’indique, améliorer la fluidité du béton à l’état liquide. Les premiers résultats de l’étude, qui sont publiés dans la revue Construction and Building Materials, proposent l’utilisation de cendres volantes provenant de la combustion dans des chaudières domestiques ou de granulés fabriqués à partir de déchets de biomasse d’olive en tant que substituant des fillers dans la formulation du béton auto-compactant.

Cette nouvelle formulation est naturellement connotée «écologique» de par la valorisation de la biomasse. D’après l’équipe de chercheurs, la combustion des granulés entraine, en contre-partie, la production de sous-produits de la combustion de biomasse, les cendres, qui doivent être gérés selon les principes de gestion des déchets établis par la législation européenne et espagnole. A l’heure actuelle, ces cendres sont éliminées dans des décharges ou utilisées dans l’agriculture. Cependant, au vu de l’augmentation de la production de biomasse, il est nécessaire de chercher d’autres alternatives. C’est le cas pour cette application dans le secteur de la construction.

L’utilisation dans le secteur de la construction des cendres volantes, obtenues comme résidu de la combustion du charbon dans les centrales thermoélectriques, est déjà généralisée. C’est ce qui a poussé les chercheurs à utiliser les cendres de la biomasse d’olive, dont les caractéristiques chimiques et physiques montrent des résultats très différents des cendres traditionnelles, principalement en raison de leur inactivité pendant le processus de durcissement du ciment et de leur plus grande finesse.

Le groupe de chercheurs pense au vu des résultats de cette étude que l’utilisation de cendres volantes de biomasse en tant que filler dans le béton autocompactant est possible. Il reste nécessaire tout de même à procéder à des tests à grande échelle pour garantir une fabrication de haute qualité.

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Pour en savoir plus, contacts :

– Référence bibliographique : J. Cuenca, J. Rodriguez, M. Martin-Morales, Z. Sánchez-Roldán, M. Zamorano. «Effects of olive residue biomass fly ash as filler in self-compacting concrete» Construction and Building Materials, volumen 40, mars 2013, Páges 702-709

– Site internet de l’Université de Grenade : http://www.ugr.es/

Le groupe de chercheurs pense au vu des résultats de cette étude que l’utilisation de cendres volantes de biomasse en tant que filler dans le béton autocompactant est possible. Il reste nécessaire tout de même à procéder à des tests à grande échelle pour garantir une fabrication de haute qualité.spacer Pour en savoir plus, contacts : – Référence bibliographique : J. Cuenca, J. Rodriguez, M. Martin-Morales, Z. Sánchez-Roldán, M. Zamorano. «Effects of olive residue biomass fly ash as filler in self-compacting concrete» Construction and Building Materials, volumen 40, mars 2013, Páges 702-709- Site internet de l’Université de Grenade : http://www.ugr.es/

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Formulation de béton autocompactant avec de la biomasse d’olive

63908 Un groupe de chercheurs du département Génie Civil de l’Université de Grenade vient de développer un béton autocompactant à partir de cendres provenant de la combustion de granulés fabriqués avec les restes d’élagages d’oliviers. Ce type de béton, autocompactant, tout comme ses équivalents autoplaçant, autonivelant, profite d’une plasticité remarquable et présente une cohésion qui ne nécessite pas de compactage pour une utilisation dans la construction notamment, ce qui lui confère de sérieux atouts par rapport au béton conventionnel de par une économie considérable et un gain de temps.

Traditionnellement, la formulation d’un béton auto-plaçant est composée d’eau, de sable, de ciment (pas obligatoirement), d’un matériau granulaire inerte de granulométrie fine – appelé filler – et d’un additif superplastifiant pour, comme son nom l’indique, améliorer la fluidité du béton à l’état liquide. Les premiers résultats de l’étude, qui sont publiés dans la revue Construction and Building Materials, proposent l’utilisation de cendres volantes provenant de la combustion dans des chaudières domestiques ou de granulés fabriqués à partir de déchets de biomasse d’olive en tant que substituant des fillers dans la formulation du béton auto-compactant.

Cette nouvelle formulation est naturellement connotée «écologique» de par la valorisation de la biomasse. D’après l’équipe de chercheurs, la combustion des granulés entraine, en contre-partie, la production de sous-produits de la combustion de biomasse, les cendres, qui doivent être gérés selon les principes de gestion des déchets établis par la législation européenne et espagnole. A l’heure actuelle, ces cendres sont éliminées dans des décharges ou utilisées dans l’agriculture. Cependant, au vu de l’augmentation de la production de biomasse, il est nécessaire de chercher d’autres alternatives. C’est le cas pour cette application dans le secteur de la construction.

L’utilisation dans le secteur de la construction des cendres volantes, obtenues comme résidu de la combustion du charbon dans les centrales thermoélectriques, est déjà généralisée. C’est ce qui a poussé les chercheurs à utiliser les cendres de la biomasse d’olive, dont les caractéristiques chimiques et physiques montrent des résultats très différents des cendres traditionnelles, principalement en raison de leur inactivité pendant le processus de durcissement du ciment et de leur plus grande finesse.

Le groupe de chercheurs pense au vu des résultats de cette étude que l’utilisation de cendres volantes de biomasse en tant que filler dans le béton autocompactant est possible. Il reste nécessaire tout de même à procéder à des tests à grande échelle pour garantir une fabrication de haute qualité.

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Pour en savoir plus, contacts :

– Référence bibliographique : J. Cuenca, J. Rodriguez, M. Martin-Morales, Z. Sánchez-Roldán, M. Zamorano. «Effects of olive residue biomass fly ash as filler in self-compacting concrete» Construction and Building Materials, volumen 40, mars 2013, Páges 702-709

– Site internet de l’Université de Grenade : http://www.ugr.es/

Le groupe de chercheurs pense au vu des résultats de cette étude que l’utilisation de cendres volantes de biomasse en tant que filler dans le béton autocompactant est possible. Il reste nécessaire tout de même à procéder à des tests à grande échelle pour garantir une fabrication de haute qualité.spacer Pour en savoir plus, contacts : – Référence bibliographique : J. Cuenca, J. Rodriguez, M. Martin-Morales, Z. Sánchez-Roldán, M. Zamorano. «Effects of olive residue biomass fly ash as filler in self-compacting concrete» Construction and Building Materials, volumen 40, mars 2013, Páges 702-709- Site internet de l’Université de Grenade : http://www.ugr.es/

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Un proyecto de investigación de la UGR, galardonado con el Premio Nacional Sacyr a la Innovación

  • El proyecto premiado supone el desarrollo de una nueva tecnología de eliminación de nitrógeno de aguas residuales con alta contaminación en nitrógeno mediante nitrificación-desnitrificación autotrófica Sus autores son los investigadores de la ETSI de Ingenieros de Caminos, Canales y Puertos Francisco Osorio Robles, Alejandro González Martínez y Ernesto Hontoria García

Tres investigadores de la ETSI de Ingenieros de Caminos, Canales y Puertos de la Universidad de Granada, Francisco Osorio Robles, Alejandro González Martínez y Ernesto Hontoria García, han sido galardonados en la última edición del Premio Nacional de Investigación SACYR, en la categoría de “Innovación tecnológica y medioambiental”, por su proyecto “Tratamiento de efluentes con alto contenido en Nitrógeno mediante nuevas tecnologías biológicas de Nitrificación-Desnitrificación Autotrófica”.

El objetivo principal del proyecto de la Universidad de Granada galardonado en esta convocatoria es el desarrollo de una nueva tecnología de eliminación de nitrógeno de aguas residuales con alta contaminación en nitrógeno mediante nitrificación-desnitrificación autotrófica. Este proyecto exige del trabajo coordinado de un equipo multidisciplinar compuesto por expertos en el campo de la microbiología y de las tecnologías del medio ambiente. Por un lado, se precisa el desarrollo de una nueva tecnología destinada al tratamiento de aguas, y por otro, un control microbiológico del proceso a desarrollar, al tratarse de un sistema biológico.

Sobre los premios SACYR

Los Premios Nacionales de Investigación SACYR pretenden incentivar y recompensar públicamente a aquellos que, a título individual o colectivo, investigan y trabajan en proyectos, desarrollos e ideas innovadoras, creativas y pioneras, planteadas como ambiciosos retos de superación y conocimiento, y han tenido una dotación económica de 6.000 euros en cada una de las tres categorías establecidas. El acto de entrega de los galardones, celebrado en Madrid, estuvo presidido por la Ministra de Fomento, Ana Pastor, y por el presidente de Sacyr, Manuel Manrique.

En esta edición de los Premios Sacyr a la Innovación se han seleccionado a los tres ganadores de casi un centenar de candidatos presentados. Una vez más, los premios han tenido, como en sus dos primeras ediciones, una gran acogida, tanto por la cantidad de candidaturas presentadas como por la altísima calidad de los proyectos recibidos.

La 3ª edición de los Premios Sacyr a la Innovación ha contado con un jurado especializado presidido por Manuel Manrique Cecilia; Presidente de Sacyr y del que forman parte: Antonio Calvo Roy, Presidente de la Asociación Española de Comunicación Científica; Luis Cueto Álvarez de Sotomayor, Subdirector General de Fomento de la Innovación Empresarial. Ministerio de Economía y Competitividad; Miguel Ángel Noceda, Vicepresidente de la Asociación de la Prensa de Madrid; Juan José Montoya, Director de la Fundación Universidad Alfonso X el Sabio; Carlos Rubio Carvajal, Socio de Rubio & Álvarez-Sala Estudio de Arquitectura; Juan Antonio Santamera Sánchez, Presidente del Colegio de Ingenieros de Caminos Canales y Puertos; además de ejecutivos de la compañía y Enrique Coperías Jiménez, subdirector de la revista “Muy Interesante” y secretario del jurado.

Contacto:
Francisco Osorio Robles
Departamento de Ingeniería Civil de la UGR
Tlfno: 958 249 463
Correo electrónico: fosorio@ugr.es


Un proyecto de investigación de la UGR, galardonado con el Premio Nacional Sacyr a la Innovación

  • El proyecto premiado supone el desarrollo de una nueva tecnología de eliminación de nitrógeno de aguas residuales con alta contaminación en nitrógeno mediante nitrificación-desnitrificación autotrófica Sus autores son los investigadores de la ETSI de Ingenieros de Caminos, Canales y Puertos Francisco Osorio Robles, Alejandro González Martínez y Ernesto Hontoria García

Tres investigadores de la ETSI de Ingenieros de Caminos, Canales y Puertos de la Universidad de Granada, Francisco Osorio Robles, Alejandro González Martínez y Ernesto Hontoria García, han sido galardonados en la última edición del Premio Nacional de Investigación SACYR, en la categoría de “Innovación tecnológica y medioambiental”, por su proyecto “Tratamiento de efluentes con alto contenido en Nitrógeno mediante nuevas tecnologías biológicas de Nitrificación-Desnitrificación Autotrófica”.

El objetivo principal del proyecto de la Universidad de Granada galardonado en esta convocatoria es el desarrollo de una nueva tecnología de eliminación de nitrógeno de aguas residuales con alta contaminación en nitrógeno mediante nitrificación-desnitrificación autotrófica. Este proyecto exige del trabajo coordinado de un equipo multidisciplinar compuesto por expertos en el campo de la microbiología y de las tecnologías del medio ambiente. Por un lado, se precisa el desarrollo de una nueva tecnología destinada al tratamiento de aguas, y por otro, un control microbiológico del proceso a desarrollar, al tratarse de un sistema biológico.

Sobre los premios SACYR

Los Premios Nacionales de Investigación SACYR pretenden incentivar y recompensar públicamente a aquellos que, a título individual o colectivo, investigan y trabajan en proyectos, desarrollos e ideas innovadoras, creativas y pioneras, planteadas como ambiciosos retos de superación y conocimiento, y han tenido una dotación económica de 6.000 euros en cada una de las tres categorías establecidas. El acto de entrega de los galardones, celebrado en Madrid, estuvo presidido por la Ministra de Fomento, Ana Pastor, y por el presidente de Sacyr, Manuel Manrique.

En esta edición de los Premios Sacyr a la Innovación se han seleccionado a los tres ganadores de casi un centenar de candidatos presentados. Una vez más, los premios han tenido, como en sus dos primeras ediciones, una gran acogida, tanto por la cantidad de candidaturas presentadas como por la altísima calidad de los proyectos recibidos.

La 3ª edición de los Premios Sacyr a la Innovación ha contado con un jurado especializado presidido por Manuel Manrique Cecilia; Presidente de Sacyr y del que forman parte: Antonio Calvo Roy, Presidente de la Asociación Española de Comunicación Científica; Luis Cueto Álvarez de Sotomayor, Subdirector General de Fomento de la Innovación Empresarial. Ministerio de Economía y Competitividad; Miguel Ángel Noceda, Vicepresidente de la Asociación de la Prensa de Madrid; Juan José Montoya, Director de la Fundación Universidad Alfonso X el Sabio; Carlos Rubio Carvajal, Socio de Rubio & Álvarez-Sala Estudio de Arquitectura; Juan Antonio Santamera Sánchez, Presidente del Colegio de Ingenieros de Caminos Canales y Puertos; además de ejecutivos de la compañía y Enrique Coperías Jiménez, subdirector de la revista “Muy Interesante” y secretario del jurado.

Contacto:
Francisco Osorio Robles
Departamento de Ingeniería Civil de la UGR
Tlfno: 958 249 463
Correo electrónico: fosorio@ugr.es


Éxito de los estudiantes de la Universidad de Granada en los Premios Nacionales de Fin de Carrera

  • Convocados por el Ministerio de Educación, Cultura y Deporte

El Ministerio de Educación, Cultura y Deporte ha otorgado doce premios a estudiantes de la Universidad de Granada en la última convocatoria de los Premios Nacionales de Fin de Carrera de Educación Universitaria correspondientes al curso académico 2009-2010. La Universidad de Granada es una de las más premiadas en esta edición.

Estos galardones se convocan “Con el fin de distinguir a los alumnos que hayan cursado con mayor brillantez sus estudios universitarios, por Resolución de 7 de julio de 2012, de la Secretaría de Estado de Educación, Formación Profesional y Universidades («Boletín Oficial del Estado» de 2 de agosto), se hizo pública la convocatoria de Premios Nacionales de Fin de Carrera de Educación Universitaria destinados a quienes los hubieran concluido en el curso académico 2009-2010”.

Se han concedido en total 54 premios nacionales, con una dotación de 3.300 euros, 54 menciones con una dotación de 2.650 euros y 54 accésit con una dotación de 2.200 euros, cada uno de ellos.

Doce han sido los estudiantes de la Universidad de Granada que han obtenido estos premios, que se relacionan a continuación con indicación del premio otorgado y los estudios cursados.

  • Domínguez Castells, Rocío. Diplomada en Estadística. Premio Nacional.
  • Manzano Moreno, Francisco Javier. Licenciado en Odontología. Premio Nacional.
  • Ruiz López, Tomás. Ingeniero en Informática. Premio Nacional.
  • Rodríguez Arco, Laura. Ingeniera Químico. Accésit.
  • García Garnica, Marina de los Ángeles. Licenciada en Psicopedagogía. Premio Nacional.
  • Hoyos López, Gloria. Licenciada en Comunicación Audiovisual. Premio Nacional.
  • Porres Cerdán, Sara Victoria. Licenciada en Pedagogía. Premio Nacional.
  • Lozano Botellero, Violeta Nazaret. Licenciada en Psicología. Accésit.
  • Jreis Navarro, Laila Miriam. Licenciada en Filología Árabe. Premio Nacional.
  • Carbonell Márquez, Juan Francisco. Ingeniero de Caminos, Canales y Puertos. Accésit.
  • Albusac Jorge, Miriam. Licenciada en Historia y Ciencias de la Música. Mención.
  • Martín Martín, Alberto. Diplomado en Biblioteconomía y Documentación. Mención.


Éxito de los estudiantes de la Universidad de Granada en los Premios Nacionales de Fin de Carrera

  • Convocados por el Ministerio de Educación, Cultura y Deporte

El Ministerio de Educación, Cultura y Deporte ha otorgado doce premios a estudiantes de la Universidad de Granada en la última convocatoria de los Premios Nacionales de Fin de Carrera de Educación Universitaria correspondientes al curso académico 2009-2010. La Universidad de Granada es una de las más premiadas en esta edición.

Estos galardones se convocan “Con el fin de distinguir a los alumnos que hayan cursado con mayor brillantez sus estudios universitarios, por Resolución de 7 de julio de 2012, de la Secretaría de Estado de Educación, Formación Profesional y Universidades («Boletín Oficial del Estado» de 2 de agosto), se hizo pública la convocatoria de Premios Nacionales de Fin de Carrera de Educación Universitaria destinados a quienes los hubieran concluido en el curso académico 2009-2010”.

Se han concedido en total 54 premios nacionales, con una dotación de 3.300 euros, 54 menciones con una dotación de 2.650 euros y 54 accésit con una dotación de 2.200 euros, cada uno de ellos.

Doce han sido los estudiantes de la Universidad de Granada que han obtenido estos premios, que se relacionan a continuación con indicación del premio otorgado y los estudios cursados.

  • Domínguez Castells, Rocío. Diplomada en Estadística. Premio Nacional.
  • Manzano Moreno, Francisco Javier. Licenciado en Odontología. Premio Nacional.
  • Ruiz López, Tomás. Ingeniero en Informática. Premio Nacional.
  • Rodríguez Arco, Laura. Ingeniera Químico. Accésit.
  • García Garnica, Marina de los Ángeles. Licenciada en Psicopedagogía. Premio Nacional.
  • Hoyos López, Gloria. Licenciada en Comunicación Audiovisual. Premio Nacional.
  • Porres Cerdán, Sara Victoria. Licenciada en Pedagogía. Premio Nacional.
  • Lozano Botellero, Violeta Nazaret. Licenciada en Psicología. Accésit.
  • Jreis Navarro, Laila Miriam. Licenciada en Filología Árabe. Premio Nacional.
  • Carbonell Márquez, Juan Francisco. Ingeniero de Caminos, Canales y Puertos. Accésit.
  • Albusac Jorge, Miriam. Licenciada en Historia y Ciencias de la Música. Mención.
  • Martín Martín, Alberto. Diplomado en Biblioteconomía y Documentación. Mención.


Comunicado de la Conferencia de Decanos de Educación, reunida en Melilla, en favor de la “Campaña Mundial por la Educación 2013”

  • Los decanos acuerdan por unanimidad apoyar la campaña y adherirse a la misma en su objetivo de movilizar a la ciudadanía para que esta exija a sus gobiernos y a la comunidad internacional que cumplan sus promesas y se responsabilicen del destino de millones de personas a las que se excluye del derecho a la educación

Con el lema “¡Sin profes no hay escuela! Por un profesorado formado y motivado”, la Campaña Mundial por la Educación (CME) reivindica la importancia de la profesión docente en el proceso educativo. En la edición de la CME 2013, los decanos de las facultades de Educación de Andalucía, Ceuta y Melilla, reunidos el día 11 de abril de 2013 en la ciudad de Melilla, han acordado por unanimidad apoyar la campaña y adherirse a la misma en su objetivo de movilizar a la ciudadanía para que esta exija a sus gobiernos y a la comunidad internacional que cumplan sus promesas y se responsabilicen del destino de millones de personas a las que se excluye del derecho a la educación:

“Los decanos de Educación de Andalucía, Ceuta y Melilla no podemos estar más de acuerdo con la necesidad de recordar a los gobernantes la importancia de contar con el suficiente número de docentes con adecuada formación, motivación, remuneración y reconocimiento, y exigirles que destinen los recursos necesarios para que la Educación Para Todos sea una realidad lo antes posible. No cabe duda de que el personal docente es un elemento fundamental sin el que no puede ejercerse el derecho a la educación”.

En el mundo faltan 1, 7 millones de docentes para que la educación Para Todos sea una realidad en 2015. En total, unos 114 países tienen déficit de maestros de primaria, y solo en África se necesita un millón. Siete países africanos tienen un solo docente por cada más de cien jóvenes en edad de cursar la secundaria.

Para llamar la atención sobre esta situación, la Campaña Mundial por la Educación 2013 propone participar en una acción on-line llamada “Pon tu profe en el mapa”.

A través de http://www.cme-espana.org/sitios/pontuprofe/ el usuario accederá a un mapamundi que refleja dónde deberían estar esos 1,7 millones de docentes que faltan en el mundo para que la educación Para Todos sea una realidad.

Desde este microsite, cada usuario podrá establecer tres cualidades que definan la profesión docente y colocar un docente en el mapamundi, para de manera simbólica ir reduciendo el déficit de 1,7 millones. Los resultados obtenidos al término de la Semana de Acción Mundial por la Educación (del 22 al 28 de abril de 2013) serán entregados a la Comisión de Cooperación del Congreso de los Diputados para exigirles que destinen los recursos necesarios para que la Educación Para Todos sea una realidad lo antes posible.

Se adjuntan, integro, en Pdf, el comunicado de la “Conferencia de Decanos de Educación de Andalucía, Ceuta y Melilla”, reunida en el Campus de Melilla de la Universidad de Granada; y logo de la Campaña Mundial por la Educación (CME).

Contacto: Profesora Carmen Enrique Mirón. Decana de la Facultad de Educación y Humanidades de Melilla. Universidad de Granada. Campus de Melilla. Tfns.: 952 698723. Correo electrónico: cenrique@ugr.es


Comunicado de la Conferencia de Decanos de Educación, reunida en Melilla, en favor de la “Campaña Mundial por la Educación 2013”

  • Los decanos acuerdan por unanimidad apoyar la campaña y adherirse a la misma en su objetivo de movilizar a la ciudadanía para que esta exija a sus gobiernos y a la comunidad internacional que cumplan sus promesas y se responsabilicen del destino de millones de personas a las que se excluye del derecho a la educación

Con el lema “¡Sin profes no hay escuela! Por un profesorado formado y motivado”, la Campaña Mundial por la Educación (CME) reivindica la importancia de la profesión docente en el proceso educativo. En la edición de la CME 2013, los decanos de las facultades de Educación de Andalucía, Ceuta y Melilla, reunidos el día 11 de abril de 2013 en la ciudad de Melilla, han acordado por unanimidad apoyar la campaña y adherirse a la misma en su objetivo de movilizar a la ciudadanía para que esta exija a sus gobiernos y a la comunidad internacional que cumplan sus promesas y se responsabilicen del destino de millones de personas a las que se excluye del derecho a la educación:

“Los decanos de Educación de Andalucía, Ceuta y Melilla no podemos estar más de acuerdo con la necesidad de recordar a los gobernantes la importancia de contar con el suficiente número de docentes con adecuada formación, motivación, remuneración y reconocimiento, y exigirles que destinen los recursos necesarios para que la Educación Para Todos sea una realidad lo antes posible. No cabe duda de que el personal docente es un elemento fundamental sin el que no puede ejercerse el derecho a la educación”.

En el mundo faltan 1, 7 millones de docentes para que la educación Para Todos sea una realidad en 2015. En total, unos 114 países tienen déficit de maestros de primaria, y solo en África se necesita un millón. Siete países africanos tienen un solo docente por cada más de cien jóvenes en edad de cursar la secundaria.

Para llamar la atención sobre esta situación, la Campaña Mundial por la Educación 2013 propone participar en una acción on-line llamada “Pon tu profe en el mapa”.

A través de http://www.cme-espana.org/sitios/pontuprofe/ el usuario accederá a un mapamundi que refleja dónde deberían estar esos 1,7 millones de docentes que faltan en el mundo para que la educación Para Todos sea una realidad.

Desde este microsite, cada usuario podrá establecer tres cualidades que definan la profesión docente y colocar un docente en el mapamundi, para de manera simbólica ir reduciendo el déficit de 1,7 millones. Los resultados obtenidos al término de la Semana de Acción Mundial por la Educación (del 22 al 28 de abril de 2013) serán entregados a la Comisión de Cooperación del Congreso de los Diputados para exigirles que destinen los recursos necesarios para que la Educación Para Todos sea una realidad lo antes posible.

Se adjuntan, integro, en Pdf, el comunicado de la “Conferencia de Decanos de Educación de Andalucía, Ceuta y Melilla”, reunida en el Campus de Melilla de la Universidad de Granada; y logo de la Campaña Mundial por la Educación (CME).

Contacto: Profesora Carmen Enrique Mirón. Decana de la Facultad de Educación y Humanidades de Melilla. Universidad de Granada. Campus de Melilla. Tfns.: 952 698723. Correo electrónico: cenrique@ugr.es


Presentación del libro “El vampiro en el espejo”, del profesor José Abad

  • A cargo del profesor Juan Carlos Rodríguez, tendrá lugar en la Tienda oficial de la UGR (antigua Bóveda), el viernes, 19 de abril de 2013, a las 19 horas

El libro “El vampiro en el espejo”, del profesor de la UGR José Abad, publicado en la Editorial Universidad de Granada (eug), será presentado el viernes, 19 de abril de 2013, a las 19 horas, en la Tienda oficial de la UGR (antigua Bóveda), por el catedrático de la UGR Juan Carlos Rodríguez.

Se trata de un ensayo sobre el vampiro y su vinculación con el cine, en el que se analizan cien películas relacionadas con el vampirismo. El libro ofrece, según reza en la contraportada: “un recorrido por la Historia del cine y el análisis exhaustivo de un centenar de películas, entre las cuales hallarán los títulos más famosos sobre el tema, así como un nutrido ramillete de rarezas”.

En 7 capítulos, que ocupan cerca de 300 páginas, el profesor Abad transita por un siglo de cine e indaga cómo ha sido tratado el mito del vampiro por la fábrica de sueños.

Antes, en su introducción de este ensayo, el autor escribe de “Lo que sé de los vampiros” y propone una declaración de intenciones sobre lo que llamamos vampiros, el culto a la sangre, las creencias en monstruos bebedores de sangre, muertos vivos, y toda la cultura histórica que el mito del vampirismo comporta, sin dejar de lado el discurso del doble. Escribe Abad: “Según Gérard Lenne, el tema del doble está en el origen de los grandes monstruos de ficción. No obstante,`la aparición de un doble que catalice las angustias e inquietudes inconscientes solo es en apariencia una multiplicación de la personalidad; en realidad es una división, una partición, un estallido´. De este modo, el vampiro –uno de los iconos más arraigados en el imaginario popular– se abre a un amplio abanico de sugerencias dependiendo del humus sociocultural en el que aparece”.

De la literatura al cine, el mito se transforma de ficción literaria a ficción cinematográfica y el profesor Abad reflexiona acerca de esta transformación y la peculiaridad del vampiro cinematográfico y los distintos tratamientos que de él han hecho y hacen los múltiples directores de cine que se han aventurado en ese gran universo del bebedor de sangre. Para el autor de este libro, “el vampiro puede representar el pasado que vuelve o que se niega a desaparecer. El rechazo al orden hegemónico o la pervivencia de uno ya periclitado. Es un individuo al margen, en el borde, al otro lado. En él se condensan lo atávico y lo eterno, la pulsión de vida y de muerte, lo prohibido, oculto o silenciado… Y el cine, espejo oblicuo de nuestro tiempo, ha tenido en esta figura una fuente inagotable de ficciones”.

José Abad imparte en la Facultad de Filosofía y Letras de la Universidad de Granada la materia “Cine y Sociedad”.

Adquiera este libro en el sitio web de la EUG: http://sl.ugr.es/03QM

Contacto:
Profesor José Eduardo Abad Baena.
Departamento de Filologías Románica, Italiana, Gallego-Portuguesa y Catalana.
Tfn.: 958 243584.
Correo electrónico: joseabad@ugr.es


Presentación del libro “El vampiro en el espejo”, del profesor José Abad

  • A cargo del profesor Juan Carlos Rodríguez, tendrá lugar en la Tienda oficial de la UGR (antigua Bóveda), el viernes, 19 de abril de 2013, a las 19 horas

El libro “El vampiro en el espejo”, del profesor de la UGR José Abad, publicado en la Editorial Universidad de Granada (eug), será presentado el viernes, 19 de abril de 2013, a las 19 horas, en la Tienda oficial de la UGR (antigua Bóveda), por el catedrático de la UGR Juan Carlos Rodríguez.

Se trata de un ensayo sobre el vampiro y su vinculación con el cine, en el que se analizan cien películas relacionadas con el vampirismo. El libro ofrece, según reza en la contraportada: “un recorrido por la Historia del cine y el análisis exhaustivo de un centenar de películas, entre las cuales hallarán los títulos más famosos sobre el tema, así como un nutrido ramillete de rarezas”.

En 7 capítulos, que ocupan cerca de 300 páginas, el profesor Abad transita por un siglo de cine e indaga cómo ha sido tratado el mito del vampiro por la fábrica de sueños.

Antes, en su introducción de este ensayo, el autor escribe de “Lo que sé de los vampiros” y propone una declaración de intenciones sobre lo que llamamos vampiros, el culto a la sangre, las creencias en monstruos bebedores de sangre, muertos vivos, y toda la cultura histórica que el mito del vampirismo comporta, sin dejar de lado el discurso del doble. Escribe Abad: “Según Gérard Lenne, el tema del doble está en el origen de los grandes monstruos de ficción. No obstante,`la aparición de un doble que catalice las angustias e inquietudes inconscientes solo es en apariencia una multiplicación de la personalidad; en realidad es una división, una partición, un estallido´. De este modo, el vampiro –uno de los iconos más arraigados en el imaginario popular– se abre a un amplio abanico de sugerencias dependiendo del humus sociocultural en el que aparece”.

De la literatura al cine, el mito se transforma de ficción literaria a ficción cinematográfica y el profesor Abad reflexiona acerca de esta transformación y la peculiaridad del vampiro cinematográfico y los distintos tratamientos que de él han hecho y hacen los múltiples directores de cine que se han aventurado en ese gran universo del bebedor de sangre. Para el autor de este libro, “el vampiro puede representar el pasado que vuelve o que se niega a desaparecer. El rechazo al orden hegemónico o la pervivencia de uno ya periclitado. Es un individuo al margen, en el borde, al otro lado. En él se condensan lo atávico y lo eterno, la pulsión de vida y de muerte, lo prohibido, oculto o silenciado… Y el cine, espejo oblicuo de nuestro tiempo, ha tenido en esta figura una fuente inagotable de ficciones”.

José Abad imparte en la Facultad de Filosofía y Letras de la Universidad de Granada la materia “Cine y Sociedad”.

Adquiera este libro en el sitio web de la EUG: http://sl.ugr.es/03QM

Contacto:
Profesor José Eduardo Abad Baena.
Departamento de Filologías Románica, Italiana, Gallego-Portuguesa y Catalana.
Tfn.: 958 243584.
Correo electrónico: joseabad@ugr.es


Mesa redonda y documental en las Jornadas sobre “La música árabe y andalusí”

  • Jueves, 18 de abril, a las 12h., en la Facultad de Filosofía y Letras

Continúan celebrándose en la Universidad de Granada las Jornadas sobre “La música árabe y andalusí”, que dieron comienzo el pasado 11 de marzo y se desarrollarán hasta finales del mes de abril en la Facultad de Filosofía y Letras, organizadas por la Cátedra al-Babtain de Estudios Árabes y la Cátedra Manuel de Falla de la UGR.

Programa para el jueves 18 de Abril

  • Programa de mañana: 12h-13h.
  • MESA REDONDA: Sala Federico García Lorca.
  • Título: “La Música andalusí en la Musicología y la programación cultural del siglo XXI”.
  • Moderador: Dr. Antonio Martín Moreno.
  • Participantes: Miguel Ángel Berlanga; Manuela Cortés García; Reynaldo Fernández Manzano; Suhail Shergini; Mustafa el-Merabit
  • Programa de tarde: 17h-19h.
  • DOCUMENTAL: Fundación Euro-Árabe.
  • “La nawba marroquí en los repertorios profanos y sufíes”.
  • Presentación: M. Cortés García

“JORNADAS SOBRE LA MÚSICA ÁRABE Y ANDALUSÍ”.

  • “La música árabe y andalusí: Miradas desde el alminar de la interdisciplinariedad”.
  • Presentado y coordinado por Manuela Cortés García. Departamento de Historia y Ciencias de la Música. Facultad de Filosofía y Letras. Universidad de Granada.
  • Organizado por: Cátedra al-Babtain; la Cátedra Manuel de Falla y Biblioteca de la Facultad de Filosofía y Letras (Universidad de Granada).
  • Organismos colaboradores: Fundación Euro-Árabe (Granada); Centro de Documentación Musical (Granada).