Motril acogerá dos nuevos cursos organizados por la Universidad de Granada

La concejala de Educación del Ayuntamiento de Motril, Elena Vallejo, ha informado acerca de los dos nuevos cursos que tendrán lugar en nuestra ciudad, organizados por el Centro Mediterráneo de la Universidad de Granada.
Así, la sede de la UGR, situada en la avenida de los bajos de la Oficina de Turismo, acogerá el día 13 abril una de las tres ‘Jornadas Internacionales sobre América y el Pacífico como espacio ibérico’, mientras que el 10, 11, 17 y 18 de mayo, será turno para el I Taller de Iniciación al lenguaje y a la técnica fotográfica, el cual se impartirá íntegramente en Motril.
La primera propuesta celebrará sus dos primeras sesiones en la capital granadina y la última en nuestra ciudad, está dirigida por los profesores de la UGR María Isabel Montoya y Miguel Ángel Sorroche, y tratará de reflexionar sobre la trascendencia y legado que ha llegado hasta nuestros días, a raíz el descubrimiento del Pacífico por parte de Vasco Núñez de Balboa en 1513, uno de los acontecimientos más importantes ocurridos en el transcurso del descubrimiento de América, y del que se cumplen los 500 años en este 2013.
La segunda cita formativa, dirigida también por María Isabel Montoya, estará basada en la fotografía como uno de los pilares básicos de la comunicación audiovisual, convertida a lo largo del silo XX en un medio de expresión ampliamente reconocido no sólo por artistas, e intentará cubrir la carencia de conocimiento de los principios básicos de funcionamiento tanto de las cámaras analógicas como digitales y su procesado.
Elena Vallejo ha concluido agradeciendo «la apuesta de la UGR por Motril con la celebración de estas interesantes inciativas, afianzando nuestra ciudad como sede universitaria de la Costa Tropical
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On cultive pour la première fois en captivité la « petite ortie de mer », une espèce animale marine très demandée en gastronomie

  • Des chercheurs grenadins ont également cultivé hors de la mer une plante dénommée salicorne, qui peut s’utiliser pour la génération de biocombustibles.
  • Ces espèces marines sont très demandées dans la haute cuisine grâce à leurs excellentes propriétés nutritionnelles, raison pour laquelle leur utilisation a provoqué des altérations dans l’écosystème marin.

Des chercheurs grenadins sont arrivés à cultiver pour la première fois en captivité une espèce animale marine dénommée petite ortie de mer (Anemonia sulcata), et ont déjà initié la culture du concombre de mer (Stichopus regalis), bien que celui-ci en est encore à sa phase initiale de recherche. Les deux espèces présentent un énorme potentiel culinaire et d’excellentes propriétés nutritionnelles. Outre ces deux anémones de mer, les scientifiques sont également arrivés à cultiver artificiellement une plante marine, la salicorne, aussi appelée « asperge de mer » en Espagne.

Actuellement, la capture d’anémones et leur utilisation postérieure dans les restaurants et établissements pour gourmets a provoqué un déclin remarquable et dangereux de ces populations animales, « en détériorant considérablement le nid écologique de la zone côtière et intermaréale, dû au braconnage et à la surexploitation en raison de leur rentabilité économique.

L’entreprise iMare Natural S.L., spin-off de l’Université de Grenade, s’occupe de la diversification des cultures marines dans le secteur de l’agriculture intégrée, une pratique basée sur une exploitation maximale des apports organiques excédentaires provenant de la culture ou de l’exploitation d’une espèce.

M. Pedro A. Álvarez, un des chercheurs et fondateur de l’entreprise, explique que « jusqu’à cette date, toute la consommation de ces espèces marines provenait de la pêche extractive, ce qui représente une altération très importante de l’écosystème. »

Moyennant un système efficace de pompage et de canalisation, les apports organiques sont recyclés et réutilisés comme fertilisants ou apports nutritionnels dans d’autres types de cultures auxiliaires. Les excédents alimentaires et les déchets organiques d’une culture aquicole sont reminéralisés à leur tour par une autre espèce moyennant une culture aquaponique afin de créer des systèmes équilibrés et un environnement durable par biomitigation.

Propriétés pour la santé

Quant aux espèces cultivées pour la première fois à Grenade, la petite ortie de mer « possède à peine de calories et apporte des composants essentiels à notre santé, grâce à son taux élevé de protéines, de cholestérol et de purines, et à son bas contenu en graisses », souligne Álvarez.

La salicorne, pour sa part, contient entre 30 et 40% de protéines, calcium, magnésium, potassium et sodium, et un pourcentage élevé d’acides gras essentiels (oméga 6), qui peut atteindre 75% dans le cas des semences. Ce contenu élevé d’acide linoléique permet de réduire considérablement la quantité de cholestérol dans le sang. Cette plante s’arrose avec de l’eau de mer et s’utilise de plus en plus comme accompagnement dans des plats de poissons ou de fruits de mer, ou bien cuites avec d’autres légumes. « De plus, la salicorne est une culture riche en huile qui peut s’utiliser aussi pour la génération de biocombustibles », affirme le chercheur.

En dernier lieu, le concombre de mer est un produit très apprécié en gastronomie en Catalogne, dans les Îles Baléares et à Valence, où le kilo peut coûter 150 euros. Auparavant, « sa consommation était associée aux pêcheurs à faible pouvoir d’achat, mais aujourd’hui on le sert dans des restaurants de haut niveau. »

Images adjointes

 

ortiguilla2

 

Deux photos de la petite ortie de mer, cultivée en captivité par la spin-off de l’Université de Grenade iMare Natural S.L.

 

grupoinvest

Sur la photo du groupe, au milieu, les deux fondateurs de l’entreprise, Pedro A. Álvarez (direction I+D+i) et Carolina Alonso (direction exécutive et commerciale). Sur les côtés, les chercheurs Francisco Andújar et Ana Esther Ortiz.

Contacts :


On cultive pour la première fois en captivité la « petite ortie de mer », une espèce animale marine très demandée en gastronomie

  • Des chercheurs grenadins ont également cultivé hors de la mer une plante dénommée salicorne, qui peut s’utiliser pour la génération de biocombustibles.
  • Ces espèces marines sont très demandées dans la haute cuisine grâce à leurs excellentes propriétés nutritionnelles, raison pour laquelle leur utilisation a provoqué des altérations dans l’écosystème marin.

Des chercheurs grenadins sont arrivés à cultiver pour la première fois en captivité une espèce animale marine dénommée petite ortie de mer (Anemonia sulcata), et ont déjà initié la culture du concombre de mer (Stichopus regalis), bien que celui-ci en est encore à sa phase initiale de recherche. Les deux espèces présentent un énorme potentiel culinaire et d’excellentes propriétés nutritionnelles. Outre ces deux anémones de mer, les scientifiques sont également arrivés à cultiver artificiellement une plante marine, la salicorne, aussi appelée « asperge de mer » en Espagne.

Actuellement, la capture d’anémones et leur utilisation postérieure dans les restaurants et établissements pour gourmets a provoqué un déclin remarquable et dangereux de ces populations animales, « en détériorant considérablement le nid écologique de la zone côtière et intermaréale, dû au braconnage et à la surexploitation en raison de leur rentabilité économique.

L’entreprise iMare Natural S.L., spin-off de l’Université de Grenade, s’occupe de la diversification des cultures marines dans le secteur de l’agriculture intégrée, une pratique basée sur une exploitation maximale des apports organiques excédentaires provenant de la culture ou de l’exploitation d’une espèce.

M. Pedro A. Álvarez, un des chercheurs et fondateur de l’entreprise, explique que « jusqu’à cette date, toute la consommation de ces espèces marines provenait de la pêche extractive, ce qui représente une altération très importante de l’écosystème. »

Moyennant un système efficace de pompage et de canalisation, les apports organiques sont recyclés et réutilisés comme fertilisants ou apports nutritionnels dans d’autres types de cultures auxiliaires. Les excédents alimentaires et les déchets organiques d’une culture aquicole sont reminéralisés à leur tour par une autre espèce moyennant une culture aquaponique afin de créer des systèmes équilibrés et un environnement durable par biomitigation.

Propriétés pour la santé

Quant aux espèces cultivées pour la première fois à Grenade, la petite ortie de mer « possède à peine de calories et apporte des composants essentiels à notre santé, grâce à son taux élevé de protéines, de cholestérol et de purines, et à son bas contenu en graisses », souligne Álvarez.

La salicorne, pour sa part, contient entre 30 et 40% de protéines, calcium, magnésium, potassium et sodium, et un pourcentage élevé d’acides gras essentiels (oméga 6), qui peut atteindre 75% dans le cas des semences. Ce contenu élevé d’acide linoléique permet de réduire considérablement la quantité de cholestérol dans le sang. Cette plante s’arrose avec de l’eau de mer et s’utilise de plus en plus comme accompagnement dans des plats de poissons ou de fruits de mer, ou bien cuites avec d’autres légumes. « De plus, la salicorne est une culture riche en huile qui peut s’utiliser aussi pour la génération de biocombustibles », affirme le chercheur.

En dernier lieu, le concombre de mer est un produit très apprécié en gastronomie en Catalogne, dans les Îles Baléares et à Valence, où le kilo peut coûter 150 euros. Auparavant, « sa consommation était associée aux pêcheurs à faible pouvoir d’achat, mais aujourd’hui on le sert dans des restaurants de haut niveau. »

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Deux photos de la petite ortie de mer, cultivée en captivité par la spin-off de l’Université de Grenade iMare Natural S.L.

 

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Sur la photo du groupe, au milieu, les deux fondateurs de l’entreprise, Pedro A. Álvarez (direction I+D+i) et Carolina Alonso (direction exécutive et commerciale). Sur les côtés, les chercheurs Francisco Andújar et Ana Esther Ortiz.

Contacts :


Abbott amplía su acuerdo de colaboración con la Universidad de Granada con un nuevo centro de investigación científica en nutrición

  • El objetivo del centro, alojado en el edificio BIC (Centro Incubador de Empresas), será el desarrollo científico de productos nutricionales y métodos de análisis que puedan aplicarse en la Unión Europea y en todo el mundo.

Abbott ha anunciado hoy la ampliación de su acuerdo de colaboración con el programa científico sobre nutrición en la Universidad de Granada, una de las instituciones españolas más importantes de investigación. El objetivo del centro, alojado en el edificio BIC (Centro Incubador de Empresas), será el desarrollo científico de productos nutricionales y métodos de análisis que puedan aplicarse en la Unión Europea y en todo el mundo.

La colaboración entre Abbott y la Universidad de Granada pone en contacto a empleados y científicos de Abbott con estudiantes universitarios e investigadores docentes en el objetivo común de revelar datos científicos nuevos en los campos de la diabetes, obesidad, masa magra corporal, cognición y nutrición temprana. El objetivo de la investigación conjunta también es desarrollar innovadores productos nutricionales científicos, descubrir recomendaciones nutricionales óptimas para la Unión Europea y ofrecer soluciones a problemas nutricionales de salud pública, a nivel local y nacional.

“Abbott es líder en nutrición desde hace 85 años y esta colaboración con la Universidad de Granada permite el acceso a importantes centros de investigación y amplía las perspectivas regionales de nuestras capacidades globales de investigación”, comenta Robert H. Miller, Ph.D., vicepresidente de la división de I+D y asuntos científicos de Abbott Nutrition.

“Aprovechar los centros de investigación de la universidad y la cantera de talentos contribuirá a conseguir progresos en nuestro conocimiento en nutrición, el desarrollo de productos, las perspectivas de los clientes y los métodos de análisis”, añade Miller.

Esta colaboración representa el último acuerdo en la red de colaboraciones externas de Abbott a nivel mundial y constituye todo un ejemplo del firme compromiso de Abbott con el desarrollo de la nutrición y la colaboración con instituciones con ideas afines.

Los valiosos conocimientos y la información promovidos por las colaboraciones de Abbott, como la Universidad de Granada, serán claves en el desarrollo de soluciones nutricionales a los desafíos sanitarios, a nivel local e internacional.

Acerca de la Universidad de Granada

La Universidad de Granada, fundada en 1531, está hoy situada entre las más prestigiosas de España y es una de las principales universidades públicas del Sur de Europa con una fuerte presencia en el marco internacional. En la actualidad cuenta con cerca de 80.000 estudiantes, 3.650 profesores y más de 2.000 empleados administrativos, técnicos y de servicio. La investigación, clave para su desarrollo, es uno de sus objetivos principales y donde se sitúa entre los primeras centros docentes investigadores de España. Por añadidura, muestra su compromiso con la calidad de la enseñanza superior, lo que beneficia a la comunidad universitaria y a la sociedad en general. Para obtener más información de la Universidad de Granada, visite su página web oficial en http://www.ugr.es/

Acerca de Abbott Nutrition

Abbott desarrolla y comercializa desde hace más de 85 años productos nutricionales basados en la ciencia y orientados al crecimiento, la salud y el bienestar de personas de todas las edades.

La compañía es líder en productos nutricionales clínicamente probados para cubrir las diversas necesidades dietéticas de personas con enfermedades críticas o con carencias especiales de nutrición.

Acerca de Abbott

Abbott es una compañía biomédica internacional dedicada a mejorar la vida de las personas gracias al desarrollo de productos y tecnologías que abarcan toda la asistencia sanitaria. Con un portfolio de primeras marcas en productos de diagnóstico, sanitarios, nutricionales y farmacéuticos, Abbott atiende a personas en más de 150 países y emplea aproximadamente a 70.000 personas.

En España, Abbott cuenta con algo más de 1.000 empleados que trabajan en investigación y desarrollo, producción, logística, marketing y ventas. Con oficinas centrales en Madrid, Abbott dispone además en Granada de un centro de investigación y desarrollo en nutrición y de una planta de producción de productos de nutrición médica, y en Alcobendas cuenta con una planta de oftalmología.

Visita Abbott en www.abbott.com o www.abbott.es y conecta con nosotros en Twitter en @AbbottNews .

 

Robert H. Miller, Jesús Quero y Francisco González Lodeiro

 

AbbottGranada

Fotografía de las instalaciones de Abbott en Granada

Contacto:
Asunciόn González
Jefa de Comunicación de Abbott
Teléfono: 913 371 384
Correo electrónico: asuncion.gonzalez@abbott.com


Abbott amplía su acuerdo de colaboración con la Universidad de Granada con un nuevo centro de investigación científica en nutrición

  • El objetivo del centro, alojado en el edificio BIC (Centro Incubador de Empresas), será el desarrollo científico de productos nutricionales y métodos de análisis que puedan aplicarse en la Unión Europea y en todo el mundo.

Abbott ha anunciado hoy la ampliación de su acuerdo de colaboración con el programa científico sobre nutrición en la Universidad de Granada, una de las instituciones españolas más importantes de investigación. El objetivo del centro, alojado en el edificio BIC (Centro Incubador de Empresas), será el desarrollo científico de productos nutricionales y métodos de análisis que puedan aplicarse en la Unión Europea y en todo el mundo.

La colaboración entre Abbott y la Universidad de Granada pone en contacto a empleados y científicos de Abbott con estudiantes universitarios e investigadores docentes en el objetivo común de revelar datos científicos nuevos en los campos de la diabetes, obesidad, masa magra corporal, cognición y nutrición temprana. El objetivo de la investigación conjunta también es desarrollar innovadores productos nutricionales científicos, descubrir recomendaciones nutricionales óptimas para la Unión Europea y ofrecer soluciones a problemas nutricionales de salud pública, a nivel local y nacional.

“Abbott es líder en nutrición desde hace 85 años y esta colaboración con la Universidad de Granada permite el acceso a importantes centros de investigación y amplía las perspectivas regionales de nuestras capacidades globales de investigación”, comenta Robert H. Miller, Ph.D., vicepresidente de la división de I+D y asuntos científicos de Abbott Nutrition.

“Aprovechar los centros de investigación de la universidad y la cantera de talentos contribuirá a conseguir progresos en nuestro conocimiento en nutrición, el desarrollo de productos, las perspectivas de los clientes y los métodos de análisis”, añade Miller.

Esta colaboración representa el último acuerdo en la red de colaboraciones externas de Abbott a nivel mundial y constituye todo un ejemplo del firme compromiso de Abbott con el desarrollo de la nutrición y la colaboración con instituciones con ideas afines.

Los valiosos conocimientos y la información promovidos por las colaboraciones de Abbott, como la Universidad de Granada, serán claves en el desarrollo de soluciones nutricionales a los desafíos sanitarios, a nivel local e internacional.

Acerca de la Universidad de Granada

La Universidad de Granada, fundada en 1531, está hoy situada entre las más prestigiosas de España y es una de las principales universidades públicas del Sur de Europa con una fuerte presencia en el marco internacional. En la actualidad cuenta con cerca de 80.000 estudiantes, 3.650 profesores y más de 2.000 empleados administrativos, técnicos y de servicio. La investigación, clave para su desarrollo, es uno de sus objetivos principales y donde se sitúa entre los primeras centros docentes investigadores de España. Por añadidura, muestra su compromiso con la calidad de la enseñanza superior, lo que beneficia a la comunidad universitaria y a la sociedad en general. Para obtener más información de la Universidad de Granada, visite su página web oficial en http://www.ugr.es/

Acerca de Abbott Nutrition

Abbott desarrolla y comercializa desde hace más de 85 años productos nutricionales basados en la ciencia y orientados al crecimiento, la salud y el bienestar de personas de todas las edades.

La compañía es líder en productos nutricionales clínicamente probados para cubrir las diversas necesidades dietéticas de personas con enfermedades críticas o con carencias especiales de nutrición.

Acerca de Abbott

Abbott es una compañía biomédica internacional dedicada a mejorar la vida de las personas gracias al desarrollo de productos y tecnologías que abarcan toda la asistencia sanitaria. Con un portfolio de primeras marcas en productos de diagnóstico, sanitarios, nutricionales y farmacéuticos, Abbott atiende a personas en más de 150 países y emplea aproximadamente a 70.000 personas.

En España, Abbott cuenta con algo más de 1.000 empleados que trabajan en investigación y desarrollo, producción, logística, marketing y ventas. Con oficinas centrales en Madrid, Abbott dispone además en Granada de un centro de investigación y desarrollo en nutrición y de una planta de producción de productos de nutrición médica, y en Alcobendas cuenta con una planta de oftalmología.

Visita Abbott en www.abbott.com o www.abbott.es y conecta con nosotros en Twitter en @AbbottNews .

 

Robert H. Miller, Jesús Quero y Francisco González Lodeiro

 

AbbottGranada

Fotografía de las instalaciones de Abbott en Granada

Contacto:
Asunciόn González
Jefa de Comunicación de Abbott
Teléfono: 913 371 384
Correo electrónico: asuncion.gonzalez@abbott.com


The Snakelocks Anemone, a marine species prized in cooking, has been bred for the first time in captivity

  • Researchers from Granada have also artificially cultivated a salt marsh plant called Salicornia, an edible species which can be used to produce bio-fuels. These species are highly valued in gourmet cooking and are renowned for their exceptional nutritional properties. However, their harvesting has increasingly damaged marine ecosystems.

Researchers from Granada have managed to breed for the first time in captivity a marine animal known as the snakelocks anemone, (Anemonia sulcata), and have also begun breeding a species of sea cucumber (Sticophus regalis), although this process is still in its initial stages. Both species have great culinary potential and possess excellent nutritional properties. As well as these two species of marine invertebrates, the scientists have cultivated the edible saltmarsh plant Salicornia, also known as marsh samphire or sea asparagus.

The harvesting of anemones for use in gourmet restaurants and eateries is creating a decline in their numbers, and due to the high prices they reach on the market, poaching and over-exploitation are «considerably damaging the ecological niche in coastal and inter-tidal areas».

iMare Natural S.L., a University of Granada ‘spin-off’ concern, is developing methods of raising these species and incorporating these techniques within the aquaculture sector. It is a practice based on making the most of the surplus organic products that result from the cultivation of these products.

As Pedro A. Alvarez, one of the researchers and co-founders of the firm, explains, «Until now, these marine products were solely obtained by trawling, a practice which affects the ecosystem considerably».

Using an efficient pumping and channeling system, the organic waste produced by the aquaculture process is recycled and turned into fertilizers or feedstuffs that can then be used in other types of cultivation. Thus, the food surpluses and organic residue from these marine crops are utilized in hydroponic cultivation, creating an environmentally sustainable and balanced system.

Healthy-giving properties

With regards to the snakelocks anemone, one of the species that has been cultivated for the first time in Granada, Pedro Alvarez states that «it has hardly any calories and contains essential components for our health, due to its high content in proteins, cholesterol and purines, along with its low fat content».

Furthermore, Salicornia contains 30-40% of proteins, calcium, magnesium and sodium, as well as a high proportion of essential fatty acids (Omega-6), which, in the case of its seeds, can be as high as 75%. This high content in linoleic acid helps to considerably reduce blood cholesterol levels. The plant absorbs salt water and is increasingly used as a garnish for fish or seafood dishes, or is cooked along with other vegetables. In addition, Salicornia is rich in oils and can be used for producing bio-fuel.

Finally, the sea cucumber is a highly-prized product in the cuisine of Catalonia, the Balearics and Valencia, where its price can be as high as 150 euros a kilo. In the past, it was eaten by poor fishing families, but nowadays it is served in the best restaurants».

Images attached:

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Two pictures of ‘snakelocks anemone’, bred in captivity by the University of Granada spin-off concern, iMare Natural S.L.

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Group image: in the centre, the firm’s two founders, Pedro A. Alvarez (head of R&D&I) and Carolina Alonso (executive director and sales management). Next to them, the researchers, Francisco Andujar and Ana Esther Ortiz.

Contact details: iMare Natural S.L.


The Snakelocks Anemone, a marine species prized in cooking, has been bred for the first time in captivity

  • Researchers from Granada have also artificially cultivated a salt marsh plant called Salicornia, an edible species which can be used to produce bio-fuels. These species are highly valued in gourmet cooking and are renowned for their exceptional nutritional properties. However, their harvesting has increasingly damaged marine ecosystems.

Researchers from Granada have managed to breed for the first time in captivity a marine animal known as the snakelocks anemone, (Anemonia sulcata), and have also begun breeding a species of sea cucumber (Sticophus regalis), although this process is still in its initial stages. Both species have great culinary potential and possess excellent nutritional properties. As well as these two species of marine invertebrates, the scientists have cultivated the edible saltmarsh plant Salicornia, also known as marsh samphire or sea asparagus.

The harvesting of anemones for use in gourmet restaurants and eateries is creating a decline in their numbers, and due to the high prices they reach on the market, poaching and over-exploitation are «considerably damaging the ecological niche in coastal and inter-tidal areas».

iMare Natural S.L., a University of Granada ‘spin-off’ concern, is developing methods of raising these species and incorporating these techniques within the aquaculture sector. It is a practice based on making the most of the surplus organic products that result from the cultivation of these products.

As Pedro A. Alvarez, one of the researchers and co-founders of the firm, explains, «Until now, these marine products were solely obtained by trawling, a practice which affects the ecosystem considerably».

Using an efficient pumping and channeling system, the organic waste produced by the aquaculture process is recycled and turned into fertilizers or feedstuffs that can then be used in other types of cultivation. Thus, the food surpluses and organic residue from these marine crops are utilized in hydroponic cultivation, creating an environmentally sustainable and balanced system.

Healthy-giving properties

With regards to the snakelocks anemone, one of the species that has been cultivated for the first time in Granada, Pedro Alvarez states that «it has hardly any calories and contains essential components for our health, due to its high content in proteins, cholesterol and purines, along with its low fat content».

Furthermore, Salicornia contains 30-40% of proteins, calcium, magnesium and sodium, as well as a high proportion of essential fatty acids (Omega-6), which, in the case of its seeds, can be as high as 75%. This high content in linoleic acid helps to considerably reduce blood cholesterol levels. The plant absorbs salt water and is increasingly used as a garnish for fish or seafood dishes, or is cooked along with other vegetables. In addition, Salicornia is rich in oils and can be used for producing bio-fuel.

Finally, the sea cucumber is a highly-prized product in the cuisine of Catalonia, the Balearics and Valencia, where its price can be as high as 150 euros a kilo. In the past, it was eaten by poor fishing families, but nowadays it is served in the best restaurants».

Images attached:

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Two pictures of ‘snakelocks anemone’, bred in captivity by the University of Granada spin-off concern, iMare Natural S.L.

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Group image: in the centre, the firm’s two founders, Pedro A. Alvarez (head of R&D&I) and Carolina Alonso (executive director and sales management). Next to them, the researchers, Francisco Andujar and Ana Esther Ortiz.

Contact details: iMare Natural S.L.


“Piano Masterclass” con Cristina Bruno, dentro del ciclo ArtEdúcate de la Facultad de Ciencias de la Educación

  • Abierta la inscripción hasta el día 10 de abril

La prestigiosa pianista Cristina Bruno impartirá en el Auditorio del Real Conservatorio Superior de Música “Victoria Eugenia”, los días 13 y 14 de abril, una “Piano Masterclass” para la que ya está abierta la inscripción.

La actividad forma parte del ciclo ArtEdúcate 2013 que ha organizado la Facultad de Ciencias de la Educación de la Universidad de Granada.

De ascendencia sueco-germana, Cristina Bruno nació en La Coruña. Estudió en el Conservatorio Superior de Madrid con José Cubiles y Manuel Carra, especializándose posteriormente en Bucarest y Hamburgo con Florica Muzicescu y Eliza Hansen, respectivamente. Ha recibido valiosos consejos de María Curcio, Juan Carlos Zubeldía y Sergiu Celibidache.

Debutó en Madrid en 1968 y en Hamburgo en 1969 con sendos recitales. Posteriormente realizó una audición para Celibidache, seguida de la presentación con orquesta bajo su batuta, que le abrió las puertas a una amplia proyección internacional. A partir de entonces ha colaborado como solista con orquestas europeas como la London Symphony, Suisse Romande, Hamburger Symphoniker, Virtuosi de Moscú, Orquesta de Cámara de Holanda, RTV Rumana, Nacional Búlgara, Solisti Sofia, Filarmónica de Novosibirsk, Cámara de Lituania y un largo etcétera, así como con las más importantes orquestas españolas. Entre otros prestigiosos directores, además de Celibidache, ha colaborado con Yuri Ahronovitch, Roberto Benzi, Arpad Jóo, Vladimir Spivakov, Ljubomir Romansky o Saulius Sondeckis, entre otros, además de con la mayoría de los principales directores españoles.

Ha actuado con orquesta o en recital en ciudades como Londres, Berlín, Hamburgo, Moscú, Ginebra, Leningrado, San José, Basilea, Sofía, Bucarest, Madrid, Barcelona, etc. En recital aborda todos los repertorios, desde la música del periodo barroco hasta la música contemporánea. A los doce años recibió la dedicatoria de una obra escrita especialmente para ella por Luis de Pablo.

Posteriormente le han dedicado obras Çarmelo Bernaola, Fernando Rincón, José Luis Turina, Carlos Cruz de Castro o Antonio Madigan, entre otros.

Ha realizado numerosas grabaciones con sellos discográficos como RCA, Hispavox, Etnos y EMI Classics, además de retransmisiones para radio y televisión, tanto españolas como europeas. Cristina Bruno ha ampliado recientemente su actividad profesional abordando un género poco prodigado: los recitales de improvisación.

  • Lugar de realización: Auditorio del Real Conservatorio Superior de Música “Victoria Eugenia”.
  • Fecha: 13 y 14 de abril de 2013.
  • Horario: 10-14 h y 16-20 h.
  • Inscripción: Del 1 al 10 de Abril.
  • Organiza: Vicedecanato de Estudiantes y Extensión Universitaria, Facultad de Ciencias de la Educación y Real Conservatorio Superior “Victoria Eugenia” de Granada.
  • Más información: vicestudiantesfce@ugr.es.

Descargue el folleto con formulario de inscripción.

Contacto: Almudena Ocaña Fernández. Vicedecana de Estudiantes y Extensión Universitaria Facultad de Ciencias de la Educación. Tlf.: 958-243991.

Twitter: @VicestuFceUgr

Facebook: https://www.facebook.com/fceestudiantesyextensionuniversitaria


“Piano Masterclass” con Cristina Bruno, dentro del ciclo ArtEdúcate de la Facultad de Ciencias de la Educación

  • Abierta la inscripción hasta el día 10 de abril

La prestigiosa pianista Cristina Bruno impartirá en el Auditorio del Real Conservatorio Superior de Música “Victoria Eugenia”, los días 13 y 14 de abril, una “Piano Masterclass” para la que ya está abierta la inscripción.

La actividad forma parte del ciclo ArtEdúcate 2013 que ha organizado la Facultad de Ciencias de la Educación de la Universidad de Granada.

De ascendencia sueco-germana, Cristina Bruno nació en La Coruña. Estudió en el Conservatorio Superior de Madrid con José Cubiles y Manuel Carra, especializándose posteriormente en Bucarest y Hamburgo con Florica Muzicescu y Eliza Hansen, respectivamente. Ha recibido valiosos consejos de María Curcio, Juan Carlos Zubeldía y Sergiu Celibidache.

Debutó en Madrid en 1968 y en Hamburgo en 1969 con sendos recitales. Posteriormente realizó una audición para Celibidache, seguida de la presentación con orquesta bajo su batuta, que le abrió las puertas a una amplia proyección internacional. A partir de entonces ha colaborado como solista con orquestas europeas como la London Symphony, Suisse Romande, Hamburger Symphoniker, Virtuosi de Moscú, Orquesta de Cámara de Holanda, RTV Rumana, Nacional Búlgara, Solisti Sofia, Filarmónica de Novosibirsk, Cámara de Lituania y un largo etcétera, así como con las más importantes orquestas españolas. Entre otros prestigiosos directores, además de Celibidache, ha colaborado con Yuri Ahronovitch, Roberto Benzi, Arpad Jóo, Vladimir Spivakov, Ljubomir Romansky o Saulius Sondeckis, entre otros, además de con la mayoría de los principales directores españoles.

Ha actuado con orquesta o en recital en ciudades como Londres, Berlín, Hamburgo, Moscú, Ginebra, Leningrado, San José, Basilea, Sofía, Bucarest, Madrid, Barcelona, etc. En recital aborda todos los repertorios, desde la música del periodo barroco hasta la música contemporánea. A los doce años recibió la dedicatoria de una obra escrita especialmente para ella por Luis de Pablo.

Posteriormente le han dedicado obras Çarmelo Bernaola, Fernando Rincón, José Luis Turina, Carlos Cruz de Castro o Antonio Madigan, entre otros.

Ha realizado numerosas grabaciones con sellos discográficos como RCA, Hispavox, Etnos y EMI Classics, además de retransmisiones para radio y televisión, tanto españolas como europeas. Cristina Bruno ha ampliado recientemente su actividad profesional abordando un género poco prodigado: los recitales de improvisación.

  • Lugar de realización: Auditorio del Real Conservatorio Superior de Música “Victoria Eugenia”.
  • Fecha: 13 y 14 de abril de 2013.
  • Horario: 10-14 h y 16-20 h.
  • Inscripción: Del 1 al 10 de Abril.
  • Organiza: Vicedecanato de Estudiantes y Extensión Universitaria, Facultad de Ciencias de la Educación y Real Conservatorio Superior “Victoria Eugenia” de Granada.
  • Más información: vicestudiantesfce@ugr.es.

Descargue el folleto con formulario de inscripción.

Contacto: Almudena Ocaña Fernández. Vicedecana de Estudiantes y Extensión Universitaria Facultad de Ciencias de la Educación. Tlf.: 958-243991.

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Curso “Pobreza y exclusión social: redes familiares y movimientos sociales en el contexto actual” (2ª edición), en la UGR

  • Pretende contribuir a la adquisición de herramientas teóricas críticas que posibiliten la construcción colectiva de conocimiento en torno a las distintas dimensiones de la exclusión social

El Centro de Iniciativas de Cooperación al Desarrollo (CICODE) de la Universidad de Granada ha organizado la segunda edición del curso “Pobreza y exclusión social: redes familiares y movimientos sociales en el contexto actual”, que tendrá lugar en Granada del 16 al 25 de abril.

Las transformaciones de las últimas décadas en las sociedades actuales: desempleo y precarización laboral, crisis del Estado del Bienestar, envejecimiento demográfico, diversidad étnica racial, reestructuración del modelo familiar, etc., han generado nuevas manifestaciones de pobreza y exclusión social. Esta situación se ha visto agravada en los últimos años a partir de la crisis económica mundial. Este curso pretende contribuir a la adquisición de herramientas teórico-críticas que posibiliten la construcción colectiva de conocimiento en torno a los procesos de pobreza y exclusión social y su afección al ámbito familiar en toda su diversidad. Para ello, se contará con colaboraciones diversas que complementarán tanto la perspectiva institucional como el enfoque de las respuestas de la ciudadanía, su tejido asociativo y las redes familiares. De esta manera, se situarán en la línea de tensión crítica los debates producidos por las definiciones de las problemáticas desarrolladas en ambos espacios.

Estudiantes universitarios de cualquier titulación, profesorado y PAS; y en general, toda persona que reúna los requisitos de acceso a la Universidad interesada en las distintas dimensiones de la exclusión social (ingresos, trabajo, vivienda, educación, relaciones socio-familiares, salud y participación), en los colectivos de mayor riesgo (inmigrantes, personas mayores, personas sin hogar), y en los distintos enfoques de análisis, que cumplan los requisitos mínimos de acceso a la Universidad.

Contenido académico:

  • Presentación + Taller de conceptos claves: pobreza, exclusión social y familia(s).
  • Conectando lo global y lo local: mapeo de la pobreza y exclusión social.
  • Taller de conceptos 1: pobreza y exclusión social (I).
  • Taller de conceptos 2: género(s) y familia(s).
  • El aula en la calle: aprendiendo de experiencias locales.
  • Las redes familiares y el tejido asociativo.
  • Construcción colectiva de conclusiones.
  • Clase online, seguimiento individualizado del alumnado y devolución de informe de la carga de trabajo (online).

  • Dirección: Domingo Barrera Rosillo (director del CICODE).
  • Coordinación: José Martínez Aroza (subdirector del CICODE).
  • Organiza: Centro de Iniciativas de Cooperación al Desarrollo de la Universidad de Granada (CICODE) a través de la Escuela Internacional de Posgrado.
  • Desde el 16/04/2013 hasta el 25/04/2013.
  • Lugar de realización: E.T.S de Ingeniería de Caminos, Canales y Puertos.
  • Plazas: 30.
  • Horario: Sesiones presenciales días 16, 17, 18, 22, 23, 24 y 25 de abril de 16 a 20 horas. Sesión no presencial: día 19 de abril.
  • Horas totales: 40
  • Matrícula: hasta el hasta el 10/04/2013. Presentándose en las oficinas de la Escuela Internacional de Posgrado. Calle Paz nº 18. (Por Internet: Automatrícula no disponible para este título).

Más información: Centro de Iniciativas de Cooperación al Desarrollo de la Universidad de Granada (CICODE). C/ Cuesta del Hospicio s/n 18071 Granada. Teléfono: 958-242007. Correo elec: admoncicode@ugr.es.


Curso “Pobreza y exclusión social: redes familiares y movimientos sociales en el contexto actual” (2ª edición), en la UGR

  • Pretende contribuir a la adquisición de herramientas teóricas críticas que posibiliten la construcción colectiva de conocimiento en torno a las distintas dimensiones de la exclusión social

El Centro de Iniciativas de Cooperación al Desarrollo (CICODE) de la Universidad de Granada ha organizado la segunda edición del curso “Pobreza y exclusión social: redes familiares y movimientos sociales en el contexto actual”, que tendrá lugar en Granada del 16 al 25 de abril.

Las transformaciones de las últimas décadas en las sociedades actuales: desempleo y precarización laboral, crisis del Estado del Bienestar, envejecimiento demográfico, diversidad étnica racial, reestructuración del modelo familiar, etc., han generado nuevas manifestaciones de pobreza y exclusión social. Esta situación se ha visto agravada en los últimos años a partir de la crisis económica mundial. Este curso pretende contribuir a la adquisición de herramientas teórico-críticas que posibiliten la construcción colectiva de conocimiento en torno a los procesos de pobreza y exclusión social y su afección al ámbito familiar en toda su diversidad. Para ello, se contará con colaboraciones diversas que complementarán tanto la perspectiva institucional como el enfoque de las respuestas de la ciudadanía, su tejido asociativo y las redes familiares. De esta manera, se situarán en la línea de tensión crítica los debates producidos por las definiciones de las problemáticas desarrolladas en ambos espacios.

Estudiantes universitarios de cualquier titulación, profesorado y PAS; y en general, toda persona que reúna los requisitos de acceso a la Universidad interesada en las distintas dimensiones de la exclusión social (ingresos, trabajo, vivienda, educación, relaciones socio-familiares, salud y participación), en los colectivos de mayor riesgo (inmigrantes, personas mayores, personas sin hogar), y en los distintos enfoques de análisis, que cumplan los requisitos mínimos de acceso a la Universidad.

Contenido académico:

  • Presentación + Taller de conceptos claves: pobreza, exclusión social y familia(s).
  • Conectando lo global y lo local: mapeo de la pobreza y exclusión social.
  • Taller de conceptos 1: pobreza y exclusión social (I).
  • Taller de conceptos 2: género(s) y familia(s).
  • El aula en la calle: aprendiendo de experiencias locales.
  • Las redes familiares y el tejido asociativo.
  • Construcción colectiva de conclusiones.
  • Clase online, seguimiento individualizado del alumnado y devolución de informe de la carga de trabajo (online).

  • Dirección: Domingo Barrera Rosillo (director del CICODE).
  • Coordinación: José Martínez Aroza (subdirector del CICODE).
  • Organiza: Centro de Iniciativas de Cooperación al Desarrollo de la Universidad de Granada (CICODE) a través de la Escuela Internacional de Posgrado.
  • Desde el 16/04/2013 hasta el 25/04/2013.
  • Lugar de realización: E.T.S de Ingeniería de Caminos, Canales y Puertos.
  • Plazas: 30.
  • Horario: Sesiones presenciales días 16, 17, 18, 22, 23, 24 y 25 de abril de 16 a 20 horas. Sesión no presencial: día 19 de abril.
  • Horas totales: 40
  • Matrícula: hasta el hasta el 10/04/2013. Presentándose en las oficinas de la Escuela Internacional de Posgrado. Calle Paz nº 18. (Por Internet: Automatrícula no disponible para este título).

Más información: Centro de Iniciativas de Cooperación al Desarrollo de la Universidad de Granada (CICODE). C/ Cuesta del Hospicio s/n 18071 Granada. Teléfono: 958-242007. Correo elec: admoncicode@ugr.es.


“Conferencia de decanos de Educación de Andalucía, Ceuta y Melilla”

  • Intervendrán Carmen Enrique Mirón, decana de la Facultad de Educación y Humanidades de Melilla; Miguel Ángel Gallardo, vicedecano de Ordenación Académica; y María José Molina, secretaria de la Facultad, el lunes, 8 de abril de 2013, a las 11.30 horas, en la Sala de Juntas del Campus de Melilla

La “Conferencia de decanos de Educación de Andalucía, Ceuta y Melilla”, que se celebrará en el Hotel Melilla Puerto de la Ciudad Autónoma los días 11 y 12 de abril de 2013, será presentada en rueda de prensa a los medios de comunicación el lunes, 8 de abril de 2013, a las 11.30 horas, en la Sala de Juntas del Campus de Melilla.

En el acto intervendrán Carmen Enrique Mirón, decana de la Facultad de Educación y Humanidades de Melilla; Miguel Ángel Gallardo, vicedecano de Ordenación Académica; y María José Molina, secretaria de la Facultad.

Se informará a los medios de comunicación, entre otros asuntos, de los temas que se van a debatir durante las tres sesiones de trabajo de la Conferencia, así como de los reconocimientos de créditos en el ámbito de la Educación Superior. La “Conferencia de Decanos de Educación de Andalucía, Ceuta y Melilla” que organiza la Facultad de Educación y Humanidades de la UGR en el Campus de Melilla, en colaboración con la Consejería de Presidencia y Participación Ciudadana, y Consejería de Educación y Colectivos Sociales de la Ciudad Autónoma de Melilla, así como el Patronato de Turismo y Melilla Ciudad Monumental, reúne en la ciudad autónoma a representantes de los centros superiores de Educación de Málaga, Córdoba, Sevilla, Jaén, Antequera, Huelva, Cádiz, Almería, Granada, Ceuta y Melilla.

CONVOCATORIA

  • Rueda de prensa: presentación de la “Conferencia de decanos de Educación de Andalucía, Ceuta y Melilla”.
  • Intervienen: Carmen Enrique Mirón, Miguel Ángel Gallardo y María José Molina.
  • Día: lunes, 8 de abril de 2013.
  • Lugar: Sala de Juntas del Campus de Melilla.
  • Hora: 11.30 horas.