Des scientifiques espagnols mettent au point pour la première fois au monde un traitement effectif contre la mucosite

Des chercheurs de l’Université de Grenade ont breveté un composé fabriqué à base de mélatonine qui est effectif pour le traitement et la prévention de la mucosite, un des effets secondaires les plus gênants de la chimiothérapie et de la radiothérapie chez les patients de cancer. Il s’agit d’un gel facilement applicable, qui « est en fait le premier produit mis au point au monde pour combattre la mucosite », d’après les chercheurs du Centre de Recherche Biomédicale. Actuellement, ce problème n’a aucun traitement étant donné que sa physiopathologie est méconnue.
La mucosite est une réaction inflammatoire qui affecte la muqueuse de tout le tractus digestif, de la bouche à l’anus, et suppose un des principaux effets secondaires de la chimiothérapie, de la radiothérapie et des greffes de la moelle osseuse. Ce problème complique énormément le traitement du cancer vu que, dans de nombreux cas, les patients doivent entrer à l’hôpital, qu’il faut utiliser des sondes nasogastriques et, ce qui est plus grave, interrompre le traitement radiothérapique contre le cancer. Elle peut parfois être mortelle.
Radiothérapie et mucosite
On estime que 40% des patients qui reçoivent ces traitements, et jusqu’à 76% des patients greffés de la moelle osseuse développent une mucosite. Chez les patients avec un cancer de la tête et du cou, 97% développent un certain degré de cette maladie, et 100% ceux soumis à radiothérapie fractionnée pendant un temps prolongé.
Il n’existe actuellement aucun traitement effectif pour la mucosite, de sorte que le produit mis au point à l’Université de Grenade présente un énorme intérêt pour la médecine et pour l’industrie pharmaceutique, vu qu’il pourrait améliorer énormément la qualité de vie des patients de cancer.
Le composé breveté, résultat de la recherche que l’UGR mène depuis plus de vingt ans sur les propriétés de la mélatonine, a démontré que dans la mucosite se produit un dégât mitochondrial. « La mélatonine améliore la réaction inflammatoire et protège la mitochondrie, de sorte que nous pensons qu’il pourrait être utile contre la mucosite », a souligné Germaine Escames Rosa, principale auteure de ce travail.
Le succès du traitement mené à bien à l’Université de Grenade provient du type de gel utilisé pour la formulation pharmaceutique et de la concentration de mélatonine. « L’application de ce gel de mélatonine à une concentration spécifique imprègne les muqueuses et inverse le dégât mitochondrial, empêchant dans 100% des cas l’apparition de mucosite ». Tout autre type d’application de mélatonine, ainsi que d’autres concentrations différentes n’auraient pas le même effet.
Brevet national
Ce produit a déjà été breveté au niveau national à travers le Bureau de Transfert de Résultats de Recherche de l’Université de Grenade. Un brevet international a également été sollicité.
Actuellement, une entreprise est en train de réaliser des épreuves microbiologiques et de stabilité afin de solliciter le registre comme produit sanitaire, de sorte que les chercheurs en sont à l’étape préalable à la commercialisation. Les études réalisées pour la fabrication de ce gel ont été financées par le CEI Biotic de Grenade, ainsi que par le Ministère de l’économie et de la Compétitivité.
En bas de photos :
Photo 1 : Dans la langue de la souris de contrôle nous observons les mitochondries sous leur forme allongée typique avec les crêtes dans leur intérieur. Chez la souris irradiée, les mitochondries sont cassées, sans crêtes et présentent de grandes vacuoles, tandis que chez les souris irradiées et traitées avec le gel de mélatonine, on n’observe aucun type de dégât mitochondrial. Les mitochondries sont tout à fait normales.
Photo 2 : La chercheuse de l’Université de Grenade Germaine Escames Rosa.
Photo 3 : Souris soumise à irradiation (radiothérapie).
Contact : Germaine Escames Rosa. Centre de Recherche Biomédicale de l’Unuversité de Grenade. Tél. : 958 241000, Ext. 20197 ; courriel : gescames@ugr.es
  • La mucosite est un des effets secondaires les plus fréquents de la chimiothérapie et de la radiothérapie chez les patients de cancer, et n’a actuellement aucun traitement.
  • Des chercheurs de l’Université de Grenade ont breveté un gel fabriqué à base de mélatonine qui s’avère effectif à 100% contre cette réaction inflammatoire.

Des chercheurs de l’Université de Grenade ont breveté un composé fabriqué à base de mélatonine qui est effectif pour le traitement et la prévention de la mucosite, un des effets secondaires les plus gênants de la chimiothérapie et de la radiothérapie chez les patients de cancer. Il s’agit d’un gel facilement applicable, qui « est en fait le premier produit mis au point au monde pour combattre la mucosite », d’après les chercheurs du Centre de Recherche Biomédicale. Actuellement, ce problème n’a aucun traitement étant donné que sa physiopathologie est méconnue.La mucosite est une réaction inflammatoire qui affecte la muqueuse de tout le tractus digestif, de la bouche à l’anus, et suppose un des principaux effets secondaires de la chimiothérapie, de la radiothérapie et des greffes de la moelle osseuse. Ce problème complique énormément le traitement du cancer vu que, dans de nombreux cas, les patients doivent entrer à l’hôpital, qu’il faut utiliser des sondes nasogastriques et, ce qui est plus grave, interrompre le traitement radiothérapique contre le cancer. Elle peut parfois être mortelle.

Radiothérapie et mucosite

On estime que 40% des patients qui reçoivent ces traitements, et jusqu’à 76% des patients greffés de la moelle osseuse développent une mucosite. Chez les patients avec un cancer de la tête et du cou, 97% développent un certain degré de cette maladie, et 100% ceux soumis à radiothérapie fractionnée pendant un temps prolongé.

Il n’existe actuellement aucun traitement effectif pour la mucosite, de sorte que le produit mis au point à l’Université de Grenade présente un énorme intérêt pour la médecine et pour l’industrie pharmaceutique, vu qu’il pourrait améliorer énormément la qualité de vie des patients de cancer.Le composé breveté, résultat de la recherche que l’UGR mène depuis plus de vingt ans sur les propriétés de la mélatonine, a démontré que dans la mucosite se produit un dégât mitochondrial. « La mélatonine améliore la réaction inflammatoire et protège la mitochondrie, de sorte que nous pensons qu’il pourrait être utile contre la mucosite », a souligné Germaine Escames Rosa, principale auteure de ce travail.

Le succès du traitement mené à bien à l’Université de Grenade provient du type de gel utilisé pour la formulation pharmaceutique et de la concentration de mélatonine. « L’application de ce gel de mélatonine à une concentration spécifique imprègne les muqueuses et inverse le dégât mitochondrial, empêchant dans 100% des cas l’apparition de mucosite ». Tout autre type d’application de mélatonine, ainsi que d’autres concentrations différentes n’auraient pas le même effet.

Brevet national

Ce produit a déjà été breveté au niveau national à travers le Bureau de Transfert de Résultats de Recherche de l’Université de Grenade. Un brevet international a également été sollicité.

Actuellement, une entreprise est en train de réaliser des épreuves microbiologiques et de stabilité afin de solliciter le registre comme produit sanitaire, de sorte que les chercheurs en sont à l’étape préalable à la commercialisation. Les études réalisées pour la fabrication de ce gel ont été financées par le CEI Biotic de Grenade, ainsi que par le Ministère de l’économie et de la Compétitivité.

En bas de photos :

Photo 1 : Dans la langue de la souris de contrôle nous observons les mitochondries sous leur forme allongée typique avec les crêtes dans leur intérieur. Chez la souris irradiée, les mitochondries sont cassées, sans crêtes et présentent de grandes vacuoles, tandis que chez les souris irradiées et traitées avec le gel de mélatonine, on n’observe aucun type de dégât mitochondrial. Les mitochondries sont tout à fait normales.

Escamez

Photo 2 : La chercheuse de l’Université de Grenade Germaine Escames Rosa.

raton radiación

Photo 3 : Souris soumise à irradiation (radiothérapie).

Contact : Germaine Escames Rosa. Centre de Recherche Biomédicale de l’Unuversité de Grenade. Tél. : 958 241000, Ext. 20197 ; courriel : gescames@ugr.es


Des scientifiques espagnols mettent au point pour la première fois au monde un traitement effectif contre la mucosite

Des chercheurs de l’Université de Grenade ont breveté un composé fabriqué à base de mélatonine qui est effectif pour le traitement et la prévention de la mucosite, un des effets secondaires les plus gênants de la chimiothérapie et de la radiothérapie chez les patients de cancer. Il s’agit d’un gel facilement applicable, qui « est en fait le premier produit mis au point au monde pour combattre la mucosite », d’après les chercheurs du Centre de Recherche Biomédicale. Actuellement, ce problème n’a aucun traitement étant donné que sa physiopathologie est méconnue.
La mucosite est une réaction inflammatoire qui affecte la muqueuse de tout le tractus digestif, de la bouche à l’anus, et suppose un des principaux effets secondaires de la chimiothérapie, de la radiothérapie et des greffes de la moelle osseuse. Ce problème complique énormément le traitement du cancer vu que, dans de nombreux cas, les patients doivent entrer à l’hôpital, qu’il faut utiliser des sondes nasogastriques et, ce qui est plus grave, interrompre le traitement radiothérapique contre le cancer. Elle peut parfois être mortelle.
Radiothérapie et mucosite
On estime que 40% des patients qui reçoivent ces traitements, et jusqu’à 76% des patients greffés de la moelle osseuse développent une mucosite. Chez les patients avec un cancer de la tête et du cou, 97% développent un certain degré de cette maladie, et 100% ceux soumis à radiothérapie fractionnée pendant un temps prolongé.
Il n’existe actuellement aucun traitement effectif pour la mucosite, de sorte que le produit mis au point à l’Université de Grenade présente un énorme intérêt pour la médecine et pour l’industrie pharmaceutique, vu qu’il pourrait améliorer énormément la qualité de vie des patients de cancer.
Le composé breveté, résultat de la recherche que l’UGR mène depuis plus de vingt ans sur les propriétés de la mélatonine, a démontré que dans la mucosite se produit un dégât mitochondrial. « La mélatonine améliore la réaction inflammatoire et protège la mitochondrie, de sorte que nous pensons qu’il pourrait être utile contre la mucosite », a souligné Germaine Escames Rosa, principale auteure de ce travail.
Le succès du traitement mené à bien à l’Université de Grenade provient du type de gel utilisé pour la formulation pharmaceutique et de la concentration de mélatonine. « L’application de ce gel de mélatonine à une concentration spécifique imprègne les muqueuses et inverse le dégât mitochondrial, empêchant dans 100% des cas l’apparition de mucosite ». Tout autre type d’application de mélatonine, ainsi que d’autres concentrations différentes n’auraient pas le même effet.
Brevet national
Ce produit a déjà été breveté au niveau national à travers le Bureau de Transfert de Résultats de Recherche de l’Université de Grenade. Un brevet international a également été sollicité.
Actuellement, une entreprise est en train de réaliser des épreuves microbiologiques et de stabilité afin de solliciter le registre comme produit sanitaire, de sorte que les chercheurs en sont à l’étape préalable à la commercialisation. Les études réalisées pour la fabrication de ce gel ont été financées par le CEI Biotic de Grenade, ainsi que par le Ministère de l’économie et de la Compétitivité.
En bas de photos :
Photo 1 : Dans la langue de la souris de contrôle nous observons les mitochondries sous leur forme allongée typique avec les crêtes dans leur intérieur. Chez la souris irradiée, les mitochondries sont cassées, sans crêtes et présentent de grandes vacuoles, tandis que chez les souris irradiées et traitées avec le gel de mélatonine, on n’observe aucun type de dégât mitochondrial. Les mitochondries sont tout à fait normales.
Photo 2 : La chercheuse de l’Université de Grenade Germaine Escames Rosa.
Photo 3 : Souris soumise à irradiation (radiothérapie).
Contact : Germaine Escames Rosa. Centre de Recherche Biomédicale de l’Unuversité de Grenade. Tél. : 958 241000, Ext. 20197 ; courriel : gescames@ugr.es
  • La mucosite est un des effets secondaires les plus fréquents de la chimiothérapie et de la radiothérapie chez les patients de cancer, et n’a actuellement aucun traitement.
  • Des chercheurs de l’Université de Grenade ont breveté un gel fabriqué à base de mélatonine qui s’avère effectif à 100% contre cette réaction inflammatoire.

Des chercheurs de l’Université de Grenade ont breveté un composé fabriqué à base de mélatonine qui est effectif pour le traitement et la prévention de la mucosite, un des effets secondaires les plus gênants de la chimiothérapie et de la radiothérapie chez les patients de cancer. Il s’agit d’un gel facilement applicable, qui « est en fait le premier produit mis au point au monde pour combattre la mucosite », d’après les chercheurs du Centre de Recherche Biomédicale. Actuellement, ce problème n’a aucun traitement étant donné que sa physiopathologie est méconnue.La mucosite est une réaction inflammatoire qui affecte la muqueuse de tout le tractus digestif, de la bouche à l’anus, et suppose un des principaux effets secondaires de la chimiothérapie, de la radiothérapie et des greffes de la moelle osseuse. Ce problème complique énormément le traitement du cancer vu que, dans de nombreux cas, les patients doivent entrer à l’hôpital, qu’il faut utiliser des sondes nasogastriques et, ce qui est plus grave, interrompre le traitement radiothérapique contre le cancer. Elle peut parfois être mortelle.

Radiothérapie et mucosite

On estime que 40% des patients qui reçoivent ces traitements, et jusqu’à 76% des patients greffés de la moelle osseuse développent une mucosite. Chez les patients avec un cancer de la tête et du cou, 97% développent un certain degré de cette maladie, et 100% ceux soumis à radiothérapie fractionnée pendant un temps prolongé.

Il n’existe actuellement aucun traitement effectif pour la mucosite, de sorte que le produit mis au point à l’Université de Grenade présente un énorme intérêt pour la médecine et pour l’industrie pharmaceutique, vu qu’il pourrait améliorer énormément la qualité de vie des patients de cancer.Le composé breveté, résultat de la recherche que l’UGR mène depuis plus de vingt ans sur les propriétés de la mélatonine, a démontré que dans la mucosite se produit un dégât mitochondrial. « La mélatonine améliore la réaction inflammatoire et protège la mitochondrie, de sorte que nous pensons qu’il pourrait être utile contre la mucosite », a souligné Germaine Escames Rosa, principale auteure de ce travail.

Le succès du traitement mené à bien à l’Université de Grenade provient du type de gel utilisé pour la formulation pharmaceutique et de la concentration de mélatonine. « L’application de ce gel de mélatonine à une concentration spécifique imprègne les muqueuses et inverse le dégât mitochondrial, empêchant dans 100% des cas l’apparition de mucosite ». Tout autre type d’application de mélatonine, ainsi que d’autres concentrations différentes n’auraient pas le même effet.

Brevet national

Ce produit a déjà été breveté au niveau national à travers le Bureau de Transfert de Résultats de Recherche de l’Université de Grenade. Un brevet international a également été sollicité.

Actuellement, une entreprise est en train de réaliser des épreuves microbiologiques et de stabilité afin de solliciter le registre comme produit sanitaire, de sorte que les chercheurs en sont à l’étape préalable à la commercialisation. Les études réalisées pour la fabrication de ce gel ont été financées par le CEI Biotic de Grenade, ainsi que par le Ministère de l’économie et de la Compétitivité.

En bas de photos :

Photo 1 : Dans la langue de la souris de contrôle nous observons les mitochondries sous leur forme allongée typique avec les crêtes dans leur intérieur. Chez la souris irradiée, les mitochondries sont cassées, sans crêtes et présentent de grandes vacuoles, tandis que chez les souris irradiées et traitées avec le gel de mélatonine, on n’observe aucun type de dégât mitochondrial. Les mitochondries sont tout à fait normales.

Escamez

Photo 2 : La chercheuse de l’Université de Grenade Germaine Escames Rosa.

raton radiación

Photo 3 : Souris soumise à irradiation (radiothérapie).

Contact : Germaine Escames Rosa. Centre de Recherche Biomédicale de l’Unuversité de Grenade. Tél. : 958 241000, Ext. 20197 ; courriel : gescames@ugr.es


San Valentín inspira muchas cosas… y también el odio

Una educadora y una psicoanalista dicen que la omnipotencia del amor genera una serie de expectativas y comportamientos relacionados con un verdadero malestar, frustración o inseguridad emocionales.

 

MADRID (EFE) — El Día de los Enamorados inspira a los profesionales de la gastronomía, a los floristas, a los diseñadores de moda, a los fabricantes de dulces y peluches, e incluso el «odio a San Valentín».
Así se titula un taller sobre dependencias emocionales organizado por un centro de orientación juvenil de la Universidad de Granada (sur de España) y que está dedicado a fomentar las relaciones afectivas saludables y acabar con mitos sobre el amor romántico.
Cuando medio mundo celebra, de una u otra manera, el ya tradicional Día de los Enamorados, esta particular iniciativa supone una auténtica declaración de guerra a San Valentín, a Cupido.
La psicóloga Mónica Peralta y la educadora Maribel Casado, que son además sexólogas y que coordinan las actividades de dicho Centro Juvenil, explicaron que no se trata de romper con todo lo que tenga que ver con los sentimientos, sino con un concepto de amor disfuncional o insano.
Ese «odio» es en realidad un rechazo a las relaciones que limitan, empobrecen y que generan algún tipo de malestar, una ruptura con los mitos sobre el amor romántico, señalan.
El amor verdadero o la omnipotencia del amor, genera –según estas expertas– una serie de expectativas y comportamientos en un gran número de personas relacionados con un verdadero malestar, frustración o inseguridad emocionales.
Pero lo cierto es que para muchos el Día de San Valentín tiene el sabor dulce de los bombones que se regalan los amantes como muestra de su amor y el color rojo, como el corazón que palpita de amor.
Desde su obrador de Madrid, la repostera Isabel Maestre, Premio Nacional de la Gastronomía, preparó este año una serie especial de minitortas para San Valentín: magdalenas «para dos», con la manzana como ingrediente principal.
A parte del sabor, lo que importa este día es el componente visual, reconoció Maestre, quien afirma que «las minitortas son muy vistosas» y producen en quien las recibe una inmediata reacción de alegría y felicidad.

La moda apuesta al rojo.
Como si de una partida de póquer se tratara, el rojo, con cierto descaro y sin pudor alguno, apuesta fuerte y se instala en el armario femenino con la intención de vestir a la mujer con amor y pasión y así, de paso, celebrar el Día de los Enamorados.
Esta temporada, el rojo brilla con fuerza y luz propia y se convierte en el protagonista de la noche. Son muchos los creadores que proponen vestirse de rojo pasión, tono perfecto para las rubias de piel blanca, aunque las pelirrojas y las morochas también pueden elegirlo: siempre es favorecedor.
«A priori, muchas mujeres lo evitan. Prefieren no llamar la atención y optar por un tono menos llamativo», explicó el diseñador argentino Roberto Torretta, quien dijo que «el rojo es un tono que transmite seguridad, además de inspirar confianza en quien lo lleva».
Al veterano diseñador Elio Berhanyer también le gusta el rojo, pigmento al que recurrió en muchas ocasiones para crear vestidos de alta costura.
«El rojo favorece, resulta atractivo», dice el diseñador, quien recuerda un vestido rojo de gasa con finos tirantes y un rosetón de pedrería que realizó en un luminoso rojo.
Color cálido, asociado con el sol, el rojo simboliza el poder, la fuerza, el amor y la pasión. Es un tono que se asocia con la vitalidad y la ambición, además de aportar confianza en uno mismo, coraje y actitud optimista ante la vida.
Ligado al principio de la vida, este atractivo pigmento también expresa sensualidad, osadía, virilidad, erotismo, sexualidad y energía.
En algunas culturas, este color denota pureza, alegría y celebración. Por ejemplo, en la cultura china simboliza la prosperidad.
Contiene tanta energía y carga erótica que sólo las más valientes se atreven con él, entre ellas las «celebrities» y actrices Jennifer Lawrence, Michelle Williams, Jane Seymour, Emma Stone o Natalie Portman, quienes últimamente lo eligieron para pisar alfombras de prestigio.
Rojos han sido algunos de los vestidos más icónicos de la gran pantalla. Entre ellos, el fabuloso modelo largo de terciopelo adornado con plumas que exhibió Vivien Leigh en Lo que el viento se llevó o el diseño con escote palabra de honor que lució Audrey Hepburn en la película Una cara con ángel.
Muy copiado fue el rojo de lentejuelas con atrevida apertura lateral que vistió Marylin Monroe en Los caballeros las prefieren rubias.
Atractiva y espléndida apareció Julia Roberts enfundada en uno de noche rojo, realzado con guantes blancos hasta el codo, para acudir al Teatro de la Opera, junto a Richard Gere, en Mujer bonita. (EFE)

GRISADOS

Así se suma Nueva York (PONER CON LA FOTO «CORAZON»)

Una gran escultura en forma de corazón realizada con madera de los paseos marítimos destruidos por el huracán Sandy celebra San Valentín en la icónica plaza neoyorquina de Times Square, que hoy acogerá como cada año una «ceremonia» de renovación de votos.
«Este corazón es un marco para los enamorados y un gran gesto cívico para conmemorar el enorme apoyo y toda la ayuda ofrecida tras el paso de Sandy «, aseguró en un comunicado el comisario de arquitectura del Museo de Arte Moderno de Nueva York (Moma), Barry Bergdoll, uno de los jueces que eligió la escultura. (EFE)

Foto: La Vanguardia

Mi novio George (PONER CON LA FOTO «NOVIO»)

El actor y eterno galán George Clooney corteja desde ayer a las londinenses en Carnaby Street, donde se colocó su figura de cera para que sus admiradoras puedan posar con su novio ideal, en un especial regalo de San Valentín.
El museo de cera Madame Tussauds decidió sacar a la calle la figura del actor para animar los preparativos del 14 de febrero y desde ayer Clooney aguarda, sentado en un diván y con una rosa roja en la mano, a quien quiera acompañarlo.
Por la famosa calle de Carnaby Street, donde el Clooney de cera posa igual de elegante que el original, ya pasaron las primeras entusiastas, que no dudaron en inmortalizar el momento y cumplir su deseo de estar junto a su ídolo. (EFE)

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San Valentín inspira muchas cosas… y también el odio

Una educadora y una psicoanalista dicen que la omnipotencia del amor genera una serie de expectativas y comportamientos relacionados con un verdadero malestar, frustración o inseguridad emocionales.

 

MADRID (EFE) — El Día de los Enamorados inspira a los profesionales de la gastronomía, a los floristas, a los diseñadores de moda, a los fabricantes de dulces y peluches, e incluso el «odio a San Valentín».
Así se titula un taller sobre dependencias emocionales organizado por un centro de orientación juvenil de la Universidad de Granada (sur de España) y que está dedicado a fomentar las relaciones afectivas saludables y acabar con mitos sobre el amor romántico.
Cuando medio mundo celebra, de una u otra manera, el ya tradicional Día de los Enamorados, esta particular iniciativa supone una auténtica declaración de guerra a San Valentín, a Cupido.
La psicóloga Mónica Peralta y la educadora Maribel Casado, que son además sexólogas y que coordinan las actividades de dicho Centro Juvenil, explicaron que no se trata de romper con todo lo que tenga que ver con los sentimientos, sino con un concepto de amor disfuncional o insano.
Ese «odio» es en realidad un rechazo a las relaciones que limitan, empobrecen y que generan algún tipo de malestar, una ruptura con los mitos sobre el amor romántico, señalan.
El amor verdadero o la omnipotencia del amor, genera –según estas expertas– una serie de expectativas y comportamientos en un gran número de personas relacionados con un verdadero malestar, frustración o inseguridad emocionales.
Pero lo cierto es que para muchos el Día de San Valentín tiene el sabor dulce de los bombones que se regalan los amantes como muestra de su amor y el color rojo, como el corazón que palpita de amor.
Desde su obrador de Madrid, la repostera Isabel Maestre, Premio Nacional de la Gastronomía, preparó este año una serie especial de minitortas para San Valentín: magdalenas «para dos», con la manzana como ingrediente principal.
A parte del sabor, lo que importa este día es el componente visual, reconoció Maestre, quien afirma que «las minitortas son muy vistosas» y producen en quien las recibe una inmediata reacción de alegría y felicidad.

La moda apuesta al rojo.
Como si de una partida de póquer se tratara, el rojo, con cierto descaro y sin pudor alguno, apuesta fuerte y se instala en el armario femenino con la intención de vestir a la mujer con amor y pasión y así, de paso, celebrar el Día de los Enamorados.
Esta temporada, el rojo brilla con fuerza y luz propia y se convierte en el protagonista de la noche. Son muchos los creadores que proponen vestirse de rojo pasión, tono perfecto para las rubias de piel blanca, aunque las pelirrojas y las morochas también pueden elegirlo: siempre es favorecedor.
«A priori, muchas mujeres lo evitan. Prefieren no llamar la atención y optar por un tono menos llamativo», explicó el diseñador argentino Roberto Torretta, quien dijo que «el rojo es un tono que transmite seguridad, además de inspirar confianza en quien lo lleva».
Al veterano diseñador Elio Berhanyer también le gusta el rojo, pigmento al que recurrió en muchas ocasiones para crear vestidos de alta costura.
«El rojo favorece, resulta atractivo», dice el diseñador, quien recuerda un vestido rojo de gasa con finos tirantes y un rosetón de pedrería que realizó en un luminoso rojo.
Color cálido, asociado con el sol, el rojo simboliza el poder, la fuerza, el amor y la pasión. Es un tono que se asocia con la vitalidad y la ambición, además de aportar confianza en uno mismo, coraje y actitud optimista ante la vida.
Ligado al principio de la vida, este atractivo pigmento también expresa sensualidad, osadía, virilidad, erotismo, sexualidad y energía.
En algunas culturas, este color denota pureza, alegría y celebración. Por ejemplo, en la cultura china simboliza la prosperidad.
Contiene tanta energía y carga erótica que sólo las más valientes se atreven con él, entre ellas las «celebrities» y actrices Jennifer Lawrence, Michelle Williams, Jane Seymour, Emma Stone o Natalie Portman, quienes últimamente lo eligieron para pisar alfombras de prestigio.
Rojos han sido algunos de los vestidos más icónicos de la gran pantalla. Entre ellos, el fabuloso modelo largo de terciopelo adornado con plumas que exhibió Vivien Leigh en Lo que el viento se llevó o el diseño con escote palabra de honor que lució Audrey Hepburn en la película Una cara con ángel.
Muy copiado fue el rojo de lentejuelas con atrevida apertura lateral que vistió Marylin Monroe en Los caballeros las prefieren rubias.
Atractiva y espléndida apareció Julia Roberts enfundada en uno de noche rojo, realzado con guantes blancos hasta el codo, para acudir al Teatro de la Opera, junto a Richard Gere, en Mujer bonita. (EFE)

GRISADOS

Así se suma Nueva York (PONER CON LA FOTO «CORAZON»)

Una gran escultura en forma de corazón realizada con madera de los paseos marítimos destruidos por el huracán Sandy celebra San Valentín en la icónica plaza neoyorquina de Times Square, que hoy acogerá como cada año una «ceremonia» de renovación de votos.
«Este corazón es un marco para los enamorados y un gran gesto cívico para conmemorar el enorme apoyo y toda la ayuda ofrecida tras el paso de Sandy «, aseguró en un comunicado el comisario de arquitectura del Museo de Arte Moderno de Nueva York (Moma), Barry Bergdoll, uno de los jueces que eligió la escultura. (EFE)

Foto: La Vanguardia

Mi novio George (PONER CON LA FOTO «NOVIO»)

El actor y eterno galán George Clooney corteja desde ayer a las londinenses en Carnaby Street, donde se colocó su figura de cera para que sus admiradoras puedan posar con su novio ideal, en un especial regalo de San Valentín.
El museo de cera Madame Tussauds decidió sacar a la calle la figura del actor para animar los preparativos del 14 de febrero y desde ayer Clooney aguarda, sentado en un diván y con una rosa roja en la mano, a quien quiera acompañarlo.
Por la famosa calle de Carnaby Street, donde el Clooney de cera posa igual de elegante que el original, ya pasaron las primeras entusiastas, que no dudaron en inmortalizar el momento y cumplir su deseo de estar junto a su ídolo. (EFE)

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San Valentín inspira muchas cosas… y también el odio

Una educadora y una psicoanalista dicen que la omnipotencia del amor genera una serie de expectativas y comportamientos relacionados con un verdadero malestar, frustración o inseguridad emocionales.

 

MADRID (EFE) — El Día de los Enamorados inspira a los profesionales de la gastronomía, a los floristas, a los diseñadores de moda, a los fabricantes de dulces y peluches, e incluso el «odio a San Valentín».
Así se titula un taller sobre dependencias emocionales organizado por un centro de orientación juvenil de la Universidad de Granada (sur de España) y que está dedicado a fomentar las relaciones afectivas saludables y acabar con mitos sobre el amor romántico.
Cuando medio mundo celebra, de una u otra manera, el ya tradicional Día de los Enamorados, esta particular iniciativa supone una auténtica declaración de guerra a San Valentín, a Cupido.
La psicóloga Mónica Peralta y la educadora Maribel Casado, que son además sexólogas y que coordinan las actividades de dicho Centro Juvenil, explicaron que no se trata de romper con todo lo que tenga que ver con los sentimientos, sino con un concepto de amor disfuncional o insano.
Ese «odio» es en realidad un rechazo a las relaciones que limitan, empobrecen y que generan algún tipo de malestar, una ruptura con los mitos sobre el amor romántico, señalan.
El amor verdadero o la omnipotencia del amor, genera –según estas expertas– una serie de expectativas y comportamientos en un gran número de personas relacionados con un verdadero malestar, frustración o inseguridad emocionales.
Pero lo cierto es que para muchos el Día de San Valentín tiene el sabor dulce de los bombones que se regalan los amantes como muestra de su amor y el color rojo, como el corazón que palpita de amor.
Desde su obrador de Madrid, la repostera Isabel Maestre, Premio Nacional de la Gastronomía, preparó este año una serie especial de minitortas para San Valentín: magdalenas «para dos», con la manzana como ingrediente principal.
A parte del sabor, lo que importa este día es el componente visual, reconoció Maestre, quien afirma que «las minitortas son muy vistosas» y producen en quien las recibe una inmediata reacción de alegría y felicidad.

La moda apuesta al rojo.
Como si de una partida de póquer se tratara, el rojo, con cierto descaro y sin pudor alguno, apuesta fuerte y se instala en el armario femenino con la intención de vestir a la mujer con amor y pasión y así, de paso, celebrar el Día de los Enamorados.
Esta temporada, el rojo brilla con fuerza y luz propia y se convierte en el protagonista de la noche. Son muchos los creadores que proponen vestirse de rojo pasión, tono perfecto para las rubias de piel blanca, aunque las pelirrojas y las morochas también pueden elegirlo: siempre es favorecedor.
«A priori, muchas mujeres lo evitan. Prefieren no llamar la atención y optar por un tono menos llamativo», explicó el diseñador argentino Roberto Torretta, quien dijo que «el rojo es un tono que transmite seguridad, además de inspirar confianza en quien lo lleva».
Al veterano diseñador Elio Berhanyer también le gusta el rojo, pigmento al que recurrió en muchas ocasiones para crear vestidos de alta costura.
«El rojo favorece, resulta atractivo», dice el diseñador, quien recuerda un vestido rojo de gasa con finos tirantes y un rosetón de pedrería que realizó en un luminoso rojo.
Color cálido, asociado con el sol, el rojo simboliza el poder, la fuerza, el amor y la pasión. Es un tono que se asocia con la vitalidad y la ambición, además de aportar confianza en uno mismo, coraje y actitud optimista ante la vida.
Ligado al principio de la vida, este atractivo pigmento también expresa sensualidad, osadía, virilidad, erotismo, sexualidad y energía.
En algunas culturas, este color denota pureza, alegría y celebración. Por ejemplo, en la cultura china simboliza la prosperidad.
Contiene tanta energía y carga erótica que sólo las más valientes se atreven con él, entre ellas las «celebrities» y actrices Jennifer Lawrence, Michelle Williams, Jane Seymour, Emma Stone o Natalie Portman, quienes últimamente lo eligieron para pisar alfombras de prestigio.
Rojos han sido algunos de los vestidos más icónicos de la gran pantalla. Entre ellos, el fabuloso modelo largo de terciopelo adornado con plumas que exhibió Vivien Leigh en Lo que el viento se llevó o el diseño con escote palabra de honor que lució Audrey Hepburn en la película Una cara con ángel.
Muy copiado fue el rojo de lentejuelas con atrevida apertura lateral que vistió Marylin Monroe en Los caballeros las prefieren rubias.
Atractiva y espléndida apareció Julia Roberts enfundada en uno de noche rojo, realzado con guantes blancos hasta el codo, para acudir al Teatro de la Opera, junto a Richard Gere, en Mujer bonita. (EFE)

GRISADOS

Así se suma Nueva York (PONER CON LA FOTO «CORAZON»)

Una gran escultura en forma de corazón realizada con madera de los paseos marítimos destruidos por el huracán Sandy celebra San Valentín en la icónica plaza neoyorquina de Times Square, que hoy acogerá como cada año una «ceremonia» de renovación de votos.
«Este corazón es un marco para los enamorados y un gran gesto cívico para conmemorar el enorme apoyo y toda la ayuda ofrecida tras el paso de Sandy «, aseguró en un comunicado el comisario de arquitectura del Museo de Arte Moderno de Nueva York (Moma), Barry Bergdoll, uno de los jueces que eligió la escultura. (EFE)

Foto: La Vanguardia

Mi novio George (PONER CON LA FOTO «NOVIO»)

El actor y eterno galán George Clooney corteja desde ayer a las londinenses en Carnaby Street, donde se colocó su figura de cera para que sus admiradoras puedan posar con su novio ideal, en un especial regalo de San Valentín.
El museo de cera Madame Tussauds decidió sacar a la calle la figura del actor para animar los preparativos del 14 de febrero y desde ayer Clooney aguarda, sentado en un diván y con una rosa roja en la mano, a quien quiera acompañarlo.
Por la famosa calle de Carnaby Street, donde el Clooney de cera posa igual de elegante que el original, ya pasaron las primeras entusiastas, que no dudaron en inmortalizar el momento y cumplir su deseo de estar junto a su ídolo. (EFE)

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«Odio a San Valentín»

«Odio a San Valentín». Así de rotundo es el título con el que un centro de orientación juvenil de la Universidad de Granada ha denominado un taller sobre dependencias emocionales, que organiza estos días para fomentar relaciones afectivas saludables y acabar con mitos sobre el amor romántico. La iniciativa es una auténtica declaración de guerra a San Valentín, a Cupido y otras muchas ideas asociadas a la supuesta necesidad de tener pareja.

Para la psicóloga Mónica Peralta y la educadora Maribel Casado, también sexólogas que coordinan las actividades del Centro Juvenil de Orientación para la Salud, no se trata de romper con todo lo que tenga que ver con los sentimientos, sino con un concepto de amor disfuncional o insano. Ese «odio» que preconizan a San Valentín significa, en realidad, un rechazo a las relaciones que limitan, empobrecen y que generan algún tipo de malestar, una ruptura con los mitos sobre el amor romántico. Sobre todo cuando éste se basa en ideas preconcebidas como que tener pareja se antoje como el proyecto prioritario de una persona o la única manera de dar sentido a su vida.

Esa idea, asociada a otras como el amor verdadero o la omnipotencia del amor, genera -según estas expertas- una serie de expectativas y comportamientos en un gran número de personas relacionados con un verdadero malestar, frustración o inseguridad emocionales. En su labor, se han encontrado con personas que buscan pareja sin descanso, que mantienen relaciones disfuncionales, que no son capaces de dejar a su pareja porque siempre la han tenido o que no superan rupturas, y han explicado que en ocasiones la batalla no resulta fácil porque las flechas de Cupido se mezclan con otros muchos mensajes interesados.

A medida que se ha ido el día de San Valentín, que se celebra hoy, todos los mensajes que Peralta y Casado han encontrado están relacionados con tener pareja, no tanto como sea ésta, si es sana o una fuente de enriquecimiento; lo importante para muchas personas parece ser tener pareja a cualquier precio, comentan. De hecho, esos anuncios son también aprovechados por numerosos centros comerciales y empresas que, bajo la excusa del amor, pretenden aumentar sus ventas o el consumo de sus productos.

Por ello, entre los objetivos del taller, que tendrá una duración de dos días -desde el día 15 al próximo lunes 18, en horario de mañana-, están conocer y analizar los conceptos reales de amor y enamoramiento, detectar mitos relacionados con el amor romántico, prevenir conductas de dependencia e identificar las bases de relaciones sanas y saludables.

De momento, la buena acogida de la convocatoria de esta iniciativa gratuita es más que evidente porque ha tenido una gran demanda y ya tiene todas sus plazas cubiertas, por lo que se prevé volver a organizar una actividad similar próximamente.

En cualquier caso, habrá que tener cautela porque, como parece demostrarse, las flechas de Cupido unas veces enamoran, otras hacen daño y quién sabe si este dios alado con arco, aliado con el mismísimo San Valentín, es el próximo en perder su ya ancestral empleo.
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«Odio a San Valentín»

«Odio a San Valentín». Así de rotundo es el título con el que un centro de orientación juvenil de la Universidad de Granada ha denominado un taller sobre dependencias emocionales, que organiza estos días para fomentar relaciones afectivas saludables y acabar con mitos sobre el amor romántico. La iniciativa es una auténtica declaración de guerra a San Valentín, a Cupido y otras muchas ideas asociadas a la supuesta necesidad de tener pareja.

Para la psicóloga Mónica Peralta y la educadora Maribel Casado, también sexólogas que coordinan las actividades del Centro Juvenil de Orientación para la Salud, no se trata de romper con todo lo que tenga que ver con los sentimientos, sino con un concepto de amor disfuncional o insano. Ese «odio» que preconizan a San Valentín significa, en realidad, un rechazo a las relaciones que limitan, empobrecen y que generan algún tipo de malestar, una ruptura con los mitos sobre el amor romántico. Sobre todo cuando éste se basa en ideas preconcebidas como que tener pareja se antoje como el proyecto prioritario de una persona o la única manera de dar sentido a su vida.

Esa idea, asociada a otras como el amor verdadero o la omnipotencia del amor, genera -según estas expertas- una serie de expectativas y comportamientos en un gran número de personas relacionados con un verdadero malestar, frustración o inseguridad emocionales. En su labor, se han encontrado con personas que buscan pareja sin descanso, que mantienen relaciones disfuncionales, que no son capaces de dejar a su pareja porque siempre la han tenido o que no superan rupturas, y han explicado que en ocasiones la batalla no resulta fácil porque las flechas de Cupido se mezclan con otros muchos mensajes interesados.

A medida que se ha ido el día de San Valentín, que se celebra hoy, todos los mensajes que Peralta y Casado han encontrado están relacionados con tener pareja, no tanto como sea ésta, si es sana o una fuente de enriquecimiento; lo importante para muchas personas parece ser tener pareja a cualquier precio, comentan. De hecho, esos anuncios son también aprovechados por numerosos centros comerciales y empresas que, bajo la excusa del amor, pretenden aumentar sus ventas o el consumo de sus productos.

Por ello, entre los objetivos del taller, que tendrá una duración de dos días -desde el día 15 al próximo lunes 18, en horario de mañana-, están conocer y analizar los conceptos reales de amor y enamoramiento, detectar mitos relacionados con el amor romántico, prevenir conductas de dependencia e identificar las bases de relaciones sanas y saludables.

De momento, la buena acogida de la convocatoria de esta iniciativa gratuita es más que evidente porque ha tenido una gran demanda y ya tiene todas sus plazas cubiertas, por lo que se prevé volver a organizar una actividad similar próximamente.

En cualquier caso, habrá que tener cautela porque, como parece demostrarse, las flechas de Cupido unas veces enamoran, otras hacen daño y quién sabe si este dios alado con arco, aliado con el mismísimo San Valentín, es el próximo en perder su ya ancestral empleo.
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Spanish Scientists develop a Pioneering Technique to Effectively Treat Mucositis

  • Mucositis is one of the most frequent side effects of chemotherapy and radiotherapy in cancer patients and currently cannot be treated.
  • Investigators at the University of Granada have patented a melatonin gel that is 100% effective against this inflammatory reaction.

Scientists from the University of Granada have patented a compound made from melatonin that is effective in the treatment and prevention of mucositis, one of the most unpleasant side effects of chemotherapy and radiotherapy in cancer patients. It is an easily applied gel that «is believed to be the first product developed anywhere in the world to combat mucositis», according to investigators from the Biomedical Research Centre in Granada. There is currently no treatment for this problem because its physiopathology is still not understood.

Mucositis is an inflammatory reaction that affects the mucous membranes throughout the digestive tract from the mouth to the anus, and is one of the principle adverse effects resulting from chemotherapy, radiotherapy and bone marrow transplants. This problem severely complicates the treatment of cancer as patients frequently have to be admitted to hospital, naso-gastric tubes and opiates must be used and, most seriously, radiotherapy treatment against the cancer is interrupted. On some occasions, the results can be fatal.

Radiotherapy and Mucositis.

It is estimated that 40% of patients who receive radiotherapy and up to 70% of bone marrow transplant patients will develop mucositis. In patients with cancer of the head and neck, 97% develop this condition to some degree, while 100% of those who receive staged radiotherapy over a prolonged period also suffer from mucositis.
At the moment no effective treatment for mucositis exists, which is why the product developed at the University of Granada is of such enormous interest to the medical world and the pharmaceutical industry, given that it could greatly enhance the quality of life of cancer patients.

This patented compound is the fruit of more than twenty years of research into the properties of melatonin at the University of Granada, which has shown that mitochondrial damage is present in cases of mucositis. «Melatonin alleviates the inflammatory reaction and protects the mitochondria,´ says Germaine Escames Rosa, the principal author of the study, «and for this reason we think it could be useful for treating mucositis.»

The success of the treatment developed at the University of Granada is due to the type of gel used in the pharmaceutical formulation, and the amount of melatonin used. «The oral application of this melatonin gel at a specific concentration, impregnates the mucous membranes and reverses the mitochondrial damage, preventing the appearance of mucositis in 100% of cases.» Any other type of melatonin application, such as different concentrations, would not have the same effect.

National Patent

Via the University of Granada Research Results Transfer Office, the product has already been patented at national level, and an international patent has also been applied for.
In addition, the microbiological and stability tests that are required in order to apply for registration as a health product are currently being undertaken, while the research team are involved in preparing for its launch as a commercial product. The studies undertaken for the manufacture of this gel have been financed by CEI BioTic of Granada and the Ministry of Economy and Competitiveness.

Photograph 1: On the tongue of the control rat, we can observe the elongated healthy mitochondria with crests in their interior. In the irradiated rat, the mitochondria are broken, do not have crests and contain large vacuoles, while in the irradiated rat treated with the melatonin gel, the mitochondria are completely normal and show no signs of damage.

profa escames

Photograph 2: Germaine Escames Rosa, researcher from the University of Granada.

radiation

Photograph 3: Rat subjected to irradiation (radiotherapy).

Contacto: Germaine Escames Rosa. Centro de Investigación Biomédica de la Universidad de Granada. Teléfono: 958241000 Ext. 20197. Correo electrónico: gescames@ugr.es


Spanish Scientists develop a Pioneering Technique to Effectively Treat Mucositis

  • Mucositis is one of the most frequent side effects of chemotherapy and radiotherapy in cancer patients and currently cannot be treated.
  • Investigators at the University of Granada have patented a melatonin gel that is 100% effective against this inflammatory reaction.

Scientists from the University of Granada have patented a compound made from melatonin that is effective in the treatment and prevention of mucositis, one of the most unpleasant side effects of chemotherapy and radiotherapy in cancer patients. It is an easily applied gel that «is believed to be the first product developed anywhere in the world to combat mucositis», according to investigators from the Biomedical Research Centre in Granada. There is currently no treatment for this problem because its physiopathology is still not understood.

Mucositis is an inflammatory reaction that affects the mucous membranes throughout the digestive tract from the mouth to the anus, and is one of the principle adverse effects resulting from chemotherapy, radiotherapy and bone marrow transplants. This problem severely complicates the treatment of cancer as patients frequently have to be admitted to hospital, naso-gastric tubes and opiates must be used and, most seriously, radiotherapy treatment against the cancer is interrupted. On some occasions, the results can be fatal.

Radiotherapy and Mucositis.

It is estimated that 40% of patients who receive radiotherapy and up to 70% of bone marrow transplant patients will develop mucositis. In patients with cancer of the head and neck, 97% develop this condition to some degree, while 100% of those who receive staged radiotherapy over a prolonged period also suffer from mucositis.
At the moment no effective treatment for mucositis exists, which is why the product developed at the University of Granada is of such enormous interest to the medical world and the pharmaceutical industry, given that it could greatly enhance the quality of life of cancer patients.

This patented compound is the fruit of more than twenty years of research into the properties of melatonin at the University of Granada, which has shown that mitochondrial damage is present in cases of mucositis. «Melatonin alleviates the inflammatory reaction and protects the mitochondria,´ says Germaine Escames Rosa, the principal author of the study, «and for this reason we think it could be useful for treating mucositis.»

The success of the treatment developed at the University of Granada is due to the type of gel used in the pharmaceutical formulation, and the amount of melatonin used. «The oral application of this melatonin gel at a specific concentration, impregnates the mucous membranes and reverses the mitochondrial damage, preventing the appearance of mucositis in 100% of cases.» Any other type of melatonin application, such as different concentrations, would not have the same effect.

National Patent

Via the University of Granada Research Results Transfer Office, the product has already been patented at national level, and an international patent has also been applied for.
In addition, the microbiological and stability tests that are required in order to apply for registration as a health product are currently being undertaken, while the research team are involved in preparing for its launch as a commercial product. The studies undertaken for the manufacture of this gel have been financed by CEI BioTic of Granada and the Ministry of Economy and Competitiveness.

Photograph 1: On the tongue of the control rat, we can observe the elongated healthy mitochondria with crests in their interior. In the irradiated rat, the mitochondria are broken, do not have crests and contain large vacuoles, while in the irradiated rat treated with the melatonin gel, the mitochondria are completely normal and show no signs of damage.

profa escames

Photograph 2: Germaine Escames Rosa, researcher from the University of Granada.

radiation

Photograph 3: Rat subjected to irradiation (radiotherapy).

Contacto: Germaine Escames Rosa. Centro de Investigación Biomédica de la Universidad de Granada. Teléfono: 958241000 Ext. 20197. Correo electrónico: gescames@ugr.es


‘Workshop’ sobre los conocimientos actuales de la vitamina D

Expertos participarán este jueves, día 14 de febrero, en Santiago de Compostela en el ‘workshop’ titulado ‘Una revisión de los conocimientos actuales sobre la vitamina D’.

Expertos relacionan bajos niveles de vitamina D con una mayor incidencia de enfermedades como algunos tipos de cáncer, la enfermedad inflamatoria intestinal, la esclerosis múltiple, la hipertensión, la diabetes o la artritis reumatoide, según explica la organización del evento.

Con el objetivo de llevar a cabo una actualización sobre la materia, expertos nacionales e internacionales se darán cita en Santiago de Compostela en este ‘workshop’, organizado por la Fundación Iberoamericana de Nutrición (Finut), con la colaboración de Puleva.

La cita está dirigida por el profesor Ángel Gil, catedrático de Bioquímica y Biología Molecular II de la Universidad de Granada y los profesores Rosaura Leis, profesora titular de Pediatría, y Rafael Tojo, catedrático de Pediatría de la Universidade de Santiago de Compostela.

El acto cuenta con la participación de los doctores Steven A. Abrams, Manuel Caamaño, José Castillo, Ibrahim Elmadfa, Juan José Gómez Reino, Rafael López, Luis Moreno, Antonio Mouriño y Román Pérez. Tendrá lugar en el Aula Magna Roberto Novoa Santos del Hospital Clínico Universitario de Santiago.

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‘Workshop’ sobre los conocimientos actuales de la vitamina D

Expertos participarán este jueves, día 14 de febrero, en Santiago de Compostela en el ‘workshop’ titulado ‘Una revisión de los conocimientos actuales sobre la vitamina D’.

Expertos relacionan bajos niveles de vitamina D con una mayor incidencia de enfermedades como algunos tipos de cáncer, la enfermedad inflamatoria intestinal, la esclerosis múltiple, la hipertensión, la diabetes o la artritis reumatoide, según explica la organización del evento.

Con el objetivo de llevar a cabo una actualización sobre la materia, expertos nacionales e internacionales se darán cita en Santiago de Compostela en este ‘workshop’, organizado por la Fundación Iberoamericana de Nutrición (Finut), con la colaboración de Puleva.

La cita está dirigida por el profesor Ángel Gil, catedrático de Bioquímica y Biología Molecular II de la Universidad de Granada y los profesores Rosaura Leis, profesora titular de Pediatría, y Rafael Tojo, catedrático de Pediatría de la Universidade de Santiago de Compostela.

El acto cuenta con la participación de los doctores Steven A. Abrams, Manuel Caamaño, José Castillo, Ibrahim Elmadfa, Juan José Gómez Reino, Rafael López, Luis Moreno, Antonio Mouriño y Román Pérez. Tendrá lugar en el Aula Magna Roberto Novoa Santos del Hospital Clínico Universitario de Santiago.

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La UGR, primera de España en liberar un programa

La Universidad de Granada, a través de la Oficina de Software Libre y la Delegación del Rector para las Tecnologías de la Información y la Comunicación y la Oficina de Transferencia de Resultados de Investigación, ha sido la primera universidad de España en liberar una aplicación siguiendo todos los trámites establecidos en la Ley de Propiedad Intelectual.

En esta ley se establece que parte de la propiedad intelectual de programas realizados por empleados de la universidad corresponden a la misma, por lo que cualquier acto de cesión de propiedad (como una venta o, en este caso, una liberación) tiene que ser aprobado por parte del representante legal del rector en estos asuntos.

Tras el establecimiento por parte de la OTRI y la OSL de un procedimiento de liberación, el primer programa liberado se denomina MODO Optimization Package y se puede descargar de https://forja.rediris.es/projects/modooptim. Se trata de un entorno que permite hallar soluciones de buena calidad en problemas en los que el entorno cambia continuamente, es decir, problemas de optimización dinámica. El programa ha sido realizado por Ignacio José García del Amo, Juan González, Antonio David Masegosa, David Alejandro Pelta y Carlos Cruz del Grupo de Investigación en Modelos de Decisión y Optimización (MODO) de la UGR, que dirige María Teresa Lamata.

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