Un patient sur quatre avec cancer du poumon en Andalousie devrait être en radiothérapie et ne le fait pas

  • Une étude révèle que les hôpitaux publics andalous utilisent la radiothérapie pour le traitement de cette maladie 25% de fois moins que le prescrivent les protocoles cliniques.
  • Les chercheurs avertissent que ce non-traitement peut être dû aussi bien à un certain déficit en équipement qu’aux préférences dans les pratiques des spécialistes.

Une étude menée à bien par des scientifiques de l’Université de Grenade et de l’Hôpital Virgen de las Nieves de Grenade a révélé que les hôpitaux publics andalous utilisent moins la radiothérapie dans le traitement de patients avec cancer du poumon de ce que le prescrivent les protocoles cliniques. Concrètement, ils l’emploient 25% fois moins de ce qu’ils devraient, ce qui se traduit, selon les chercheurs, en une estimation de plus de 3000 mois de « perte » en survivance pour l’ensemble des patients diagnostiqués de cancer du poumon à cause de ce « non-traitement ».

Pour mener à bien ce travail publié dans le dernier numéro de la revue Journal of Thoracic Oncology, les scientifiques ont révisé les dossiers cliniques et le traitement de tous les patients soumis à radiothérapie pour cancer du poumon en 2007 dans les 12 hôpitaux et en fonction du type d’hôpital, du patient, des caractéristiques du traitement, du type histologique et de l’état de la tumeur. Ce fait est très significatif vu que d’autres études similaires font référence à des enquêtes ou à des données provenant de registres agrégés.

Étude avec 3051 patients

Ainsi, des 3051 patients diagnostiqués de cancer du poumon, 610 furent traités par radiothérapie initiale avec un taux de radiation globale de 20%, alors que le taux de radiation recommandé d’après leurs dossiers cliniques eût été de 1383 patients. Ainsi, 773 patients de plus avec cancer du poumon (c’est-à-dire 25%) devraient avoir été traités avec radiothérapie et ne l’ont pas été.

Tel que l’explique le professeur de l’Université de Grenade José Expósito Hernández, la radiothérapie a « un rôle défini et clair dans le traitement du cancer du poumon, et la littérature scientifique nous permet d’établir le pourcentage de patients qui « doivent » la recevoir, en fonction de l’état d’avancement, du type histologique et d’autres considérations ». Les études menées à bien par le groupe du professeur canadien Mackillop, avec lequel ont travaillé les chercheurs de l’Université de Grenade, tiennent également compte de l’apport net en termes de mois de survivance que la radiothérapie peut apporter dans chaque situation clinique.

Dans cet article, les chercheurs ont analysé avec des tests de régression les variables dont peut dépendre cette différence entre les patients qui devraient faire l’objet d’une radiothérapie et ceux qui vraiment la reçoivent. « Cette variation peut aussi bien être due à un certain déficit en équipement (unités de radiothérapie et professionnels) qu’aux pratiques (préférences) des spécialistes », souligne M. Expósito Hernández.

Référence bibliographique :

Underuse of Radiotherapy in Lung Cancer Has Negative Consequences for Patients
Tovar, Isabel; Expósito, José; Jaén, Javier; Alonso, Enrique. Journal of Thoracic Oncology: January 2013 – Volume 8 – Issue 1 – p 62–67, doi: 10.1097/JTO.0b013e3182745640

Contact José Expósito Hernández. Département de Radiologie et de Médecine Physique de l’Université de Grenade. Tél. : 958 020 176; courriel: jose.exposito.sspa@juntadeandalucia.es


Un patient sur quatre avec cancer du poumon en Andalousie devrait être en radiothérapie et ne le fait pas

  • Une étude révèle que les hôpitaux publics andalous utilisent la radiothérapie pour le traitement de cette maladie 25% de fois moins que le prescrivent les protocoles cliniques.
  • Les chercheurs avertissent que ce non-traitement peut être dû aussi bien à un certain déficit en équipement qu’aux préférences dans les pratiques des spécialistes.

Une étude menée à bien par des scientifiques de l’Université de Grenade et de l’Hôpital Virgen de las Nieves de Grenade a révélé que les hôpitaux publics andalous utilisent moins la radiothérapie dans le traitement de patients avec cancer du poumon de ce que le prescrivent les protocoles cliniques. Concrètement, ils l’emploient 25% fois moins de ce qu’ils devraient, ce qui se traduit, selon les chercheurs, en une estimation de plus de 3000 mois de « perte » en survivance pour l’ensemble des patients diagnostiqués de cancer du poumon à cause de ce « non-traitement ».

Pour mener à bien ce travail publié dans le dernier numéro de la revue Journal of Thoracic Oncology, les scientifiques ont révisé les dossiers cliniques et le traitement de tous les patients soumis à radiothérapie pour cancer du poumon en 2007 dans les 12 hôpitaux et en fonction du type d’hôpital, du patient, des caractéristiques du traitement, du type histologique et de l’état de la tumeur. Ce fait est très significatif vu que d’autres études similaires font référence à des enquêtes ou à des données provenant de registres agrégés.

Étude avec 3051 patients

Ainsi, des 3051 patients diagnostiqués de cancer du poumon, 610 furent traités par radiothérapie initiale avec un taux de radiation globale de 20%, alors que le taux de radiation recommandé d’après leurs dossiers cliniques eût été de 1383 patients. Ainsi, 773 patients de plus avec cancer du poumon (c’est-à-dire 25%) devraient avoir été traités avec radiothérapie et ne l’ont pas été.

Tel que l’explique le professeur de l’Université de Grenade José Expósito Hernández, la radiothérapie a « un rôle défini et clair dans le traitement du cancer du poumon, et la littérature scientifique nous permet d’établir le pourcentage de patients qui « doivent » la recevoir, en fonction de l’état d’avancement, du type histologique et d’autres considérations ». Les études menées à bien par le groupe du professeur canadien Mackillop, avec lequel ont travaillé les chercheurs de l’Université de Grenade, tiennent également compte de l’apport net en termes de mois de survivance que la radiothérapie peut apporter dans chaque situation clinique.

Dans cet article, les chercheurs ont analysé avec des tests de régression les variables dont peut dépendre cette différence entre les patients qui devraient faire l’objet d’une radiothérapie et ceux qui vraiment la reçoivent. « Cette variation peut aussi bien être due à un certain déficit en équipement (unités de radiothérapie et professionnels) qu’aux pratiques (préférences) des spécialistes », souligne M. Expósito Hernández.

Référence bibliographique :

Underuse of Radiotherapy in Lung Cancer Has Negative Consequences for Patients
Tovar, Isabel; Expósito, José; Jaén, Javier; Alonso, Enrique. Journal of Thoracic Oncology: January 2013 – Volume 8 – Issue 1 – p 62–67, doi: 10.1097/JTO.0b013e3182745640

Contact José Expósito Hernández. Département de Radiologie et de Médecine Physique de l’Université de Grenade. Tél. : 958 020 176; courriel: jose.exposito.sspa@juntadeandalucia.es


Un patient sur quatre avec cancer du poumon en Andalousie devrait être en radiothérapie et ne le fait pas

  • Une étude révèle que les hôpitaux publics andalous utilisent la radiothérapie pour le traitement de cette maladie 25% de fois moins que le prescrivent les protocoles cliniques.
  • Les chercheurs avertissent que ce non-traitement peut être dû aussi bien à un certain déficit en équipement qu’aux préférences dans les pratiques des spécialistes.

Une étude menée à bien par des scientifiques de l’Université de Grenade et de l’Hôpital Virgen de las Nieves de Grenade a révélé que les hôpitaux publics andalous utilisent moins la radiothérapie dans le traitement de patients avec cancer du poumon de ce que le prescrivent les protocoles cliniques. Concrètement, ils l’emploient 25% fois moins de ce qu’ils devraient, ce qui se traduit, selon les chercheurs, en une estimation de plus de 3000 mois de « perte » en survivance pour l’ensemble des patients diagnostiqués de cancer du poumon à cause de ce « non-traitement ».

Pour mener à bien ce travail publié dans le dernier numéro de la revue Journal of Thoracic Oncology, les scientifiques ont révisé les dossiers cliniques et le traitement de tous les patients soumis à radiothérapie pour cancer du poumon en 2007 dans les 12 hôpitaux et en fonction du type d’hôpital, du patient, des caractéristiques du traitement, du type histologique et de l’état de la tumeur. Ce fait est très significatif vu que d’autres études similaires font référence à des enquêtes ou à des données provenant de registres agrégés.

Étude avec 3051 patients

Ainsi, des 3051 patients diagnostiqués de cancer du poumon, 610 furent traités par radiothérapie initiale avec un taux de radiation globale de 20%, alors que le taux de radiation recommandé d’après leurs dossiers cliniques eût été de 1383 patients. Ainsi, 773 patients de plus avec cancer du poumon (c’est-à-dire 25%) devraient avoir été traités avec radiothérapie et ne l’ont pas été.

Tel que l’explique le professeur de l’Université de Grenade José Expósito Hernández, la radiothérapie a « un rôle défini et clair dans le traitement du cancer du poumon, et la littérature scientifique nous permet d’établir le pourcentage de patients qui « doivent » la recevoir, en fonction de l’état d’avancement, du type histologique et d’autres considérations ». Les études menées à bien par le groupe du professeur canadien Mackillop, avec lequel ont travaillé les chercheurs de l’Université de Grenade, tiennent également compte de l’apport net en termes de mois de survivance que la radiothérapie peut apporter dans chaque situation clinique.

Dans cet article, les chercheurs ont analysé avec des tests de régression les variables dont peut dépendre cette différence entre les patients qui devraient faire l’objet d’une radiothérapie et ceux qui vraiment la reçoivent. « Cette variation peut aussi bien être due à un certain déficit en équipement (unités de radiothérapie et professionnels) qu’aux pratiques (préférences) des spécialistes », souligne M. Expósito Hernández.

Référence bibliographique :

Underuse of Radiotherapy in Lung Cancer Has Negative Consequences for Patients
Tovar, Isabel; Expósito, José; Jaén, Javier; Alonso, Enrique. Journal of Thoracic Oncology: January 2013 – Volume 8 – Issue 1 – p 62–67, doi: 10.1097/JTO.0b013e3182745640

Contact José Expósito Hernández. Département de Radiologie et de Médecine Physique de l’Université de Grenade. Tél. : 958 020 176; courriel: jose.exposito.sspa@juntadeandalucia.es


One out of four lung cancer patients in Andalusia does not receive the radiotherapy they need

  • A recent study has revealed that 25 % of lung cancer patients treated in Andalusian health care centers do not receive radiotherapy as established by clinical protocols.
  • Researchers warn that failure to provide radiotherapy may be due both, to equipment deficiencies and to the physicians’ preferences.

A study conducted by University of Granada and Virgen de las Nieves U.H. researchers has revealed that in Andalusian public hospitals radiotherapy is provided to lung cancer patients with a frequency 25 % below that established by clinical protocols. Failure to provide such treatment results in a total of 3,000 survival-day loss for all lung cancer patients.

To carry out this study –recently published in the Journal of Thoracic Oncology, the researchers reviewed the medical records and radiotherapy provided to all lung cancer patients in 2007 in the 12 Andalusian public hospitals fitted with radiotherapy facilities. Data were grouped by type of hospital, patient, type of treatment, histological type and tumor stage. This is very relevant, since other studies used aggregated data and interviews.

A Study with 3,051 Patients

Of the 3,051 lung cancer patients, 610 (radiation rate: 20 %) were initially treated with radiotherapy when according to the patients’ medical histories, the number of patients treated with radiotherapy should have been 1,383. Thus, 773 lung cancer patients (25%) did not receive the radiotherapy they needed.

According to the University of Granada professor José Expósito Hernández, radiotherapy is “crucial to the treatment of lung cancer and, according to the literature available, the percentage of patients that “must” receive radiotherapy can be established by the tumor stage, the histological type and other considerations”. The studies conducted by the Canadian professor Mackillop –with whom the University of Granada researchers have worked– estimate the benefits of radiotherapy for each patient in terms of survival months

This article analyzes by regression tests the variables that influence the decision to provide or not radiotherapy to a patient. “Such decision may be based both, on equipment deficiencies (radiotherapy units and specialists) and on the specialist’s preferences”, professor Hernandez states.

 

References:
Underuse of Radiotherapy in Lung Cancer Has Negative Consequences for Patients
Tovar, Isabel; Expósito, José; Jaén, Javier; Alonso, Enrique
Journal of Thoracic Oncology:
January 2013 – Volume 8 – Issue 1 – p 62–67
doi: 10.1097/JTO.0b013e3182745640

Contacting person:
José Expósito Hernández
Department of Radiology and Physical Medicine. University of Granada.
Phone Number: +34 958 020 176
E-mail Address: jose.exposito.sspa@juntadeandalucia.es


One out of four lung cancer patients in Andalusia does not receive the radiotherapy they need

  • A recent study has revealed that 25 % of lung cancer patients treated in Andalusian health care centers do not receive radiotherapy as established by clinical protocols.
  • Researchers warn that failure to provide radiotherapy may be due both, to equipment deficiencies and to the physicians’ preferences.

A study conducted by University of Granada and Virgen de las Nieves U.H. researchers has revealed that in Andalusian public hospitals radiotherapy is provided to lung cancer patients with a frequency 25 % below that established by clinical protocols. Failure to provide such treatment results in a total of 3,000 survival-day loss for all lung cancer patients.

To carry out this study –recently published in the Journal of Thoracic Oncology, the researchers reviewed the medical records and radiotherapy provided to all lung cancer patients in 2007 in the 12 Andalusian public hospitals fitted with radiotherapy facilities. Data were grouped by type of hospital, patient, type of treatment, histological type and tumor stage. This is very relevant, since other studies used aggregated data and interviews.

A Study with 3,051 Patients

Of the 3,051 lung cancer patients, 610 (radiation rate: 20 %) were initially treated with radiotherapy when according to the patients’ medical histories, the number of patients treated with radiotherapy should have been 1,383. Thus, 773 lung cancer patients (25%) did not receive the radiotherapy they needed.

According to the University of Granada professor José Expósito Hernández, radiotherapy is “crucial to the treatment of lung cancer and, according to the literature available, the percentage of patients that “must” receive radiotherapy can be established by the tumor stage, the histological type and other considerations”. The studies conducted by the Canadian professor Mackillop –with whom the University of Granada researchers have worked– estimate the benefits of radiotherapy for each patient in terms of survival months

This article analyzes by regression tests the variables that influence the decision to provide or not radiotherapy to a patient. “Such decision may be based both, on equipment deficiencies (radiotherapy units and specialists) and on the specialist’s preferences”, professor Hernandez states.

 

References:
Underuse of Radiotherapy in Lung Cancer Has Negative Consequences for Patients
Tovar, Isabel; Expósito, José; Jaén, Javier; Alonso, Enrique
Journal of Thoracic Oncology:
January 2013 – Volume 8 – Issue 1 – p 62–67
doi: 10.1097/JTO.0b013e3182745640

Contacting person:
José Expósito Hernández
Department of Radiology and Physical Medicine. University of Granada.
Phone Number: +34 958 020 176
E-mail Address: jose.exposito.sspa@juntadeandalucia.es


One out of four lung cancer patients in Andalusia does not receive the radiotherapy they need

  • A recent study has revealed that 25 % of lung cancer patients treated in Andalusian health care centers do not receive radiotherapy as established by clinical protocols.
  • Researchers warn that failure to provide radiotherapy may be due both, to equipment deficiencies and to the physicians’ preferences.

A study conducted by University of Granada and Virgen de las Nieves U.H. researchers has revealed that in Andalusian public hospitals radiotherapy is provided to lung cancer patients with a frequency 25 % below that established by clinical protocols. Failure to provide such treatment results in a total of 3,000 survival-day loss for all lung cancer patients.

To carry out this study –recently published in the Journal of Thoracic Oncology, the researchers reviewed the medical records and radiotherapy provided to all lung cancer patients in 2007 in the 12 Andalusian public hospitals fitted with radiotherapy facilities. Data were grouped by type of hospital, patient, type of treatment, histological type and tumor stage. This is very relevant, since other studies used aggregated data and interviews.

A Study with 3,051 Patients

Of the 3,051 lung cancer patients, 610 (radiation rate: 20 %) were initially treated with radiotherapy when according to the patients’ medical histories, the number of patients treated with radiotherapy should have been 1,383. Thus, 773 lung cancer patients (25%) did not receive the radiotherapy they needed.

According to the University of Granada professor José Expósito Hernández, radiotherapy is “crucial to the treatment of lung cancer and, according to the literature available, the percentage of patients that “must” receive radiotherapy can be established by the tumor stage, the histological type and other considerations”. The studies conducted by the Canadian professor Mackillop –with whom the University of Granada researchers have worked– estimate the benefits of radiotherapy for each patient in terms of survival months

This article analyzes by regression tests the variables that influence the decision to provide or not radiotherapy to a patient. “Such decision may be based both, on equipment deficiencies (radiotherapy units and specialists) and on the specialist’s preferences”, professor Hernandez states.

 

References:
Underuse of Radiotherapy in Lung Cancer Has Negative Consequences for Patients
Tovar, Isabel; Expósito, José; Jaén, Javier; Alonso, Enrique
Journal of Thoracic Oncology:
January 2013 – Volume 8 – Issue 1 – p 62–67
doi: 10.1097/JTO.0b013e3182745640

Contacting person:
José Expósito Hernández
Department of Radiology and Physical Medicine. University of Granada.
Phone Number: +34 958 020 176
E-mail Address: jose.exposito.sspa@juntadeandalucia.es


el esfuerzo de la ugr

LOS continuos recortes que el Gobierno central está llevando a cabo para cumplir con el déficit están poniendo contra las cuerdas al sistema universitario español. Rara es la semana que no se produce un nuevo anuncio sobre la supresión de partidas para investigación, becas o infraestructuras. Hay que reconocer a la Universidad de Granada que, aunque con un margen limitado, esté haciendo un esfuerzo por compensar los ajustes más agresivos aportando fondos propios.
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el esfuerzo de la ugr

LOS continuos recortes que el Gobierno central está llevando a cabo para cumplir con el déficit están poniendo contra las cuerdas al sistema universitario español. Rara es la semana que no se produce un nuevo anuncio sobre la supresión de partidas para investigación, becas o infraestructuras. Hay que reconocer a la Universidad de Granada que, aunque con un margen limitado, esté haciendo un esfuerzo por compensar los ajustes más agresivos aportando fondos propios.
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Semilla de hierro

Un informe del Departamento de Economía Aplicada de la Universidad de Granada calcula que la inversión para explotar Alquife generaría 1.924 empleos sólo el primer año y beneficios millonarios

Más paro, menos nacimientos, emigración de la población en edad de trabajar, caída del 40% de la actividad económica. Estas son algunas de las consecuencias más graves que tuvo para la comarca del Marquesado el cierre de las minas de Alquife, hace prácticamente 17 años. «Un hecho traumático», como lo define el Análisis del valor estratégico de la reactivación de las minas de Alquife, documento elaborado por el Departamento de Economía Aplicada de la Universidad de Granada y propiedad de Minas de Alquife, la empresa que ha puesto en marcha el proyecto de explotación del hierro en la mina y que ha facilitado la información financiera y de producción en la que se basa el estudio.

El texto pone en negro sobre blanco el «importante impacto económico» que supondría para la zona la puesta en marcha de este proyecto. La inversión millonaria de Minas de Alquife quiere sacar beneficios de la revaluación del hierro, que ha incrementado su valor desde que la producción cesó en el yacimiento. Si en 1996 -año del cierre de la explotación granadina- la tonelada de hierro se pagaba a 28 dólares, el pasado año los mil kilos de este metal costaban 101 dólares.

La empresa ve clara la posibilidad de invertir y de explotar con éxito un proyecto que el informe de la UGR califica como «eficiente económicamente, es decir, deseable desde el punto de vista económico la reapertura de las minas». Y de esa futura inversión -esa semilla de hierro que plantará Minas de Alquife SL- también se quiere beneficiar la comarca, formada por diez municipios.

El texto del Departamento de Economía Aplicada, elaborado por Juan de Dios Jiménez, Ángeles Sánchez, Roberto Montero y José María Martín, recoge las conclusiones de una encuesta realizada a 205 personas en junio de 2012. La primera y más clara, con la mina se vivía mejor. Es lo que opina el 95,1% de los entrevistados, un porcentaje que es incluso más elevado «entre aquellos que la conocieron directamente cuando operaba». Otra conclusión de la encuesta es que los vecinos de la comarca comparten «la esperanza de poder participar de dichos beneficios».

200 millones son los responsables de esta ilusión. El estudio elaborado por Departamento de Economía Aplicada calcula que con esa inversión inicial sería posible «un incremento de la producción estimado en 561,4 millones», de los que 314,2 se quedarían en Andalucía. Millones que servirían para paliar la situación de desempleo que se vive en el Marquesado. Según el texto de la Universidad de Granada, el primer año de inversión en las minas de Alquife propiciarían 1.924 contratos como efecto directo o indirecto, de los que 1.216 serían en Andalucía. El segundo año se generarían 1.141 trabajos, de los que 721 se localizarían a nivel regional. «Estos empleos son equivalentes anuales a tiempo completo, por lo que pueden generarse de forma efectiva un mayor número de empleos» si se contrata a tiempo parcial o discontinuos, explica el informe.

Únicamente en el entorno más próximo a la mina se crearía un promedio de 422 empleos al año a tiempo completo aunque «estos empleos promedios se verán incrementados cuando el nivel de inversión sea mayor y viceversa», explica el informe.

Sólo de gastos, se estima 136 millones al año son necesarios para el funcionamiento ordinario de las minas. Pero las cuentas salen, ya que como resultado de esa inversión se calcula un incremento de la producción estimado en 347 millones.

Como consecuencia de la disminución del paro («el problema más grave a resolver», según el texto elaborado por la UGR), se estima que la población de los pueblos de la zona crecería un 48,9% en 22 años desde el comienzo de la inversión. Causa y efecto, una correlación que también tendría efectos en el resto de Granada. «La reapertura de Minas de Alquife podría desecadenar un impulso desencadenante de un proceso (…) en sentido ascendiente en el Marquesado del Zenete que trascendería también al resto de la provincia», concluye el análisis.

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Semilla de hierro

Un informe del Departamento de Economía Aplicada de la Universidad de Granada calcula que la inversión para explotar Alquife generaría 1.924 empleos sólo el primer año y beneficios millonarios

Más paro, menos nacimientos, emigración de la población en edad de trabajar, caída del 40% de la actividad económica. Estas son algunas de las consecuencias más graves que tuvo para la comarca del Marquesado el cierre de las minas de Alquife, hace prácticamente 17 años. «Un hecho traumático», como lo define el Análisis del valor estratégico de la reactivación de las minas de Alquife, documento elaborado por el Departamento de Economía Aplicada de la Universidad de Granada y propiedad de Minas de Alquife, la empresa que ha puesto en marcha el proyecto de explotación del hierro en la mina y que ha facilitado la información financiera y de producción en la que se basa el estudio.

El texto pone en negro sobre blanco el «importante impacto económico» que supondría para la zona la puesta en marcha de este proyecto. La inversión millonaria de Minas de Alquife quiere sacar beneficios de la revaluación del hierro, que ha incrementado su valor desde que la producción cesó en el yacimiento. Si en 1996 -año del cierre de la explotación granadina- la tonelada de hierro se pagaba a 28 dólares, el pasado año los mil kilos de este metal costaban 101 dólares.

La empresa ve clara la posibilidad de invertir y de explotar con éxito un proyecto que el informe de la UGR califica como «eficiente económicamente, es decir, deseable desde el punto de vista económico la reapertura de las minas». Y de esa futura inversión -esa semilla de hierro que plantará Minas de Alquife SL- también se quiere beneficiar la comarca, formada por diez municipios.

El texto del Departamento de Economía Aplicada, elaborado por Juan de Dios Jiménez, Ángeles Sánchez, Roberto Montero y José María Martín, recoge las conclusiones de una encuesta realizada a 205 personas en junio de 2012. La primera y más clara, con la mina se vivía mejor. Es lo que opina el 95,1% de los entrevistados, un porcentaje que es incluso más elevado «entre aquellos que la conocieron directamente cuando operaba». Otra conclusión de la encuesta es que los vecinos de la comarca comparten «la esperanza de poder participar de dichos beneficios».

200 millones son los responsables de esta ilusión. El estudio elaborado por Departamento de Economía Aplicada calcula que con esa inversión inicial sería posible «un incremento de la producción estimado en 561,4 millones», de los que 314,2 se quedarían en Andalucía. Millones que servirían para paliar la situación de desempleo que se vive en el Marquesado. Según el texto de la Universidad de Granada, el primer año de inversión en las minas de Alquife propiciarían 1.924 contratos como efecto directo o indirecto, de los que 1.216 serían en Andalucía. El segundo año se generarían 1.141 trabajos, de los que 721 se localizarían a nivel regional. «Estos empleos son equivalentes anuales a tiempo completo, por lo que pueden generarse de forma efectiva un mayor número de empleos» si se contrata a tiempo parcial o discontinuos, explica el informe.

Únicamente en el entorno más próximo a la mina se crearía un promedio de 422 empleos al año a tiempo completo aunque «estos empleos promedios se verán incrementados cuando el nivel de inversión sea mayor y viceversa», explica el informe.

Sólo de gastos, se estima 136 millones al año son necesarios para el funcionamiento ordinario de las minas. Pero las cuentas salen, ya que como resultado de esa inversión se calcula un incremento de la producción estimado en 347 millones.

Como consecuencia de la disminución del paro («el problema más grave a resolver», según el texto elaborado por la UGR), se estima que la población de los pueblos de la zona crecería un 48,9% en 22 años desde el comienzo de la inversión. Causa y efecto, una correlación que también tendría efectos en el resto de Granada. «La reapertura de Minas de Alquife podría desecadenar un impulso desencadenante de un proceso (…) en sentido ascendiente en el Marquesado del Zenete que trascendería también al resto de la provincia», concluye el análisis.

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Ciclo sobre “Cine y Medicina” en la UGR

Tendrá lugar en el Aula Magna de la Facultad de Medicina, en 7 sesiones, del 20 de febrero al 22 de mayo (se han solicitado 2 créditos de libre configuración a las Facultades de Ciencias de la Salud, Odontología, Farmacia, Psicología y Medicina)

La inscripción ha de realizarse en el Departamento de Medicina. Las plazas, limitadas al aforo del recinto, se concederán por orden de presentación.

El ciclo “Cine y Medicina”, propuesto por el Departamento de Medicina de la UGR y dirigido por el profesor Blas Gil Extremera, catedrático de Medicina y autor de libros relacionados con los aspectos humanísticos de la Medicina, como “Enfermos Ilustres”, en los que desde la enfermedad se llega a la creación artística, tendrá lugar en el Aula Magna de la Facultad de Medicina, en 7 sesiones, del 20 de febrero al 22 de mayo (se han solicitado 2 créditos de libre configuración a las Facultades de Ciencias de la Salud, Odontología, Farmacia, Psicología y Medicina), con un programa en el que se tratarán, desde el punto de vista del séptimo arte, temas universales de la enfermedad y aspectos sociales como el alcoholismo, la igualdad, etc.

En total serán 7 sesiones, que comenzarán a las 18 horas y se iniciarán con una introducción y sinopsis de la película, seguidas de la proyección y un debate posterior. Se controlará la asistencia, ya que será obligatorio un 80% de concurrencia a las actividades para obtener los créditos de libre configuración otorgados.

La inscripción ha hacerse en el Departamento de Medicina. Las plazas, limitadas al aforo del recinto, se concederán por orden de presentación.

El acto de inauguración será el día 20 de febrero a las 18 horas en el Aula Magna de la Facultad de Medicina y contará con la presencia del rector, Francisco González Lodeiro; el presidente de la Real Academia de Medicina y Cirugía de Andalucía Oriental, Antonio Campos; y el decano de la Facultad de Medicina de Granada, Indalecio Sánchez-Montesinos. El ciclo, organizado por el Departamento de Medicina, cuenta con la colaboración de la Academia de Medicina y Cirugía de Andalucía Oriental y la Facultad de Medina de la UGR.

Descargue el cartel en Pdf con el programa del ciclo

Contacto: Profesor Blas Gil Extremera. Director del ciclo. Departamento de Medicina. Universidad de Granada. Tfn.: 958 249081. Correo electrónico: blasgil@ugr.es


Ciclo sobre “Cine y Medicina” en la UGR

Tendrá lugar en el Aula Magna de la Facultad de Medicina, en 7 sesiones, del 20 de febrero al 22 de mayo (se han solicitado 2 créditos de libre configuración a las Facultades de Ciencias de la Salud, Odontología, Farmacia, Psicología y Medicina)

La inscripción ha de realizarse en el Departamento de Medicina. Las plazas, limitadas al aforo del recinto, se concederán por orden de presentación.

El ciclo “Cine y Medicina”, propuesto por el Departamento de Medicina de la UGR y dirigido por el profesor Blas Gil Extremera, catedrático de Medicina y autor de libros relacionados con los aspectos humanísticos de la Medicina, como “Enfermos Ilustres”, en los que desde la enfermedad se llega a la creación artística, tendrá lugar en el Aula Magna de la Facultad de Medicina, en 7 sesiones, del 20 de febrero al 22 de mayo (se han solicitado 2 créditos de libre configuración a las Facultades de Ciencias de la Salud, Odontología, Farmacia, Psicología y Medicina), con un programa en el que se tratarán, desde el punto de vista del séptimo arte, temas universales de la enfermedad y aspectos sociales como el alcoholismo, la igualdad, etc.

En total serán 7 sesiones, que comenzarán a las 18 horas y se iniciarán con una introducción y sinopsis de la película, seguidas de la proyección y un debate posterior. Se controlará la asistencia, ya que será obligatorio un 80% de concurrencia a las actividades para obtener los créditos de libre configuración otorgados.

La inscripción ha hacerse en el Departamento de Medicina. Las plazas, limitadas al aforo del recinto, se concederán por orden de presentación.

El acto de inauguración será el día 20 de febrero a las 18 horas en el Aula Magna de la Facultad de Medicina y contará con la presencia del rector, Francisco González Lodeiro; el presidente de la Real Academia de Medicina y Cirugía de Andalucía Oriental, Antonio Campos; y el decano de la Facultad de Medicina de Granada, Indalecio Sánchez-Montesinos. El ciclo, organizado por el Departamento de Medicina, cuenta con la colaboración de la Academia de Medicina y Cirugía de Andalucía Oriental y la Facultad de Medina de la UGR.

Descargue el cartel en Pdf con el programa del ciclo

Contacto: Profesor Blas Gil Extremera. Director del ciclo. Departamento de Medicina. Universidad de Granada. Tfn.: 958 249081. Correo electrónico: blasgil@ugr.es