Granada Hoy

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La Universidad no recauda menos por las matrículas

Granada, la tercera en el ranking de producción en investigación

La Universidad abre el plazo de las becas de movilidad para países extracomunitarios

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Música para mejorar la calidad del sueño

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La consommation de drogues empire le fonctionnement sexuel des hommes, même après plusieurs années d’abstinence

  • Un article publié dans le Journal of Sexual Medicine des États-Unis révèle que l’alcool est la drogue qui affecte le plus l’excitation sexuelle (capacité érectile).
  • De plus, les chercheurs ont observé que le fonctionnement sexuel des hommes ne s’améliore pas par le fait d’avoir cessé de consommer la substance.
  • À cette étude ont participé 905 hommes dont 550 étaient dépendants d’alcool, de cocaïne, cocaïne et alcool, héroïne, marihuana et speedball (héroïne + cocaïne).

Des chercheurs de l’Université de Grenade et de l’Université de Santo Tomás de Colombie ont découvert que la consommation de drogues empire le fonctionnement sexuel des hommes, même après plusieurs années d’abstinence, à l’encontre de certaines études préalables qui assuraient que, trois semaines après avoir cessé de consommer, le fonctionnement sexuel revenait spontanément à son niveau normal.

Il s’agit d’un article publié dans la prestigieuse revue Journal of Sexual Medicine, la revue officielle de la Société Internationale de Médecine Sexuelle, par les scientifiques Pablo Vallejo Medina, professeur de l’Université Santo Tomás de Colombie, et Juan Carlos Sierra, de l’Université de Grenade.

Cette étude a évalué le fonctionnement sexuel de 905 hommes dont 550 dépendants d’alcool, de cocaïne, cocaïne et alcool, héroïne, marihuana et speedball (héroïne + cocaïne). Les 356 autres hommes ne consommaient pas ces substances et agirent en tant que groupe de contrôle.

Évaluation de quatre aires

Les chercheurs ont étudié et évalué quatre aires du fonctionnement sexuel : désir sexuel, satisfaction sexuelle, excitation sexuelle et orgasme. Leur travail a démontré que toutes étaient significativement plus affectées chez les consommateurs de drogue que chez ceux qui n’en consomment pas.

Ils ont de plus vérifié que les différentes substances affectent de façon différentielle les facettes de la sexualité. Par exemple, le plaisir sexuel est plus affecté chez les consommateurs de speedball, suivis de près par ceux de cocaïne. Le désir sexuel est l’aire de fonctionnement sexuel la moins affectée, et les consommateurs de cocaïne ont un désir sexuel très élevé lors de phases aiguës dans la consommation.

En ce qui concerne l’excitation (capacité érectile), l’alcool est la drogue qui semble la plus préjudicielle en ce sens. Le travail réalisé à l’Université de Grenade révèle que ce préjudice affecte même les anciens consommateurs d’alcool abstinents depuis longtemps. Finalement, l’orgasme se voit spécialement affecté chez les consommateurs d’héroïne, de cocaïne, d’alcool et de speedball.

Cet article a pu être réalisé grâce à la participation désintéressée de neuf institutions espagnoles de réhabilitation de toxicodépendants : Asociación Ciudadana de Lucha contra la Droga (La Corogne), Centro de Atención a las Drogodependencias de Arganzuela (Madrid), Centro de Atención a las Drogodependencias de San Blas (Madrid), Institut de Neuropsiquiatria i Addiccions del Parc de Salut Mar-Hospital del Mar (Barcelone), Fundación Noray-Proyecto Hombre Alicante (Alicante), Unidad Municipal de Atención a Drogodependientes (Saint-Jacques de Compostèle), Proxecto Home Galicia (Galice), Proyecto Hombre Granada (Grenade), et «Cortijo Buenos Aires» (Grenade).

Contact:

-Pablo Vallejo Medina, Université Santo Tomás de Colombie. Département de Personnalité, Évaluation et traitement Psychologique de l’Université de Grenade. Tél. : 965927092; courriel: pvallejo@ugr.es

-Juan Carlos Sierra. Département de Personnalité, Évaluation et traitement Psychologique de l’Université de Grenade. Tél. : 958244251, courriel: jcsierra@ugr.es


La consommation de drogues empire le fonctionnement sexuel des hommes, même après plusieurs années d’abstinence

  • Un article publié dans le Journal of Sexual Medicine des États-Unis révèle que l’alcool est la drogue qui affecte le plus l’excitation sexuelle (capacité érectile).
  • De plus, les chercheurs ont observé que le fonctionnement sexuel des hommes ne s’améliore pas par le fait d’avoir cessé de consommer la substance.
  • À cette étude ont participé 905 hommes dont 550 étaient dépendants d’alcool, de cocaïne, cocaïne et alcool, héroïne, marihuana et speedball (héroïne + cocaïne).

Des chercheurs de l’Université de Grenade et de l’Université de Santo Tomás de Colombie ont découvert que la consommation de drogues empire le fonctionnement sexuel des hommes, même après plusieurs années d’abstinence, à l’encontre de certaines études préalables qui assuraient que, trois semaines après avoir cessé de consommer, le fonctionnement sexuel revenait spontanément à son niveau normal.

Il s’agit d’un article publié dans la prestigieuse revue Journal of Sexual Medicine, la revue officielle de la Société Internationale de Médecine Sexuelle, par les scientifiques Pablo Vallejo Medina, professeur de l’Université Santo Tomás de Colombie, et Juan Carlos Sierra, de l’Université de Grenade.

Cette étude a évalué le fonctionnement sexuel de 905 hommes dont 550 dépendants d’alcool, de cocaïne, cocaïne et alcool, héroïne, marihuana et speedball (héroïne + cocaïne). Les 356 autres hommes ne consommaient pas ces substances et agirent en tant que groupe de contrôle.

Évaluation de quatre aires

Les chercheurs ont étudié et évalué quatre aires du fonctionnement sexuel : désir sexuel, satisfaction sexuelle, excitation sexuelle et orgasme. Leur travail a démontré que toutes étaient significativement plus affectées chez les consommateurs de drogue que chez ceux qui n’en consomment pas.

Ils ont de plus vérifié que les différentes substances affectent de façon différentielle les facettes de la sexualité. Par exemple, le plaisir sexuel est plus affecté chez les consommateurs de speedball, suivis de près par ceux de cocaïne. Le désir sexuel est l’aire de fonctionnement sexuel la moins affectée, et les consommateurs de cocaïne ont un désir sexuel très élevé lors de phases aiguës dans la consommation.

En ce qui concerne l’excitation (capacité érectile), l’alcool est la drogue qui semble la plus préjudicielle en ce sens. Le travail réalisé à l’Université de Grenade révèle que ce préjudice affecte même les anciens consommateurs d’alcool abstinents depuis longtemps. Finalement, l’orgasme se voit spécialement affecté chez les consommateurs d’héroïne, de cocaïne, d’alcool et de speedball.

Cet article a pu être réalisé grâce à la participation désintéressée de neuf institutions espagnoles de réhabilitation de toxicodépendants : Asociación Ciudadana de Lucha contra la Droga (La Corogne), Centro de Atención a las Drogodependencias de Arganzuela (Madrid), Centro de Atención a las Drogodependencias de San Blas (Madrid), Institut de Neuropsiquiatria i Addiccions del Parc de Salut Mar-Hospital del Mar (Barcelone), Fundación Noray-Proyecto Hombre Alicante (Alicante), Unidad Municipal de Atención a Drogodependientes (Saint-Jacques de Compostèle), Proxecto Home Galicia (Galice), Proyecto Hombre Granada (Grenade), et «Cortijo Buenos Aires» (Grenade).

Contact:

-Pablo Vallejo Medina, Université Santo Tomás de Colombie. Département de Personnalité, Évaluation et traitement Psychologique de l’Université de Grenade. Tél. : 965927092; courriel: pvallejo@ugr.es

-Juan Carlos Sierra. Département de Personnalité, Évaluation et traitement Psychologique de l’Université de Grenade. Tél. : 958244251, courriel: jcsierra@ugr.es


Investigador recorre la génesis y la evolución de la televisión en Andalucía

«Los primeros ojos de Andalucía» es el título del nuevo libro de Antonio Torres, director territorial de Canal Sur en Almería, que centra su mirada en las personas que han contribuido al desarrollo de la televisión en la comunidad, desde su génesis, a su posterior desarrollo y su realidad actual.
Esta obra, publicada por la editorial Universidad de Granada y que se presenta mañana jueves en la Facultad de Comunicación y Documentación, repasa en sus 300 páginas y a través de sus protagonistas los principales avances de este medio de comunicación en las últimas décadas.
Operadores de cámara, reporteros y personas visionarias que creyeron desde el principio en la televisión se recogen en el libro, que señala al escritor y periodista Alfonso Contreras Rosado (Sevilla, 1920-1994) como el primer profesional que aplicó las sinergias al compatibilizar su puesto de locutor en Radio Nacional de España con el de operador de cámara.
Desde ese momento una larga retahíla de nombres dio forma a la televisión en Andalucía con personas que, inicialmente y sobre todo en las provincias, solían ser fotógrafos o aficionados al cine.
José González (Cádiz, 1920) fue por ejemplo el primer «ojo» que tuvo Televisión Española en Cádiz y quien se quedó en la cadena tras enviar una prueba del trofeo Carranza de 1959, y Antonio Salmoral (Córdoba, 1934-1987) el testigo de la agonía del torero Paquirri.
Ilustrado con fotografías agrupadas en un cuadernillo central de 18 páginas, la obra se divide en nueve capítulos en los que, entre otros aspectos, se hace una crónica de los inicios del medio en Andalucía, se alude a los cámaras como los «primeros testigos» y se destacan los cambios que supusieron la programa territorial o la trágica transición en Andalucía.
«La televisión ha ido evolucionando a golpe de Mundial y otros grandes acontecimientos deportivos y sociales», ha relatado a Efe Torres, quien destaca además que los avances en las comunicaciones lograron romper con el «centralismo» existente respecto a la preponderancia de la información de Sevilla en la comunidad.
Respecto al futuro de la televisión, Torres se ha referido no sólo a la situación económica sino a la importancia de las nuevas tecnologías y las redes sociales, que se han convertido en otra fuente informativa que posibilita la participación activa de los ciudadanos en los medios y ofrece respuestas inmediatas a la actualidad.
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Investigador recorre la génesis y la evolución de la televisión en Andalucía

«Los primeros ojos de Andalucía» es el título del nuevo libro de Antonio Torres, director territorial de Canal Sur en Almería, que centra su mirada en las personas que han contribuido al desarrollo de la televisión en la comunidad, desde su génesis, a su posterior desarrollo y su realidad actual.
Esta obra, publicada por la editorial Universidad de Granada y que se presenta mañana jueves en la Facultad de Comunicación y Documentación, repasa en sus 300 páginas y a través de sus protagonistas los principales avances de este medio de comunicación en las últimas décadas.
Operadores de cámara, reporteros y personas visionarias que creyeron desde el principio en la televisión se recogen en el libro, que señala al escritor y periodista Alfonso Contreras Rosado (Sevilla, 1920-1994) como el primer profesional que aplicó las sinergias al compatibilizar su puesto de locutor en Radio Nacional de España con el de operador de cámara.
Desde ese momento una larga retahíla de nombres dio forma a la televisión en Andalucía con personas que, inicialmente y sobre todo en las provincias, solían ser fotógrafos o aficionados al cine.
José González (Cádiz, 1920) fue por ejemplo el primer «ojo» que tuvo Televisión Española en Cádiz y quien se quedó en la cadena tras enviar una prueba del trofeo Carranza de 1959, y Antonio Salmoral (Córdoba, 1934-1987) el testigo de la agonía del torero Paquirri.
Ilustrado con fotografías agrupadas en un cuadernillo central de 18 páginas, la obra se divide en nueve capítulos en los que, entre otros aspectos, se hace una crónica de los inicios del medio en Andalucía, se alude a los cámaras como los «primeros testigos» y se destacan los cambios que supusieron la programa territorial o la trágica transición en Andalucía.
«La televisión ha ido evolucionando a golpe de Mundial y otros grandes acontecimientos deportivos y sociales», ha relatado a Efe Torres, quien destaca además que los avances en las comunicaciones lograron romper con el «centralismo» existente respecto a la preponderancia de la información de Sevilla en la comunidad.
Respecto al futuro de la televisión, Torres se ha referido no sólo a la situación económica sino a la importancia de las nuevas tecnologías y las redes sociales, que se han convertido en otra fuente informativa que posibilita la participación activa de los ciudadanos en los medios y ofrece respuestas inmediatas a la actualidad.
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Un investigador recorre la génesis y la evolución de la televisión en Andalucía

«Los primeros ojos de Andalucía» es el título del nuevo libro de Antonio Torres, director territorial de Canal Sur en Almería, que centra su mirada en las personas que han contribuido al desarrollo de la televisión en la comunidad, desde su génesis, a su posterior desarrollo y su realidad actual.

Esta obra, publicada por la editorial Universidad de Granada y que se presenta mañana jueves en la Facultad de Comunicación y Documentación, repasa en sus 300 páginas y a través de sus protagonistas los principales avances de este medio de comunicación en las últimas décadas.

Operadores de cámara, reporteros y personas visionarias que creyeron desde el principio en la televisión se recogen en el libro, que señala al escritor y periodista Alfonso Contreras Rosado (Sevilla, 1920-1994) como el primer profesional que aplicó las sinergias al compatibilizar su puesto de locutor en Radio Nacional de España con el de operador de cámara.

Desde ese momento una larga retahíla de nombres dio forma a la televisión en Andalucía con personas que, inicialmente y sobre todo en las provincias, solían ser fotógrafos o aficionados al cine.

José González (Cádiz, 1920) fue por ejemplo el primer «ojo» que tuvo Televisión Española en Cádiz y quien se quedó en la cadena tras enviar una prueba del trofeo Carranza de 1959, y Antonio Salmoral (Córdoba, 1934-1987) el testigo de la agonía del torero Paquirri.

Ilustrado con fotografías agrupadas en un cuadernillo central de 18 páginas, la obra se divide en nueve capítulos en los que, entre otros aspectos, se hace una crónica de los inicios del medio en Andalucía, se alude a los cámaras como los «primeros testigos» y se destacan los cambios que supusieron la programa territorial o la trágica transición en Andalucía.

«La televisión ha ido evolucionando a golpe de Mundial y otros grandes acontecimientos deportivos y sociales», ha relatado a Efe Torres, quien destaca además que los avances en las comunicaciones lograron romper con el «centralismo» existente respecto a la preponderancia de la información de Sevilla en la comunidad.

Respecto al futuro de la televisión, Torres se ha referido no sólo a la situación económica sino a la importancia de las nuevas tecnologías y las redes sociales, que se han convertido en otra fuente informativa que posibilita la participación activa de los ciudadanos en los medios y ofrece respuestas inmediatas a la actualidad.

El volumen cuenta con un prólogo del director general de la Radio Televisión Pública de Andalucía (RTVA), Pablo Carrasco, una introducción del propio autor y se completa con los apartados de conclusiones, bibliografía y un índice onomástico.

La presentación de «Los primeros ojos de Andalucía. Génesis y evolución de la televisión en Andalucía» tendrá lugar mañana jueves, a las 19.00 horas, en la Facultad de Comunicación y Documentación de Granada.

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Un investigador recorre la génesis y la evolución de la televisión en Andalucía

«Los primeros ojos de Andalucía» es el título del nuevo libro de Antonio Torres, director territorial de Canal Sur en Almería, que centra su mirada en las personas que han contribuido al desarrollo de la televisión en la comunidad, desde su génesis, a su posterior desarrollo y su realidad actual.

Esta obra, publicada por la editorial Universidad de Granada y que se presenta mañana jueves en la Facultad de Comunicación y Documentación, repasa en sus 300 páginas y a través de sus protagonistas los principales avances de este medio de comunicación en las últimas décadas.

Operadores de cámara, reporteros y personas visionarias que creyeron desde el principio en la televisión se recogen en el libro, que señala al escritor y periodista Alfonso Contreras Rosado (Sevilla, 1920-1994) como el primer profesional que aplicó las sinergias al compatibilizar su puesto de locutor en Radio Nacional de España con el de operador de cámara.

Desde ese momento una larga retahíla de nombres dio forma a la televisión en Andalucía con personas que, inicialmente y sobre todo en las provincias, solían ser fotógrafos o aficionados al cine.

José González (Cádiz, 1920) fue por ejemplo el primer «ojo» que tuvo Televisión Española en Cádiz y quien se quedó en la cadena tras enviar una prueba del trofeo Carranza de 1959, y Antonio Salmoral (Córdoba, 1934-1987) el testigo de la agonía del torero Paquirri.

Ilustrado con fotografías agrupadas en un cuadernillo central de 18 páginas, la obra se divide en nueve capítulos en los que, entre otros aspectos, se hace una crónica de los inicios del medio en Andalucía, se alude a los cámaras como los «primeros testigos» y se destacan los cambios que supusieron la programa territorial o la trágica transición en Andalucía.

«La televisión ha ido evolucionando a golpe de Mundial y otros grandes acontecimientos deportivos y sociales», ha relatado a Efe Torres, quien destaca además que los avances en las comunicaciones lograron romper con el «centralismo» existente respecto a la preponderancia de la información de Sevilla en la comunidad.

Respecto al futuro de la televisión, Torres se ha referido no sólo a la situación económica sino a la importancia de las nuevas tecnologías y las redes sociales, que se han convertido en otra fuente informativa que posibilita la participación activa de los ciudadanos en los medios y ofrece respuestas inmediatas a la actualidad.

El volumen cuenta con un prólogo del director general de la Radio Televisión Pública de Andalucía (RTVA), Pablo Carrasco, una introducción del propio autor y se completa con los apartados de conclusiones, bibliografía y un índice onomástico.

La presentación de «Los primeros ojos de Andalucía. Génesis y evolución de la televisión en Andalucía» tendrá lugar mañana jueves, a las 19.00 horas, en la Facultad de Comunicación y Documentación de Granada.

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España tiene otra burbuja…la universitaria, por un exceso de titulaciones sin resultados

El boom de los centros universitarios y las titulaciones ha generado una burbuja en España que ahora, en crisis y época recortes, ha acabado estallando. Las universidades públicas padecen la asfixia financiera y hacen números para pagar las nóminas de los docentes, la investigación agoniza y se cierran laboratorios y los alumnos salen a la calle para protestar contra la subida desigual de las tasas. Y a pesar de esto, se siguen abriendo universidades y ofertando nuevas titulaciones. En este curso se han sumado tres nuevos centros académicos, con lo cual, el mapa universitario lo conforman 82 universidades, 50 de ellas públicas, en las que se ofrecen más de 10.000 títulos entre grados, posgrados, cursos y másteres.

Los expertos en gestión y financiación universitaria consultados por esta redacción coinciden en que hay un exceso de oferta, fruto de años de bonanza en los que han crecido las titulaciones y los centros académicos sin que hubiera una política de planificación acorde con la realidad socioeconómica de cada territorio. «Ha habido un salto muy brusco en la oferta», opina Ana Fernández Zubieta, investigadora del Instituto de Estudios Sociales del CSIC y una de las autoras de un informe de la Comisión Europea sobre modelos de financiación universitaria.

Según datos del Ministerio, alrededor de 370 enseñanzas universitarias no logran matricular a más de 20 alumnos y que mientras las titulaciones han crecido un 43% en los últimos años, los alumnos se han reducido un 15%.

Hay ejemplos que ilustran el exceso de la oferta. En Andalucía las universidades de las ocho capitales ofrecen estudios de inglés y filología hispánica. En Teruel hay una universidad que ofrece cinco grados: Bellas Artes, Magisterio de Educación Especial, Magisterio de Primaria, Administración de Empresas y Psicología. También, en Extremedura los alumnos pueden estudiar Enfermería en Plasencia, Cáceres, Badajoz y Mérida Y en Ceuta hay una facultad de salud donde se puede cursar Enfermería, y aulas para estudiar Ingeniería, Administración de Empresas, Magisterio y Educación Social, gestionadas por la Universidad de Granada.

Fernández Zubieta opina que ha habido una demanda amplia por la enseñanza superior que no ha encontrado hueco en el mercado de trabajo, ya que en el tejido productivo existe un sector que carece de titulación universitaria.

El paro entre los universitarios españoles dobla al de la media europea. Doce de cada cien titulados está en el paro, frente a la tasa del 5,2% de la Unión Europea. Así consta en el último informe de la Fundación Conocimiento y Desarrollo, que alertaba de que la crisis ha dejado a cerca de un millón de jóvenes graduados en el desempleo y que la cifra de parados en este colectivo casi se ha triplicado.

Otro problema de la universidad española es la alta tasa de abandono, del 30%, el doble que en Europa, y el índice de repetidores, pues solo un tercio de los titulados acaba la carrera sin repetir curso, según los datos del Ministerio de Educación.

Por otro lado, las universidades españolas no consiguen figurar entre los centros con más reconocimiento internacional. El índice de Shanghái, el más famoso, sitúa a los campus españoles a partir del puesto 201. Solo diez universidades españolas están entre las 500 mejores del mundo. EEUU, con Harvard, encabeza el ranking.

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España tiene otra burbuja…la universitaria, por un exceso de titulaciones sin resultados

El boom de los centros universitarios y las titulaciones ha generado una burbuja en España que ahora, en crisis y época recortes, ha acabado estallando. Las universidades públicas padecen la asfixia financiera y hacen números para pagar las nóminas de los docentes, la investigación agoniza y se cierran laboratorios y los alumnos salen a la calle para protestar contra la subida desigual de las tasas. Y a pesar de esto, se siguen abriendo universidades y ofertando nuevas titulaciones. En este curso se han sumado tres nuevos centros académicos, con lo cual, el mapa universitario lo conforman 82 universidades, 50 de ellas públicas, en las que se ofrecen más de 10.000 títulos entre grados, posgrados, cursos y másteres.

Los expertos en gestión y financiación universitaria consultados por esta redacción coinciden en que hay un exceso de oferta, fruto de años de bonanza en los que han crecido las titulaciones y los centros académicos sin que hubiera una política de planificación acorde con la realidad socioeconómica de cada territorio. «Ha habido un salto muy brusco en la oferta», opina Ana Fernández Zubieta, investigadora del Instituto de Estudios Sociales del CSIC y una de las autoras de un informe de la Comisión Europea sobre modelos de financiación universitaria.

Según datos del Ministerio, alrededor de 370 enseñanzas universitarias no logran matricular a más de 20 alumnos y que mientras las titulaciones han crecido un 43% en los últimos años, los alumnos se han reducido un 15%.

Hay ejemplos que ilustran el exceso de la oferta. En Andalucía las universidades de las ocho capitales ofrecen estudios de inglés y filología hispánica. En Teruel hay una universidad que ofrece cinco grados: Bellas Artes, Magisterio de Educación Especial, Magisterio de Primaria, Administración de Empresas y Psicología. También, en Extremedura los alumnos pueden estudiar Enfermería en Plasencia, Cáceres, Badajoz y Mérida Y en Ceuta hay una facultad de salud donde se puede cursar Enfermería, y aulas para estudiar Ingeniería, Administración de Empresas, Magisterio y Educación Social, gestionadas por la Universidad de Granada.

Fernández Zubieta opina que ha habido una demanda amplia por la enseñanza superior que no ha encontrado hueco en el mercado de trabajo, ya que en el tejido productivo existe un sector que carece de titulación universitaria.

El paro entre los universitarios españoles dobla al de la media europea. Doce de cada cien titulados está en el paro, frente a la tasa del 5,2% de la Unión Europea. Así consta en el último informe de la Fundación Conocimiento y Desarrollo, que alertaba de que la crisis ha dejado a cerca de un millón de jóvenes graduados en el desempleo y que la cifra de parados en este colectivo casi se ha triplicado.

Otro problema de la universidad española es la alta tasa de abandono, del 30%, el doble que en Europa, y el índice de repetidores, pues solo un tercio de los titulados acaba la carrera sin repetir curso, según los datos del Ministerio de Educación.

Por otro lado, las universidades españolas no consiguen figurar entre los centros con más reconocimiento internacional. El índice de Shanghái, el más famoso, sitúa a los campus españoles a partir del puesto 201. Solo diez universidades españolas están entre las 500 mejores del mundo. EEUU, con Harvard, encabeza el ranking.

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Presentación del libro ‘Los primeros ojos de Andalucía. Génesis de la televisión en Andalucía’

El acto, en el que intervendrá el autor, Antonio Torres, director de Canal Sur en Almería, será presentado por el periodista Andrés Cárdenas, en el Salón de Actos de la Facultad de Comunicación y Documentación de la UGR, el jueves, 17 de enero de 2013, a las 19 horas

El director de Canal Sur en Almería, Antonio Torres Flores, presentará el jueves, 17 de enero de 2013, a las 19 horas, en el Salón de Actos de la Facultad de Comunicación y Documentación de la UGR, su libro «Los primeros ojos de Andalucía. Génesis de la televisión en Andalucía», editado por la Editorial Universidad de Granada (eug).

Al acto asistirán, entre otros, Domingo Toledo, uno de los primeros cámaras de Granada y también uno de los primeros reporteros andaluces que viajaron al extranjero junto al desaparecido Luis Carranza, natural de Benalúa de Guadix. Se hablará de Tico Medina, de Josefina Carabias –la primera periodista que entró como redactora en la Radio y que escribió para Ideal la crónica de la primera boda mediática de Balduino y Fabiola–, de Eduardo Castro, del cámara López Murcia, del productor Francis Romacho y de la primera mujer que llegó a la dirección de TVE en Andalucía, Pity Alarcón, natural de Guadix. Se hablará, en fin, del presente y del futuro de la televisión. El acto, que presidirá el decano de la Facultad de Comunicación y Documentación, Antonio Ángel Ruiz Rodríguez, contará con la presencia de la directora de la Editorial Universidad de Granada, M.ª Isabel Cabrera y será presentado por el periodista de Ideal Andrés Cárdenas.

Los primeros ojos de Andalucía fueron los operadores de cámara, reporteros, personas visionarias que creyeron desde el principio en la televisión. En aquellos años de hambre y silencio, se puede considerar al escritor y periodista Alfonso Contreras Rosado (Sevilla, 1920-1994) como el primer profesional que aplicó las sinergias, compatibilizando su puesto de locutor en RNE con el de operador de cámara. La nómina de cámaras la siguieron el empleado de Tabacalera José Luis Bustamante de Miguel (Potes, 1921-Sevilla, 1999), Roberto Dorado Quesada (Villanueva del Río y Minas, 1923-Sevilla, 2012), José Narbona (hermano del primer director de «Telesur» Francisco Narbona) y José Luis, el hijo de Bustamante.
José González (Cádiz, 1920) fue el primer ojo que tuvo TVE en Cádiz.
Envió una prueba del trofeo Carranza de 1959 y se quedó. El testigo de la agonía del torero «Paquirri», Antonio Salmoral (Córdoba, 1934-1987), el cámara de toda la vida televisiva de Córdoba, obtuvo un premio Ondas. Armando López Murcia (Granada, 1925-1987) filmó a la gente más sencilla para captar la esencia de ser granadino, como diría Ramos Espejo. El hijo del fotógrafo Rodri, Pedro Rodríguez González, dejó la cámara por la Alcaldía de Huelva. En Jaén, para Higinio Montes, el éxito consiste en estar siempre disponible. Se nota que hay corresponsal de TVE en Málaga, así tituló el diario «La Tarde». Manuel España es el profesional que más noticias ha ofrecido desde 1963. Almería le dedicó una calle a Antonio Cano (Serón, 1917-Almería, 1983).

«El objetivo de este trabajo –afirma el autor– es analizar los orígenes de la televisión en Andalucía, centrándonos principalmente en los cámaras, profesionales que poseen un mérito incuestionable. Además, recogemos valoraciones inéditas de reconocidos periodistas sobre estos primeros cámaras andaluces. Finalmente, reflexionamos sobre el cambio que ha sufrido el periodismo en apenas medio siglo, como consecuencia de la expansión, por un lado, de nuevas tecnologías, y, por el otro, de Internet, que en estos momentos es el medio de comunicación por antonomasia. Los primeros rostros populares de la televisión fueron los del desaparecido Jesús Álvarez, de Blanca Álvarez y de la andaluza Laura Valenzuela. Los expertos consideran el periodo 1962-1969 como el de la consolidación de la televisión dentro del régimen dictatorial. Una imagen que nos dejó el carácter de tres grandes hombres como Adolfo Suárez y los desaparecidos Gutiérrez Mellado y Santiago Carrillo, aguantando de pie el ¡Quieto todo el mundo!, expresión del triste guardia civil golpista Tejero. El desaparecido Pedro Francisco Martín ha pasado a la historia y, en cambio, en noviembre de 2012, todavía no pudimos recoger una imagen suya ni un obituario que se hubiera publicado en periódicos. Recibió un homenaje póstumo de la Academia de la Televisión, en 2008, y su trabajo ha pasado a la historia de España y de la televisión. Fue el único cámara de los presentes en el hemiciclo que siguió grabando tras el asalto de los golpistas. No intentes tocar la cámara, que te mato. No quiero ver imagen. Desenchufa eso, exhortaba un golpista a los técnicos Carlos Arias y Ángel Flores. Podemos verlo en el reportaje de Pedro Esquicia El 23-F en TVE. Es en este documental donde aparece insertada una foto con Pedro Francisco Martín, lástima que nadie le entrevistara antes de fallecer. Después de apagarla, el guardia civil destrozó el objetivo con la boca de su fusil. En otro punto Pedro Francisco Martín engañaba a los asaltantes anulando el chivato rojo que indica que el aparato está operativo. Gracias a esa artimaña, en Prado del Rey asistían en directo a lo que estaba sucediendo en el Congreso. TVE no pudo transmitirlo en directo a los hogares, pero su director general, Fernando Castedo, grabó una copia en vídeo para que todos supiéramos lo que había ocurrido. La puso a buen recaudo, bajo el cojín rajado de su silla, y permaneció sentado sobre ella incubando la información.

El futuro tendremos que trazarlo y escribirlo entre todos. Y los reporteros escriben sus crónicas desde el lugar de la noticia con la inseparable cámara».
Con más de 300 páginas, e ilustrado con fotografías agrupadas en un cuadernillo central de 18 páginas, el libro se divide en nueve capítulos en los que se da cuenta de la «Televisión autoritaria», «Crónica de los inicios de Andalucía», «Las cámaras, primeros testigos», «Memoria de reporteros», «La familia España y la imagen de Málaga», «El cambio televisivo: la programación territorial», «Trágica transición en Andalucía», «La noche del transistor» y «La duda andaluza, entre TVE y Canal Sur».
Además, el volumen cuenta con un prólogo del director general de RTVA, Pablo Carrasco.

Antonio Torres

Antonio Torres Flores, natural de Los Gallardos (Almería), es un periodista vocacional. Doctor en Ciencias de la Información por la Universidad Complutense y actual director territorial de Radio Televisión de Andalucía (RTVA) en Almería, ha trabajado para Ideal, Diario16, El País, La Voz de Almería, Antena 3, Radio Almería y RNE. Diplomado en Profesorado de EGB, especialidad Filología Inglesa, ha ejercido durante tres años como profesor asociado en la Facultad de Comunicación y Documentación de la Universidad de Granada e imparte clases para futuros doctores en la Universidad de Almería. Torres ha escrito: «Mujeres de palabra» (2011), «Soñar la radio», (Sevilla, 2004), «Una historia de la radio de Almería» (1996) y «Los primeros ojos de Andalucía. Génesis de la televisión en Andalucía», editado por la Editorial Universidad de Granada (eug). Es coautor de una decena de libros, como «Mujeres del Mediterráneo» (2006) o «Pensar la Imagen» (2006), sin olvidar un trabajo sobre «El voyeurismo en televisión». Ha participado en obras colectivas como «Almería 2005», «Manuel del Águila», «La Alpujarra mediática», entre otros muchos. Es coautor de la biografía de la poeta, periodista y escritora almeriense fallecida en el exilio María Enciso, del «Diccionario Biográfico de Almería» (2009), de la «Enciclopedia General de Andalucía» (2004) y de «Crónica de un sueño. Memoria de la Transición» (2006), entre otros títulos. En revistas especializadas como «Andalucía en la historia» ha publicado la crónica sobre el accidente nuclear de Palomares y una «Historia de la radio en Andalucía». Es el autor del prólogo de «Autores diversos». Publicó Ética para la representación mediática. Una apuesta educativa», en «Educación para la convivencia intercultural» (Madrid, 2007), dentro del libro de la profesora Encarna Soriano. Torres ha participado en una decena de documentales y largometrajes como «El crimen de una novia» basado en «Bodas de sangre». De los premios recibidos siente especial adoración por el de «Vecino de Honor» del auténtico barrio de «La Chanca» y que comparte con Juan Goytisolo y José Ángel Valente.

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Presentación del libro ‘Los primeros ojos de Andalucía. Génesis de la televisión en Andalucía’

El acto, en el que intervendrá el autor, Antonio Torres, director de Canal Sur en Almería, será presentado por el periodista Andrés Cárdenas, en el Salón de Actos de la Facultad de Comunicación y Documentación de la UGR, el jueves, 17 de enero de 2013, a las 19 horas

El director de Canal Sur en Almería, Antonio Torres Flores, presentará el jueves, 17 de enero de 2013, a las 19 horas, en el Salón de Actos de la Facultad de Comunicación y Documentación de la UGR, su libro «Los primeros ojos de Andalucía. Génesis de la televisión en Andalucía», editado por la Editorial Universidad de Granada (eug).

Al acto asistirán, entre otros, Domingo Toledo, uno de los primeros cámaras de Granada y también uno de los primeros reporteros andaluces que viajaron al extranjero junto al desaparecido Luis Carranza, natural de Benalúa de Guadix. Se hablará de Tico Medina, de Josefina Carabias –la primera periodista que entró como redactora en la Radio y que escribió para Ideal la crónica de la primera boda mediática de Balduino y Fabiola–, de Eduardo Castro, del cámara López Murcia, del productor Francis Romacho y de la primera mujer que llegó a la dirección de TVE en Andalucía, Pity Alarcón, natural de Guadix. Se hablará, en fin, del presente y del futuro de la televisión. El acto, que presidirá el decano de la Facultad de Comunicación y Documentación, Antonio Ángel Ruiz Rodríguez, contará con la presencia de la directora de la Editorial Universidad de Granada, M.ª Isabel Cabrera y será presentado por el periodista de Ideal Andrés Cárdenas.

Los primeros ojos de Andalucía fueron los operadores de cámara, reporteros, personas visionarias que creyeron desde el principio en la televisión. En aquellos años de hambre y silencio, se puede considerar al escritor y periodista Alfonso Contreras Rosado (Sevilla, 1920-1994) como el primer profesional que aplicó las sinergias, compatibilizando su puesto de locutor en RNE con el de operador de cámara. La nómina de cámaras la siguieron el empleado de Tabacalera José Luis Bustamante de Miguel (Potes, 1921-Sevilla, 1999), Roberto Dorado Quesada (Villanueva del Río y Minas, 1923-Sevilla, 2012), José Narbona (hermano del primer director de «Telesur» Francisco Narbona) y José Luis, el hijo de Bustamante.
José González (Cádiz, 1920) fue el primer ojo que tuvo TVE en Cádiz.
Envió una prueba del trofeo Carranza de 1959 y se quedó. El testigo de la agonía del torero «Paquirri», Antonio Salmoral (Córdoba, 1934-1987), el cámara de toda la vida televisiva de Córdoba, obtuvo un premio Ondas. Armando López Murcia (Granada, 1925-1987) filmó a la gente más sencilla para captar la esencia de ser granadino, como diría Ramos Espejo. El hijo del fotógrafo Rodri, Pedro Rodríguez González, dejó la cámara por la Alcaldía de Huelva. En Jaén, para Higinio Montes, el éxito consiste en estar siempre disponible. Se nota que hay corresponsal de TVE en Málaga, así tituló el diario «La Tarde». Manuel España es el profesional que más noticias ha ofrecido desde 1963. Almería le dedicó una calle a Antonio Cano (Serón, 1917-Almería, 1983).

«El objetivo de este trabajo –afirma el autor– es analizar los orígenes de la televisión en Andalucía, centrándonos principalmente en los cámaras, profesionales que poseen un mérito incuestionable. Además, recogemos valoraciones inéditas de reconocidos periodistas sobre estos primeros cámaras andaluces. Finalmente, reflexionamos sobre el cambio que ha sufrido el periodismo en apenas medio siglo, como consecuencia de la expansión, por un lado, de nuevas tecnologías, y, por el otro, de Internet, que en estos momentos es el medio de comunicación por antonomasia. Los primeros rostros populares de la televisión fueron los del desaparecido Jesús Álvarez, de Blanca Álvarez y de la andaluza Laura Valenzuela. Los expertos consideran el periodo 1962-1969 como el de la consolidación de la televisión dentro del régimen dictatorial. Una imagen que nos dejó el carácter de tres grandes hombres como Adolfo Suárez y los desaparecidos Gutiérrez Mellado y Santiago Carrillo, aguantando de pie el ¡Quieto todo el mundo!, expresión del triste guardia civil golpista Tejero. El desaparecido Pedro Francisco Martín ha pasado a la historia y, en cambio, en noviembre de 2012, todavía no pudimos recoger una imagen suya ni un obituario que se hubiera publicado en periódicos. Recibió un homenaje póstumo de la Academia de la Televisión, en 2008, y su trabajo ha pasado a la historia de España y de la televisión. Fue el único cámara de los presentes en el hemiciclo que siguió grabando tras el asalto de los golpistas. No intentes tocar la cámara, que te mato. No quiero ver imagen. Desenchufa eso, exhortaba un golpista a los técnicos Carlos Arias y Ángel Flores. Podemos verlo en el reportaje de Pedro Esquicia El 23-F en TVE. Es en este documental donde aparece insertada una foto con Pedro Francisco Martín, lástima que nadie le entrevistara antes de fallecer. Después de apagarla, el guardia civil destrozó el objetivo con la boca de su fusil. En otro punto Pedro Francisco Martín engañaba a los asaltantes anulando el chivato rojo que indica que el aparato está operativo. Gracias a esa artimaña, en Prado del Rey asistían en directo a lo que estaba sucediendo en el Congreso. TVE no pudo transmitirlo en directo a los hogares, pero su director general, Fernando Castedo, grabó una copia en vídeo para que todos supiéramos lo que había ocurrido. La puso a buen recaudo, bajo el cojín rajado de su silla, y permaneció sentado sobre ella incubando la información.

El futuro tendremos que trazarlo y escribirlo entre todos. Y los reporteros escriben sus crónicas desde el lugar de la noticia con la inseparable cámara».
Con más de 300 páginas, e ilustrado con fotografías agrupadas en un cuadernillo central de 18 páginas, el libro se divide en nueve capítulos en los que se da cuenta de la «Televisión autoritaria», «Crónica de los inicios de Andalucía», «Las cámaras, primeros testigos», «Memoria de reporteros», «La familia España y la imagen de Málaga», «El cambio televisivo: la programación territorial», «Trágica transición en Andalucía», «La noche del transistor» y «La duda andaluza, entre TVE y Canal Sur».
Además, el volumen cuenta con un prólogo del director general de RTVA, Pablo Carrasco.

Antonio Torres

Antonio Torres Flores, natural de Los Gallardos (Almería), es un periodista vocacional. Doctor en Ciencias de la Información por la Universidad Complutense y actual director territorial de Radio Televisión de Andalucía (RTVA) en Almería, ha trabajado para Ideal, Diario16, El País, La Voz de Almería, Antena 3, Radio Almería y RNE. Diplomado en Profesorado de EGB, especialidad Filología Inglesa, ha ejercido durante tres años como profesor asociado en la Facultad de Comunicación y Documentación de la Universidad de Granada e imparte clases para futuros doctores en la Universidad de Almería. Torres ha escrito: «Mujeres de palabra» (2011), «Soñar la radio», (Sevilla, 2004), «Una historia de la radio de Almería» (1996) y «Los primeros ojos de Andalucía. Génesis de la televisión en Andalucía», editado por la Editorial Universidad de Granada (eug). Es coautor de una decena de libros, como «Mujeres del Mediterráneo» (2006) o «Pensar la Imagen» (2006), sin olvidar un trabajo sobre «El voyeurismo en televisión». Ha participado en obras colectivas como «Almería 2005», «Manuel del Águila», «La Alpujarra mediática», entre otros muchos. Es coautor de la biografía de la poeta, periodista y escritora almeriense fallecida en el exilio María Enciso, del «Diccionario Biográfico de Almería» (2009), de la «Enciclopedia General de Andalucía» (2004) y de «Crónica de un sueño. Memoria de la Transición» (2006), entre otros títulos. En revistas especializadas como «Andalucía en la historia» ha publicado la crónica sobre el accidente nuclear de Palomares y una «Historia de la radio en Andalucía». Es el autor del prólogo de «Autores diversos». Publicó Ética para la representación mediática. Una apuesta educativa», en «Educación para la convivencia intercultural» (Madrid, 2007), dentro del libro de la profesora Encarna Soriano. Torres ha participado en una decena de documentales y largometrajes como «El crimen de una novia» basado en «Bodas de sangre». De los premios recibidos siente especial adoración por el de «Vecino de Honor» del auténtico barrio de «La Chanca» y que comparte con Juan Goytisolo y José Ángel Valente.

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Firma De Convenio Entre El Festival Internacional De Música Y Danza De Granada Y La UGR

El próximo jueves, 17 de enero, a las 11 h. Francisco González Lodeiro, rector de la Universidad de Granada, y Diego Martínez Martínez, director del Festival Internacional de Música y Danza de Granada, firmarán un convenio de colaboración para la organización conjunta de los Cursos Internacionales Manuel de Falla, y presentarán un avance de la programación de la 44 edición de los mismos.

Asistentes:

Francisco González Lodeiro, rector de la Universidad de Granada.
José Torres Hurtado, alcalde de Granada y presidente del Consejo Rector del Festival.
Mª José Sánchez Rubio, delegada del Gobierno de la Junta de Andalucía en Granada.
Santiago Pérez López, subdelegado del Gobierno en Granada.
José Francisco Tarifa Sánchez, diputado de Turismo de la Diputación de Granada.
Diego Martínez Martínez, director del Festival Internacional de Música y Danza de Granada.
Este convenio de colaboración profundiza en la estrecha relación que la Universidad de Granada ha mantenido con el Festival desde sus inicios, especialmente a través de los Cursos Manuel de Falla, colaborando en la organización y validación académica de los mismos. A partir de ahora, esta colaboración se incrementará con la designación de un director académico para la reorganización, revisión de contenidos y programación de los Cursos.

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