La vision de corps féminins minces est plus agréable aux hommes qu’aux femmes

  • Des scientifiques de l’Université de Grenade évaluent au niveau subjectif et psychophysiologique les émotions immédiates que provoque la visualisation d’images de différents types de corps féminins chez des hommes et des femmes.
  • Les femmes avec boulimie nerveuse réagissent face à leur propre corps comme s’il s’agissait d’un stimulus phobique, provoquant une réponse psychophysique de paralysie motrice lorsqu’elles se voient en photo ou en vidéo.

Une étude réalisée à l’Université de Grenade a démontré scientifiquement que les hommes estiment plus la minceur féminine que les propres femmes, et que le surpoids féminin leur semble moins plaisant et attrayant. De plus, les femmes insatisfaites avec leur corps se différencient de celles qui sont satisfaites en ce qu’elles perçoivent leur corps de femme « normale » (un poids adéquat et sain) comme un stimulus menaçant. La vision de ce genre de corps leur provoque des sentiments de contrariété, d’activation et de manque de contrôle, vu qu’elles sentent qu’elles ne peuvent pas contrôler leur propre corps de sorte qu’il soit celui qu’elles veulent vraiment posséder.

Cette recherche, réalisée par des chercheurs du Département de Personnalité, d’Évaluation et de Traitement Psychologique de l’Université de Grenade, a vérifié que les femmes présentant une insatisfaction corporelle élevée ressentent du malaise et de la honte lorsqu’elles visualisent des photographies de leur propre corps, spécialement lorsque dans ces photographies elles imitent des poses de mannequins professionnels. De plus, les femmes avec boulimie nerveuse ayant participé à cette étude ont réagi face à leur corps enregistré par vidéo « comme si leur propre corps était un stimulus phobique, présentant une réponse de paralysie ou d’immobilité motrice et un intense accrochage attentionnel propre de l’état de congélation dans lequel elles semblent se submerger. »

Étude avec 671 étudiantes universitaires

Pour mener à bien ce travail, ses auteurs ont réalisé quatre études expérimentales avec 671 étudiants universitaires : 550 dans les deux premières études (408 femmes et 142 hommes), 61 dans la troisième (28 femmes hautement insatisfaites et 33 à basse insatisfaction) et 60 dans la quatrième (30 femmes saines et satisfaites de leur corps et 30 présentant une boulimie nerveuse et insatisfaites de leur corps).
Tel que l’explique Blanca Ortega-Roldán Oliva, une des auteures de cette recherche, les corps féminins de mannequins professionnels avec un poids normal furent « les plus valorisés par les hommes et les femmes, chez qui ils ont provoqué des émotions agréables, une activation élevée et un contrôle bas. C’est-à-dire que ces corps au poids normal, tout en résultant plus attrayants et activants, provoquèrent une sensation de manque de contrôle vu qu’ils furent évalués comme des corps difficiles à obtenir, voire impossibles. »

D’autre part, les chercheurs ont vérifié que les femmes présentant une insatisfaction corporelle élevée voient négativement des corps de mannequins normaux, les valorisant émotionnellement « peu agréables, peu attrayants et hautement inatteignables (perception de contrôle bas) ». À son avis, ceci se doit à ce que ces jeunes femmes « ne sont pas capables de valoriser les images telles qu’elles sont et que, dans l’évaluation de leur perception émotionnelle, ce genre d’images reflète implicitement leur propre sentiment par le fait de se comparer à elles ». Ainsi, voir des images de modèles normaux provoque que les femmes insatisfaites avec leur propre corps activent des processus de comparaison corporelle et se sentent mal.

La femme espagnole idéale

En vue des résultats de cette étude, les chercheurs de l’Université de Grenade ont démontré que le genre de femme idéale espagnole ne coïncide pas avec l’idéal de beauté mince que propose les médias et qui sont actuellement un référent esthétique et social. Par contre, « ce sont les corps féminins de mannequins à poids normal et sain les préférés des hommes et des femmes espagnols ». Tel que le proposent ces chercheurs, cette évidence « devrait être tenue en compte par l’industrie publicitaire et de la mode, ainsi que par les gouvernements, afin de fomenter une image de la femme qui aide à prévenir la croissante incidence de l’insatisfaction corporelle et les problèmes alimentaires associés. »

De plus, la pression sociale exercée sur les femmes pour qu’elles soient minces pourrait provenir surtout des hommes, vu qu’ils préfèrent la minceur féminine et stigmatisent plus l’obésité. « Ainsi s’avère la nécessité de tenir compte des résultats de cette étude dans les programmes dirigés à prévenir l’insatisfaction corporelle féminine », conclut Mme Ortega-Roldán.

 

Sur l’image adjointe, les membres du groupe de recherche « Psychophysiologie humaine » de l’Université de Grenade, et auteurs de ce travail.

Contact : Blanca Ortega-Roldán Oliva. Département de Personnalité, d’Évaluation et de Traitement Psychologique de l’Université de Grenade. Tél. : 958243753 ; courriel : bortega@ugr.es


Female Thin Bodies Like Men More than Women

  • Researchers at the University of Granada examined immediate emotions –in subjective and psychophysiological terms– after being shown different male and female bodies.
  • When women with bulimia nervosa see their own body they react as if it was a phobic stimulus. Thus, when these women see themselves in a picture or video they experience motor paralysis as a psychophysiological response.

A study conducted at the University of Granada has demonstrated that men like female thinness more than women and they find female overweight more unpleasant than women. In addition, the study revealed that women who are not comfortable with their body perceive women with a “normal” body –i.e. women with a healthy weight– as a threat. Specifically, when these women see a “normal” body they experience feelings of displeasure and lack of control, since they feel they have not any control on their own body and cannot make it be as they want.

This research study was conducted by researchers at the Department of Personality, Evaluation and Psychological Treatment of the University of Granada. The authors found that women who are not comfortable with their body feel embarrassed and uneasy when they see themselves in a picture or video, especially if they are imitating the poses of a professional model.

A Study in 671 University Students

To carry out this study, the researchers performed four experimental studies with university students. As many as 671 students participated in the study. A total of 550 students participated in the first two studies (408 women and 142 men), 61 participated in the third study (28 women highly discomforted with their body and 33 moderately unsatisfied with their body) and 60 in the fourth study (30 healthy women satisfied with their body and 30 women with bulimia nervosa unsatisfied with their body).

Blanca Ortega-Roldán Oliva –one of the authors of this study– explained that the bodies that most like men and women are those of professional female models with a normal weight. “Men and women found these bodies highly pleasing and stimulating, although they made them feel a lack of control. This means that a sexy and stimulating body makes people feel a lack of control, as these bodies are considered difficult to attain or even unattainable”.

On the other hand, the study revealed that the body of a model with a normal weight negatively affects women that are highly unsatisfied with their body. Thus, unsatisfied women consider these bodies “unpleasant, very activating and unattainable (perception of lack of control)”. The reason for this perception is that these women cannot objectively evaluate a normal body in emotional terms, since they cannot avoid comparing themselves with it. This makes them feel upset, as they feel their body does not meet their beauty standards.

The Ideal Woman in Spain

In the light of the results of this study, the University of Granada researchers have demonstrated that the ideal woman in Spain does not coincide with that proposed by the media, which is currently the aesthetic and social standard. Thus, “Spanish men and women prefer the bodies of healthy models with normal weight”. This fact “should be taken into account by the advertising and fashion industry and governments, so that they help prevent the growing incidence of body dissatisfaction and the associated eating disorders”, the researchers recommend.

Finally, social pressure on women’s body might come from men, since they prefer thin women and stigmatize female obesity more than women. “Therefore, the conclusions drawn in this study should have an impact on programs aimed at preventing body dissatisfaction among women”, Ortega-Roldán concludes.

In the picture, the members of the University of Granada research group “Psychophysiology”.

Contacting person:
Blanca Ortega-Roldán Oliva
Department of Personality, Evaluation and Psychological Treatment of the University of Granada
Phone number:+34 958 24 37 53 
E-mail address: bortega@ugr.es

 


Female Thin Bodies Like Men More than Women

  • Researchers at the University of Granada examined immediate emotions –in subjective and psychophysiological terms– after being shown different male and female bodies.
  • When women with bulimia nervosa see their own body they react as if it was a phobic stimulus. Thus, when these women see themselves in a picture or video they experience motor paralysis as a psychophysiological response.

A study conducted at the University of Granada has demonstrated that men like female thinness more than women and they find female overweight more unpleasant than women. In addition, the study revealed that women who are not comfortable with their body perceive women with a “normal” body –i.e. women with a healthy weight– as a threat. Specifically, when these women see a “normal” body they experience feelings of displeasure and lack of control, since they feel they have not any control on their own body and cannot make it be as they want.

This research study was conducted by researchers at the Department of Personality, Evaluation and Psychological Treatment of the University of Granada. The authors found that women who are not comfortable with their body feel embarrassed and uneasy when they see themselves in a picture or video, especially if they are imitating the poses of a professional model.

A Study in 671 University Students

To carry out this study, the researchers performed four experimental studies with university students. As many as 671 students participated in the study. A total of 550 students participated in the first two studies (408 women and 142 men), 61 participated in the third study (28 women highly discomforted with their body and 33 moderately unsatisfied with their body) and 60 in the fourth study (30 healthy women satisfied with their body and 30 women with bulimia nervosa unsatisfied with their body).

Blanca Ortega-Roldán Oliva –one of the authors of this study– explained that the bodies that most like men and women are those of professional female models with a normal weight. “Men and women found these bodies highly pleasing and stimulating, although they made them feel a lack of control. This means that a sexy and stimulating body makes people feel a lack of control, as these bodies are considered difficult to attain or even unattainable”.

On the other hand, the study revealed that the body of a model with a normal weight negatively affects women that are highly unsatisfied with their body. Thus, unsatisfied women consider these bodies “unpleasant, very activating and unattainable (perception of lack of control)”. The reason for this perception is that these women cannot objectively evaluate a normal body in emotional terms, since they cannot avoid comparing themselves with it. This makes them feel upset, as they feel their body does not meet their beauty standards.

The Ideal Woman in Spain

In the light of the results of this study, the University of Granada researchers have demonstrated that the ideal woman in Spain does not coincide with that proposed by the media, which is currently the aesthetic and social standard. Thus, “Spanish men and women prefer the bodies of healthy models with normal weight”. This fact “should be taken into account by the advertising and fashion industry and governments, so that they help prevent the growing incidence of body dissatisfaction and the associated eating disorders”, the researchers recommend.

Finally, social pressure on women’s body might come from men, since they prefer thin women and stigmatize female obesity more than women. “Therefore, the conclusions drawn in this study should have an impact on programs aimed at preventing body dissatisfaction among women”, Ortega-Roldán concludes.

In the picture, the members of the University of Granada research group “Psychophysiology”.

Contacting person:
Blanca Ortega-Roldán Oliva
Department of Personality, Evaluation and Psychological Treatment of the University of Granada
Phone number:+34 958 24 37 53 
E-mail address: bortega@ugr.es

 


“La novela histórica y sus implicaciones didácticas en el estudio de la Historia”, conferencia de Jesús Sánchez Adalid

  • Lunes 28 de enero, a las 10,30 h., en el Aula Magna de la Facultad de Ciencias de la Educación

El próximo lunes 28 de enero, a las 10,30 h., en el Aula Magna de la Facultad de Ciencias de la Educación se ofrecerá la conferencia “La novela histórica y sus implicaciones didácticas en el estudio de la Historia”, por Jesús Sánchez Adalid.

Jesús Sánchez Adalid recibió en 2012 el Premio de “Novela Histórica Alfonso X El Sabio” en su undécima edición con su novela “Alcazaba”, tras haber sido acreedor en 2007 del premio “Fernando Lara” por su novela “El alma de la ciudad”.

Cuenta este autor con una amplia y original obra literaria mediante la cual ha conectado con una variada multitud de lectores gracias a la veracidad de sus argumentos y a la intensidad de sus descripciones, que se sustentan en la observación y la documentación.

Sus novelas constituyen una penetrante reflexión acerca de las relaciones humanas, la libertad, el amor, el poder, y la búsqueda de la verdad. Ha publicado con gran éxito “La luz del Oriente”, “El mozárabe, Félix de Lusitania”, “La tierra sin mal”, “En compañía del sol”, “El cautivo”, “La sublime puerta”, “El caballero de Alcántara”, “Los milagros del vino” y “Galeón”.

  • Lugar: Aula Magna, Facultad de Ciencias de la Educación
  • Fecha: 28 de enero de 2012
  • Hora: 10:30 h
  • Coordina: Andrés Palma (andrespalma@ugr.es)

Organiza: Vicedecanato de Estudiantes y Extensión Universitaria, Facultad de Ciencias de la Educación (vicestudiantesfce@ugr.es)


“La novela histórica y sus implicaciones didácticas en el estudio de la Historia”, conferencia de Jesús Sánchez Adalid

  • Lunes 28 de enero, a las 10,30 h., en el Aula Magna de la Facultad de Ciencias de la Educación

El próximo lunes 28 de enero, a las 10,30 h., en el Aula Magna de la Facultad de Ciencias de la Educación se ofrecerá la conferencia “La novela histórica y sus implicaciones didácticas en el estudio de la Historia”, por Jesús Sánchez Adalid.

Jesús Sánchez Adalid recibió en 2012 el Premio de “Novela Histórica Alfonso X El Sabio” en su undécima edición con su novela “Alcazaba”, tras haber sido acreedor en 2007 del premio “Fernando Lara” por su novela “El alma de la ciudad”.

Cuenta este autor con una amplia y original obra literaria mediante la cual ha conectado con una variada multitud de lectores gracias a la veracidad de sus argumentos y a la intensidad de sus descripciones, que se sustentan en la observación y la documentación.

Sus novelas constituyen una penetrante reflexión acerca de las relaciones humanas, la libertad, el amor, el poder, y la búsqueda de la verdad. Ha publicado con gran éxito “La luz del Oriente”, “El mozárabe, Félix de Lusitania”, “La tierra sin mal”, “En compañía del sol”, “El cautivo”, “La sublime puerta”, “El caballero de Alcántara”, “Los milagros del vino” y “Galeón”.

  • Lugar: Aula Magna, Facultad de Ciencias de la Educación
  • Fecha: 28 de enero de 2012
  • Hora: 10:30 h
  • Coordina: Andrés Palma (andrespalma@ugr.es)

Organiza: Vicedecanato de Estudiantes y Extensión Universitaria, Facultad de Ciencias de la Educación (vicestudiantesfce@ugr.es)


La UGR publica un manual sobre una calculadora gráfica de gran utilidad

El libro se centra en el manejo de las operaciones de cálculo que se pueden hacer con la HP 50G.
La Editorial Universidad de Granada publica un manual sobre la calculadora gráfica HP 50G, obra de los profesores Juan Carlos González Rodríguez y Pedro González Rodelas. Los autores aspiran con este libro, que cuenta con detallados contenidos y ejemplos pensados para un usuario poco experimentado, a simplificar el uso de esta calculadora tan útil para el estudiante.
El manual no prende en modo alguno, según los autores, sustituir a la guía del usuario, sino dotar al alumno de la destreza necesaria para el uso de este instrumento.
El volumen de 185 páginas se divide en once capítulos, todos ellos de contenido técnico, a excepción del capítulo uno, que se refiere a la presentación de la calculadora y los conceptos básicos. Se trata, pues, en el manual de la configuración del modo operativo de la calculadora, indicadores del sistema, resoluciones de ecuaciones e inecuaciones, cálculo de integrales, derivadas y límites, operaciones con números complejos, resolución de sistemas de ecuaciones y muchas más operaciones de cálculo.
Ilustrado con numerosos gráficos y fotos de los menús de la calculadora, el presente volumen debe también parte de su génesis a algunos textos redactados y empleados como material de apoyo de varios cursos complementarios de formación, impartidos por el profesor Juan Carlos González Rodríguez en la ETS de Ingeniería de Caminos, Canales y Puertos de la UGR, en los últimos años.
Descargar


La UGR publica un manual sobre una calculadora gráfica de gran utilidad

El libro se centra en el manejo de las operaciones de cálculo que se pueden hacer con la HP 50G.
La Editorial Universidad de Granada publica un manual sobre la calculadora gráfica HP 50G, obra de los profesores Juan Carlos González Rodríguez y Pedro González Rodelas. Los autores aspiran con este libro, que cuenta con detallados contenidos y ejemplos pensados para un usuario poco experimentado, a simplificar el uso de esta calculadora tan útil para el estudiante.
El manual no prende en modo alguno, según los autores, sustituir a la guía del usuario, sino dotar al alumno de la destreza necesaria para el uso de este instrumento.
El volumen de 185 páginas se divide en once capítulos, todos ellos de contenido técnico, a excepción del capítulo uno, que se refiere a la presentación de la calculadora y los conceptos básicos. Se trata, pues, en el manual de la configuración del modo operativo de la calculadora, indicadores del sistema, resoluciones de ecuaciones e inecuaciones, cálculo de integrales, derivadas y límites, operaciones con números complejos, resolución de sistemas de ecuaciones y muchas más operaciones de cálculo.
Ilustrado con numerosos gráficos y fotos de los menús de la calculadora, el presente volumen debe también parte de su génesis a algunos textos redactados y empleados como material de apoyo de varios cursos complementarios de formación, impartidos por el profesor Juan Carlos González Rodríguez en la ETS de Ingeniería de Caminos, Canales y Puertos de la UGR, en los últimos años.
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El Gobierno reduce la financiación de la ciencia al retrasar pagos

Los equipos científicos, para obtener la financiación pública, proponen sus proyectos de investigación y, tras la evaluación minuciosa de los mismos, reciben la respuesta de aprobación o denegación. Este sistema es el eje fundamental de la actividad científica en España. Pues bien, en la última convocatoria, ahora resuelta, el Gobierno ha reducido a 309 millones la cuantía total adjudicada a los proyectos (incluyendo unos 40 de fondos europeos), frente a 384 millones en la convocatoria anterior (19,5% menos). Además, una desagradable sorpresa ha saltado en el último momento para la mayor parte de las 3.182 propuestas aprobadas: según el BOE de ayer, los investigadores recibirán el dinero en cuatro años en vez de tres, como se venía haciendo en el sistema de I+D y como especificó la convocatoria oficial (31 de diciembre de 2011).

 

El efecto es demoledor para la inmensa mayoría de los científicos, como si a una familia que cuenta con un presupuesto fijo para tres años le dicen, de repente, que tiene que estirar esa cuantía hasta cuatro años. La medida es tan de última hora que en el comunicado de prensa del pasado 8 de enero, la Secretaría de Estado de I+D+i (Ministerio de Economía, Mineco) especificaba: «Esta convocatoria competitiva resuelve la financiación de 3.282 proyectos de investigación durante los próximos tres años».

El portavoz de dicha Secretaría de Estado explicó ayer a EL PAÍS que «hay una cuarta anualidad por los límites que marcan los presupuestos \[del Estado\], pero se va a intentar pasar la cuarta anualidad a la primera, o a la segunda o la tercera». Por ahora, y pendientes de la «intención» del ministerio, los científicos tienen que cumplir los proyectos en los tres años estipulados, recalcó el portavoz, pero cobrando en cuatro según indica el BOE de ayer.

El Ministerio dice que «intentará» acortar los plazos ahora dilatados
El presupuesto del Fondo Nacional de I+D, con el que se financian los proyectos del Plan Nacional y los contratos Ramón y Cajal y Juan de la Cierva, entre otras cosas, ha caído desde 547 millones en 2009, a 342 millones en 2012 y 273 millones este año, según datos de la Confederación de Sociedades Científicas de España (COSCE). Los investigadores tienen que justificar estrictamente el uso del dinero recibido.

Todavía había otro revés para los investigadores en el BOE de ayer. El dinero asignado a cada proyecto se venía repartiendo entre las tres anualidades dando mayor peso al primer plazo ya que, normalmente, los laboratorios necesitan financiación para arrancar el trabajo. La fórmula 40%/40%/20% se consideraba apropiada, aunque algunos años la anualidad inicial fue mayor.

Sin embargo, en esta última convocatoria, resuelta a finales de 2012, se aprecia en la lista oficial publicada que en la mayoría de los casos, el pago de 2013 (primera anualidad) no llega al 10%; aumenta en 2014 y 2015 y concluye con aproximadamente el 20% en el cuarto año.

«Esto supone dejar a los investigadores con muy pocos recursos, con lo cual, los que habían hecho su planificación y necesitan recursos y equipos para arrancar, verán retrasado su trabajo en un año», comentó Carlos Andrada, presidente de la COSCE. El ministerio, añadió, «no tiene liquidez y ha optado por la huida hacia adelante».

La falta de convocatoria para 2013 amenaza con un año muerto
Una práctica habitual hasta ahora es que las instituciones, una vez que se han asignado oficialmente las subvenciones de los proyectos, adelantan a los científicos dinero si lo necesitan. Con solo un 10% del total de financiación para empezar, sobre todo los grupos menos consolidados, muchos contarían con ese adelanto este año. Pero las arcas de las instituciones están vacías.

«La Universidad española logra en torno al 50% de los proyectos del Plan Nacional», explicó José Manuel Roldán, rector de la Universidad de Córdoba y presidente de la Comisión de Investigación y Desarrollo (I+D) de la Conferencia de Rectores de las Universidades Españolas (CRUE). «Estamos en una situación de recortes muy serios y ese 10% queda muy bajo. En cuanto a adelantar el dinero de los proyectos, las Universidades no estamos en absoluto en disposición de poder hacerlo, como antes hacían».

Los investigadores del Consejo Superior de Investigaciones Científicas (CSIC) obtienen en torno al 25% de los proyectos. «Tampoco nosotros estamos en condiciones de adelantar el dinero a los proyectos», afirma la portavoz de esta institución. «Y esto puede tener un impacto negativo por dificultar el trabajo de los científicos». En el CSIC, además, llueve sobre mojado, ya que necesita que le transfieran 100 millones de euros (otros 50 los puede ahorrar con su plan de ajuste) para mantenerse en funcionamiento.

Solo los proyectos cofinanciados con dinero europeo (de las autonomías que reciben fondos FEDER) se ciñen a las tres anualidades que se especificaban en la convocatoria. Otros, de participación en programas internacionales, también reciben tres plazos o incluso uno solo, en algún caso. Así, la media de la primera anualidad, según el ministerio, es del 26%. Casi 6.000 equipos científicos solicitaron la subvención en esta convocatoria que se abrió en diciembre de 2011 y que ha tardado justo un año en resolverse.

Para agravar más aún la situación actual, el Mineco no ha sacado aún la siguiente convocatoria y la Secretaría de Estado dice ahora que intentará hacerlo antes de marzo, aunque todavía, a dos meses vista, no sabe con cuánto dinero contaría. Dado el dilatado proceso de evaluación y selección de los proyectos, en 2013 el Mineco podría ahorrarse la financiación de este pilar del sistema de ciencia español. «El Plan Nacional debería seguir siendo la joya de la corona del sistema de ciencia que ha sido», concluye Andrada.

Una nueva y única estrategia

La Secretaría de Estado de I+D+i ha anunciado la aprobación inminente en el Consejo de Ministros de la Nueva Estrategia Española de Ciencia, Tecnología e Innovación hasta 2020, que pretende la «promoción del talento de I+D+y y su empleabilidad; el impulso del liderazgo empresarial en I+D+i, el fomento de la investigación científica y técnica de excelencia y el fomento de las actividades de I+D+i orientadas a los retos globales de la sociedad», según especifica el Ministerio de Economía y Competitividad.
Es un documento en el que se ha venido trabajando en los últimos meses y que, ya en su preparación, ha recibido duras críticas desde la comunidad científica por su falta de atención a la investigación científica básica y su excesiva orientación hacia el sector privado empresarial.
La nueva estrategia se inscribe en la Ley de la Ciencia, la Tecnología y la Innovación, de 2010, pese a que en dicho texto legal se especifica, con articulado diferente, que se desarrollarán dos estrategias diferentes, una de Ciencia y Tecnología y otra de Innovación.
La Secretaría de Estado también ha anunciado el nuevo Plan Estatal de Investigación Científica y Técnica y de Innovación 2013-2916. El último plan (Nacional) terminó en 2011, pero se prorrogó un año más. Asimismo, el Mineco hace mención de la «futura» Agencia Estatal para la Investigación, que era objetivo prioritario declarado de la secretaria de Estado Carmen Vela hace un año y que todavía esta pendiente. La ley de 2010 estipuló un plazo de un año para crear este nuevo organismo esencial para la gestión eficaz del sistema de I+D, y ese plazo caducó en junio de 2012.

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El Gobierno reduce la financiación de la ciencia al retrasar pagos

Los equipos científicos, para obtener la financiación pública, proponen sus proyectos de investigación y, tras la evaluación minuciosa de los mismos, reciben la respuesta de aprobación o denegación. Este sistema es el eje fundamental de la actividad científica en España. Pues bien, en la última convocatoria, ahora resuelta, el Gobierno ha reducido a 309 millones la cuantía total adjudicada a los proyectos (incluyendo unos 40 de fondos europeos), frente a 384 millones en la convocatoria anterior (19,5% menos). Además, una desagradable sorpresa ha saltado en el último momento para la mayor parte de las 3.182 propuestas aprobadas: según el BOE de ayer, los investigadores recibirán el dinero en cuatro años en vez de tres, como se venía haciendo en el sistema de I+D y como especificó la convocatoria oficial (31 de diciembre de 2011).

 

El efecto es demoledor para la inmensa mayoría de los científicos, como si a una familia que cuenta con un presupuesto fijo para tres años le dicen, de repente, que tiene que estirar esa cuantía hasta cuatro años. La medida es tan de última hora que en el comunicado de prensa del pasado 8 de enero, la Secretaría de Estado de I+D+i (Ministerio de Economía, Mineco) especificaba: «Esta convocatoria competitiva resuelve la financiación de 3.282 proyectos de investigación durante los próximos tres años».

El portavoz de dicha Secretaría de Estado explicó ayer a EL PAÍS que «hay una cuarta anualidad por los límites que marcan los presupuestos \[del Estado\], pero se va a intentar pasar la cuarta anualidad a la primera, o a la segunda o la tercera». Por ahora, y pendientes de la «intención» del ministerio, los científicos tienen que cumplir los proyectos en los tres años estipulados, recalcó el portavoz, pero cobrando en cuatro según indica el BOE de ayer.

El Ministerio dice que «intentará» acortar los plazos ahora dilatados
El presupuesto del Fondo Nacional de I+D, con el que se financian los proyectos del Plan Nacional y los contratos Ramón y Cajal y Juan de la Cierva, entre otras cosas, ha caído desde 547 millones en 2009, a 342 millones en 2012 y 273 millones este año, según datos de la Confederación de Sociedades Científicas de España (COSCE). Los investigadores tienen que justificar estrictamente el uso del dinero recibido.

Todavía había otro revés para los investigadores en el BOE de ayer. El dinero asignado a cada proyecto se venía repartiendo entre las tres anualidades dando mayor peso al primer plazo ya que, normalmente, los laboratorios necesitan financiación para arrancar el trabajo. La fórmula 40%/40%/20% se consideraba apropiada, aunque algunos años la anualidad inicial fue mayor.

Sin embargo, en esta última convocatoria, resuelta a finales de 2012, se aprecia en la lista oficial publicada que en la mayoría de los casos, el pago de 2013 (primera anualidad) no llega al 10%; aumenta en 2014 y 2015 y concluye con aproximadamente el 20% en el cuarto año.

«Esto supone dejar a los investigadores con muy pocos recursos, con lo cual, los que habían hecho su planificación y necesitan recursos y equipos para arrancar, verán retrasado su trabajo en un año», comentó Carlos Andrada, presidente de la COSCE. El ministerio, añadió, «no tiene liquidez y ha optado por la huida hacia adelante».

La falta de convocatoria para 2013 amenaza con un año muerto
Una práctica habitual hasta ahora es que las instituciones, una vez que se han asignado oficialmente las subvenciones de los proyectos, adelantan a los científicos dinero si lo necesitan. Con solo un 10% del total de financiación para empezar, sobre todo los grupos menos consolidados, muchos contarían con ese adelanto este año. Pero las arcas de las instituciones están vacías.

«La Universidad española logra en torno al 50% de los proyectos del Plan Nacional», explicó José Manuel Roldán, rector de la Universidad de Córdoba y presidente de la Comisión de Investigación y Desarrollo (I+D) de la Conferencia de Rectores de las Universidades Españolas (CRUE). «Estamos en una situación de recortes muy serios y ese 10% queda muy bajo. En cuanto a adelantar el dinero de los proyectos, las Universidades no estamos en absoluto en disposición de poder hacerlo, como antes hacían».

Los investigadores del Consejo Superior de Investigaciones Científicas (CSIC) obtienen en torno al 25% de los proyectos. «Tampoco nosotros estamos en condiciones de adelantar el dinero a los proyectos», afirma la portavoz de esta institución. «Y esto puede tener un impacto negativo por dificultar el trabajo de los científicos». En el CSIC, además, llueve sobre mojado, ya que necesita que le transfieran 100 millones de euros (otros 50 los puede ahorrar con su plan de ajuste) para mantenerse en funcionamiento.

Solo los proyectos cofinanciados con dinero europeo (de las autonomías que reciben fondos FEDER) se ciñen a las tres anualidades que se especificaban en la convocatoria. Otros, de participación en programas internacionales, también reciben tres plazos o incluso uno solo, en algún caso. Así, la media de la primera anualidad, según el ministerio, es del 26%. Casi 6.000 equipos científicos solicitaron la subvención en esta convocatoria que se abrió en diciembre de 2011 y que ha tardado justo un año en resolverse.

Para agravar más aún la situación actual, el Mineco no ha sacado aún la siguiente convocatoria y la Secretaría de Estado dice ahora que intentará hacerlo antes de marzo, aunque todavía, a dos meses vista, no sabe con cuánto dinero contaría. Dado el dilatado proceso de evaluación y selección de los proyectos, en 2013 el Mineco podría ahorrarse la financiación de este pilar del sistema de ciencia español. «El Plan Nacional debería seguir siendo la joya de la corona del sistema de ciencia que ha sido», concluye Andrada.

Una nueva y única estrategia

La Secretaría de Estado de I+D+i ha anunciado la aprobación inminente en el Consejo de Ministros de la Nueva Estrategia Española de Ciencia, Tecnología e Innovación hasta 2020, que pretende la «promoción del talento de I+D+y y su empleabilidad; el impulso del liderazgo empresarial en I+D+i, el fomento de la investigación científica y técnica de excelencia y el fomento de las actividades de I+D+i orientadas a los retos globales de la sociedad», según especifica el Ministerio de Economía y Competitividad.
Es un documento en el que se ha venido trabajando en los últimos meses y que, ya en su preparación, ha recibido duras críticas desde la comunidad científica por su falta de atención a la investigación científica básica y su excesiva orientación hacia el sector privado empresarial.
La nueva estrategia se inscribe en la Ley de la Ciencia, la Tecnología y la Innovación, de 2010, pese a que en dicho texto legal se especifica, con articulado diferente, que se desarrollarán dos estrategias diferentes, una de Ciencia y Tecnología y otra de Innovación.
La Secretaría de Estado también ha anunciado el nuevo Plan Estatal de Investigación Científica y Técnica y de Innovación 2013-2916. El último plan (Nacional) terminó en 2011, pero se prorrogó un año más. Asimismo, el Mineco hace mención de la «futura» Agencia Estatal para la Investigación, que era objetivo prioritario declarado de la secretaria de Estado Carmen Vela hace un año y que todavía esta pendiente. La ley de 2010 estipuló un plazo de un año para crear este nuevo organismo esencial para la gestión eficaz del sistema de I+D, y ese plazo caducó en junio de 2012.

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GrinWeek, una semana en la UGR para el aprendizaje en Internet

  • Ya está abierto el plazo de inscripción, que es gratuita y abierta a todo el mundo

Del 11 a 15 de febrero se celebrará GrinWeek, una semana en la UGR para el aprendizaje abierto en Internet. GrinWeek es un evento abierto a toda la Universidad de Granada y a la ciudadanía en general en el que se pretende reflexionar y debatir sobre el empleo de la tecnología en el aprendizaje.

Según explica Esteban Romero, profesor del Departamento de Economía Financiera y Contabilidad de la Universidad de Granada, y coordinador de GrinWeek, “iniciamos las actividades del tercer año de vida del Grupo de Aprendizaje e Investigación en Internet (GrinUGR) de la Universidad de Granada con una semana de sesiones que hemos denominado GrinWeek con la temática ‘La Web Social en el aprendizaje’. También habrá oportunidad de diseñar proyectos y experimentar con herramientas online que pueden ser de utilidad para la docencia, la investigación y el aprendizaje autónomo.

GrinWeek surge de la colaboración del Grupo de Aprendizaje e Investigación en Internet de la Universidad de Granada y el Vicerrectorado para la Garantía de la Calidad. El vicerrectorado financia un curso para profesores con esta temática, permitiendo abrir las sesiones para la asistencia de otros interesados a través de las actividades que GrinUGR viene desarrollando desde 2011.

Se contará con la participación de los expertos David Alvarez, Fernando Trujillo, Daniel Torres, Esteban Romero y Mariano Hernán. Entre los temas que se abordarán destacan, entre otros: las formas de aprender en el siglo XXI, el papel de la Web Social en el aprendizaje y el desarrollo profesional, las redes personales de aprendizaje, el conocimiento abierto, y Web 2.0 y Ciencia. Para ello contamos con expertos con amplia experiencia en las materias a través del desarrollo de múltiples proyectos en red.

“Se trata de un evento abierto, libre, híbrido, distribuido, divertido, estimulante para aprender sobre aprendizaje, redes, tecnologías digitales, Internet” señalan los organizadores.

Ya está abierto el plazo de inscripción, que es gratuita y abierta a todo el mundo. Apúntate para asistir a todas o a algunas de las sesiones.

  • Fechas: del 11 al 15 de febrero.
  • Horario: de 16 a 20:30 horas.

Las sesiones pueden ser especialmente interesantes para:

  • Estudiantes y profesores en todos los niveles educativos así como con cualquier grado de experiencia con Internet.
  • Profesionales y personas en búsqueda de empleo con ganas de conocer nuevas formas de desarrollarse profesionalmente a través del aprendizaje apoyado con herramientas de Internet.
  • Personal de la UGR que no pueda acceder al curso a través de la inscripción oficial del Vicerrectorado.

Ciudadanos en general.

Profesorado:

  • Esteban Romero, profesor del Departamento de Economía Financiera y Contabilidad de la Universidad de Granada.
  • Fernando Trujillo Sáez, profesor en la Facultad de Educación y Humanidades de Ceuta de la Universidad de Granada.
  • David Álvarez, licenciado en Ciencias Exactas por la Universidad de Granada, experto en e-Learning por la Universidad de Sevilla y free-lance dedicado a la educación.
  • Mariano Hernán, profesor titular en la Escuela Andaluza de Salud Pública y vocal asesor del Consejo Andaluz de Asuntos de Menores.
  • Daniel Torres, técnico en la Universidad de Navarra, investigador dentro del Grupo EC3 de la Universidad de Granada y experto en comunicación científica.

Más información e inscripciones: http://bit.ly/GrinWeekw

Contacto: Esteban Romero Frías. Departamento de Economía Financiera y Contabilidad. Correo elec: erf@ugr.es. http://estebanromero.com/ Twitter: @polisea


GrinWeek, una semana en la UGR para el aprendizaje en Internet

  • Ya está abierto el plazo de inscripción, que es gratuita y abierta a todo el mundo

Del 11 a 15 de febrero se celebrará GrinWeek, una semana en la UGR para el aprendizaje abierto en Internet. GrinWeek es un evento abierto a toda la Universidad de Granada y a la ciudadanía en general en el que se pretende reflexionar y debatir sobre el empleo de la tecnología en el aprendizaje.

Según explica Esteban Romero, profesor del Departamento de Economía Financiera y Contabilidad de la Universidad de Granada, y coordinador de GrinWeek, “iniciamos las actividades del tercer año de vida del Grupo de Aprendizaje e Investigación en Internet (GrinUGR) de la Universidad de Granada con una semana de sesiones que hemos denominado GrinWeek con la temática ‘La Web Social en el aprendizaje’. También habrá oportunidad de diseñar proyectos y experimentar con herramientas online que pueden ser de utilidad para la docencia, la investigación y el aprendizaje autónomo.

GrinWeek surge de la colaboración del Grupo de Aprendizaje e Investigación en Internet de la Universidad de Granada y el Vicerrectorado para la Garantía de la Calidad. El vicerrectorado financia un curso para profesores con esta temática, permitiendo abrir las sesiones para la asistencia de otros interesados a través de las actividades que GrinUGR viene desarrollando desde 2011.

Se contará con la participación de los expertos David Alvarez, Fernando Trujillo, Daniel Torres, Esteban Romero y Mariano Hernán. Entre los temas que se abordarán destacan, entre otros: las formas de aprender en el siglo XXI, el papel de la Web Social en el aprendizaje y el desarrollo profesional, las redes personales de aprendizaje, el conocimiento abierto, y Web 2.0 y Ciencia. Para ello contamos con expertos con amplia experiencia en las materias a través del desarrollo de múltiples proyectos en red.

“Se trata de un evento abierto, libre, híbrido, distribuido, divertido, estimulante para aprender sobre aprendizaje, redes, tecnologías digitales, Internet” señalan los organizadores.

Ya está abierto el plazo de inscripción, que es gratuita y abierta a todo el mundo. Apúntate para asistir a todas o a algunas de las sesiones.

  • Fechas: del 11 al 15 de febrero.
  • Horario: de 16 a 20:30 horas.

Las sesiones pueden ser especialmente interesantes para:

  • Estudiantes y profesores en todos los niveles educativos así como con cualquier grado de experiencia con Internet.
  • Profesionales y personas en búsqueda de empleo con ganas de conocer nuevas formas de desarrollarse profesionalmente a través del aprendizaje apoyado con herramientas de Internet.
  • Personal de la UGR que no pueda acceder al curso a través de la inscripción oficial del Vicerrectorado.

Ciudadanos en general.

Profesorado:

  • Esteban Romero, profesor del Departamento de Economía Financiera y Contabilidad de la Universidad de Granada.
  • Fernando Trujillo Sáez, profesor en la Facultad de Educación y Humanidades de Ceuta de la Universidad de Granada.
  • David Álvarez, licenciado en Ciencias Exactas por la Universidad de Granada, experto en e-Learning por la Universidad de Sevilla y free-lance dedicado a la educación.
  • Mariano Hernán, profesor titular en la Escuela Andaluza de Salud Pública y vocal asesor del Consejo Andaluz de Asuntos de Menores.
  • Daniel Torres, técnico en la Universidad de Navarra, investigador dentro del Grupo EC3 de la Universidad de Granada y experto en comunicación científica.

Más información e inscripciones: http://bit.ly/GrinWeekw

Contacto: Esteban Romero Frías. Departamento de Economía Financiera y Contabilidad. Correo elec: erf@ugr.es. http://estebanromero.com/ Twitter: @polisea


Representantes de la cultura asisten a la presentación en Almuñécar de su programación para 2013

Elaborado por losprofesores Juan Carlos González Rodríguez y Pedro González Rodelas, ellibro aspira, con detallados contenidos y ejemplos, a simplificar eluso de esta calculadora tan útil para el estudiante
La Editorial Universidad de Granada(eug) ha publicado un manual sobre la calculadora gráfica HP 50G, obrade los profesores Juan Carlos González Rodríguez y Pedro GonzálezRodelas.

Los autores aspiran, con este libro, que cuenta con detalladoscontenidos y ejemplos pensados para un usuario poco experimentado, asimplificar el uso de esta calculadora tan útil para el estudiante.

El manual no pretende en modo alguno, según los autores, sustituira la guía del usuario, sino «dotar al alumno de la destreza necesariapara el uso de la calculadora».

El volumen, de 185 páginas, se divide en once capítulos, todosellos de contenido técnico, a excepción del capítulo uno, que serefiere a la presentación de la calculadora y los conceptos básicos. Setrata, pues, en el manual, de la configuración del modo operativo de lacalculadora, indicadores del sistema, resoluciones de ecuaciones einecuaciones, cálculo de integrales, derivadas y límites, operacionescon números complejos, resolución de sistemas de ecuaciones, etc.

Ilustrado con numerosos gráficos y fotos de los menús de lacalculadora, el presente volumen debe también parte de su génesis aalgunos textos redactados y empleados como material de apoyo de varioscursos complementarios de formación, impartidos por el profesor JuanCarlos González Rodríguez en la E.T.S. de Ingeniería de Caminos,Canales y Puertos de la UGR, durante los últimos cursos académicos.

Adquiera este libro en el sitio web de la EUG: http://sl.ugr.es/03eI

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