La UGR publica un libro sobre la televisión en Andalucía

  • Escrito por Antonio Torres Flores, director territorial de Canal Sur en Almería, el volumen es un recorrido por la televisión en la C. A. de Andalucía, desde los orígenes hasta nuestros días

Los primeros ojos de Andalucía. Génesis y evolución de la televisión en Andalucía es el título del libro escrito por el director territorial de Canal Sur en Almería, Antonio Torres Flores. Publicado por la Editorial Universidad de Granada (eug), con la colaboración de las empresas Bodegas Calar, y Cosentino.

Las personas que han hecho la televisión y las gentes de Andalucía son, en realidad, los protagonistas de este libro en el que el autor hace recuento histórico de la génesis, desarrollo y realidad actual de la televisión en Andalucía.

“Los primeros ojos de Andalucía –señala Antonio Torres– fueron los operadores de cámara, reporteros, personas visionarias que creyeron desde el principio en la televisión. En aquellos años de hambre y silencio se puede considerar al escritor y periodista Alfonso Contreras Rosado (Sevilla, 1920-1994) como el primer profesional que aplicó las sinergias, compatibilizando su puesto de locutor en RNE con el de operador de cámara”.

A partir de ese momento una larga retahíla de nombres dio forma a la televisión en Andalucía: el empleado de Tabacalera José Luis Bustamante de Miguel (Potes, 1921-Sevilla, 1999), Roberto Dorado Quesada (Villanueva del Río y Minas, 1923-Sevilla, 2012), José Narbona (hermano del primer director de “Telesur”, Francisco Narbona) y José Luis, el hijo de Bustamante.

José González (Cádiz, 1920) fue el primer ojo que tuvo TVE en Cádiz. “Envió una prueba –continúa el autor de libro– del trofeo Carranza de 1959 y se quedó. El testigo de la agonía del torero Paquirri. Antonio Salmoral (Córdoba, 1934-1987), el cámara de toda la vida televisiva de Córdoba, obtuvo un premio Ondas. Armando López Murcia (Granada, 1925-1987) filmó a la gente más sencilla para captar la esencia de ser granadino, como diría Ramos Espejo. El hijo del fotógrafo “Rodri”, Pedro Rodríguez González, dejó la cámara por la Alcaldía de Huelva. En Jaén, para Higinio Montes, el éxito consiste en estar siempre disponible. “Se nota que hay corresponsal de TVE en Málaga”, así tituló el diario La Tarde. Manuel España es el profesional que más noticias ha ofrecido desde 1963. Almería le dedicó una calle a Antonio Cano (Serón, 1917-Almería, 1983)”.

Los primeros ojos de Andalucía. Génesis y evolución de la televisión en Andalucía es un instrumento imprescindible para los estudiosos de la comunicación, pero también un libro ameno y grato para todos los ciudadanos interesados en el desarrollo de la sociedad y en la historia de Andalucía.

Con más de 300 páginas, e ilustrado con fotografías agrupadas en un cuadernillo central de 18 páginas, el libro se divide en nueve capítulos en los que se da cuenta de la “Televisión autoritaria”, “Crónica de los inicios de Andalucía”, “Las cámaras, primeros testigos”, “Memoria de reporteros”, “La familia España y la imagen de Málaga”, “El cambio televisivo: la programación territorial”, “Trágica transición en Andalucía”, “La noche del transistor” y “La duda andaluza, entre televisión y Canal Sur”.

Además, el volumen cuenta con un prólogo del director general de RTVA Pablo Carrasco y una introducción del propio autor, y se completa con “Conclusiones”, “Bibliografía” e “Índice onomástico”.

Adquiera este libro en el sitio web de la EUG: http://sl.ugr.es/02VH


L’ « effet Pinocchio » vient d’être démontré : lorsque quelqu’un ment, la température de la pointe de son nez change

Des chercheurs de l’Université de Grenade ont appliqué pour la première fois la thermographie, une technique basée sur la détection de la température des corps dans le domaine de la psychologie.

Leur travail révèle également que, lorsque nous mentons, la température corporelle augmente dans la zone du muscle orbital, situé dans le coin interne de l’œil.

Si nous réalisons un grand effort mental, la température de notre nez descend, et face à une crise d’anxiété, il se produit une montée générale de la température faciale.

Lorsque quelqu’un ment, il se produit un « effet Pinocchio » grâce auquel la température de la pointe du nez augmente ou diminue, de même qu’augmente sa température corporelle dans la zone du muscle orbital, dans le coin interne de l’œil. Si nous réalisons un grand effort mental, la température de notre nez descend, et face à une crise d’anxiété, il se produit une montée générale de la température faciale. Ce sont certaines parmi les conclusions d’une recherche pionnière en thermographie réalisée au Département de Psychologie Expérimentale de l’Université de Grenade, qui a découvert de nouvelles applications à cette suggestive technique.

La thermographie est une technique basée sur la détection de la température des corps qui s’applique dans de nombreux domaines, comme l’industrie, le bâtiment et la médecine. Les chambres thermographiques s’emploient à des fins aussi différentes que mesurer avec exactitude la perte d’énergie des édifices, ou comme indicateur de maladies respiratoires chez les bovins ou la rage chez les carcajous. Au XXº siècle, la thermographie a expérimenté un grand essor après la Deuxième Guerre Mondiale, sous l’impulsion des recherches militaires pour détecter l’ennemi (vision nocturne) menées à bien par l’armée aux États-Unis.

Hommes et femmes s’excitent autant

Les chercheurs de l’UGR Emilio Gómez Milán et Elvira Salazar López ont appliqué pour la première fois cette technique au domaine de la Psychologie, obtenant de nouveaux et intéressants résultats. Ainsi, grâce à elle il est possible de détecter le désir et l’excitation sexuelle aussi bien masculine que féminine, vu qu’il se produit une augmentation de la température locale dans la zone pectorale et dans la zone génitale. Leur travail a démontré qu’au niveau physiologique, hommes et femmes s’excitent en même temps, bien que subjectivement les femmes indiquent ne pas l’être ou l’être moins.

Les scientifiques ont découvert que face à des situations dans lesquelles un sujet réalise un effort mental (faire face à des tâches difficiles, se sentir évalué ou mentir sur des faits), des changements thermiques faciaux se produisent.

Ainsi, lorsque nous mentons sur nos sentiments, ces changements thermiques se produisent dans le nez, et dans le cerveau s’active une structure dénommée « insula » qui fait partie du système de récompense cérébrale si les sentiments sont réels (les dénommés « cualias ») mais pas quand ils ne le sont pas. « L’insula intervient dans la détection et régularisation de la température corporelle, de sorte qu’il y a un grand rapport négatif entre l’activité de cette structure et la magnitude du changement thermique : à plus forte activité de l’insula (et plus grand sentiment viscéral) correspond un changement thermique moindre, et vice-versa », soulignent les chercheurs.

La trace thermique du flamenco

Ils ont également obtenu des traces thermiques (c’est-à-dire des patrons corporels de changement de température spécifiques) de l’exercice aérobic et de différents types de danses, comme le ballet. « Quand une personne danse le flamenco, explique Elvira Salazar, la température du fessier descend et augmente celle des avant-bras. C’est la trace thermique du flamenco, bien que chaque type de danse ait sa propre trace ».

Les scientifiques ont démontré que la détection d’asymétries de température corporelle entre chaque côté du corps et de changements locaux de la température (montées et descentes d’un degré plus ou moins) est en rapport, en plus d’avec l’état physique, avec l’état mental et émotionnel des personnes. « En ce sens, le thermogramme nous présente un marqueur somatique des états subjectifs et mentaux, et nous permet de voir ce que la personne sent ou pense », signale Salazar.

De plus, la thermographie sert à évaluer les émotions (vu que le patron thermique facial est différent), et à déterminer la contagion émotionnelle. « Par exemple, les personnes présentant une empathie très élevée, lorsqu’elles voient souffrir quelqu’un à cause de décharges électriques dans l’avant-bras, se contaminent et la température de leur avant-bras augmente ». De plus, dans certaines maladies neurologiques, comme la sclérose multiple, l’organisme ne régule pas bien la température face à la chaleur et au froid, ce qui est détectable par thermogramme. D’autres applications de la thermographie sont la détermination du patron corporel de graisse, ce qui s’avère très utile pour les programmes d’amaigrissement et d’entraînement physique, ainsi que les changements de température corporelle chez les céliaques, les personnes anorexiques, etc.

Images adjointes

 

efectopinocho2 

1 et 2 : Images obtenues par les scientifiques avec le thermographe.

 

investigadores

 

3 : Les chercheurs de l’Université de Grenade Emilio Gómez Milán et Elvira Salazar López. 

Contacts

  • Emilio Gómez Milán, Département de Psychologie Expérimentale ; tél. : 958 240665 ; courriel : egomez@ugr.es
  • Elvira Salazar López, Département de Psychologie Expérimentale ; courriel : elvisalazar@gmail.com

L’ « effet Pinocchio » vient d’être démontré : lorsque quelqu’un ment, la température de la pointe de son nez change

Des chercheurs de l’Université de Grenade ont appliqué pour la première fois la thermographie, une technique basée sur la détection de la température des corps dans le domaine de la psychologie.

Leur travail révèle également que, lorsque nous mentons, la température corporelle augmente dans la zone du muscle orbital, situé dans le coin interne de l’œil.

Si nous réalisons un grand effort mental, la température de notre nez descend, et face à une crise d’anxiété, il se produit une montée générale de la température faciale.

Lorsque quelqu’un ment, il se produit un « effet Pinocchio » grâce auquel la température de la pointe du nez augmente ou diminue, de même qu’augmente sa température corporelle dans la zone du muscle orbital, dans le coin interne de l’œil. Si nous réalisons un grand effort mental, la température de notre nez descend, et face à une crise d’anxiété, il se produit une montée générale de la température faciale. Ce sont certaines parmi les conclusions d’une recherche pionnière en thermographie réalisée au Département de Psychologie Expérimentale de l’Université de Grenade, qui a découvert de nouvelles applications à cette suggestive technique.

La thermographie est une technique basée sur la détection de la température des corps qui s’applique dans de nombreux domaines, comme l’industrie, le bâtiment et la médecine. Les chambres thermographiques s’emploient à des fins aussi différentes que mesurer avec exactitude la perte d’énergie des édifices, ou comme indicateur de maladies respiratoires chez les bovins ou la rage chez les carcajous. Au XXº siècle, la thermographie a expérimenté un grand essor après la Deuxième Guerre Mondiale, sous l’impulsion des recherches militaires pour détecter l’ennemi (vision nocturne) menées à bien par l’armée aux États-Unis.

Hommes et femmes s’excitent autant

Les chercheurs de l’UGR Emilio Gómez Milán et Elvira Salazar López ont appliqué pour la première fois cette technique au domaine de la Psychologie, obtenant de nouveaux et intéressants résultats. Ainsi, grâce à elle il est possible de détecter le désir et l’excitation sexuelle aussi bien masculine que féminine, vu qu’il se produit une augmentation de la température locale dans la zone pectorale et dans la zone génitale. Leur travail a démontré qu’au niveau physiologique, hommes et femmes s’excitent en même temps, bien que subjectivement les femmes indiquent ne pas l’être ou l’être moins.

Les scientifiques ont découvert que face à des situations dans lesquelles un sujet réalise un effort mental (faire face à des tâches difficiles, se sentir évalué ou mentir sur des faits), des changements thermiques faciaux se produisent.

Ainsi, lorsque nous mentons sur nos sentiments, ces changements thermiques se produisent dans le nez, et dans le cerveau s’active une structure dénommée « insula » qui fait partie du système de récompense cérébrale si les sentiments sont réels (les dénommés « cualias ») mais pas quand ils ne le sont pas. « L’insula intervient dans la détection et régularisation de la température corporelle, de sorte qu’il y a un grand rapport négatif entre l’activité de cette structure et la magnitude du changement thermique : à plus forte activité de l’insula (et plus grand sentiment viscéral) correspond un changement thermique moindre, et vice-versa », soulignent les chercheurs.

La trace thermique du flamenco

Ils ont également obtenu des traces thermiques (c’est-à-dire des patrons corporels de changement de température spécifiques) de l’exercice aérobic et de différents types de danses, comme le ballet. « Quand une personne danse le flamenco, explique Elvira Salazar, la température du fessier descend et augmente celle des avant-bras. C’est la trace thermique du flamenco, bien que chaque type de danse ait sa propre trace ».

Les scientifiques ont démontré que la détection d’asymétries de température corporelle entre chaque côté du corps et de changements locaux de la température (montées et descentes d’un degré plus ou moins) est en rapport, en plus d’avec l’état physique, avec l’état mental et émotionnel des personnes. « En ce sens, le thermogramme nous présente un marqueur somatique des états subjectifs et mentaux, et nous permet de voir ce que la personne sent ou pense », signale Salazar.

De plus, la thermographie sert à évaluer les émotions (vu que le patron thermique facial est différent), et à déterminer la contagion émotionnelle. « Par exemple, les personnes présentant une empathie très élevée, lorsqu’elles voient souffrir quelqu’un à cause de décharges électriques dans l’avant-bras, se contaminent et la température de leur avant-bras augmente ». De plus, dans certaines maladies neurologiques, comme la sclérose multiple, l’organisme ne régule pas bien la température face à la chaleur et au froid, ce qui est détectable par thermogramme. D’autres applications de la thermographie sont la détermination du patron corporel de graisse, ce qui s’avère très utile pour les programmes d’amaigrissement et d’entraînement physique, ainsi que les changements de température corporelle chez les céliaques, les personnes anorexiques, etc.

Images adjointes

 

efectopinocho2 

1 et 2 : Images obtenues par les scientifiques avec le thermographe.

 

investigadores

 

3 : Les chercheurs de l’Université de Grenade Emilio Gómez Milán et Elvira Salazar López. 

Contacts

  • Emilio Gómez Milán, Département de Psychologie Expérimentale ; tél. : 958 240665 ; courriel : egomez@ugr.es
  • Elvira Salazar López, Département de Psychologie Expérimentale ; courriel : elvisalazar@gmail.com

Researchers Confirm the “Pinocchio Effect”: When you Lie, your Nose Temperature Raises

  • The University of Granada researchers are pioneers in the application of thermography to the field Psychology. Thermography is a technique based on determining body temperature.

  • This study demonstrates that body temperature in the orbital muscle –placed in the inner corner of the eye- increases when we lie, and face temperature raises when we have an anxiety attack.

When a person lies they suffer a “Pinocchio effect”, which is an increase in the temperature around the nose and in the orbital muscle in the inner corner of the eye. In addition, when we perform a considerable mental effort our face temperature drops and when we have an anxiety attack our face temperature raises. These are some of the conclusions drawn in this pioneer study conducted at the University of Granada Department of Experimental Psychology, which has introduced new applications of thermography.

Thermography is a technique based on body temperature that is applied in many fields such as general industry, the building industry and medicine. Thermographic cameras have a wide range of uses such as measuring energy loss in buildings, indicating respiratory diseases in bovine animals or rabies in raccoons. Thermography was developed in the USA during the II World War to detect the enemy (night vision).

Excitement is the Same in Men and Women

 The University of Granada researchers Emilio Gómez Milán and Elvira Salazar López have been pioneers in applying thermography to the field of Psychology, and they have obtained very innovative and interesting results. Thus, sexual excitement and desire can be identified in men and women using thermography, since they induce an increase in chest and genital temperature. This study demonstrates that –in physiological terms– men and women get excited at the same time, even although women say they are not excited or only slightly excited.

Scientists have discovered that when a mental effort is made (performing difficult tasks, being interrogated on a specific event or lying) face temperature changes.

When we lie on our feelings, the temperature around our nose raises and a brain element called “insula” is activated. The insula is a component of the brain reward system, and it only activates when we experience real feelings (called “qualias”). The insula is involved in the detection and regulation of body temperature. Therefore, there is a strong negative correlation between insula activity and temperature increase: the more active the insule (the greater the feeling) the lower the temperature change, and viceversa, the researchers state.

The Thermal Footprint of Flamenco

Researchers also determined the thermal footprint of aerobic exercise and different dance modalities such as ballet. When a person is dancing flamenco the temperature in their buttocks drops and increases in their forearms. That is the thermal footprint of flamenco, and each dance modality has a specific thermal footprint, professor Salazar explains.

The researchers have demonstrated that temperature asymmetries in both sides of the body and local temperature changes are associated with the physical, mental and emotional status of the subject. The thermogram is a somatic marker of subjective or mental states and allows us see what a person is feeling or thinking, professor Salazar states.

Finally, thermography is useful for evaluating emotions (since the face thermal pattern is different) and identifying emotional contagion. For example, when a highly empathic person sees another person having an electric discharge in their forearm, they become infected by their suffering and temperature in their forearm increases. In patients with certain neurological disease such as multiple sclerosis, the body does not properly regulates temperature, which can be detected by a thermogram. Thermography can also be applied to determine body fat patterns, which is very useful in weight loss and training programs. It can also be applied to assess body temperature in celiac patients and in patients with anorexia, etc.

Attached Pictures:

 

efecto pinocho

1) y 2) Thermal Images Obtained with the Thermograph.

investigadores

3) University of Granada researchers Emilio Gómez Milán and Elvira Salazar López.


Contacting person:

Emilio Gómez Milán
University of Granada. Department of Experimental Psychology
Phone number:+34 958 240 665
E-mail: egomez@ugr.es

Elvira Salazar López
University of Granada. Department of Experimental Psychology
E-mail: elvisalazar@gmail.com


Researchers Confirm the “Pinocchio Effect”: When you Lie, your Nose Temperature Raises

  • The University of Granada researchers are pioneers in the application of thermography to the field Psychology. Thermography is a technique based on determining body temperature.

  • This study demonstrates that body temperature in the orbital muscle –placed in the inner corner of the eye- increases when we lie, and face temperature raises when we have an anxiety attack.

When a person lies they suffer a “Pinocchio effect”, which is an increase in the temperature around the nose and in the orbital muscle in the inner corner of the eye. In addition, when we perform a considerable mental effort our face temperature drops and when we have an anxiety attack our face temperature raises. These are some of the conclusions drawn in this pioneer study conducted at the University of Granada Department of Experimental Psychology, which has introduced new applications of thermography.

Thermography is a technique based on body temperature that is applied in many fields such as general industry, the building industry and medicine. Thermographic cameras have a wide range of uses such as measuring energy loss in buildings, indicating respiratory diseases in bovine animals or rabies in raccoons. Thermography was developed in the USA during the II World War to detect the enemy (night vision).

Excitement is the Same in Men and Women

 The University of Granada researchers Emilio Gómez Milán and Elvira Salazar López have been pioneers in applying thermography to the field of Psychology, and they have obtained very innovative and interesting results. Thus, sexual excitement and desire can be identified in men and women using thermography, since they induce an increase in chest and genital temperature. This study demonstrates that –in physiological terms– men and women get excited at the same time, even although women say they are not excited or only slightly excited.

Scientists have discovered that when a mental effort is made (performing difficult tasks, being interrogated on a specific event or lying) face temperature changes.

When we lie on our feelings, the temperature around our nose raises and a brain element called “insula” is activated. The insula is a component of the brain reward system, and it only activates when we experience real feelings (called “qualias”). The insula is involved in the detection and regulation of body temperature. Therefore, there is a strong negative correlation between insula activity and temperature increase: the more active the insule (the greater the feeling) the lower the temperature change, and viceversa, the researchers state.

The Thermal Footprint of Flamenco

Researchers also determined the thermal footprint of aerobic exercise and different dance modalities such as ballet. When a person is dancing flamenco the temperature in their buttocks drops and increases in their forearms. That is the thermal footprint of flamenco, and each dance modality has a specific thermal footprint, professor Salazar explains.

The researchers have demonstrated that temperature asymmetries in both sides of the body and local temperature changes are associated with the physical, mental and emotional status of the subject. The thermogram is a somatic marker of subjective or mental states and allows us see what a person is feeling or thinking, professor Salazar states.

Finally, thermography is useful for evaluating emotions (since the face thermal pattern is different) and identifying emotional contagion. For example, when a highly empathic person sees another person having an electric discharge in their forearm, they become infected by their suffering and temperature in their forearm increases. In patients with certain neurological disease such as multiple sclerosis, the body does not properly regulates temperature, which can be detected by a thermogram. Thermography can also be applied to determine body fat patterns, which is very useful in weight loss and training programs. It can also be applied to assess body temperature in celiac patients and in patients with anorexia, etc.

Attached Pictures:

 

efecto pinocho

1) y 2) Thermal Images Obtained with the Thermograph.

investigadores

3) University of Granada researchers Emilio Gómez Milán and Elvira Salazar López.


Contacting person:

Emilio Gómez Milán
University of Granada. Department of Experimental Psychology
Phone number:+34 958 240 665
E-mail: egomez@ugr.es

Elvira Salazar López
University of Granada. Department of Experimental Psychology
E-mail: elvisalazar@gmail.com


‘La verdad es hija del tiempo…’

Un estudio de la Universidad de Granada ha determinado a base de termografía que cuando una persona miente, si bien no le crece la nariz, pero tiende a calentársele.

Por medio de pruebas de computadora se ha podido establecer el «efecto Pinocho», es decir, cómo se calienta y enrojece el órgano nasal, como cuando una persona se pone colorada por vergüenza o enojo.

A veces no es fácil darse cuenta de cuando alguien miente, sobre todo si son los políticos o los demagogos de oficio, aunque les pongan el polígrafo que es otro aparato para medir reacciones en las personas.

Sin embargo, «la verdad es hija del tiempo», dijo el escritor romano Aulo Gelio y tenía razón porque, al fin y al cabo, «no hay nada oculto que no llegue a descubrirse» tarde o temprano.

En el momento no podemos entender muchas cosas, pero con el tiempo llegamos a comprenderlas, o bien llegamos a entender si estábamos obrando bien o mal. No importa, la verdad siempre se abre paso con toda elegancia y majestad.

Por eso, Saulo de Tarso decía que «ahora vemos de manera indirecta, como en un espejo, y borrosamente; pero un día veremos cara a cara…».

La verdad enaltece y reivindica a unos e incomoda a otros. Basta ver a muchos de nuestros políticos, déspotas en potencia, que buscan torcerla o disfrazarla. De esa manera, los de su estirpe han llevado a la esclavitud moral y física a pueblos enteros.

Para esos que se creen dueños de la verdad es fácil atribuir atrocidades a sus adversarios en la guerra de los 80, pero es un trago amargo o buscan hacerse los desentendidos cuando se mencionan las violaciones propias contra los derechos humanos.

En la vida diaria sobran las excusas o las «mentiritas piadosas»: es que el semáforo estaba en verde cuando pasé y ¡zaz! el tortazo… es que había una marcha en la calle y por eso vine tarde… es que mi esposa no me entiende… es que mi marido es un ogro… o como el policía acusado de brutalidad que alegó que el expresidente de ANDA «se cayó y se lesionó solo», en el mejor estilo de los partes de la exGuardia Nacional y la Policía de Hacienda.

Los salvadoreños residentes en los Estados Unidos saben que una de las faltas que las autoridades de ese país no perdonan es la mentira y a más de alguno le rechazan la solicitud de visa porque no puede sostener la razón que esgrime para querer viajar.

Nadie es dueño de la verdad, pero todos debemos luchar por encontrarla y acogerla siempre, porque ella nos hace libres. Sólo pensemos en las cargas que traen las «mentiritas piadosas» o las «medias verdades» versus la satisfacción de decir las cosas como son.

En todo caso, es mejor que hablen nuestros actos, más que nuestra boca. «Por sus frutos los conoceréis», enseña el Evangelio y Abraham Lincoln decía que, de todos modos, «no se puede engañar a toda la gente todo el tiempo».

Cuando Pilato tuvo a Cristo frente a él, reducido a la humillación y al suplicio, alcanzó a preguntarle: «¿Y qué es la verdad?».

Sólo tiempo después quizá el gobernador romano pudo darse cuenta de que la pregunta sobraba porque tenía la Verdad ante sí, encarnada y en su máxima expresión.

Siendo así, yo me quedo con la frase de Aristóteles: «Soy amigo de Platón, pero soy más amigo de la verdad…».

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‘La verdad es hija del tiempo…’

Un estudio de la Universidad de Granada ha determinado a base de termografía que cuando una persona miente, si bien no le crece la nariz, pero tiende a calentársele.

Por medio de pruebas de computadora se ha podido establecer el «efecto Pinocho», es decir, cómo se calienta y enrojece el órgano nasal, como cuando una persona se pone colorada por vergüenza o enojo.

A veces no es fácil darse cuenta de cuando alguien miente, sobre todo si son los políticos o los demagogos de oficio, aunque les pongan el polígrafo que es otro aparato para medir reacciones en las personas.

Sin embargo, «la verdad es hija del tiempo», dijo el escritor romano Aulo Gelio y tenía razón porque, al fin y al cabo, «no hay nada oculto que no llegue a descubrirse» tarde o temprano.

En el momento no podemos entender muchas cosas, pero con el tiempo llegamos a comprenderlas, o bien llegamos a entender si estábamos obrando bien o mal. No importa, la verdad siempre se abre paso con toda elegancia y majestad.

Por eso, Saulo de Tarso decía que «ahora vemos de manera indirecta, como en un espejo, y borrosamente; pero un día veremos cara a cara…».

La verdad enaltece y reivindica a unos e incomoda a otros. Basta ver a muchos de nuestros políticos, déspotas en potencia, que buscan torcerla o disfrazarla. De esa manera, los de su estirpe han llevado a la esclavitud moral y física a pueblos enteros.

Para esos que se creen dueños de la verdad es fácil atribuir atrocidades a sus adversarios en la guerra de los 80, pero es un trago amargo o buscan hacerse los desentendidos cuando se mencionan las violaciones propias contra los derechos humanos.

En la vida diaria sobran las excusas o las «mentiritas piadosas»: es que el semáforo estaba en verde cuando pasé y ¡zaz! el tortazo… es que había una marcha en la calle y por eso vine tarde… es que mi esposa no me entiende… es que mi marido es un ogro… o como el policía acusado de brutalidad que alegó que el expresidente de ANDA «se cayó y se lesionó solo», en el mejor estilo de los partes de la exGuardia Nacional y la Policía de Hacienda.

Los salvadoreños residentes en los Estados Unidos saben que una de las faltas que las autoridades de ese país no perdonan es la mentira y a más de alguno le rechazan la solicitud de visa porque no puede sostener la razón que esgrime para querer viajar.

Nadie es dueño de la verdad, pero todos debemos luchar por encontrarla y acogerla siempre, porque ella nos hace libres. Sólo pensemos en las cargas que traen las «mentiritas piadosas» o las «medias verdades» versus la satisfacción de decir las cosas como son.

En todo caso, es mejor que hablen nuestros actos, más que nuestra boca. «Por sus frutos los conoceréis», enseña el Evangelio y Abraham Lincoln decía que, de todos modos, «no se puede engañar a toda la gente todo el tiempo».

Cuando Pilato tuvo a Cristo frente a él, reducido a la humillación y al suplicio, alcanzó a preguntarle: «¿Y qué es la verdad?».

Sólo tiempo después quizá el gobernador romano pudo darse cuenta de que la pregunta sobraba porque tenía la Verdad ante sí, encarnada y en su máxima expresión.

Siendo así, yo me quedo con la frase de Aristóteles: «Soy amigo de Platón, pero soy más amigo de la verdad…».

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‘La verdad es hija del tiempo…’

Un estudio de la Universidad de Granada ha determinado a base de termografía que cuando una persona miente, si bien no le crece la nariz, pero tiende a calentársele.

Por medio de pruebas de computadora se ha podido establecer el «efecto Pinocho», es decir, cómo se calienta y enrojece el órgano nasal, como cuando una persona se pone colorada por vergüenza o enojo.

A veces no es fácil darse cuenta de cuando alguien miente, sobre todo si son los políticos o los demagogos de oficio, aunque les pongan el polígrafo que es otro aparato para medir reacciones en las personas.

Sin embargo, «la verdad es hija del tiempo», dijo el escritor romano Aulo Gelio y tenía razón porque, al fin y al cabo, «no hay nada oculto que no llegue a descubrirse» tarde o temprano.

En el momento no podemos entender muchas cosas, pero con el tiempo llegamos a comprenderlas, o bien llegamos a entender si estábamos obrando bien o mal. No importa, la verdad siempre se abre paso con toda elegancia y majestad.

Por eso, Saulo de Tarso decía que «ahora vemos de manera indirecta, como en un espejo, y borrosamente; pero un día veremos cara a cara…».

La verdad enaltece y reivindica a unos e incomoda a otros. Basta ver a muchos de nuestros políticos, déspotas en potencia, que buscan torcerla o disfrazarla. De esa manera, los de su estirpe han llevado a la esclavitud moral y física a pueblos enteros.

Para esos que se creen dueños de la verdad es fácil atribuir atrocidades a sus adversarios en la guerra de los 80, pero es un trago amargo o buscan hacerse los desentendidos cuando se mencionan las violaciones propias contra los derechos humanos.

En la vida diaria sobran las excusas o las «mentiritas piadosas»: es que el semáforo estaba en verde cuando pasé y ¡zaz! el tortazo… es que había una marcha en la calle y por eso vine tarde… es que mi esposa no me entiende… es que mi marido es un ogro… o como el policía acusado de brutalidad que alegó que el expresidente de ANDA «se cayó y se lesionó solo», en el mejor estilo de los partes de la exGuardia Nacional y la Policía de Hacienda.

Los salvadoreños residentes en los Estados Unidos saben que una de las faltas que las autoridades de ese país no perdonan es la mentira y a más de alguno le rechazan la solicitud de visa porque no puede sostener la razón que esgrime para querer viajar.

Nadie es dueño de la verdad, pero todos debemos luchar por encontrarla y acogerla siempre, porque ella nos hace libres. Sólo pensemos en las cargas que traen las «mentiritas piadosas» o las «medias verdades» versus la satisfacción de decir las cosas como son.

En todo caso, es mejor que hablen nuestros actos, más que nuestra boca. «Por sus frutos los conoceréis», enseña el Evangelio y Abraham Lincoln decía que, de todos modos, «no se puede engañar a toda la gente todo el tiempo».

Cuando Pilato tuvo a Cristo frente a él, reducido a la humillación y al suplicio, alcanzó a preguntarle: «¿Y qué es la verdad?».

Sólo tiempo después quizá el gobernador romano pudo darse cuenta de que la pregunta sobraba porque tenía la Verdad ante sí, encarnada y en su máxima expresión.

Siendo así, yo me quedo con la frase de Aristóteles: «Soy amigo de Platón, pero soy más amigo de la verdad…».

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El Universidad marca distancias como líder

El Universidad de Granada aplastó al segundo clasificado, el Stop&Shop Tenerife, por un revelador 3-0. Todo gracias a una exhibición de todo el bloque entrenado por Fran Santos, que rayó a un alto nivel en todas las facetas del juego.

Los parciales lo dicen todo. En el primer set las universitarias nunca dejaron lugar a la duda. Un parcial de 11-5 colocaba a las de negro con una cómoda ventaja. Funcionaba todo a la perfección. Las centrales bloquearon el ataque chicharrero, sobre todo a Popovic, la jugadora más peligrosa.

La historia se repitió de nuevo en el segundo set. El Stop&Shop Tenerife empezó a notar la falta de rotaciones. Eso, unido a que el Universidad de Granada estaba mentalizado a empezar cada parcial sin ceder puntos, volvió a ser definitorio para las locales, que dejaron a su rival en 15 puntos.

Todo el equipo brilló, sobre todo el bloqueo con Sara González, Celia Bédmar, Mireia Llaras y Mar Moral. Las tinerfeñas volvieron a verse muy pronto por debajo del marcador en el parcial definitivo. En apenas 18′ minutos el ‘Uni’ secó todo el arsenal ofensivo del Tenerife, al que dejaron en sólo 12 puntos.

El Universidad de Granada ya es líder en solitario.

UNIV. GRANADA: Mireia Llaras, Dudikova, Celia Bédmar, Mar Moral, Sara González y Belén Cabrera -seis inicial-. También jugaron: Olga Sánchez (líbero), Carmen Ferrer, Paula García, Nerea Rodríguez, Marga García y Iciar Cavero. S&S TENERIFE: Bello, Marcos, Hernández, Surace, Álvarez y Popovic -seis inicial-. También jugó: Díaz (líbero). Parciales: 25-16 (22′), 25-15 (22′) y 25-12 (18′). Árbitros: Sánchez y Romero (andaluces). Sin amonestaciones. Incidencias: Unos 100 espectadores acudieron al Pabellón Universitario de Fuentenueva, buena entrada.

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El Universidad marca distancias como líder

El Universidad de Granada aplastó al segundo clasificado, el Stop&Shop Tenerife, por un revelador 3-0. Todo gracias a una exhibición de todo el bloque entrenado por Fran Santos, que rayó a un alto nivel en todas las facetas del juego.

Los parciales lo dicen todo. En el primer set las universitarias nunca dejaron lugar a la duda. Un parcial de 11-5 colocaba a las de negro con una cómoda ventaja. Funcionaba todo a la perfección. Las centrales bloquearon el ataque chicharrero, sobre todo a Popovic, la jugadora más peligrosa.

La historia se repitió de nuevo en el segundo set. El Stop&Shop Tenerife empezó a notar la falta de rotaciones. Eso, unido a que el Universidad de Granada estaba mentalizado a empezar cada parcial sin ceder puntos, volvió a ser definitorio para las locales, que dejaron a su rival en 15 puntos.

Todo el equipo brilló, sobre todo el bloqueo con Sara González, Celia Bédmar, Mireia Llaras y Mar Moral. Las tinerfeñas volvieron a verse muy pronto por debajo del marcador en el parcial definitivo. En apenas 18′ minutos el ‘Uni’ secó todo el arsenal ofensivo del Tenerife, al que dejaron en sólo 12 puntos.

El Universidad de Granada ya es líder en solitario.

UNIV. GRANADA: Mireia Llaras, Dudikova, Celia Bédmar, Mar Moral, Sara González y Belén Cabrera -seis inicial-. También jugaron: Olga Sánchez (líbero), Carmen Ferrer, Paula García, Nerea Rodríguez, Marga García y Iciar Cavero. S&S TENERIFE: Bello, Marcos, Hernández, Surace, Álvarez y Popovic -seis inicial-. También jugó: Díaz (líbero). Parciales: 25-16 (22′), 25-15 (22′) y 25-12 (18′). Árbitros: Sánchez y Romero (andaluces). Sin amonestaciones. Incidencias: Unos 100 espectadores acudieron al Pabellón Universitario de Fuentenueva, buena entrada.

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El Universidad marca distancias como líder

El Universidad de Granada aplastó al segundo clasificado, el Stop&Shop Tenerife, por un revelador 3-0. Todo gracias a una exhibición de todo el bloque entrenado por Fran Santos, que rayó a un alto nivel en todas las facetas del juego.

Los parciales lo dicen todo. En el primer set las universitarias nunca dejaron lugar a la duda. Un parcial de 11-5 colocaba a las de negro con una cómoda ventaja. Funcionaba todo a la perfección. Las centrales bloquearon el ataque chicharrero, sobre todo a Popovic, la jugadora más peligrosa.

La historia se repitió de nuevo en el segundo set. El Stop&Shop Tenerife empezó a notar la falta de rotaciones. Eso, unido a que el Universidad de Granada estaba mentalizado a empezar cada parcial sin ceder puntos, volvió a ser definitorio para las locales, que dejaron a su rival en 15 puntos.

Todo el equipo brilló, sobre todo el bloqueo con Sara González, Celia Bédmar, Mireia Llaras y Mar Moral. Las tinerfeñas volvieron a verse muy pronto por debajo del marcador en el parcial definitivo. En apenas 18′ minutos el ‘Uni’ secó todo el arsenal ofensivo del Tenerife, al que dejaron en sólo 12 puntos.

El Universidad de Granada ya es líder en solitario.

UNIV. GRANADA: Mireia Llaras, Dudikova, Celia Bédmar, Mar Moral, Sara González y Belén Cabrera -seis inicial-. También jugaron: Olga Sánchez (líbero), Carmen Ferrer, Paula García, Nerea Rodríguez, Marga García y Iciar Cavero. S&S TENERIFE: Bello, Marcos, Hernández, Surace, Álvarez y Popovic -seis inicial-. También jugó: Díaz (líbero). Parciales: 25-16 (22′), 25-15 (22′) y 25-12 (18′). Árbitros: Sánchez y Romero (andaluces). Sin amonestaciones. Incidencias: Unos 100 espectadores acudieron al Pabellón Universitario de Fuentenueva, buena entrada.

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Primera plaza en solitario para el ‘Uni’

Victoria fundamental para el Universidad de Granada frente al segundo clasificado, el Hotel Río Badajoz, a quien superó por un ajustado 3-2. Los granadinos aventajan en tres puntos a los pacenses.

El rival más fuerte de la categoría, a juicio de la entrenadora local, la ucraniana Olena Zalyubovska, demostró serlo. El ‘Uni’ estuvo a remolque todo el partido, sobre todo condenado por sus intermitentes errores en la recepción. Esos fallos fueron los que hicieron que los de negro perdieran el primer y tercer set.

El ejemplo a seguir fue el segundo parcial. El bloqueo creció al tiempo que no se recuperaba la fase de recepción. Juan Moya, que fue el máximo anotador del equipo, junto a Dani Morata y Pepe Pasantos fueron murallas en la red, mientras que Calvache ametrallaba al Hotel Río desde el saque.

Todo quedó para la resolución en el quinto set. El Universidad logró una ventaja de 8-6 en el cambio de campo que supo mantener con mucho oficio para, así, hacerse con el triunfo.

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