Ideal

Pág. 13: La UGR recibe un 34% menos del Plan Nacional de I+D

‘Lo peor es el personal que se perderá y no se recuperará’

Pág. 14: Un referente del Derecho

Pág. 15: Diez tunas de Medicina amenizarán Granada este fin de semana

Pág. 52 – Deportes: El Universidad vuelve a la carga

Pág. 57: ‘Es significativo que el ministro más retrógrado premie a Carvajal’, dice Álvaro Salvador

Pág. 61: ‘Los físicos aún no entendemos el 95 por ciento del Universo’. Rolf-Dieter Heuer. Físico

La (maldita) partícula de Dios

Pág. 71: Exposiciones

– ‘Body & Soul’

– ‘La Residencia de Estudiantes, Madrid, 1910-1936. Un proyecto educativo para la Universidad’

– ‘V Centenario del Hospital Real, 30 años sede del Rectorado de la Universidad de Granada’

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Des scientifiques de l’Université de Grenade avancent dans la recherche en Parkinson et collaborent avec la Fondation Michael J. Fox et avec des hôpitaux de Malaga et de Grenade

  • Il s’agit de travaux menés à bien par le groupe de recherche SiPBA TIC 218 du Département de Théorie du Signal, de Télématique et des Communications, adscrit au CITIC-UGR, et publiés dans de prestigieuses revues comme Medical Physics et NeuroImage, la plus importante en neuroscience.

Cette année, le groupe de recherche SiPBA TIC 218, du Département de Théorie du Signe, de Télématique et des Communications, adscrit au CITIC-UGR, a appliqué les méthodes développées antérieurement dans la détection et le diagnostic de l’Alzheimer et dans l’initiative PPMI de la Fondation Michael J. Fox pour l’étude de la maladie de Parkinson. De plus, il a employé d’autres bases de données, comme celles des hôpitaux Virgen de la Victoria de Malaga et Virgen de las Nieves de Grenade, avec lesquels le groupe de recherche maintient des rapports très étroits.

Grâce aux résultats des projets financés par la Junte andalouse dans sa convocation de projets de recherche d’excellence : TIC-4530, TIC-2566 et TIC-7013 du Plan National de R&D : TEC2008-02113 et du récent projet concédé « DiagnoSIS » TEC2012-34306, le groupe a reçu plusieurs prix, comme le Prix du Conseil Social de l’Université de Grenade et le Prix « Andalucía Sociedad de la Información » de la Junte Andalouse. De plus, il a publié plus de 40 articles indexés dans le ISI-JCR sur diagnostic et analyse d’image médicale, dans des revues très prestigieuses, comme les trois derniers numéros de Medical Physics (taux d’impact 3.075) et NeuroImage (taux d’impact 5.985, revue nº 1 dans sa spécialité), consacrés à l’étude de la maladie de Parkinson.

Compréhension du comportement des fonctions cérébrales chez des sujets atteints de Parkinson

L’implantation dans la communauté internationale des techniques d’image tomographique SPECT pour le diagnostic de la maladie de Parkinson basées sur le nouveau radiomédicament DaTSCAN a permis d’approfondir dans la compréhension du comportement des fonctions cérébrales chez des sujets atteints de cette maladie. L’information obtenue de ces images cérébrales est susceptible d’étude moyennant des techniques d’intelligence artificielle basées sur la reconnaissance de patrons qui permettent une analyse objective de celle-ci.

Collaboration avec l’hôpital Virgen de la Victoria de Malaga

Dans le présent travail (« Automatic assistance to Parkinson’s disease diagnosis in DaTSCAN SPECT imaging », I. A. Illán, J. M. Górriz, J. Ramírez, F. Segovia, J. M. Jiménez-Hoyuela, et S. J. Ortega Lozano, Med. Phys. 39, 5971, 2012) a été présenté un procédé automatique par ordinateur qui élimine toute intervention requérant un expert (normalisation, localisation de régions importantes, ‘avoir l’œil’, etc.), et qui étudie systématiquement l’effet dans la précision finale de diagnostic des différents éléments qui interviennent dans le processus de construction du système de diagnostic assisté par ordinateur. Comme résultat, le système proposé peut dépasser 90% de précision dans le diagnostic de la maladie de Parkinson par un choix adéquat des éléments qui constituent le système, avec l’avantage supplémentaire d’être un système simple et robuste du point de vue computationnel.

De même, les chercheurs du groupe de recherche SiPBA TIC 218 ont publié dans l’article (« Improved Parkinsonism diagnosis using a partial least squares based approach », F. Segovia, J. M. Górriz, J. Ramírez, I. Álvarez, J. M. Jiménez-Hoyuela, et S. J. Ortega, Med. Phys. 39, 4395. 2012) une version améliorée de l’antérieur. La méthode proposée analyse séparément chaque hémisphère du cerveau avec un double objectif : d’un côté, la réduction du problème du petit nombre d’échantillons et, de l’autre, l’analyse individuelle de chaque hémisphère permettant de diagnostiquer correctement la maladie lorsqu’elle affecte un seul hémisphère (chez beaucoup de patients, la maladie se développe asymétriquement pendant les premières étapes).

Un travail accepté par la revue « NeuroImage », nº 1 dans sa catégorie

Le groupe SiPBA a également développé un procédé linéaire de normalisation en intensité des images cérébrales du type FP-CIT SPECT, utilisées communément dans le diagnostic de la maladie de Parkinson. La méthode proposée est basée sur l’évidence expérimentale que l’histogramme des valeurs d’intensité de l’image peur s’ajuster de façon très précise avec seulement 4 paramètres en utilisant une distribution Lévy stable asymétrique.

Dans cette étude, les paramètres de la distribution stable, concrètement les paramètres d’échelle et de position, s’utilisent pour transformer linéairement les valeurs d’intensité de chaque voxel. Cette transformation se réalise de sorte que les nouveaux histogrammes d’intensité pour chacune des images cérébrales présentent les mêmes valeurs que les paramètres de position et de dispersion. La méthode proposée présente un comportement supérieur à la méthode normalisation en intensité qui a été amplement utilisée pendant la dernière décennie, basée sur le quotient entre les valeurs d’intensité des régions cérébrales spécifiques et non spécifiques.

Ce travail, intitulé (« Linear intensity normalization of FP-CIT SPECT brain images using the alpha-stable distribution », D. Salas-Gonzalez, J. M. Górriz, J. Ramírez, I. A. Illán, E.W. Lang, and the Parkinson’s Progression Markers Initiative (PPMI)), a été récemment accepté par la revue NeuroImage, la première dans le classement Thomson/ISI de sa catégorie avec 5.895 points d’impact.

 

Photo : Une image significative incluse dans la publication de F. Segovia dans Medical Physics.

Contact : Prof. Dr. Juan Manuel Górriz Sáez. Département de Théorie du Signal, de Télématique et des Communications de la Faculté des Sciences de l’Université de Grenade. Tél. : 958 243271; courriel : gorriz@ugr.es. Signal Processing and Biomedical Applications (SiPBA) TIC 218. http://sipba.ugr.es/

 


Des scientifiques de l’Université de Grenade avancent dans la recherche en Parkinson et collaborent avec la Fondation Michael J. Fox et avec des hôpitaux de Malaga et de Grenade

  • Il s’agit de travaux menés à bien par le groupe de recherche SiPBA TIC 218 du Département de Théorie du Signal, de Télématique et des Communications, adscrit au CITIC-UGR, et publiés dans de prestigieuses revues comme Medical Physics et NeuroImage, la plus importante en neuroscience.

Cette année, le groupe de recherche SiPBA TIC 218, du Département de Théorie du Signe, de Télématique et des Communications, adscrit au CITIC-UGR, a appliqué les méthodes développées antérieurement dans la détection et le diagnostic de l’Alzheimer et dans l’initiative PPMI de la Fondation Michael J. Fox pour l’étude de la maladie de Parkinson. De plus, il a employé d’autres bases de données, comme celles des hôpitaux Virgen de la Victoria de Malaga et Virgen de las Nieves de Grenade, avec lesquels le groupe de recherche maintient des rapports très étroits.

Grâce aux résultats des projets financés par la Junte andalouse dans sa convocation de projets de recherche d’excellence : TIC-4530, TIC-2566 et TIC-7013 du Plan National de R&D : TEC2008-02113 et du récent projet concédé « DiagnoSIS » TEC2012-34306, le groupe a reçu plusieurs prix, comme le Prix du Conseil Social de l’Université de Grenade et le Prix « Andalucía Sociedad de la Información » de la Junte Andalouse. De plus, il a publié plus de 40 articles indexés dans le ISI-JCR sur diagnostic et analyse d’image médicale, dans des revues très prestigieuses, comme les trois derniers numéros de Medical Physics (taux d’impact 3.075) et NeuroImage (taux d’impact 5.985, revue nº 1 dans sa spécialité), consacrés à l’étude de la maladie de Parkinson.

Compréhension du comportement des fonctions cérébrales chez des sujets atteints de Parkinson

L’implantation dans la communauté internationale des techniques d’image tomographique SPECT pour le diagnostic de la maladie de Parkinson basées sur le nouveau radiomédicament DaTSCAN a permis d’approfondir dans la compréhension du comportement des fonctions cérébrales chez des sujets atteints de cette maladie. L’information obtenue de ces images cérébrales est susceptible d’étude moyennant des techniques d’intelligence artificielle basées sur la reconnaissance de patrons qui permettent une analyse objective de celle-ci.

Collaboration avec l’hôpital Virgen de la Victoria de Malaga

Dans le présent travail (« Automatic assistance to Parkinson’s disease diagnosis in DaTSCAN SPECT imaging », I. A. Illán, J. M. Górriz, J. Ramírez, F. Segovia, J. M. Jiménez-Hoyuela, et S. J. Ortega Lozano, Med. Phys. 39, 5971, 2012) a été présenté un procédé automatique par ordinateur qui élimine toute intervention requérant un expert (normalisation, localisation de régions importantes, ‘avoir l’œil’, etc.), et qui étudie systématiquement l’effet dans la précision finale de diagnostic des différents éléments qui interviennent dans le processus de construction du système de diagnostic assisté par ordinateur. Comme résultat, le système proposé peut dépasser 90% de précision dans le diagnostic de la maladie de Parkinson par un choix adéquat des éléments qui constituent le système, avec l’avantage supplémentaire d’être un système simple et robuste du point de vue computationnel.

De même, les chercheurs du groupe de recherche SiPBA TIC 218 ont publié dans l’article (« Improved Parkinsonism diagnosis using a partial least squares based approach », F. Segovia, J. M. Górriz, J. Ramírez, I. Álvarez, J. M. Jiménez-Hoyuela, et S. J. Ortega, Med. Phys. 39, 4395. 2012) une version améliorée de l’antérieur. La méthode proposée analyse séparément chaque hémisphère du cerveau avec un double objectif : d’un côté, la réduction du problème du petit nombre d’échantillons et, de l’autre, l’analyse individuelle de chaque hémisphère permettant de diagnostiquer correctement la maladie lorsqu’elle affecte un seul hémisphère (chez beaucoup de patients, la maladie se développe asymétriquement pendant les premières étapes).

Un travail accepté par la revue « NeuroImage », nº 1 dans sa catégorie

Le groupe SiPBA a également développé un procédé linéaire de normalisation en intensité des images cérébrales du type FP-CIT SPECT, utilisées communément dans le diagnostic de la maladie de Parkinson. La méthode proposée est basée sur l’évidence expérimentale que l’histogramme des valeurs d’intensité de l’image peur s’ajuster de façon très précise avec seulement 4 paramètres en utilisant une distribution Lévy stable asymétrique.

Dans cette étude, les paramètres de la distribution stable, concrètement les paramètres d’échelle et de position, s’utilisent pour transformer linéairement les valeurs d’intensité de chaque voxel. Cette transformation se réalise de sorte que les nouveaux histogrammes d’intensité pour chacune des images cérébrales présentent les mêmes valeurs que les paramètres de position et de dispersion. La méthode proposée présente un comportement supérieur à la méthode normalisation en intensité qui a été amplement utilisée pendant la dernière décennie, basée sur le quotient entre les valeurs d’intensité des régions cérébrales spécifiques et non spécifiques.

Ce travail, intitulé (« Linear intensity normalization of FP-CIT SPECT brain images using the alpha-stable distribution », D. Salas-Gonzalez, J. M. Górriz, J. Ramírez, I. A. Illán, E.W. Lang, and the Parkinson’s Progression Markers Initiative (PPMI)), a été récemment accepté par la revue NeuroImage, la première dans le classement Thomson/ISI de sa catégorie avec 5.895 points d’impact.

 

Photo : Une image significative incluse dans la publication de F. Segovia dans Medical Physics.

Contact : Prof. Dr. Juan Manuel Górriz Sáez. Département de Théorie du Signal, de Télématique et des Communications de la Faculté des Sciences de l’Université de Grenade. Tél. : 958 243271; courriel : gorriz@ugr.es. Signal Processing and Biomedical Applications (SiPBA) TIC 218. http://sipba.ugr.es/

 


University of Granada scientists take a step forward in the study of Parkinson’s disease and collaborate with Michael J. Fox foundation and hospitals in Malaga and Granada

  • The studies were conducted by the research group TIC 218 at the Department of Signal Theory, Telematics and Communications attached to the University of Granada and the Andalusian Information Technology and Communications Center (CITIC). The results obtained have been published in prestigious journals such as Medical Physics and NeuroImage, the most important journal in the field of neuroscience.

During the past year, the research group TIC 218 at the Department of Signal Theory, Telematics and Communications attached to the University of Granada and the Andalusian Information Technology and Communications Center (CITIC) has implemented the methods for the detection and diagnosis of Alzheimer’s disease, within the PPMI initiative of the Michael J. Fox foundation for the study of Parkinson’s disease. In addition, other databases were used such as that of the Virgen de la Victoria Hospital, Málaga, Spain, and Virgen de las Nieves Hospital, Granada, Spain.

The research studies were financed by the Andalusian Regional Government through its excellence research program calls TIC-4530, TIC-2566 and TIC-7103. Additional funds were granted by the Spanish National R&D Plan call TEC2008-02113 and «DiagnoSIS» TEC2012-34306. The research group has been awarded several prizes as the University of Granada Premio del Consejo Social and the Andalusian Regional Government’s Premio Andalucía Sociedad de la Información.

This research group has published more than 40 papers indexed in the ISI-JCR in the field of diagnosis and scan imaging analysis. The last three papers –devoted to the study of Parkinson’s disease- have been published in the most prestigious journals in the field of neuroscience such as Medical Physics (impact index 3.075) and NeuroImage (impact index 5.985, Nº1 journal in its category).

Undestanding the behavior of brain functions in patients with Parkinson’s disease

The introduction of SPECT imaging worldwide for the diagnosis of Parkinson’s disease (PD) –based on the innovative DaTSCAN agent– has allowed experts to better understand the behavior of behavior of brain functions in patients diagnosed with Parkinson’s disease. The data provided by SPECT images can be processed by pattern-recognition machine, which allow an objective analysis of data.

A collaborative work with Virgen de la Victoria Hospital

The latest study conducted by this research group (Automatic assistance to Parkinson’s disease diagnosis in DaTSCAN SPECT imaging. I. A. Illán, J. M. Górriz, J. Ramírez, F. Segovia, J. M. Jiménez-Hoyuela, and S. J. Ortega Lozano Med. Phys. 39, 5971 (2012)) presents a computer procedure that does not need the intervention of an expert (normalization, location of relevant regions, «clinical eye»…). In addition, this new technique systematically analyzes the effect of the different elements involved in the building process of the computer-assisted diagnosis technique on the accuracy of the final diagnosis. As a result, the technique proposed may exceed 90% of accuracy in the diagnosis of PD with the right selection of elements, and with the additional advantage of being a robust and simple computer software.

Similarly, the researchers at the research group SiPBA TIC 218 recently published the paper Improved Parkinsonism diagnosis using a partial least squares based approach. (F. Segovia, J. M. Górriz, J. Ramírez, I. Álvarez, J. M. Jiménez-Hoyuela, and S. J. Ortega, Med. Phys. 39, 4395. 2012), an enhanced versión of the former paper with the same title. In this paper, researchers propose a method consisting on separating brain hemispheres to fulfill two goals: firstly to correctly diagnose AD when it only affects one hemisphere (in many patients, PD evolves asymmetrically during the first stages)

A Paper Accepted for the Prestigious Journal Neuroimage

The group SiPBA has also developed a method for the linear normalization of intensity of FP-CIT SPECT-type brain images, which are generally used in the diagnosis of PD. The method proposed is based on experimental evidence that the histogram of image intensity values can be accurately adjusted using only four parameters through asymmetric Levy-stable distributions.

In this study, stable-distribution parameters, concretely those of scale and position, are used to linearly convert the intensity values for each voxel. This conversion is performed in such a way that the new intensitivy histograms for each brain image have the same values for the parameters position and dispersion. The proposed method has a better performance that the traditional intensity normalization method, which is based on the ration between the intensity values of specific and non-specific brain regions.

This paper, titled Linear intensity normalization of FP-CIT SPECT brain images using the alpha-stable distribution, D. Salas-Gonzalez, J. M. Górriz, J. Ramírez, I. A. Illán, E.W. Lang, and the Parkinson’s Progression Markers Initiative (PPMI), has been recently accepted for publication in the journal Neuroscience, which is the top journal in the Thomson/ISI ranking, with 5,898 impact points.

Animage included in the paper by F. Segovia in Medical Physics

Contact: Prof. Dr.Dr. Juan Manuel Górriz Sáez. Department of Signal Theory, Telematics and Communications attached to the University of Granada. Phone number:+34 958 243271. E-mail address: gorriz@ugr.es

Signal Processing and Biomedical Applications (SiPBA) TIC 218. http://sipba.ugr.es/


University of Granada scientists take a step forward in the study of Parkinson’s disease and collaborate with Michael J. Fox foundation and hospitals in Malaga and Granada

  • The studies were conducted by the research group TIC 218 at the Department of Signal Theory, Telematics and Communications attached to the University of Granada and the Andalusian Information Technology and Communications Center (CITIC). The results obtained have been published in prestigious journals such as Medical Physics and NeuroImage, the most important journal in the field of neuroscience.

During the past year, the research group TIC 218 at the Department of Signal Theory, Telematics and Communications attached to the University of Granada and the Andalusian Information Technology and Communications Center (CITIC) has implemented the methods for the detection and diagnosis of Alzheimer’s disease, within the PPMI initiative of the Michael J. Fox foundation for the study of Parkinson’s disease. In addition, other databases were used such as that of the Virgen de la Victoria Hospital, Málaga, Spain, and Virgen de las Nieves Hospital, Granada, Spain.

The research studies were financed by the Andalusian Regional Government through its excellence research program calls TIC-4530, TIC-2566 and TIC-7103. Additional funds were granted by the Spanish National R&D Plan call TEC2008-02113 and «DiagnoSIS» TEC2012-34306. The research group has been awarded several prizes as the University of Granada Premio del Consejo Social and the Andalusian Regional Government’s Premio Andalucía Sociedad de la Información.

This research group has published more than 40 papers indexed in the ISI-JCR in the field of diagnosis and scan imaging analysis. The last three papers –devoted to the study of Parkinson’s disease- have been published in the most prestigious journals in the field of neuroscience such as Medical Physics (impact index 3.075) and NeuroImage (impact index 5.985, Nº1 journal in its category).

Undestanding the behavior of brain functions in patients with Parkinson’s disease

The introduction of SPECT imaging worldwide for the diagnosis of Parkinson’s disease (PD) –based on the innovative DaTSCAN agent– has allowed experts to better understand the behavior of behavior of brain functions in patients diagnosed with Parkinson’s disease. The data provided by SPECT images can be processed by pattern-recognition machine, which allow an objective analysis of data.

A collaborative work with Virgen de la Victoria Hospital

The latest study conducted by this research group (Automatic assistance to Parkinson’s disease diagnosis in DaTSCAN SPECT imaging. I. A. Illán, J. M. Górriz, J. Ramírez, F. Segovia, J. M. Jiménez-Hoyuela, and S. J. Ortega Lozano Med. Phys. 39, 5971 (2012)) presents a computer procedure that does not need the intervention of an expert (normalization, location of relevant regions, «clinical eye»…). In addition, this new technique systematically analyzes the effect of the different elements involved in the building process of the computer-assisted diagnosis technique on the accuracy of the final diagnosis. As a result, the technique proposed may exceed 90% of accuracy in the diagnosis of PD with the right selection of elements, and with the additional advantage of being a robust and simple computer software.

Similarly, the researchers at the research group SiPBA TIC 218 recently published the paper Improved Parkinsonism diagnosis using a partial least squares based approach. (F. Segovia, J. M. Górriz, J. Ramírez, I. Álvarez, J. M. Jiménez-Hoyuela, and S. J. Ortega, Med. Phys. 39, 4395. 2012), an enhanced versión of the former paper with the same title. In this paper, researchers propose a method consisting on separating brain hemispheres to fulfill two goals: firstly to correctly diagnose AD when it only affects one hemisphere (in many patients, PD evolves asymmetrically during the first stages)

A Paper Accepted for the Prestigious Journal Neuroimage

The group SiPBA has also developed a method for the linear normalization of intensity of FP-CIT SPECT-type brain images, which are generally used in the diagnosis of PD. The method proposed is based on experimental evidence that the histogram of image intensity values can be accurately adjusted using only four parameters through asymmetric Levy-stable distributions.

In this study, stable-distribution parameters, concretely those of scale and position, are used to linearly convert the intensity values for each voxel. This conversion is performed in such a way that the new intensitivy histograms for each brain image have the same values for the parameters position and dispersion. The proposed method has a better performance that the traditional intensity normalization method, which is based on the ration between the intensity values of specific and non-specific brain regions.

This paper, titled Linear intensity normalization of FP-CIT SPECT brain images using the alpha-stable distribution, D. Salas-Gonzalez, J. M. Górriz, J. Ramírez, I. A. Illán, E.W. Lang, and the Parkinson’s Progression Markers Initiative (PPMI), has been recently accepted for publication in the journal Neuroscience, which is the top journal in the Thomson/ISI ranking, with 5,898 impact points.

Animage included in the paper by F. Segovia in Medical Physics

Contact: Prof. Dr.Dr. Juan Manuel Górriz Sáez. Department of Signal Theory, Telematics and Communications attached to the University of Granada. Phone number:+34 958 243271. E-mail address: gorriz@ugr.es

Signal Processing and Biomedical Applications (SiPBA) TIC 218. http://sipba.ugr.es/


Granada Hoy

Pág. 3: Poesía. Antonio Carvajal, Premio Nacional (Lo más visto en internet)

Pág. 4 – Opinión: La Universidad y la calle

Pág. 8: Pensar en Granada y no tirar el dinero

Pág. 16: Curso. Cita de alquimia y magia en la UGR (Pistas para hoy)

Más detalles del bosón de Higgs

‘Vivencias’ inicia la I Feria de la Salud de Santa Fe

Descarga por URL: http://sl.ugr.es/02LU

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Granada Hoy

Pág. 3: Poesía. Antonio Carvajal, Premio Nacional (Lo más visto en internet)

Pág. 4 – Opinión: La Universidad y la calle

Pág. 8: Pensar en Granada y no tirar el dinero

Pág. 16: Curso. Cita de alquimia y magia en la UGR (Pistas para hoy)

Más detalles del bosón de Higgs

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Lo que hay que saber de la ‘partícula de Dios’, en el Parque de las Ciencias de Granada

El director general del Laboratorio Europeo de Física de Partículas (CERN), Rolf-Dieter Heuer, ofrecerá hoy, a las 19.00 horas en el Auditorio del Edificio Macroscopio del Parque de las Ciencias de Granada la conferencia «The Large Hadron Collider at CERN. Unveiling the Universe».

Descubren el Bosón de Higgs
Esta actividad, en la que Heuer ofrecerá todos los detalles sobre los resultados que el Gran Colisionador de Hadrones obtuvo sobre el Bosón de Higos, está organizada por el Departamento de Física Teórica y del Cosmos de la Universidad de Granada, el Centro Andaluz de Física de Partículas Elementales (CAFPE) y el Parque de las Ciencias. La entrada es libre hasta completar aforo, y el acto, en inglés, contará con traducción simultánea.

El profesor Dr. Rolf-Dieter Heuer es el Director General del CERN desde 2009. De nacionalidad alemana, el Prof. Heuer estudió Física en la Universidad de Stuttgart y obtuvo el doctorado en la Universidad de Heidelberg en 1977. Ostenta una cátedra en la Universidad de Hamburgo desde 1998. Entre otros puestos, ha sido portavoz del experimento OPAL del CERN, y director de investigación del laboratorio alemán DESY (Deutsches Elektronen-Synchrotron).

El CERN (Laboratorio Europeo para la Física de Partículas) es uno de los centros de investigación científica de mayor prestigio del mundo. Su objetivo es comprender de qué está hecho el Universo y cómo funciona, esto es, cuáles son las leyes fundamentales de la Naturaleza. Para ello, los físicos del CERN usan grandes aceleradores y complejos detectores de partículas. Actualmente, el CERN está realizando experimentos con la máquina más sofisticada que el hombre haya construido: el Large Hadron Collider (Gran Colisionador de Hadrones). Este acelerador de partículas permite explorar la estructura más íntima de la materia y reproducir las condiciones del Universo pocos instantes después del Big Bang. Este verano, el CERN anunció el descubrimiento en el Large Hadron Collider del bosón de Higgs, una partícula de gran importancia para los científicos y para nuestra propia existencia.

La conferencia del Prof. Heuer se enmarca dentro de una serie de actividades que el CERN realiza en Granada este otoño en colaboración con la Universidad de Granada, y que incluyen el curso «Introduction to Accelerator Physics», clausurado con esta conferencia, y la muestra «El instrumento científico más grande jamás construido: Una exposición del CERN», que acogerá la Facultad de Ciencias entre el 20 de noviembre y el 11 de diciembre.

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Lo que hay que saber de la ‘partícula de Dios’, en el Parque de las Ciencias de Granada

El director general del Laboratorio Europeo de Física de Partículas (CERN), Rolf-Dieter Heuer, ofrecerá hoy, a las 19.00 horas en el Auditorio del Edificio Macroscopio del Parque de las Ciencias de Granada la conferencia «The Large Hadron Collider at CERN. Unveiling the Universe».

Descubren el Bosón de Higgs
Esta actividad, en la que Heuer ofrecerá todos los detalles sobre los resultados que el Gran Colisionador de Hadrones obtuvo sobre el Bosón de Higos, está organizada por el Departamento de Física Teórica y del Cosmos de la Universidad de Granada, el Centro Andaluz de Física de Partículas Elementales (CAFPE) y el Parque de las Ciencias. La entrada es libre hasta completar aforo, y el acto, en inglés, contará con traducción simultánea.

El profesor Dr. Rolf-Dieter Heuer es el Director General del CERN desde 2009. De nacionalidad alemana, el Prof. Heuer estudió Física en la Universidad de Stuttgart y obtuvo el doctorado en la Universidad de Heidelberg en 1977. Ostenta una cátedra en la Universidad de Hamburgo desde 1998. Entre otros puestos, ha sido portavoz del experimento OPAL del CERN, y director de investigación del laboratorio alemán DESY (Deutsches Elektronen-Synchrotron).

El CERN (Laboratorio Europeo para la Física de Partículas) es uno de los centros de investigación científica de mayor prestigio del mundo. Su objetivo es comprender de qué está hecho el Universo y cómo funciona, esto es, cuáles son las leyes fundamentales de la Naturaleza. Para ello, los físicos del CERN usan grandes aceleradores y complejos detectores de partículas. Actualmente, el CERN está realizando experimentos con la máquina más sofisticada que el hombre haya construido: el Large Hadron Collider (Gran Colisionador de Hadrones). Este acelerador de partículas permite explorar la estructura más íntima de la materia y reproducir las condiciones del Universo pocos instantes después del Big Bang. Este verano, el CERN anunció el descubrimiento en el Large Hadron Collider del bosón de Higgs, una partícula de gran importancia para los científicos y para nuestra propia existencia.

La conferencia del Prof. Heuer se enmarca dentro de una serie de actividades que el CERN realiza en Granada este otoño en colaboración con la Universidad de Granada, y que incluyen el curso «Introduction to Accelerator Physics», clausurado con esta conferencia, y la muestra «El instrumento científico más grande jamás construido: Una exposición del CERN», que acogerá la Facultad de Ciencias entre el 20 de noviembre y el 11 de diciembre.

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Científicos granadinos diseñan un revolucionario dispositivo de almacenamiento de información

Científicos de la Universidad de Granada han diseñado un revolucionario dispositivo de almacenamiento de información digital en colaboración con el laboratorio CEA-LETI de Grenoble (Francia), uno de los agregados del Campus de Excelencia Internacional CEI BioTic. Dicho dispositivo se encuentra entre los dispositivos de almacenamiento de información más avanzados fabricados hasta la fecha en todo el mundo. La invención ha sido protegida por 10 patentes internacionales, incluyendo Japón, EEUU, Corea y la Unión Europea, y las principales industrias electrónicas, como Samsung y Hynix en Corea ó Micron en EEUU, ya han mostrado su interés por ella.

Los investigadores del Laboratorio de Nanoelectrónica de la UGR Noel Rodríguez y Francisco Gámiz han diseñado la celda de almacenamiento denominada A-RAM (Advanced Random Access Memory), cuyo modelo teórico ya crearon en el año 2009. Ahora, gracias al laboratorio CEA-LETI, que cuenta con una de las tecnologías nanoelectrónicas más avanzadas a nivel mundial, han podido fabricar un dispositivo que corrobora experimentalmente todos y cada uno de los resultados avanzados anteriormente mediante estudios teóricos.

Los resultados de esta validación experimental se han publicado en la prestigiosa revista norteamericana IEEE Electron Device Letters y se han presentado en la Conferencia Internacional Silicon on Insulator Technology, celebrada recientemente en San Francisco, EEUU.

Actualmente, siguiendo la estela de los nuevos dispositivos incorporados por Intel en sus últimos microprocesadores (Ivy Bridge), los científicos de la UGR están estudiando otras alternativas tridimensionales de memorias basadas en la celda A2RAM, como son la FinFET-ARAM y la Trigate-ARAM y que ya han sido objeto de una patente en Francia y de una presentación en el International Memory Workshop celebrado en Mayo de 2012 en Milán (Italia).

Solucionar los problemas

Los investigadores de la UGR han demostrado que la celda de memoria A-RAM y su variante A2RAM son capaces de solucionar los problemas de miniaturización de la celda DRAM (que es el tipo de memoria que incorporan la mayoría de los dispositivos digitales: ordenadores, smartphones, tablets, etc.) y, además, proporcionan tiempos de retención muy largos, muy bajo consumo de energía, y una gran separación entre ambos niveles lógicos, lo que la hace especialmente inmune al ruido/interferencias y a la variabilidad de los procesos tecnológicos.

Como señala Francisco Gámiz, «desde su invención en los años 60 por Robert Dennard en IBM (EEUU), las instrucciones y los datos necesarios para el funcionamiento de un ordenador se almacenan en forma de ceros (ausencia de carga) y unos (presencia de carga) en arrays de celdas de memoria DRAM (Dynamic Random Access Memory)». Estas celdas de memoria están formadas por un transistor y un condensador (ó 1T-1C-DRAM), es decir, cada bit de información se almacena en forma de carga eléctrica en una celda formada por un condensador (que almacena la carga) y un transistor a través del cual se accede a dicha carga y, por lo tanto, a la información.

Este concepto de DRAM ha permanecido inalterado durante todo este tiempo, y hoy día es posible encontrar celdas DRAM con dimensiones menores de 20nm (1 nanómetro equivale a una mil millonésima parte de un metro) y chips de memoria DRAM con varios gigabytes (un giga equivale a mil millones de unidades). Sin embargo, el escalado de esta celda, y por tanto la posibilidad de hacerla más pequeña, está llegando a su fin, debido a la cantidad mínima de carga eléctrica necesaria para poder distinguir con claridad entre los dos posibles estados de un bit (1 y 0), lo que limita el tamaño mínimo del condensador. «Si no podemos hacer más pequeño el condensador, la solución pasa por eliminarlo, surgiendo así las celdas de memoria 1T-DRAM, o memorias de un solo transistor, en las que la información se almacena en el propio transistor, que sirve a la vez para almacenar la información y para detectar el estado de la celda, es decir, acceder a la información».

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Científicos granadinos diseñan un revolucionario dispositivo de almacenamiento de información

Científicos de la Universidad de Granada han diseñado un revolucionario dispositivo de almacenamiento de información digital en colaboración con el laboratorio CEA-LETI de Grenoble (Francia), uno de los agregados del Campus de Excelencia Internacional CEI BioTic. Dicho dispositivo se encuentra entre los dispositivos de almacenamiento de información más avanzados fabricados hasta la fecha en todo el mundo. La invención ha sido protegida por 10 patentes internacionales, incluyendo Japón, EEUU, Corea y la Unión Europea, y las principales industrias electrónicas, como Samsung y Hynix en Corea ó Micron en EEUU, ya han mostrado su interés por ella.

Los investigadores del Laboratorio de Nanoelectrónica de la UGR Noel Rodríguez y Francisco Gámiz han diseñado la celda de almacenamiento denominada A-RAM (Advanced Random Access Memory), cuyo modelo teórico ya crearon en el año 2009. Ahora, gracias al laboratorio CEA-LETI, que cuenta con una de las tecnologías nanoelectrónicas más avanzadas a nivel mundial, han podido fabricar un dispositivo que corrobora experimentalmente todos y cada uno de los resultados avanzados anteriormente mediante estudios teóricos.

Los resultados de esta validación experimental se han publicado en la prestigiosa revista norteamericana IEEE Electron Device Letters y se han presentado en la Conferencia Internacional Silicon on Insulator Technology, celebrada recientemente en San Francisco, EEUU.

Actualmente, siguiendo la estela de los nuevos dispositivos incorporados por Intel en sus últimos microprocesadores (Ivy Bridge), los científicos de la UGR están estudiando otras alternativas tridimensionales de memorias basadas en la celda A2RAM, como son la FinFET-ARAM y la Trigate-ARAM y que ya han sido objeto de una patente en Francia y de una presentación en el International Memory Workshop celebrado en Mayo de 2012 en Milán (Italia).

Solucionar los problemas

Los investigadores de la UGR han demostrado que la celda de memoria A-RAM y su variante A2RAM son capaces de solucionar los problemas de miniaturización de la celda DRAM (que es el tipo de memoria que incorporan la mayoría de los dispositivos digitales: ordenadores, smartphones, tablets, etc.) y, además, proporcionan tiempos de retención muy largos, muy bajo consumo de energía, y una gran separación entre ambos niveles lógicos, lo que la hace especialmente inmune al ruido/interferencias y a la variabilidad de los procesos tecnológicos.

Como señala Francisco Gámiz, «desde su invención en los años 60 por Robert Dennard en IBM (EEUU), las instrucciones y los datos necesarios para el funcionamiento de un ordenador se almacenan en forma de ceros (ausencia de carga) y unos (presencia de carga) en arrays de celdas de memoria DRAM (Dynamic Random Access Memory)». Estas celdas de memoria están formadas por un transistor y un condensador (ó 1T-1C-DRAM), es decir, cada bit de información se almacena en forma de carga eléctrica en una celda formada por un condensador (que almacena la carga) y un transistor a través del cual se accede a dicha carga y, por lo tanto, a la información.

Este concepto de DRAM ha permanecido inalterado durante todo este tiempo, y hoy día es posible encontrar celdas DRAM con dimensiones menores de 20nm (1 nanómetro equivale a una mil millonésima parte de un metro) y chips de memoria DRAM con varios gigabytes (un giga equivale a mil millones de unidades). Sin embargo, el escalado de esta celda, y por tanto la posibilidad de hacerla más pequeña, está llegando a su fin, debido a la cantidad mínima de carga eléctrica necesaria para poder distinguir con claridad entre los dos posibles estados de un bit (1 y 0), lo que limita el tamaño mínimo del condensador. «Si no podemos hacer más pequeño el condensador, la solución pasa por eliminarlo, surgiendo así las celdas de memoria 1T-DRAM, o memorias de un solo transistor, en las que la información se almacena en el propio transistor, que sirve a la vez para almacenar la información y para detectar el estado de la celda, es decir, acceder a la información».

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Diseñan un novedoso dispositivo de almacenamiento de información digital

Científicos de la Universidad de Granada han diseñado un dispositivo de almacenamiento de información digital que figura entre los más avanzados de los fabricados hasta la fecha.
El dispositivo, diseñado en colaboración con el laboratorio Cea-Leti de Grenoble (Francia), uno de los agregados del Campus de Excelencia Internacional CEI BioTic, ha sido protegido por 10 patentes internacionales, incluidos Japón, EEUU, Corea y la Unión Europea, y las principales industrias electrónicas, como Samsung y Hynix en Corea o Micron en Estados Unidos, ya han mostrado su interés por ella, según ha informado hoy la Universidad de Granada.
Los investigadores del Laboratorio de Nanoelectrónica de la Universidad de Granada Noel Rodríguez y Francisco Gámiz han diseñado la celda de almacenamiento, denominada A-RAM y cuyo modelo teórico ya crearon en el año 2009.
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