Des chercheurs de l’Université de Grenade et du Conseil Supérieur de Recherches Scientifiques (CSIC) emploieront de l’argile à l’échelle nanoscopique pour une libération contrôlée de médicaments chez les patients, dans l’intention de fabriquer des médicaments plus efficaces et moins toxiques. Il s’agit d’un projet pilote de recherche auquel vont collaborer des scientifiques du département de Pharmacie et de Technologie Pharmaceutique, ainsi que l’Institut Andalou des Sciences de la Terre (CSIC-UGR), entre autres institutions.

Ce projet s’appuie sur la recherche de l’absorption et de la désorption de molécules bioactives sur la superficie des argiles, dans le but de dessiner et de développer de nouveaux matériaux nano fonctionnels d’origine naturelle permettant une libération modifiée de molécules bioactives, qui sont des systèmes naturels plus harmonieux avec l’environnement que d’autres synthétiques préexistants.

Le Campus d’Excellence Internationale (CEI) BioTic de l’Université de Grenade a financé ce projet de recherche interdisciplinaire, auquel ont collaboré six groupes de recherche andalous, experts en minéralogie computationnelle de glaises, développement galénique, ressources naturelles, évaluation environnementale et études in vivo de substances bioactives. Y participe également une entreprise andalouse spécialiste en matériaux microcapsulés.

Ce projet, codirigé par le professeur de l’Université de Grenade, César Viseras Iborra et le scientifique Ignacio Sainz Díaz, de l’Institut andalou des Sciences de la Terre (UGR-CSIC), englobe des études computationnelles atomistiques, en passant par la préparation des matériaux et leur caractérisation à l’échelle de laboratoire, jusqu’à leur application dans des essais directs in vivo.

Tel que l’expliquent les deux professeurs, ce projet implique la collaboration de leurs centres respectifs de recherche, et du personnel de l’École Andalouse de Santé Publique, de l’entreprise LAIMAT qui siège au Parc Technologique des Sciences de la Santé de Grenade et su commissariat pour l’Énergie atomique de Grenoble, tous membres du CEI-BioTic.

Viseras Iborra et Sainz Díaz soulignent que cette collaboration scientifique et technique «sera le point de départ de futures collaborations et présentera de nouveaux projets de recherche d’applications de glaises comme base de nouveaux matériaux nano fonctionnels à partir de systèmes naturels, stimulant ainsi l’innovation et la collaboration entre entreprises de Grenade.»

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Des chercheurs de l’Université de Grenade et du Conseil Supérieur de Recherches Scientifiques (CSIC) emploieront de l’argile à l’échelle nanoscopique pour une libération contrôlée de médicaments chez les patients, dans l’intention de fabriquer des médicaments plus efficaces et moins toxiques. Il s’agit d’un projet pilote de recherche auquel vont collaborer des scientifiques du département de Pharmacie et de Technologie Pharmaceutique, ainsi que l’Institut Andalou des Sciences de la Terre (CSIC-UGR), entre autres institutions.

Ce projet s’appuie sur la recherche de l’absorption et de la désorption de molécules bioactives sur la superficie des argiles, dans le but de dessiner et de développer de nouveaux matériaux nano fonctionnels d’origine naturelle permettant une libération modifiée de molécules bioactives, qui sont des systèmes naturels plus harmonieux avec l’environnement que d’autres synthétiques préexistants.

Le Campus d’Excellence Internationale (CEI) BioTic de l’Université de Grenade a financé ce projet de recherche interdisciplinaire, auquel ont collaboré six groupes de recherche andalous, experts en minéralogie computationnelle de glaises, développement galénique, ressources naturelles, évaluation environnementale et études in vivo de substances bioactives. Y participe également une entreprise andalouse spécialiste en matériaux microcapsulés.

Ce projet, codirigé par le professeur de l’Université de Grenade, César Viseras Iborra et le scientifique Ignacio Sainz Díaz, de l’Institut andalou des Sciences de la Terre (UGR-CSIC), englobe des études computationnelles atomistiques, en passant par la préparation des matériaux et leur caractérisation à l’échelle de laboratoire, jusqu’à leur application dans des essais directs in vivo.

Tel que l’expliquent les deux professeurs, ce projet implique la collaboration de leurs centres respectifs de recherche, et du personnel de l’École Andalouse de Santé Publique, de l’entreprise LAIMAT qui siège au Parc Technologique des Sciences de la Santé de Grenade et su commissariat pour l’Énergie atomique de Grenoble, tous membres du CEI-BioTic.

Viseras Iborra et Sainz Díaz soulignent que cette collaboration scientifique et technique «sera le point de départ de futures collaborations et présentera de nouveaux projets de recherche d’applications de glaises comme base de nouveaux matériaux nano fonctionnels à partir de systèmes naturels, stimulant ainsi l’innovation et la collaboration entre entreprises de Grenade.»

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