Un nouveau système informatique permet de déterminer le niveau de bruit que supportera à l’avenir une rue

  • Des chercheurs de l’Université de Grenade travaillent dans l’application des réseaux neuronaux à l’analyse et à la prédiction du bruit urbain, un système dont l’information présente un fort intérêt, par exemple, pour les personnes intéressées à l’achat d’un logement.
  • L’application permet de prédire le niveau de bruit moyennant l’introduction de différentes données sur l’environnement (type de rue, état de la chassée, vitesse moyenne des véhicules qui y circulent, présence de travaux publics dans la zone, etc.), avec 95% de fiabilité.

Des scientifiques de l’Université de Grenade ont dessiné un nouveau système informatique permettant de déterminer le niveau de bruit que supportera à l’avenir une rue ou n’importe quelle autre zone urbanisée d’une ville. Cette nouvelle technique permet, de plus, de vérifier la fréquence avec laquelle se produiront ces bruits et, ainsi, les gênes que supporteront les riverains, une information qui présente un grand intérêt, par exemple, pour les personnes intéressées à l’achat d’un logement.

Ce système améliore tous les modèles mathématiques traditionnels employés jusqu’à cette date. Il permet de prédire le niveau de bruit moyennant l’introduction de différentes données sur l’environnement (type de rue, état de la chassée, vitesse moyenne des véhicules qui y circulent, présence de travaux publics dans la zone, etc.), avec 95% de fiabilité. Les chercheurs de l’UGR s’occupent actuellement à réduire le nombre de variables nécessaires, et espèrent y réussir prochainement, pour vérifier correctement le niveau de bruit.

Le groupe de recherche « Raisonnement approximatif et Intelligence artificielle » est composé de scientifiques des départements de Sciences informatiques et Intelligence artificielle, d’Ingénierie civile et de Physique appliquée de l’Université de Grenade. Leur travail, consistant en l’application des réseaux neuronaux à l’analyse et à la prédiction du bruit urbain, suppose « une avancée importante dans le panorama actuel des modèles prédictifs de bruit environnemental », et facilitera la construction de cartes de bruits urbains.

Un travail de pointe

Le bruit est un problème global, classé comme polluant par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Les planificateurs urbains « ont besoin d’instruments qui leur permettent d’évaluer le degré de pollution acoustique d’une ville », explique Natalia Genaro García, une des auteures de la recherche, et « s’il est vrai que les scientifiques de nombreux pays ont modelé le bruit urbain, partant d’un large éventail de focalisations, les résultats se sont avérés insuffisants. »

Pour développer ce système, les scientifiques de l’UGR ont analysé des données de bruits urbains de la ville de Grenade, prises pendant l’année 2007, et actuellement font de même dans d’autres villes « afin de valider plus amplement le modèle. »

Jusque là, n’avaient été employés que des modèles prédictifs de bruits urbains basés sur des méthodes mathématiques traditionnelles, qui prédisent le niveau de bruit à partir des certaines variables. « L’application de méthodes de Soft Computing à l’analyse et à la prédiction du bruit urbain est un domaine pratiquement inexploré, souligne Natalia Genaro, dont il existe à peine de littérature scientifique. »

Outre Natalia Genaro, ont participé à ce projet les professeurs de l’Université de Grenade Ignacio Requena Ramos (professeur du département de Sciences informatiques et Intelligence artificielle) ; Monserrat Zamorano Toro (professeure d’Ingénierie civile) ; Ángel Ramos Ridao (département d’Ingénierie civile) ainsi que Diego Pablo Ruiz Padillo et Antonio Torija Martínez (département de Physique appliquée).

Une partie des résultats de cette recherche a été publiée dans les revues Building and Environment, The Journal of the Acoustical Society of America et New Trends on Intelligent Systems and Soft Computing, entre autres.

 

Image: Silvio Garabello Uruss

Contact : Natalia Genaro García. Département de Sciences informatiques et Intelligence artificielle de l’Université de Grenade. Tél. : 241010 Ext. 41429. Courriel : nataliag@ugr.es


Un nouveau système informatique permet de déterminer le niveau de bruit que supportera à l’avenir une rue

  • Des chercheurs de l’Université de Grenade travaillent dans l’application des réseaux neuronaux à l’analyse et à la prédiction du bruit urbain, un système dont l’information présente un fort intérêt, par exemple, pour les personnes intéressées à l’achat d’un logement.
  • L’application permet de prédire le niveau de bruit moyennant l’introduction de différentes données sur l’environnement (type de rue, état de la chassée, vitesse moyenne des véhicules qui y circulent, présence de travaux publics dans la zone, etc.), avec 95% de fiabilité.

Des scientifiques de l’Université de Grenade ont dessiné un nouveau système informatique permettant de déterminer le niveau de bruit que supportera à l’avenir une rue ou n’importe quelle autre zone urbanisée d’une ville. Cette nouvelle technique permet, de plus, de vérifier la fréquence avec laquelle se produiront ces bruits et, ainsi, les gênes que supporteront les riverains, une information qui présente un grand intérêt, par exemple, pour les personnes intéressées à l’achat d’un logement.

Ce système améliore tous les modèles mathématiques traditionnels employés jusqu’à cette date. Il permet de prédire le niveau de bruit moyennant l’introduction de différentes données sur l’environnement (type de rue, état de la chassée, vitesse moyenne des véhicules qui y circulent, présence de travaux publics dans la zone, etc.), avec 95% de fiabilité. Les chercheurs de l’UGR s’occupent actuellement à réduire le nombre de variables nécessaires, et espèrent y réussir prochainement, pour vérifier correctement le niveau de bruit.

Le groupe de recherche « Raisonnement approximatif et Intelligence artificielle » est composé de scientifiques des départements de Sciences informatiques et Intelligence artificielle, d’Ingénierie civile et de Physique appliquée de l’Université de Grenade. Leur travail, consistant en l’application des réseaux neuronaux à l’analyse et à la prédiction du bruit urbain, suppose « une avancée importante dans le panorama actuel des modèles prédictifs de bruit environnemental », et facilitera la construction de cartes de bruits urbains.

Un travail de pointe

Le bruit est un problème global, classé comme polluant par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Les planificateurs urbains « ont besoin d’instruments qui leur permettent d’évaluer le degré de pollution acoustique d’une ville », explique Natalia Genaro García, une des auteures de la recherche, et « s’il est vrai que les scientifiques de nombreux pays ont modelé le bruit urbain, partant d’un large éventail de focalisations, les résultats se sont avérés insuffisants. »

Pour développer ce système, les scientifiques de l’UGR ont analysé des données de bruits urbains de la ville de Grenade, prises pendant l’année 2007, et actuellement font de même dans d’autres villes « afin de valider plus amplement le modèle. »

Jusque là, n’avaient été employés que des modèles prédictifs de bruits urbains basés sur des méthodes mathématiques traditionnelles, qui prédisent le niveau de bruit à partir des certaines variables. « L’application de méthodes de Soft Computing à l’analyse et à la prédiction du bruit urbain est un domaine pratiquement inexploré, souligne Natalia Genaro, dont il existe à peine de littérature scientifique. »

Outre Natalia Genaro, ont participé à ce projet les professeurs de l’Université de Grenade Ignacio Requena Ramos (professeur du département de Sciences informatiques et Intelligence artificielle) ; Monserrat Zamorano Toro (professeure d’Ingénierie civile) ; Ángel Ramos Ridao (département d’Ingénierie civile) ainsi que Diego Pablo Ruiz Padillo et Antonio Torija Martínez (département de Physique appliquée).

Une partie des résultats de cette recherche a été publiée dans les revues Building and Environment, The Journal of the Acoustical Society of America et New Trends on Intelligent Systems and Soft Computing, entre autres.

 

Image: Silvio Garabello Uruss

Contact : Natalia Genaro García. Département de Sciences informatiques et Intelligence artificielle de l’Université de Grenade. Tél. : 241010 Ext. 41429. Courriel : nataliag@ugr.es


New Software Forecasts Noise Levels in a Street

  • University of Granada researchers are working on the application of neural networks to develop a urban noise forecasting model, which would be very useful to people who is interested in buying a new house.
  • This application yields a prediction of urban noise levels using a dataset (street type, road conditions, average speed of the vehicles passing by, road works, etc), with a reliability of 95%.

University of Granada researchers have designed a new software solution to determine noise levels in a street in the future. This new system predicts noise frequency and the type of noise that the inhabitants of a neighborhood will have to endure. This information is of great interest to people interested in buying a new house.

This system is more accurate than the traditional mathematical models employed. This application yields a prediction of urban noise levels using a dataset (street type, road conditions, average speed of the vehicles passing by, road works, etc), with a reliability of 95%. The researchers are currently trying to reduce the number of variables required to produce an accurate forecast of the noise levels in a given area.

The research group «Approximate Reasoning and Artificial Intelligencel» is composed of researchers at the University of Granada Departments of Computer Sciences and Artificial Intelligence, Civil Engineering and Applied Physics. The application of neural networks to the prediction and analysis of urban noise «is a step forward in the field of noise forecasting models». In addition, it will help perform urban noise mapping projects.

State-of-the-Art-Technology

Noise is a global problem and it is considered a pollutant by the World Health Organisation (WHO). Urban planners «need tools for assessing urban noise levels», Natalia Genaro García, one of the authors of this study, explains.

«While many noise forecasting models have been developed in different countries, none of them is accurate enough».

To develop this new system, the researchers analyzed a set of noise data collected in Granada in 2007, although they are collecting further data in other cities «to validate the model». The noise forecasting models employed to date have been based on traditional mathematical methods that predict noise levels using a specific set of data. «This is the first system to apply Soft Computing methods in urban noise assessment», Natalia Genaro remarks, «and there is scarce literature available on this method».

Apart from Natalia Genaro, other researchers participated in this project, namely, Ignacio Requena Ramos (profesor at the University of Granada Department of Computing Sciencies and Artificial Intelligence); Montserrat Zamorano Toro (professor of Civil Engineering); Ángel Ramos Ridao (Department of Civil Engineering) and Diego Pablo Ruiz Padillo y Antonio Torija Martínez (Department of Applied Physics).

The results of this study havebeen partially published in Building and Environment, The Journal of the Acoustical Society of America and New Trends on Intelligent Systems and Soft Computing, among others.

Photo: Silvio Garabello Uruss

Contact: Natalia Genaro García. Departmentof Computering Sciencies and Artificial Intelligence, Universityof Granada. Phone Number: +34 958 241 010 Ext. 41429 E-mail address: nataliag@ugr.es


New Software Forecasts Noise Levels in a Street

  • University of Granada researchers are working on the application of neural networks to develop a urban noise forecasting model, which would be very useful to people who is interested in buying a new house.
  • This application yields a prediction of urban noise levels using a dataset (street type, road conditions, average speed of the vehicles passing by, road works, etc), with a reliability of 95%.

University of Granada researchers have designed a new software solution to determine noise levels in a street in the future. This new system predicts noise frequency and the type of noise that the inhabitants of a neighborhood will have to endure. This information is of great interest to people interested in buying a new house.

This system is more accurate than the traditional mathematical models employed. This application yields a prediction of urban noise levels using a dataset (street type, road conditions, average speed of the vehicles passing by, road works, etc), with a reliability of 95%. The researchers are currently trying to reduce the number of variables required to produce an accurate forecast of the noise levels in a given area.

The research group «Approximate Reasoning and Artificial Intelligencel» is composed of researchers at the University of Granada Departments of Computer Sciences and Artificial Intelligence, Civil Engineering and Applied Physics. The application of neural networks to the prediction and analysis of urban noise «is a step forward in the field of noise forecasting models». In addition, it will help perform urban noise mapping projects.

State-of-the-Art-Technology

Noise is a global problem and it is considered a pollutant by the World Health Organisation (WHO). Urban planners «need tools for assessing urban noise levels», Natalia Genaro García, one of the authors of this study, explains.

«While many noise forecasting models have been developed in different countries, none of them is accurate enough».

To develop this new system, the researchers analyzed a set of noise data collected in Granada in 2007, although they are collecting further data in other cities «to validate the model». The noise forecasting models employed to date have been based on traditional mathematical methods that predict noise levels using a specific set of data. «This is the first system to apply Soft Computing methods in urban noise assessment», Natalia Genaro remarks, «and there is scarce literature available on this method».

Apart from Natalia Genaro, other researchers participated in this project, namely, Ignacio Requena Ramos (profesor at the University of Granada Department of Computing Sciencies and Artificial Intelligence); Montserrat Zamorano Toro (professor of Civil Engineering); Ángel Ramos Ridao (Department of Civil Engineering) and Diego Pablo Ruiz Padillo y Antonio Torija Martínez (Department of Applied Physics).

The results of this study havebeen partially published in Building and Environment, The Journal of the Acoustical Society of America and New Trends on Intelligent Systems and Soft Computing, among others.

Photo: Silvio Garabello Uruss

Contact: Natalia Genaro García. Departmentof Computering Sciencies and Artificial Intelligence, Universityof Granada. Phone Number: +34 958 241 010 Ext. 41429 E-mail address: nataliag@ugr.es


Hospital Real no estará listo hasta diciembre

Las últimas obras en las cubiertas del Hospital Real duran ya un lustro. La grúa no se ha retirado -salvo un periodo muy corto- del antiguo edificio que conmemora en este curso el quinto centenario del inicio de su construcción (1511) cuyo origen está ligado a la política hospitalaria y asistencial de los Reyes Católicos. Desde hace treinta años es sede del Rectorado de la Universidad de Granada (UGR) y en el mes de diciembre se culminará la segunda fase de restauración de las cubiertas del patio de los Inocentes y cimborrio. Con esta intervención se culmina la intervención en los dos patios traseros, pero aún quedan los dos patios iniciales.
Esas obras deberán esperar. La vicerrectora de Infraestructuras y Campus de la Universidad granadina, Begoña Moreno, explica que en un principio tenían pensado hacer este año el proyecto para la intervención de los dos patios que quedan por arreglar, pero al final lo han pospuesto para el próximo año. La crisis económica. Deben buscar fondos económicos (1% cultural) para poder actuar.
Los trabajos que se están realizando es este momento tenían previsto finalizarse a principios de otoño, pero debido a las lluvias se han retrasado tres meses y estarán en diciembre. En la actualidad la nave patio de los inocentes-jardín está totalmente terminada tanto interior como exterior. Se siguen con los procesos de colocación de piedra en el cimborrio y carpintería de madera en la nave patio de los Inocentes-patio Carlos V. El presupuesto ha sido de 1,4 millones.

Proyectos

Las intervenciones en los patios ‘delanteros’ no serán las únicas que tendrán que esperar. El museo del que se había hablado para el antiguo Hospital Real también está parado. Ese es otro proyecto que viene de largo. La reordenación de espacios no ha avanzado. Pueden darse algunos pasos una vez que se hagan las obras del edificio de Gran Vía -antigua sede de Caja Rural- que acogerá a empresas y toda la parte de transferencia, innovación y empresas. Este proyecto está en vía de contratación.

Las obras en el Hospital Real, según Begoña Moreno, han sido complicadas, pero más en la primera fase que en la segunda. También detalla que los dos patios que quedan por restaurar están en mejores condiciones que los dos en los que se ha intervenido ya. El Hospital Real ha ‘sufrido’ severos castigos. En 1961 cuando fue adquirido por el Ministerio Educación Nacional se encarga un proyecto de rehabilitación al arquitecto Francisco Prieto Moreno, «dado el pésimo estado de conservación del inmueble», según se recoge en la documentación de la guía de la UGR de este curso 2011/2012 que está dedicada a este aniversario. En 1971 el Ministerio cedió el edificio a la UGR, momento en que se cerca con las verjas del antiguo hospital San Lázaro. Hasta que en 1981 se traslada el rectorado este espacio se dedica a la docencia de la Facultad de Filosofía y Letras. En 1978 se redacta un nuevo proyecto para la adaptación del edificio a sus funciones de Rectorado, servicios centrales, biblioteca general y archivo universitario. El Rectorado estaba en la plaza de la Universidad, en la Facultad de Derecho.
En 1980 se trasladó la biblioteca general, que en la actualidad en el Hospital Real acoge las grandes joyas de la institución, y en 1981 se mudaron el resto de servicios ya relatados. El rector era entonces Antonio Gallego Morell.

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Hospital Real no estará listo hasta diciembre

Las últimas obras en las cubiertas del Hospital Real duran ya un lustro. La grúa no se ha retirado -salvo un periodo muy corto- del antiguo edificio que conmemora en este curso el quinto centenario del inicio de su construcción (1511) cuyo origen está ligado a la política hospitalaria y asistencial de los Reyes Católicos. Desde hace treinta años es sede del Rectorado de la Universidad de Granada (UGR) y en el mes de diciembre se culminará la segunda fase de restauración de las cubiertas del patio de los Inocentes y cimborrio. Con esta intervención se culmina la intervención en los dos patios traseros, pero aún quedan los dos patios iniciales.
Esas obras deberán esperar. La vicerrectora de Infraestructuras y Campus de la Universidad granadina, Begoña Moreno, explica que en un principio tenían pensado hacer este año el proyecto para la intervención de los dos patios que quedan por arreglar, pero al final lo han pospuesto para el próximo año. La crisis económica. Deben buscar fondos económicos (1% cultural) para poder actuar.
Los trabajos que se están realizando es este momento tenían previsto finalizarse a principios de otoño, pero debido a las lluvias se han retrasado tres meses y estarán en diciembre. En la actualidad la nave patio de los inocentes-jardín está totalmente terminada tanto interior como exterior. Se siguen con los procesos de colocación de piedra en el cimborrio y carpintería de madera en la nave patio de los Inocentes-patio Carlos V. El presupuesto ha sido de 1,4 millones.

Proyectos

Las intervenciones en los patios ‘delanteros’ no serán las únicas que tendrán que esperar. El museo del que se había hablado para el antiguo Hospital Real también está parado. Ese es otro proyecto que viene de largo. La reordenación de espacios no ha avanzado. Pueden darse algunos pasos una vez que se hagan las obras del edificio de Gran Vía -antigua sede de Caja Rural- que acogerá a empresas y toda la parte de transferencia, innovación y empresas. Este proyecto está en vía de contratación.

Las obras en el Hospital Real, según Begoña Moreno, han sido complicadas, pero más en la primera fase que en la segunda. También detalla que los dos patios que quedan por restaurar están en mejores condiciones que los dos en los que se ha intervenido ya. El Hospital Real ha ‘sufrido’ severos castigos. En 1961 cuando fue adquirido por el Ministerio Educación Nacional se encarga un proyecto de rehabilitación al arquitecto Francisco Prieto Moreno, «dado el pésimo estado de conservación del inmueble», según se recoge en la documentación de la guía de la UGR de este curso 2011/2012 que está dedicada a este aniversario. En 1971 el Ministerio cedió el edificio a la UGR, momento en que se cerca con las verjas del antiguo hospital San Lázaro. Hasta que en 1981 se traslada el rectorado este espacio se dedica a la docencia de la Facultad de Filosofía y Letras. En 1978 se redacta un nuevo proyecto para la adaptación del edificio a sus funciones de Rectorado, servicios centrales, biblioteca general y archivo universitario. El Rectorado estaba en la plaza de la Universidad, en la Facultad de Derecho.
En 1980 se trasladó la biblioteca general, que en la actualidad en el Hospital Real acoge las grandes joyas de la institución, y en 1981 se mudaron el resto de servicios ya relatados. El rector era entonces Antonio Gallego Morell.

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Científicos descubren en Castellón restos del último marsupial europeo, extinguido hace 14 millones de años

Científico españoles, entre ellos Matthijs Freudenthal, de la Universidad de Granada, han descubierto en la Cuenca Ribesalbes-Alcora (Castellón) los restos fósiles de ‘Amphiperatherium frequens’, considerado el último marsupial europeo, extinguido hace 14 millones de años.

El trabajo, publicado en la revista ‘Comptes Rendus Palevol’, presenta la primera descripción de restos fósiles en España de este marsupial del que sólo se habían documentado restos en Europa Central, donde, según han explicado los expertos, las condiciones ambientales durante el periodo Mioceno –en el que se data esta especie– eran más húmedas.

Precisamente, la región de Ribesalbes-Alcora es una de las regiones más húmedas de la Península Ibérica, aunque no tanto como las otras localidades europeas donde se han localizado restos de Amphiperatherium. Los científicos han indicado que estas condiciones climáticas explicarían la presencia de este marsupial en los yacimientos de Castellón, así como el hecho de que sea más escasa que en los yacimientos europeos más al norte.

Los restos de ‘Amphiperatherium frequens’ son 9 piezas de entre unas 200, cantidad que supone una parte muy pequeña de los fósiles que se han recuperado, según los científicos.

Gran parte de los restos de ‘Amphiperatherium frequens’ documentados en Europa se encuentran en yacimientos de hace entre 17 y 15 millones de años, coincidiendo con el Óptimo Climático del Mioceno medio, cuando Europa tenía un clima mucho más cálido y húmedo que el actual. La extinción de esta especie, hace unos 14 millones de años, coincide con el cambio climático que trajo temperaturas más frías y cambios en la vegetación.

Los marsupiales, grupo de mamíferos al que pertenecen los canguros o los koalas, y que actualmente sólo se encuentran en Australia y algunas regiones de América, vivieron también en África, Asia y Europa hace millones de años.

El trabajo está firmado por los investigadores Marc Furió del Instituto Catalán de Paleontología Miquel Crusafont; Francisco J. Ruiz-Sánchez, Vicente D. Crespo y Plinio Montoya, de la Universidad de Valencia, y Matthijs Freudenthal, de la Universidad de Granada.

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Científicos descubren en Castellón restos del último marsupial europeo, extinguido hace 14 millones de años

Científico españoles, entre ellos Matthijs Freudenthal, de la Universidad de Granada, han descubierto en la Cuenca Ribesalbes-Alcora (Castellón) los restos fósiles de ‘Amphiperatherium frequens’, considerado el último marsupial europeo, extinguido hace 14 millones de años.

El trabajo, publicado en la revista ‘Comptes Rendus Palevol’, presenta la primera descripción de restos fósiles en España de este marsupial del que sólo se habían documentado restos en Europa Central, donde, según han explicado los expertos, las condiciones ambientales durante el periodo Mioceno –en el que se data esta especie– eran más húmedas.

Precisamente, la región de Ribesalbes-Alcora es una de las regiones más húmedas de la Península Ibérica, aunque no tanto como las otras localidades europeas donde se han localizado restos de Amphiperatherium. Los científicos han indicado que estas condiciones climáticas explicarían la presencia de este marsupial en los yacimientos de Castellón, así como el hecho de que sea más escasa que en los yacimientos europeos más al norte.

Los restos de ‘Amphiperatherium frequens’ son 9 piezas de entre unas 200, cantidad que supone una parte muy pequeña de los fósiles que se han recuperado, según los científicos.

Gran parte de los restos de ‘Amphiperatherium frequens’ documentados en Europa se encuentran en yacimientos de hace entre 17 y 15 millones de años, coincidiendo con el Óptimo Climático del Mioceno medio, cuando Europa tenía un clima mucho más cálido y húmedo que el actual. La extinción de esta especie, hace unos 14 millones de años, coincide con el cambio climático que trajo temperaturas más frías y cambios en la vegetación.

Los marsupiales, grupo de mamíferos al que pertenecen los canguros o los koalas, y que actualmente sólo se encuentran en Australia y algunas regiones de América, vivieron también en África, Asia y Europa hace millones de años.

El trabajo está firmado por los investigadores Marc Furió del Instituto Catalán de Paleontología Miquel Crusafont; Francisco J. Ruiz-Sánchez, Vicente D. Crespo y Plinio Montoya, de la Universidad de Valencia, y Matthijs Freudenthal, de la Universidad de Granada.

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La Alhambra se convierte en el primer monumento que recopila su historia oral

La Alhambra de Granada se ha convertido en uno de los primeros monumentos del mundo que recopila la historia oral de sus últimas décadas a través de una investigación científica que recoge testimonios de habitantes, trabajadores, visitantes y gestores ligados a este bien declarado Patrimonio Mundial.

Ciudadanos anónimos y personalidades del mundo de la cultura, el arte o la política engrosan el cerca de medio centenar de entrevistas en profundidad que componen este estudio pionero en Europa que fue presentado ayer en el Palacio de Carlos V. Memoria oral de la Alhambra abarca parte de la historia del recinto nazarí a través de la palabra de antiguos empleados, artistas, políticos, académicos y dirigentes para conformar un archivo oral registrado de forma audiovisual y que quedará en los fondos del monumento para futuros análisis sociohistóricos y antropológicos.

Se trata de un proyecto aún abierto puesto en marcha por el Patronato de la Alhambra y Generalife bajo la dirección del catedrático de Antropología de la Universidad de Granada José Antonio González Alcantud, quien ha participado junto a la directora del monumento, María del Mar Villafranca, en la presentación de un avance del trabajo. La directora de la Alhambra ha destacado que el estudio profundiza en las raíces y el conocimiento de un lugar muy conocido desde los saberes clásicos.

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La Alhambra se convierte en el primer monumento que recopila su historia oral

La Alhambra de Granada se ha convertido en uno de los primeros monumentos del mundo que recopila la historia oral de sus últimas décadas a través de una investigación científica que recoge testimonios de habitantes, trabajadores, visitantes y gestores ligados a este bien declarado Patrimonio Mundial.

Ciudadanos anónimos y personalidades del mundo de la cultura, el arte o la política engrosan el cerca de medio centenar de entrevistas en profundidad que componen este estudio pionero en Europa que fue presentado ayer en el Palacio de Carlos V. Memoria oral de la Alhambra abarca parte de la historia del recinto nazarí a través de la palabra de antiguos empleados, artistas, políticos, académicos y dirigentes para conformar un archivo oral registrado de forma audiovisual y que quedará en los fondos del monumento para futuros análisis sociohistóricos y antropológicos.

Se trata de un proyecto aún abierto puesto en marcha por el Patronato de la Alhambra y Generalife bajo la dirección del catedrático de Antropología de la Universidad de Granada José Antonio González Alcantud, quien ha participado junto a la directora del monumento, María del Mar Villafranca, en la presentación de un avance del trabajo. La directora de la Alhambra ha destacado que el estudio profundiza en las raíces y el conocimiento de un lugar muy conocido desde los saberes clásicos.

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Presentación del libro “Un fantasma recorre la pantalla. Cine y sujeto postmoderno”, de Aarón Rodríguez

  • A cargo de Lorenzo Higueras Cortés, la presentación tendrá lugar en el Salón de Caballeros XXIV del Palacio de La Madraza, el jueves, 14 de junio, a las 19 horas

El libro “Un fantasma recorre la pantalla. Cine y sujeto postmoderno”, de Aarón Rodríguez, será presentado por el profesor de Psicología de la Personalidad y Psicología Jurídica de la Universidad de Granada, Lorenzo Higueras Cortés, en el Salón de Caballeros XXIV del Palacio de La Madraza, el jueves, 14 de junio, a las 19 horas, en un acto organizado por la Cátedra “Federico García Lorca” del Secretariado de Extensión Universitaria de la Universidad de Granada.

Aarón Rodríguez Serrano es doctor en Comunicación Audiovisual por la Universidad Europea de Madrid (2009) y Máster en Estética e Historia de la Cinematografía por la Universidad de Valladolid (2007). Es miembro de la Asociación de Análisis Textual “Trama y Fondo” y de la Asociación Española de Historiadores del Cine. Crítico en las revistas “Versión Original” y “Shangri-La Textos Aparte”.

Es autor de “Un fantasma recorre la pantalla: Cine y sujeto postmoderno” (Editorial El Genio Maligno) y “Náufragos de la Modernidad: Los hombres de Ingmar Bergman” (Editorial Arkadin).

Actividad

  • Presentación de libro: “Un fantasma recorre la pantalla. Cine y sujeto postmoderno”.
  • Autora: Aarón Rodríguez.
  • Editorial: El Genio Maligno.
  • Presenta: Lorenzo Higueras Cortés.
  • Día: Jueves, 14 de junio de 2012.
  • Lugar: Salón de Caballeros XXIV del Palacio de La Madraza.
  • Hora: 19 horas.
  • Organiza: Cátedra “Federico García Lorca” del Secretariado de Extensión Universitaria de la Universidad de Granada.

Gabinete de Comunicación – Secretaría General
UNIVERSIDAD DE GRANADA
Acera de San Ildefonso, s/n. 18071. Granada (España)
Tel. 958 243063 – 958 244278
Correo e. gabcomunicacion@ugr.es
Web: http://canal.ugr.es


Presentación del libro “Un fantasma recorre la pantalla. Cine y sujeto postmoderno”, de Aarón Rodríguez

  • A cargo de Lorenzo Higueras Cortés, la presentación tendrá lugar en el Salón de Caballeros XXIV del Palacio de La Madraza, el jueves, 14 de junio, a las 19 horas

El libro “Un fantasma recorre la pantalla. Cine y sujeto postmoderno”, de Aarón Rodríguez, será presentado por el profesor de Psicología de la Personalidad y Psicología Jurídica de la Universidad de Granada, Lorenzo Higueras Cortés, en el Salón de Caballeros XXIV del Palacio de La Madraza, el jueves, 14 de junio, a las 19 horas, en un acto organizado por la Cátedra “Federico García Lorca” del Secretariado de Extensión Universitaria de la Universidad de Granada.

Aarón Rodríguez Serrano es doctor en Comunicación Audiovisual por la Universidad Europea de Madrid (2009) y Máster en Estética e Historia de la Cinematografía por la Universidad de Valladolid (2007). Es miembro de la Asociación de Análisis Textual “Trama y Fondo” y de la Asociación Española de Historiadores del Cine. Crítico en las revistas “Versión Original” y “Shangri-La Textos Aparte”.

Es autor de “Un fantasma recorre la pantalla: Cine y sujeto postmoderno” (Editorial El Genio Maligno) y “Náufragos de la Modernidad: Los hombres de Ingmar Bergman” (Editorial Arkadin).

Actividad

  • Presentación de libro: “Un fantasma recorre la pantalla. Cine y sujeto postmoderno”.
  • Autora: Aarón Rodríguez.
  • Editorial: El Genio Maligno.
  • Presenta: Lorenzo Higueras Cortés.
  • Día: Jueves, 14 de junio de 2012.
  • Lugar: Salón de Caballeros XXIV del Palacio de La Madraza.
  • Hora: 19 horas.
  • Organiza: Cátedra “Federico García Lorca” del Secretariado de Extensión Universitaria de la Universidad de Granada.

Gabinete de Comunicación – Secretaría General
UNIVERSIDAD DE GRANADA
Acera de San Ildefonso, s/n. 18071. Granada (España)
Tel. 958 243063 – 958 244278
Correo e. gabcomunicacion@ugr.es
Web: http://canal.ugr.es