III Foro Internacional sobre Innovación Universitaria

  • Más de 30 universidades conforman este foro en el que se tratará de los “Avances en la Innovación Universitaria: Tejiendo el compromiso de las Universidades”, y se celebrará del 6 al 8 de julio en Bilbao

Ofrecer un espacio que favorezca la reflexión y el intercambio de experiencias en innovación entre los participantes; sensibilizar en la importancia de la innovación en el mundo actual y en el liderazgo universitario en la innovación y compromiso social; presentar, analizar y debatir los enfoques y experiencias innovadoras de las universidades en los ámbitos pedagógicos y de investigación científica y tecnológica, son algunos de los objetivos del “III Foro Internacional sobre Innovación Universitaria. Avances en la Innovación Universitaria: Tejiendo el compromiso de las Universidades”, que se celebrará del 6 al 8 de julio en Bilbao.

El Foro Internacional sobre Innovación Universitaria, conformado por más de 30 universidades de todo el mundo, es una Asociación de Universidades sin ánimo de lucro, al que la Universidad de Granada se ha incorporado recientemente, a propuesta del Vicerrectorado para la Garantía de la Calidad.

Para más información, pueden descargarse el programa en: http://calidad.ugr.es/pages/eventosdeinteres/programa_iii_foro_2011

Contacto: Profesora María José León Guerrero, vicerrectora para la Garantía de la Calidad. Universidad de Granada. Tn: 958 248491. Correo electrónico: vicalidaddir@ugr.es; web: http://calidad.ugr.es


L’emploi d’avions de combat sans pilote contre Al-Qaeda au Pakistan est insuffisant pour empêcher complètement de nouveaux attentats en Europe et aux États-Unis

M. Javier Jordán, expert en yihadisme et professeur de l’Université de Grenade, affirme que malgré tout, ces avions sont le seul instrument dont dispose actuellement les USA pour saper le leadership et l’opérativité d’Al-Qaeda dans ce pays

L’emploi d’avions de combat sans pilote (aussi appelés drones) qu’emploie la CIA contre Al-Qaeda au Pakistan est insuffisant pour empêcher complètement de nouveaux attentats en Europe et aux Etats-Unis. Il n’empêche qu’il est très probable que les actions des drones continuent et s’intensifient à court et à moyen terme, vu que, comme le reconnaît le directeur de la CIA, ces avions sont le seul instrument dont dispose actuellement les USA pour saper le leadership et l’opérativité d’Al-Qaeda et des talibans au Pakistan.

C’est ce qui s’ensuit d’un article publié récemment dans le Bulletin de l’Institut Royal Elcano par le professeur de l’Université de Grenade et expert yihadiste, M. Javier Jordán Enamorado, dans lequel il signale que, malgré tout, la campagne d’attaques de la CIA est en train d’infliger un sévère châtiment aux ressources humaines d’Al-Qaeda tout en l’empêchant de fonctionner normalement.

L’utilisation de drones armés à cette fin fut une possibilité envisagée avant les attentats du 11 septembre 2001, et qui a commencé à s’appliquer depuis le début de l’intervention en Afganistan, mais c’est avec l’administration Obama que les attaques avec drones au Pakistan ont atteint des niveaux d’intensité vraiment significatifs. Cette circonstance est en train de motiver de plus en plus la mise en question des aspects légaux et éthiques de cette stratégie, et a également suscité un débat sur l’effectivité des actions de décapitation, en se basant sur les résultats d’expériences préalables contre différents groupes d’Al-Qaeda.

Absence de représailles

Le professeur Jordán souligne « l’absence de représailles da la part d’Al-Qaeda à conséquence de la stratégie de décapitation appliquée par la CIA ». Ces derniers temps, Al-Qaeda n’a été capable de réaliser qu’un attentat (contre l’unité de la CIA à Khost, en décembre 2009) après lequel il a d’ailleurs fait part, moyennant un communiqué, de son désir de vengeance pour la perte de leaders causées par la campagne de drones.

M. Javier Jordan ajoute qu’en 2009, le nombre d’attaques par avions de combat non pilotés a dépassé la somme totale d’attaques réalisées de 2004 à 2008 (53 pour 43). En septembre 2010, le nombre d’attaques avait déjà dépassé la somme de l’année antérieure (69).

Actuellement, la plupart des drones volant en Afganistan dépendent de la Force aérienne et réalisent des missions essentiellement militaires (protection de routes et d’installations, appui à des unités de terre, etc.). Les missions de ces avions utilisés par la CIA au Pakistan sont d’une autre sorte. Leur principal objectif est d’abattre des individus clé d’Al-Qaeda et de l’insurrection talibane, et leurs activités sont traitées  dans leur ensemble comme une opération secrète de l’Agence.

Les attaques de la CIA ont donné lieu à une intense polémique dans la société pakistanaise, qui explique à son tour l’attitude ambiguë du gouvernement d’Islamabad. D’un côté, le gouvernement pakistanais condamne publiquement ce qu’il considère une violation de sa souveraineté, tandis que d’un autre côté il collabore à l’emploi de drones qui, de fait, non seulement opèrent dans son espace aérien mais aussi dans certains cas atterrissent et décollent de la base aérienne de Shamsi, appartenant à la Force aérienne pakistanaise.

Ces attaques ont à la fois suscité différents types de critiques aux Etats-Unis. D’une part, on met en question la légalité desdites activités, mais sont également nombreuses les critiques en rapport avec les morts de civils innocents provoquées de façon non intentionnées par les attaques. « Comme celles-ci ont lieu dans des régions très peu accessibles aux médias et aux organisations d’aide humanitaire, il est difficile d’avoir une vision claire de la magnitude des dommages collatéraux », signale également le professeur de l’UGR.

Contact : Javier Jordán Enamorado. Département de Science Politique et de l’Administration de l’UGR. Courriel : jjordan@ugr.es


The use of drones against Al-Qaeda is inefficient to prevent new attacks in Europe and USA

Javier Jordán, an expert in jihadism and a University of Granada professor states that, although drones are not efficient in preventing terrorist attacks in Europe and USA, they are the only instrument that USA has to undermine Al-Quaeda’s leadership and operativity in Pakistan

The unmanned aerial vehicles –also named “drones”– that the CIA is employing against Al-Quaeda in Pakistan are inefficient to prevent new terrorist attacks against Europe and the USA. Nevertheless, drones are likely to keep being employed at the short and medium term since, as CIA’s director states, these vehicles are the only instrument that the USA has to undermine Al-Qaeda and taliban’s leadership and operating capacity in Pakistan.

This is the conclusion exposed in an article recently published in the Newsletters of the Real Instituto Elcano, prepared by a University of Granada professor and an expert in jihadism Javier Jordán Enamorado. In his article, professor Jordán notes that the campaign launched by the CIA is reducing Al-Qaeda’s troops and is negatively affecting its operating capacity.

The employment of armed drones to undermine Al-Qaeda’s capacity was an option that was already being considered before the 11-S attacks. They started to be operated at the start of the intervention in Afghanistan, although it was Obama’s administration that finally launched drone attacks in Pakistan, which have gained a very significant intensity. This situation is putting the legal and ethical aspects of this strategy into question, while discussion has arisen as to the effectiveness of eliminating enemy leaders, in the light of the poor results obtained in previous experiences against other Al-Qaeda groups.

Lack of reprisals

Professor Jordán stresses “the lack of reprisals from Al-Qaeda in response to CIA’s stategy of eliminating their leaders”. Recently, Al-Qaeda has launched only one attack –against the CIA in Khost in December 2009- where they made it clear through a later communiqué that they acted out of a desire for revenge, for their leaders being eliminated by drones.

Javier Jordán notes that, in 2009, the number of attacks by armed unmanned aircraft vehicles was higher than that launched in 2004 and 2008 –53 against 43–. In September 2010, the number of attacks already exceeded the total number of attacks launched in 2010 (69).

Currently, most of the drones flying in Afghanistan belong to the US Air Force and perform military tasks –route and facility protection, infantry support, etc. These CIA-operated vehicles employed in Pakistan are of a different type. Their main aim is eliminating Al-Qaeda’s key leaders and the taliban insurgency, and their activities are secret.

CIA’s attacks have caused intense controversy within Pakistani society, which explains Islamabad’s administration ambiguity. On the one hand, Pakistani’s government has openly condemned what they consider a violation of their sovereignity, while at the same time, they are allowing drones to use their air space and the airfield of Shamsi, which belongs to the Pakistani Air Force, Javier Jordán states in his article.

Simultaneously, these attacks have caused critics in the USA. The legality of these actions is being questioned, and there are many critics to the unintended civil casualties caused. “As these attacks are launched in a region inaccessible to the media and to humanitarian relief organizations, having a clear perspective of the collateral damage caused is difficult” –the University of Granada professor affirms.

Contact: Javier Jordán Enamorado. Department of Politics, University of Granada. E-mail address: jjordan@ugr.es


Conferencia de Antonio Santamaría sobre “La Filmoteca Nacional Española ante los retos de la cultura digital: investigación, documentación y conservación”

  • Tendrá lugar en el salón de actos de la Facultad de Comunicación y Documentación, el miércoles, 6 de abril, a las 17 horas, dentro del “II Curso en Medios Audiovisuales y Periodismo en la Era Digital”.

“La Filmoteca Nacional Española ante los retos de la cultura digital: investigación, documentación y conservación” es el título de la conferencia que impartirá el historiador y crítico de cine (Filmoteca de Andalucía) Antonio Santamaría, el miércoles, 6 de abril, a las 17 horas, en el salón de actos de la Facultad de Comunicación y Documentación (Colegio Máximo del Campus de Cartuja) de la UGR.

El acto forma parte de las actividades organizadas por la Facultad de Comunicación y Documentación, dentro del “II Curso en Medios Audiovisuales y Periodismo en la Era Digital” que dirige el profesor Domingo Sánchez-Mesa y coordina el periodista Eladio Mateos.

Según los responsables, este curso aspira, entre otros objetivos, a “familiarizar a los alumnos con algunas de las cuestiones y problemas claves del panorama actual de algunos de los principales medios de comunicación e información audiovisuales, con especial incidencia en la reflexión crítica sobre los cambios que están produciéndose en los nuevos entornos de comunicación y cultura digitales, así como en su impacto en el terreno de la documentación audiovisual; facilitar a los estudiantes el encuentro directo con personalidades destacadas de distintos sectores profesionales de los medios, la gestión y la reflexión académica sobre los temas objeto de estudio en el curso; favorecer la integración de los estudios académicos en comunicación audiovisual en la realidad sociocultural, profesional y política del contexto (local, regional, nacional e internacional) en el cual han de cumplir su función”.

Descargue el cartel en una resolución mayor

Para más información: http://fcd.ugr.es/pages/eventos/cursomediosaudiov_periodismo

Actividad:

  • Conferencia: “La Filmoteca Nacional Española ante los retos de la cultura digital: investigación, documentación y conservación”
  • A cargo de: Antonio Santamaría
  • Lugar: Salón de actos de la Facultad de Comunicación y Documentación (Colegio Máximo del Campus de Cartuja) de la UGR
  • Día: Miércoles, 6 de abril de 2011
  • Hora: 17 horas
  • Organiza: Facultad de Comunicación y Documentación de la UGR

Contacto: Domingo Sánchez-Mesa Martínez, catedrático en Teoría de la Literatura y Literatura Comparada. Tfn: 958 241000, extensión 20113. Correo electrónico: dmesa@ugr.es


Descubren los mecanismos genéticos que provocan que los consumidores de éxtasis presenten deterioros en la fluidez verbal

  • Este artículo ha sido publicado en la revista Journal of Psychopharmacology por científicos de la Universidad de Granada y del Institut Municipal d’Investigació Mèdica de Barcelona.

Científicos de la Universidad de Granada han descubierto por primera vez los mecanismos neuropsicológicos y genéticos culpables de que los consumidores habituales de éxtasis presenten deterioros en la fluidez verbal. En concreto, su investigación ha revelado que las dificultades de producción verbal de estos individuos vienen asociadas al funcionamiento neuropsicológico de los circuitos fronto-temporales (encargados de la recuperación de información semántica) y fronto-estriados (relacionados con la flexibilidad atencional), modulados por los genotipos de la enzima COMT (implicada en la metabolización del éxtasis y en la catabolización de la dopamina en la corteza prefrontal) y el transportador de serotonina (neurotransmisores que se encuentran en varias regiones del sistema nervioso central y que tienen mucho que ver con el estado de animo).

Este estudio ha analizado por primera vez si los problemas de fluidez verbal de los consumidores de éxtasis están asociados con dificultades en la categorización de información (la habilidad para producir ejemplares dentro de una determinada categoría) o en la flexibilidad en la producción de categorías (la capacidad para cambiar de categoría una vez que los ejemplares de la categoría anterior se agotan).

Pruebas de fluidez fonológica y semántica

Los científicos trabajaron con un grupo de 30 policonsumidores de éxtasis y un grupo de 41 participantes no consumidores de drogas. Ambos fueron evaluados con pruebas de fluidez fonológica y semántica y genotipados para la COMT y el transportador de serotonina.

Los resultados mostraron que los consumidores de éxtasis presentaban deterioros significativos del rendimiento en fluidez semántica, que estaban principalmente asociados con alteraciones en la categorización de información. La capacidad de categorización también estaba modulada por el genotipo de la COMT independientemente de la contribución del grupo.

Asimismo, se detectó un efecto del genotipo del transportador de serotonina, de modo que los consumidores de éxtasis portadores del genotipo s/s presentaban una menor capacidad de flexibilidad que los portadores de genotipos l/s y l/l.

Este artículo ha sido publicado recientemente en la revista Journal of Psychopharmacology por los profesores Antonio Verdejo García (Universidad de Granada) y Ana B Fagundo, Elisabet Cuyàs, Magí Farré y Rafael de la Torre (Institut Municipal d’Investigació Mèdica de Barcelona).

CONTACTO: Antonio Verdejo García. Departamento de Personalidad, Evaluación y Tratamiento Psicológico Universidad de Granada. Teléfono: 958 242 948 Correo electrónico: averdejo@ugr.es


Inauguración de la XI Feria Internacional de Empleo Universitario

  • Miércoles, 6 de abril, a las 12 h. en el Recinto Ferial Armilla

Mañana, miércoles, 6 de abril, a las 12 h. en el Recinto Ferial Armilla se celebrará el acto de inauguración de la XI Feria Internacional de Empleo Universitario que organiza la Universidad de Granada y el Servicio Andaluz de Empleo a través de la Red Eures.

Intervienen:

  • Rector de la Universidad de Granada, Francisco González Lodeiro.
  • Vicerrectora de Estudiantes, Inmaculada Marrero Rocha.
  • Alcalde de Armilla, Gerardo Sánchez Escudero.
  • Delegada del Gobierno de la Junta de Andalucía, María José Sánchez Rubio.
  • Delegada de Empleo en Granada de la Junta de Andalucía, Marina Martín Jiménez.
  • Vicepresidente Segundo de la Diputación Provincial de Granada y diputado de Promoción Económica y Empleo, Julio Bernardo.
  • Director de Telefónica I+D de Granada, Luis Carlos Fernández González.

Este año se espera que el número de visitantes supere los más de 14.000 de la edición anterior, procedentes de todas las universidades andaluzas.

Sitio web: http://www.feriainternacionaldelempleo.com/

CONVOCATORIA:

  • DÍA: miércoles, 6 de abril.
  • HORA: 12 h.
  • LUGAR: Recinto Ferial Armilla.

El empleo de aviones de combate no tripulados contra Al-Qaeda en Pakistán es insuficiente para impedir por completo nuevos atentados en Europa y EEUU

  • Javier Jordán, experto en yihadismo y profesor de la Universidad de Granada, afirma que, a pesar de ello, estos aviones son el único instrumento del que actualmente dispone EEUU para dañar el liderazgo y la operatividad de Al-Qaeda en aquel país

El empleo de aviones de combate no tripulados (también llamados “drones”) que la CIA está realizando contra Al-Qaeda en Pakistán es insuficiente para impedir por completo que la organización terrorista planee nuevos atentados en Europa y EEUU. A pesar de ello, es muy probable que las acciones de los drones continúen y se intensifiquen en el corto y medio plazo, ya que, tal como reconoce el director de la CIA, estos aviones son el único instrumento del que actualmente dispone EEUU para dañar el liderazgo y la operatividad de al-Qaeda y de los talibanes en Pakistán.

Así se desprende de un artículo publicado recientemente en el Boletín del Real Instituto Elcano por el profesor de la Universidad de Granada y experto en yihadismo Javier Jordán Enamorado, en el que advierte que, pese a todo, la campaña de ataques de la CIA está infligiendo un castigo severo a los recursos humanos de al-Qaeda y está afectando negativamente a su funcionamiento.

Avión de combate no tripulado en pleno vuelo

La utilización de drones armados con este fin fue una posibilidad que se barajó antes de los atentados del 11 de septiembre de 2001 y que comenzó a aplicarse desde el inicio de la intervención en Afganistán, pero ha sido con la administración Obama cuando los ataques con drones en Pakistán han alcanzado unos niveles de intensidad verdaderamente significativos. Esta circunstancia está motivando que se cuestionen cada vez más los aspectos legales y éticos de dicha estrategia, al tiempo que ha suscitado un debate sobre la efectividad de las acciones de decapitación, basándose en los resultados de experiencias previas contra grupos distintos de al-Qaeda.

Ausencia de represalias

El profesor Jordán destaca “la ausencia de represalias por parte de al-Qaeda como consecuencia de la estrategia de decapitación aplicada por la CIA”. En los últimos tiempos, Al-Qaeda sólo ha sido capaz de realizar un atentado (contra la unidad de la CIA en Khost en diciembre de 2009) en el que además hizo explícito, mediante un comunicado posterior, su deseo de venganza por la pérdida de líderes que está ocasionando la campaña de los drones.

Javier Jordán apunta que en el año 2009, el número de ataques con aviones de combate no tripulados superó el total de los realizados durante los años 2004 y 2008 (53 frente a 43). En septiembre de 2010, la cifra de ataques ya había superado el conjunto del año anterior (69).

Actualmente la mayoría de los drones que vuelan en Afganistán dependen de la Fuerza Aérea y cumplen tareas esencialmente militares (protección de rutas e instalaciones, apoyo a unidades de tierra, etc.). Las misiones de estos aviones operados por la CIA en Pakistán pertenecen a una categoría diferente. Su principal objetivo consiste en abatir a individuos clave de al-Qaeda y de la insurgencia talibán, y el conjunto de sus actividades es tratado como una operación secreta de la Agencia.

Los ataques de la CIA han dado lugar a una intensa polémica en la sociedad paquistaní, que a su vez explica la actitud ambivalente del gobierno de Islamabad. Por un lado, el gobierno paquistaní condena públicamente lo que considera una violación de su soberanía, mientras que, por otro, colabora con el empleo de los drones que, de facto, no sólo operan en su espacio aéreo sino que en algunos casos aterrizan y despegan desde la base aérea de Shamsi, perteneciente a la Fuerza Aérea paquistaní., señala Javier Jordán en el artículo.

Al mismo tiempo, estos ataques han suscitado diversos tipos de críticas en EEUU. Por una parte se cuestiona la legalidad de dichas acciones, pero también son numerosas las críticas relacionadas con las muertes de civiles inocentes provocadas no intencionadamente por los ataques. “Como estos tienen lugar en una región muy poco accesible a los medios de comunicación y a las organizaciones de ayuda humanitaria, resulta difícil tener una visión clara de la magnitud de daños colaterales”, apostilla el profesor de la UGR.

Contacto: Javier Jordán Enamorado. Departamento de Ciencia Política y de la Administración de la UGR. Correo electrónico: jjordan@ugr.es


Abierto el plazo para matricularse en el “Curso práctico de iniciación a la dirección teatral”

  • Será impartido por Jara Martínez Valderas, profesora del Departamento de Dirección Escénica, Escuela de Arte Dramático de Castilla y León, en la Facultad de Traducción e Interpretación. Sala de Lectura (C/ Buensuceso, 11), los días 27, 28 y 29 de abril en horario de 16,30 a 20,30 horas

Se encuentra abierto el plazo (del 5 al 25 de abril) para matricularse en el “Curso práctico de iniciación a la dirección teatral” que impartirá Jara Martínez Valderas, profesora del Departamento de Dirección Escénica, Escuela de Arte Dramático de Castilla y León, los días 27, 28 y 29 de abril en horario de 16,30 a 20,30 horas, en la Facultad de Traducción e Interpretación. Sala de Lectura (C/ Buensuceso, 11).

Organizado por el Aula de Artes Escénicas del Secretariado de Extensión Universitaria, el curso, de 12 horas de duración, (tres sesiones de trabajo de cuatro horas), aspira a servir de ayuda a todos aquellos que deseen dirigir teatro. Como primer paso se debe establecer qué es un director de escena a través de sus competencias en la escenificación. A partir de ahí entender el proceso creativo teatral como un arte colectivo que requiere de actores y diseñadores plásticos guiados por una dramaturgia común establecida por el dramaturgo y el director, y puesta en pie por éste último. Para ello es fundamental distinguir cuáles son los elementos fundamentales a los que debe atender y dar forma el director de escena.

El curso está dirigido a todos aquellos interesados en la dirección de escena de teatro: directores de escena, estudiantes, actores, investigadores, etc. Personas interesadas en el teatro que deseen conocer los fundamentos de la escenificación, ya sea porque forman parte de una compañía teatral o para entender activamente la literatura dramática. El número de alumnos será reducido, hasta un máximo de doce. Las plazas se irán cubriendo por estricto orden de inscripción.

  • Plazo de inscripción: del 5 al 25 de abril
  • Lugar de inscripción: Secrerariado de Extensión Universitaria, de 10 a 14 horas
  • Organiza: Aula de Artes Escénicas del Secretariado de Extensión Universitaria

Referencia: Secretariado de Extensión Universitaria, Vicerrectorado de Extensión Universitaria y Cooperación al Desarrollo. Universidad de Granada. Complejo Administrativo Triunfo. 2º Pabellón central – 1ª Planta (Avda. del Hospicio, s/n.). Tel.: 958 24 34 84. Correo Electrónico: extensioncultural@ugr.es – Web: http://univex.ugr.es/


Recomiendan mejorar la formación e información en materia de prevención en las empresas constructoras de invernaderos

«Hacen falta más formación e información tanto para los empresarios como para los empleados de las empresas que construyen invernaderos en materia de prevención de riesgos laborales. Hay un desconocimiento general de la legislación en materia de prevención de riesgos». Esta es una de las recomendaciones que se desprenden del estudio coordinado elaborado por José Pérez Alonso, profesor de construcciones agrarias del Departamento de Ingenierí­a Rural de la Universidad de Almerí­a, y cuyos resultados han publicado recientemente en la revista Safety Science.

Para llevar a cabo este trabajo, financiado por la Consejerí­a de Empleo de la Junta de Andalucí­a y por el Ministerio de Ciencia, el profesor Pérez Alonso, junto con otros expertos, ha visitado y analizado el 20% del total de las empresas constructoras de invernaderos que hay en Almerí­a, «una muestra muy amplia». A partir de un trabajo general sobre riesgos laborales hecho en la Universidad de Granada, el grupo almeriense ha adaptado y ampliado el cuestionario granadino al sector concreto que ellos trabajan. Primero han descrito las caracterí­sticas de cada empresa (facturación, número de empleados, tipo de invernaderos que construyen…); después han realizado una segunda parte del cuestionario con aspectos sobre la seguridad y salud en los procedimientos de construcción (si usan guantes y gafas de protección, o si visten ropa adecuada). En un tercer apartado han abordado el asunto de la prevención y las actividades concretas a este respecto (si contratan el servicio o lo gestionan ellos, si se evalúan las actividades o no…). Y por último, han querido conocer cuál es la percepción de la responsabilidad en temas de seguridad y prevención y si hay una buena coordinación en estos aspectos.

Tras este exhaustivo cuestionario, y a través de un análisis matemático multivariante de correspondencias múltiples, es decir, un análisis que les permite correlacionar diferentes variables, han podido concluir que «hay una relación directa entre el tamaño de la empresa y las actividades de prevención. A mayor número de trabajadores y mayor facturación, mejor actividad preventiva y de seguridad». Esta es una realidad que se cumple en todas las variables. Y la más señalada es la de la formación e información. «Se aprecian carencias en estos aspectos porque la tónica es que los empresarios, gerentes y trabajadores, sobre todo de compañí­as pequeñas, no conozcan a fondo la legislación en esta materia», afirma.

En general, cuenta que, las empresas cumplen los mí­nimos en materia de prevención en comparación con el resto del sector de la construcción, pero necesitan mejorar muchos aspectos. Por ejemplo, «las empresas sí­ realizan los reconocimientos médicos pertinentes pero no suelen iniciar una obra con un plan de seguridad».

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¿Qué aporta la educación musical a los estudiantes?

El papel de las enseñanzas musicales en Primaria y ESO se ha visto relegado a un puesto secundario respecto a otras asignaturas. Sin embargo, algunos estudios recalcan que estimula de forma positiva la inteligencia y mejora los resultados en otras áreas de conocimiento.

¿Quién decide qué materia curricular es más importante que otra? Las administraciones educativas de nuestro país en sus nuevas ordenaciones curriculares han relegado el papel de las enseñanzas musicales en Primaria y ESO a un puesto secundario respecto a otras asignaturas. Sin embargo, las investigaciones y estudios sobre el papel de la educación musical en la formación integral de los estudiantes recalcan, entre otros aspectos, que estimula de forma positiva la inteligencia y mejora los resultados en otras áreas de conocimiento.

Hay discrepancia entre las lecciones de música del currículum actual y las que se impartenA pesar de que numerosas investigaciones delatan los evidentes beneficios que ejerce la educación musical sobre la formación integral del alumno, el sistema educativo relega esta materia a los mínimos de docencia establecidos. El reconocimiento y valoración del papel que estas enseñanzas desempeñan en la educación global es una de las principales reivindicaciones de los profesionales de la asignatura. Tras la implantación de la Ley Orgánica de Educación (LOE 2006), habían visto como, tanto en Primaria como en Secundaria, la carga lectiva de música se había reducido de forma drástica.

El proyecto de investigación meNet (Music Education Network), que ha contado con la colaboración de 90 instituciones educativas de 23 países europeos, ha analizado durante el periodo 2006-2009, entre otros aspectos, las similitudes y diferencias en educación musical de los distintos sistemas educativos. Las conclusiones sobre nuestro país remiten a una relevante discrepancia entre las lecciones de música estipuladas en el currículum actual y las que realmente se imparten. «Las recomendaciones dadas por los profesores de música e instituciones de educación musical de España y otros países han sido ignoradas de forma sistemática por las autoridades», recalca el informe.
Música y habilidades

La educación musical reforzada estimula de forma positiva la inteligenciaJosé Antonio Rodríguez-Quiles, catedrático de Educación Musical de la Universidad de Granada, y coordinador de meNet en nuestro país, resalta sin embargo en su articulo ‘¿Es necesaria una Educación Musical para todos?’ (Revista de la Lista Europea de Música en la Educación), las innumerables ventajas que reporta a los niños la práctica continuada de la música en la escuela. Entre otros beneficios, este especialista señala que permite que experimenten por sí mismos su propia capacidad de expresión, favorece el aumento de las competencias sociales gracias a la práctica en grupo y facilita el significado de la forma y el orden.

Rodriguez-Quiles no olvida mencionar en su artículo los resultados de una de las investigaciones más relevantes a nivel internacional sobre la incidencia de la educación musical en los niños de Primaria, realizada en Berlín hace una década. Según este estudio experimental, la educación musical reforzada estimula de forma positiva la inteligencia, tanto de los alumnos mejor dotados intelectualmente, como de los que presentan algún déficit de desarrollo. Por otra parte, el rendimiento en otras asignaturas de los estudiantes «reforzados» en música, a pesar del coste temporal, no se vio afectado en ningún momento.
La actitud del alumno

A la mayoría de los alumnos les gusta la asignatura de música por encima de la mediaEntre los argumentos en contra de la reducción de la materia de música en enseñanza Secundaria, los docentes de esta asignatura apuestan por la actitud positiva de los estudiantes hacia su aprendizaje. Javier Lara, presidente de la Confederación de Asociaciones de Educación Musical (COAEM), señala que ésta es una de las claves del asunto, «tenemos la suerte de entrar por la ‘puerta de atrás’ de la mente de nuestros alumnos», afirma.

El profesor Miguel Ángel Úbeda Cárdenas argumenta en un manifiesto de COAEM que a la «mayoría de los alumnos les gusta la asignatura de música por encima de la media de las demás materias», algo que contribuye al bienestar del alumnado dentro del sistema. Úbeda Cárdenas señala también el atractivo que tiene la asignatura para muchos alumnos con dificultades educativas y con escasos intereses culturales. Esta afinidad, que se manifiesta en muchos casos en resultados más competentes que en otras materias, «funciona como un factor de atracción para estos estudiantes hacia el sistema educativo», en definitiva, un arma contra el fracaso escolar.

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Un libro aborda la protección del patrimonio histórico

En el libro, publicado por la UGR, han participado 25 especialistas en esta materia

La Editorial Universidad de Granada (eug), en colaboración con Caja Madrid, el Ministerio de Ciencia e Innovación y la Junta de Andalucía, ha publicado el libro ‘La protección del patrimonio histórico en la España democra´tica’, coordinado por el catedrático del Departamento de Historia del Arte y Música de la Universidad de Granada (UGR).

Esta obra recoge los resultados más significativos del proyecto de investigación de excelencia ‘Estudio comparado de las políticas de protección del Patrimonio Histórico en España. Creación del Observatorio sobre el Patrimonio Histórico Español (OPHE)’, dirigido por Ignacio Henares Cuéllar, y cuyo objetivo era llevar a cabo un análisis comparado de las diferentes políticas de protección puestas en marcha en España durante la etapa democrática por parte de las diferentes administraciones nacionales y autonómicas, y por las instituciones privadas más relevantes, con competencias en materia de Patrimonio Histórico, haciendo hincapié en la defensa de la diversidad cultural española y de cómo ésta ha de conciliarse con la dimensión universal y carácter unitario que igualmente caracterizan nuestro legado histórico.

El volumen, con una amplia introducción del profesor Ignacio Henares Cuéllar, cuenta con varios capítulos en los que se trata de: «Conceptos y tipos de bienes», «Gestión e intervención», «Patrimonio histórico y sociedad», «Diversidad cultural e identidad» y un amplio anexo bibliográfico.
En el libro participan 25 especialistas en Patrimonio Histórico, informa la UGR en un comunicado.

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Los aspectos no verbales influyen en la ‘interpretación simultánea’

La dicción y la fluidez influyen mucho más de lo que se pensaba a la hora de valorar una interpretación. Esta es una de las principales conclusiones de un proyecto de investigación desarrollado en España

En el mundo de la interpretación simultánea los parámetros no verbales pesan incluso en la comprensión. Son importantes tanto los elementos no verbales del intérprete hacia el usuario que recibe la comunicación como los del interpretado hacia el intérprete. Así lo demostró el proyecto «Interpretación simultánea: maximizadores y minimizadores de la calidad», desarrollado por investigadores de la Universidad de Granada (UGR), España.

La voz, el estilo, la dicción, la fluidez, el acento, la terminología, la entonación, la cohesión, la transmisión correcta, o la transmisión completa son los 10 parámetros con los que estos expertos han analizado la calidad en interpretación simultánea. De entre todos estos parámetros, concluyeron que algunos como «la dicción y la fluidez influyen mucho más de lo que se pensaba a la hora de valorar una interpretación».

Para ello, los investigadores llevaron a cabo diferentes líneas de trabajo. Por un lado, desarrollaron estudios de carácter experimental preparados en el Centro de Instrumentación Científica de Granada. La profesora Collados explica: «Partimos de un discurso en lengua extranjera y le pedimos, siempre al mismo intérprete, que realizara la interpretación siguiendo diferentes directrices (cambios de entonación o de velocidad, por ejemplo) y luego la presentamos para su valoración a usuarios de distintas universidades españolas».

Según afirma, «los resultados demuestran que efectivamente el usuario, casi siempre de forma no consciente, castiga mucho una interpretación en la que los elementos no verbales no son los adecuados, y no pueden entrar a valorar lo suficiente la interpretación que no es tan buena desde el punto de vista del contenido». «Cuando se le pregunta a un usuario si estos aspectos no verbales son importantes, suele responder que no». Sin embargo, el resultado de esta investigación demuestra lo contrario. Es la primera vez que se llega a una conclusión como esta en la investigación sobre calidad de la interpretación.

¿Cuál es la utilidad de este trabajo? «Entre otras cosas, el hecho de que todos estos aspectos se puedan trabajar y mejorar, incluso la agradabilidad de la voz, y que el intérprete los puede optimizar», afirma Collados.

Pero ¿qué sucede con el «interpretado»? ¿Influyen los elementos no verbales del «ponente» en la interpretación? ¿Cuál es su peso en el paso del discurso original al intérprete? Para contestar a esta pregunta, el grupo de expertos de la UGR grabó en vídeo a ponentes y discursos originales en alemán, francés e inglés, de una sesión de tres días del Parlamento Europeo. Grabaron asimismo las interpretaciones que se llevaron a cabo en las cabinas española, francesa, y alemana («lo que supone un material único de estudio».

«Hemos transcrito todos los discursos e interpretaciones mediante un sistema de transcripción exhaustiva basada en los métodos existentes, completados con estos aspectos no verbales”. Después, utilizando una “aplicación informática diseñada para ello, se puede ver y escuchar el discurso original y cotejarlo con las interpretaciones y los datos de los análisis».

En este caso, «aspectos como la velocidad del ponente, si el discurso es leído o no, o si tiene acento no nativo ocupan lugares destacados». De hecho, «por ejemplo, un ponente monótono, puede desvirtuar una interpretación porque el profesional pierda la atención o el hilo, y dificultar así el entendimiento final entre el ponente y el usuario de la interpretación». «Creemos que habría que educar a los organizadores de congresos, a los ponentes y a los políticos en estos aspectos para facilitar el entendimiento, que es el objetivo final de la interpretación. Que entiendan que la interpretación no es algo automático», afirma la profesora Collados. «En definitiva, lo que queremos con nuestro trabajo es mejorar la calidad de las interpretaciones».

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